• Solidarischer Zusammenhalt statt Dividenden
    Erstunterzeichnende: Dr. Aurélien Barrau, Professor für Physik, Universität Grenoble ; Laïla Batou, Rechtsanwältin ; Rudi Berli, Landwirt ; Blaise Berzinger, Humorist ; Dr. Dominique Bourg, Umweltphilosoph und Honorarprofessor, Universität Lausanne ; Sophie Bobillier, Rechtsanwältin ; Valérie Borloz, Sekretärin der Gewerkschaft "Union Syndicale Vaudoise" ; Beat Bürgenmeier, Honorarprofessor für Wirtschaftswissenschaften, Universität Genf; Prof. Dr. Marc Chesney, Leiter der Abteilung für Bank- und Finanzwesen, Universität Zürich ; Maxime Combes, ATTAC France ; Willy Crétigny, Bio-Winzer ; Julie de Dardel, Oberassistent Universität Genf; Nils de Dardel, Rechtanwalt und ehemaliger Nationalrat ; Léo Devanthéry, Musiker und Komponist ; Eric Devanthéry, Theaterregisseur ; Dr. Jacques Dubochet, Nobelpreisträger in Chemie ; Netty Fabian, Pflegefachfrau ; Adrien Fleury, Psychiater ; Mathieu Genoud, Landwirt ; Prof. Dr. Blaise Genton, Arzt ; Marie-Claire Graf, Vizepräsidentin von Swiss Youth for Climate, Klimaaktivistin ; Nicolas Haeringer, Koordinator 350.org ; Dr. Ute Heissner, Wissenschaftliche Studienkoordinatorin, Universitätsspital Basel ; Dr. med. René Jaccard, Arzt, Klima-Grosseltern Schweiz ; José Lillo, Theaterregisseur ; Mireille Loroch, Rechtsanwältin; Dr. Nicolas Maystre, Wirtschaftswissenschaftler, Universität Genf ; Raphaël Mahaim, Rechtsanwalt ; Anne-Catherine Menetrey Savary, ehemalige Nationalrätin ; Marie-Pomme Moinat, Rechtsanwältin und Stadträtin ; Prof. Dr. Henrik Nordborg, Studiengangsleiter Erneuerbare Energien und Umwelttechnik, Hochschule für Technik Rapperswil ; Luc Recordon, Rechtanwalt, Ingenieur und ehemaliger Ständerat ; Prof. Frédéric Robert-Nicoud, Geneva School of Economics and Management, Universität Genf ; Prof. Dr. Julia Steinberger, Professorin für Ökologische Ökonomie, Universität Leeds ; Matthias Studer, Professor, Universität Genf; Prof. Dr. Philippe Thalmann, Professor für Umweltökonomie, EPFL Lausanne ; Daniel Tanuro, Ökosozialistischer Autor ; Jean Ziegler, ehemaliger Sonderberichterstatter der Vereinten Nationen, Soziologe und Autor ; Josef Ziszyadis, Vizpräsident von Slow Food Suisse und Mitbegründer von "La Semaine du Goût" ; Andreas Freimüller, Campax ; Luka Takoa, Philosoph
    8.415 von 9.000 Unterschriften
    Gestartet von Just Recovery CH Coalition
  • Des soins pas des dividendes
    Premier·e·s signatrices/aires: Aurélien Barrau, Physicien ; Laïla Batou, Avocate ; Rudi Berli, Paysan ; Blaise Bersinger, Humoriste ; Dominique Bourg, Philosophe de l'environnement et professeur honoraire à l'Unil ; Sophie Bobillier, Avocate ; Valérie Borloz, Secrétaire de l'union syndicale vaudoise ; Prof. Dr. Marc Chesney, Chef du département de la banque et des finances, Université de Zurich ; Maxime Combes, ATTAC France ; Willy Crétigny, Vigneron bio ; Julie de Dardel, maître assistante univ. de Genève ; Nils de Dardel, Avocat et ancien conseiller national ; Léo Devanthéry, Musicien et compositeur ; Eric Devanthéry, Metteur en scène ; Jacques Dubochet, prix Nobel de Chimie ; ​​​​​​​Netty Fabian, Infirmières spécialisée, Bâle ; Adrien Fleury, Psychiatre ; Mathieu Genoud, Paysan ; Prof. Blaise Genton, Médecin ; Beat Bürgenmeier, Professeur honoraire d'économie, Université de Genève ; Marie-Claire Graf, Vice-présidente de Swiss Youth for Climate, activiste pour le climat ; Nicolas Haeringer, 350.org ; Dr. Ute Heissner, Coordinatrice des études académiques, Hôpital Universitaire de Bâle ; Dr. med. René Jaccard, Médecin, Grands-parents pour le Climat, Suisse ; José Lillo, Metteur en scène ; Mireille Loroch, avocate ; Nicolas Maystre, Économiste, Université de Genève ; Raphaël Mahaim, Avocat ; ​​​​​​​Anne-Catherine Menetrey Savary, ancienne Conseillère nationale ; Marie-Pomme Moinat, Avocate et élue municipale ; Prof. Frédéric Robert-Nicoud, Geneva School of Economics and Management, Université de Genève ; Prof. Dr. Henrik Nordborg, Responsable de cours, technologies environnementales et énergies renouvelables, Hochschule fur Technik, Rapperswil ; ​​​​​​​​​​​​​​Luc Recordon, Avocat, ingénieur et ancien conseiller aux Etats ; Julia Steinberger, Professeure en Economie Ecologique à l'université de Leeds ; Matthias Studer, professeur Univ. de Genève ; Prof. Dr. Philippe Thalmann, Professeur d’économie de l’environnement EPFL ; Daniel Tanuro, Auteur écosocialiste ; ​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​Jean Ziegler, Ex-rapporteur spécial de l'ONU, sociologue et auteur ; ​​​​​​​Josef Ziszyadis, Co-président Slow Food Suisse et Cofondateur de la Semaine du Goût ; Andreas Freimüller, Campax ; Luka Takoa, Philosophe
    3.024 von 4.000 Unterschriften
    Gestartet von Just Recovery CH Coalition
  • Les archives Gosteli sur l'histoire du mouvement féministe suisse doivent continuer à exister!
    Stimmen der Forscherinnen / Paroles de chercheuses Die Frauen erhielten das Stimmrecht in der Schweiz erst 1971. Seit dem 19. Jahrhundert aber brachten sie sich über ihre Organisationen und Vereine in das politische Geschehen der Schweiz ein. Der Organisierungsgrad der Frauen war immens. Diese Unterlagen fehlen in den staatlichen Archiven. Daher braucht es das Gosteli-Archiv unbedingt. Damit die Geschichte der Schweiz in ihrer ganzen Breite erforscht und verstanden werden kann. Dr. Céline Angehrn und Dr. Simona Isler verfassten ihre Dissertationen an der Universität Basel zur weiblichen Erwerbstätigkeit und Berufsberatung in der Schweiz im 20. Jahrhundert. Il est extrêmement important que les archives Gosteli restent accessibles aux chercheuses et chercheurs qui s’intéressent à l’histoire des femmes et du genre en Suisse. Dans le cadre d’un projet FNS sur l’histoire « des années 1968 » en Suisse, les archives Gosteli ont été essentielles pour notre équipe de recherche. Elles ont permis d’étudier le mouvement féministe des années 1968-1975 qui a joué un rôle central dans les mobilisations sociales et politiques de cette période. Dr Janick Marina Schaufelbuehl, Professeure associée en histoire à l’Université de Lausanne Seit Beginn meiner Dissertation habe ich unzählige Dossiers aus dem Gosteli-Archiv konsultiert. Im Rahmen meiner Forschungsarbeit interessiere ich mich dafür, wie in der Schweiz Frauenorganisationen in der zweiten Hälfte des 20. Jahrhunderts damit umgingen, dass Mütter die alleinige Verantwortung für ihre Kinder trugen und damit dem vermeintlichen Ideal der bürgerlichen Kleinfamilie zuwiderliefen. Besonders schätze ich, dass die Bestände des Gosteli-Archivs die vielfältigen Zeugnisse der Tätigkeiten von schweizerischen Frauen(organisationen) gebündelt und übersichtlich zugänglich machen – heute und in Zukunft eine unverzichtbare Ressource für historische Arbeiten aller Art. Lisia Bürgi, Doktorandin, Historisches Institut, Universität Bern Mon livre « De la révolution féministe à la Constitution : mouvement des femmes et égalité des sexes en Suisse (1975-1995) » doit énormément aux fonds d’archives de la Fondation Gosteli ainsi qu’à l’aide précieuse des archivistes qui y travaillent. Mon livre s’intéressant en partie à l’initiative populaire qui a permis d’inscrire l’égalité entre femmes et hommes dans la Constitution en 1981, les ressources foisonnantes de la Fondation Gosteli concernant le travail institutionnel du mouvement des femmes qui s’est mobilisé en faveur du droit de vote des femmes se sont avérées indispensables. A ma connaissance, la Fondation Gosteli est la seule à posséder une collection aussi importante de documents et d’archives relatifs à ce mouvement. L’environnement exceptionnel dans lequel ces archives sont conservées, c’est-à-dire dans un lieu dédié à l’histoire du mouvement des femmes avec des collaboratrices qui sont au bénéfice d’une grande connaissance et d’une expertise concernant ce mouvement en fait un lieu particulièrement utile pour les chercheur-e-s. Dr Sarah Kiani, Collaboratrice scientifique, Université de Neuchâtel Das Gosteli-Archiv war für meine Recherchen zum Buch «Die illegale Pfarrerin. Greti Caprez-Roffler 1906-1994» unverzichtbar. Das Archiv des Theologinnenverbands und verschiedene Nachlässe von Protagonistinnen boten mir einen reichen und wichtigen Fundus, um die Lebensgeschichte meiner Grossmutter im Kontext der damaligen Kämpfe situieren zu können. Die Mitarbeiterinnen des Gosteli-Archivs unterstützten mich zu jedem Zeitpunkt: Sie dachten mit und besorgten mir Quellen, von deren Existenz ich noch nichts wusste, und schickten mir auf Wunsch auch digitale Kopien von Archivalien, wenn ich keine Zeit für eine Reise nach Worblaufen hatte. Bei meinen ersten Besuchen begegnete ich auch Marthe Gosteli: Die Verbindung des Archivs mit ihrer Person und ihrem Leben macht die Recherche vor Ort besonders eindrücklich. Christina Caprez, Journalistin, Autorin und Soziologin L’histoire des femmes et du genre en Suisse a déjà produit d’intéressantes recherches, mais il reste encore beaucoup à faire. Et ceci non seulement pour mieux documenter l’histoire des femmes, mais surtout pour questionner et réviser la « grande » histoire de la Suisse du point de vue du genre. A l’heure où ces thématiques et ces approches intéressent de plus en plus nos étudiant-e-s, la sauvegarde de ces archives est incontournable. Par ailleurs, ce lieu joue le rôle d’espace de rencontre entre historien-ne-s de toutes les régions linguistiques, ce qui permet des échanges, des comparaisons, et ainsi une véritable avancée scientifique au niveau national. Dr Anne-Françoise Praz, professeure d’histoire contemporaine, Université de Fribourg
    1.384 von 2.000 Unterschriften
    Gestartet von Sonja Matter
  • Das Gosteli-Archiv zur Geschichte der schweizerischen Frauenbewegung muss weiterbestehen!
    Stimmen der Forscherinnen / Paroles de chercheuses Die Frauen erhielten das Stimmrecht in der Schweiz erst 1971. Seit dem 19. Jahrhundert aber brachten sie sich über ihre Organisationen und Vereine in das politische Geschehen der Schweiz ein. Der Organisierungsgrad der Frauen war immens. Diese Unterlagen fehlen in den staatlichen Archiven. Daher braucht es das Gosteli-Archiv unbedingt. Damit die Geschichte der Schweiz in ihrer ganzen Breite erforscht und verstanden werden kann. Dr. Céline Angehrn und Dr. Simona Isler verfassten ihre Dissertationen an der Universität Basel zur weiblichen Erwerbstätigkeit und Berufsberatung in der Schweiz im 20. Jahrhundert. Il est extrêmement important que les archives Gosteli restent accessibles aux chercheuses et chercheurs qui s’intéressent à l’histoire des femmes et du genre en Suisse. Dans le cadre d’un projet FNS sur l’histoire « des années 1968 » en Suisse, les archives Gosteli ont été essentielles pour notre équipe de recherche. Elles ont permis d’étudier le mouvement féministe des années 1968-1975 qui a joué un rôle central dans les mobilisations sociales et politiques de cette période. Dr Janick Marina Schaufelbuehl, Professeure associée en histoire à l’Université de Lausanne Seit Beginn meiner Dissertation habe ich unzählige Dossiers aus dem Gosteli-Archiv konsultiert. Im Rahmen meiner Forschungsarbeit interessiere ich mich dafür, wie in der Schweiz Frauenorganisationen in der zweiten Hälfte des 20. Jahrhunderts damit umgingen, dass Mütter die alleinige Verantwortung für ihre Kinder trugen und damit dem vermeintlichen Ideal der bürgerlichen Kleinfamilie zuwiderliefen. Besonders schätze ich, dass die Bestände des Gosteli-Archivs die vielfältigen Zeugnisse der Tätigkeiten von schweizerischen Frauen(organisationen) gebündelt und übersichtlich zugänglich machen – heute und in Zukunft eine unverzichtbare Ressource für historische Arbeiten aller Art. Lisia Bürgi, Doktorandin, Historisches Institut, Universität Bern Mon livre « De la révolution féministe à la Constitution : mouvement des femmes et égalité des sexes en Suisse (1975-1995) » doit énormément aux fonds d’archives de la Fondation Gosteli ainsi qu’à l’aide précieuse des archivistes qui y travaillent. Mon livre s’intéressant en partie à l’initiative populaire qui a permis d’inscrire l’égalité entre femmes et hommes dans la Constitution en 1981, les ressources foisonnantes de la Fondation Gosteli concernant le travail institutionnel du mouvement des femmes qui s’est mobilisé en faveur du droit de vote des femmes se sont avérées indispensables. A ma connaissance, la Fondation Gosteli est la seule à posséder une collection aussi importante de documents et d’archives relatifs à ce mouvement. L’environnement exceptionnel dans lequel ces archives sont conservées, c’est-à-dire dans un lieu dédié à l’histoire du mouvement des femmes avec des collaboratrices qui sont au bénéfice d’une grande connaissance et d’une expertise concernant ce mouvement en fait un lieu particulièrement utile pour les chercheur-e-s. Dr Sarah Kiani, Collaboratrice scientifique, Université de Neuchâtel Das Gosteli-Archiv war für meine Recherchen zum Buch «Die illegale Pfarrerin. Greti Caprez-Roffler 1906-1994» unverzichtbar. Das Archiv des Theologinnenverbands und verschiedene Nachlässe von Protagonistinnen boten mir einen reichen und wichtigen Fundus, um die Lebensgeschichte meiner Grossmutter im Kontext der damaligen Kämpfe situieren zu können. Die Mitarbeiterinnen des Gosteli-Archivs unterstützten mich zu jedem Zeitpunkt: Sie dachten mit und besorgten mir Quellen, von deren Existenz ich noch nichts wusste, und schickten mir auf Wunsch auch digitale Kopien von Archivalien, wenn ich keine Zeit für eine Reise nach Worblaufen hatte. Bei meinen ersten Besuchen begegnete ich auch Marthe Gosteli: Die Verbindung des Archivs mit ihrer Person und ihrem Leben macht die Recherche vor Ort besonders eindrücklich. Christina Caprez, Journalistin, Autorin und Soziologin L’histoire des femmes et du genre en Suisse a déjà produit d’intéressantes recherches, mais il reste encore beaucoup à faire. Et ceci non seulement pour mieux documenter l’histoire des femmes, mais surtout pour questionner et réviser la « grande » histoire de la Suisse du point de vue du genre. A l’heure où ces thématiques et ces approches intéressent de plus en plus nos étudiant-e-s, la sauvegarde de ces archives est incontournable. Par ailleurs, ce lieu joue le rôle d’espace de rencontre entre historien-ne-s de toutes les régions linguistiques, ce qui permet des échanges, des comparaisons, et ainsi une véritable avancée scientifique au niveau national. Dr Anne-Françoise Praz, professeure d’histoire contemporaine, Université de Fribourg
    10.320 von 15.000 Unterschriften
    Gestartet von Sonja Matter
  • Grenzübertritt: Aufhebung des Besuchsverbots von leiblichen und angenommenen Kindern
    Es ist unverhältnismässig, zu seinen Kindern einen Abstand von 2 m einzuhalten. Dies gilt mit und ohne Landesgrenze. Für die psychische Gesundheit von Eltern und Kind ist es wichtig, diesen Kontakt nicht zu unterbinden. Bereits erschienene Berichte: https://www.suedkurier.de/region/hochrhein/kreis-waldshut/eltern-sollen-straffrei-ihre-kinder-besuchen-duerfen-diese-familie-startet-eine-petition-fuer-die-aenderung-der-covid-19-verordnung-in-der-schweiz;art372586,10493837 https://www.blick.ch/news/schweiz/deutscher-38-aus-zurzach-ag-kassiert-am-grenzuebergang-100-franken-busse-ich-wurde-bestraft-weil-ich-meine-tochter-besuchte-id15843028.html https://www.telem1.ch/aktuell/fuer-besuche-seines-sohnes-nimmt-vater-bussen-in-kauf-137645222
    1.595 von 2.000 Unterschriften
    Gestartet von Sabrina Riedl
  • 65+: Wir schützen uns selber!
    Proaktiv dazu beitragen, dass Tausende wieder arbeiten können. Und die Schweiz sich wieder dem Normalzustand annähern kann.
    103 von 200 Unterschriften
    Gestartet von Barbara Jakob
  • Tempo 30 auf Bergstrasse in 8706 Meilen
    Auf der Bergstrasse gilt auf oben erwähntem Streckenabschnitt eine Tempolimite von 50. Nicht nur ist dies ein Wohnquartier, auch hat es einen Kindergarten sowie eine Schule. Die Geschwindigkeit ist für diese Strecke zu hoch und soll auf 30 km/h reduziert werden. Die Lärmschutzverordnung vom 15. Dezember 1986 sieht vor, dass Bewohner der Schweiz vor schädlichem und belästigendem Lärm zu schützen sind. Je höher die Geschwindigkeit desto lauter ist ein Fahrzeug. Ab einer Fahrgeschwindigkeit von 20 km/h ist das Rollgeräusch bereits stärker als das Motorengeräusch und somit der entscheidende Faktor für die verursachten Lärmemissionen eines Fahrzeuges. Basierend auf dieser Erkenntnis bietet sich die Geschwindigkeitsbeschränkung innerorts auf 30 km/h als geeigneter Beitrag zur Lärmreduktion an. Die Verkehrssicherheit ist deutlich erhöht in einer Begrenzung der Geschwindigkeit auf 30-er km/h. Bei Tempo 30 verringert sich der Bremsweg auf 9 Meter im Gegensatz zu 25 Meter bei Tempo 50. Die Hanglage dieses Streckenabschnitts verleitet zudem offenbar zu schnellerem Fahren. Es lässt sich immer wieder beobachten, dass sich Auto- und LKW-Fahrer nicht an die Geschwindigkeitsbegrenzung von 50 km/h halten und schneller fahren, was Fussgänger, Kinder und Haustiere gefährdet. Es besteht daher dringender Handlungsbedarf. Verkehrsorientierte Strassen, die Hauptachsen für den motorisierten Verkehr darstellen, sind gemäss Bundesgerichtsentscheid vom März 2018 von Tempo 30 nicht ausgeschlossen, wenn die Verkehrssicherheit erhöht werden kann. In der ganzen Schweiz würden immer mehr solcher Geschwindigkeitsreduktionen eingeführt, als wirksames Mittel gegen die Lärmbelastung, für höhere Verkehrssicherheit und mehr Lebensqualität, auch auf Kantonsstrassen. Ein Beispiel ist der Kanton Wallis, welcher Anfang des Jahres 2020 eine Geschwindigkeitsbegrenzung auf 30 km/h auf einer Kantonsstrasse bewilligt. Da es sich um eine «Begrenzung auf 30 km/h» und nicht um eine «Tempo-30-Zone» handelt, hat die veränderte Geschwindigkeit für die Strassenbenützer keine weiteren Folgen. Im Unterschied zu den generell gültigen Regeln in der Tempo-30-Zone bleibt der Verkehr auf der Kantonsstrasse vortrittsberechtigt und die Fussgänger müssen die Fahrbahn auf den Fussgängerstreifen überqueren. Dies wäre eine gute Alternative zu einer Tempo-30-Zone und sollte auch für den besagten Abschnitt auf der Bergstrasse geprüft werden. Beispielfoto: Unfall auf der Bergstrasse, Meilen - 2013
    124 von 200 Unterschriften
    Gestartet von Ewa Merino
  • AUFRUF: KEHRT VERWANDELT IN DEN ALLTAG ZURÜCK. BITTE. ALLE.
    Träume ich weiter oder setze ich mit meinem persönlichen Verzicht ein Zeichen? Bitte beteilige dich und unterschreibe diesen AUFRUF. Und wenn du zögerst oder zweifelst. Es geht nicht darum genau zu sein oder exakt zu messen. Es geht darum, dir selber ein Versprechen abzugeben, um mit erhobenem Haupt in den Spiegel zu schauen. Gemeinsam können wir eine Bewegung auslösen für mehr Bescheidenheit und Solidarität. Denn Veränderung ist nicht nur eine Frage des Geldes. Wandel liegt in unseren Händen und beginnt bei mir selber. Es ist eine Frage der Haltung. NUTZEN WIR DIE CHANCE IN DIESER KRISE UND MACHEN WIR UNS HERZHAFT AUF DEN WEG. Freundlich Stefan Hunziker
    120 von 200 Unterschriften
    Gestartet von stefan hunziker Picture
  • Spiel- und Sportwiese Bungertwies erhalten!
    Die Stadt Zürich will auf der Sportwiese Bungertwies einen Schulpavillon aufstellen. Diese Wiese ist die einzige öffentlich zugängliche Sport- und Fussballwiese im Quartier Hottingen. Der Quartierverein Hottingen hat 13. März 2020 den zuständigen SP Stadtrat André Odermatt schriftlich gebeten, das Projekt so zu optimieren, dass möglichst viel von der Wiese erhalten bleibt. Am 25. März 2020 hat die Stadt eine Plan-Variante vorgelegt, welche dem Wunsch des Quartiervereins Hottingen nicht entspricht. Dieser Vorschlag der Stadt kann aber dadurch verbessert werden, dass der Pavillon um 4-6 Meter weiter Richtung Wolfbach geschoben wird. Dafür muss kein Baum oder Busch gefällt werden. Es würde einfach der Rasenplatz hinter dem Pavillon verkleinert, der so, wie es jetzt geplant ist, niemandem nützt. Damit bleibt ein grösserer Teil der Wiese für Sport und Spiel erhalten. Nur so ist weiterhin möglich, dass vier Mannschaften gleichzeitig ihren Sport betreiben können, z.B. 2 Erwachsenen-Teams und 2 Kindermannschaften oder 2 Fussballteams und Leute daneben, die z.B. Frisbee oder sonst etwas spielen wollen. Der Stadtrat wird mit dieser Petition gebeten, der Eingabe des Quartiervereins Hottingen vom 13. März 2020 Folge zu leisten und das Bauprojekt nach hinten zu schieben. Eine Überschreitung der heute über den Sportplatz laufenden Baulinie ist im Rahmen einer Güterabwägung möglich. Der Schutz des Fussweges Wolfbach, den diese Baulinie bezweckt, wird dadurch nicht gefährdet. Von der Aussentreppe des Pavillons bis zum schon heute bestehenden Ballzaun gegen den Wolfbach würden immer noch gut 3.5 Meter Abstand bleiben. Das Interesse am grösstmöglichen Erhalt der einzigen öffentlichen Spiel- und Sportwiese im Quartier überwiegt und erlaubt deshalb eine Baulinienüberschreitung. Alle SportlerInnen und QuartierbewohnerInnen danken.
    11 von 100 Unterschriften
    Gestartet von FC Bungi Picture
  • Autofreie Ostern 2020
    Mit einer autofreien Ostern zeigen wir, dass wir im selben Boot sitzen. Und wir holen auch jene Auto- und Motorradfahrer mit ins Boot, welche die Message noch nicht verstanden haben, sich nicht um Gemeinschaftssinn kümmern und alleine ihren egoistischen Antrieben gehorchen. In der aktuellen Coronakrise stecken wir im Dilemma und haben nur schlechte Optionen. Dies wird sich bei der Bewältigung der Klimakrise noch viel stärker zeigen! Wenn wir weiter so zaghaft dagegen ankämpfen, dann können wir in der Zukunft das Steuer nicht mehr so einfach mit ein paar simplen Hygiene- und Distanzregeln herumreissen... Vielleicht hilft die Ruhe an Ostern ein wenig, sich bewusst zu werden, was auf dem Spiel steht!
    724 von 800 Unterschriften
    Gestartet von Leo Felber Picture
  • Covid-19: Spielgruppen brauchen Hilfe
    Spielgruppen sind Bildungsinstitutionen, welche als Lernorte und Teil eines Netzes zur frühkindlichen Bildung, Betreuung, Erziehung und Ergänzung der Familie zu verstehen sind. Spielgruppen leisten einen wertvollen und bedeutsamen Beitrag für den Bildungsweg der Kinder, denn sie unterstützen Kinder sowohl in ihrer individuellen Entwicklung als auch bei der Entwicklung überfachlicher, emotionaler und sozialer Kompetenzen. Weiter ermöglichen Spielgruppen Kindern unzählige Entdeckungsreisen und unterstützen unter anderem Kinder aus mehrfachbelasteten Familien in Hinblick auf einen gelingenden Start in den Kindergarten. Dies sind nur wenige der Gründe, weshalb Spielgruppen ein unterstützungswürdiges Angebot sind.
    9.557 von 10.000 Unterschriften
    Gestartet von Narcisa Togni
  • Petition zur umgehenden Wiederöffnung der Basler Familiengärten auf französischem Grund
    Gerade im derzeitigen Ausnahmezustand ist die Arbeit im Freizeitgarten eine gesunde und sinnstiftende Tätigkeit, die mit den Weisungen des Bundesrats vereinbar ist. Doch rund 2000 Freizeitgartenpächter*innen haben keinen Zugang mehr zu ihrem Garten, da er sich auf elsässischem Boden befindet. Die über 800 betroffenen Gärten in Basel-West, Reibertweg und Lachenweg machen rund ein Fünftel aller Basler Freizeitgärten aus. Dabei handelt es sich um ein rein bürokratisches Verbot, welches der Basler Politik im Ausnahmezustand widerspricht: Freizeitgärten im Kanton sind ausdrücklich geöffnet. Diese Rechtsungleichheit muss rasch behoben werden. Die Argumentation, der Grenzschluss müsse prinzipiell durchgesetzt werden, ist nicht überzeugend. Denn folgerichtig müsste demnach auch der EuroAirport Basel Mulhouse Freiburg geschlossen werden, da er sich ebenfalls auf französischem Territorium befindet. Zudem gibt es Eingänge zu den Freizeitgärten auf Schweizer Seite, welche benutzt werden können, sollten Grenzen als Problem betrachtet werden. Nicht zuletzt hat der Basler Kantonsarzt bestätigt, dass die Grenzschliessung keinen Nutzen zur Vermeidung der Corona-Ausbreitung leistet. Es sollte deshalb möglich sein, zumindest für den Zugang zu den Freizeitgärten eine Lösung zu finden. Die derzeitige Situation ist äusserst bedauerlich, ungerecht und unhaltbar. Denn einerseits wird dadurch den Gärtner*innen des Stadtkantons eine den Umständen entsprechend empfehlenswerte Tätigkeit verwehrt. Die Freizeitgärten bieten nämlich gerade älteren Menschen und Familien mit Kleinkindern einen wichtigen Rückzugsort. Insbesondere die Kinder, welche unter der Krise besonders leiden, können im Garten einen Ort finden, indem sie spielen und sich bewegen können, ohne die Abstandsregeln des Bundes zu missachten. Viele Menschen leben in engen Wohnverhältnissen ohne Balkon oder Gärten, was auf längere Sicht zu psychischen Problemen führen kann. Der Besuch von Familiengärten kann solche Folgen verhindern. Andererseits ist auch der wirtschaftliche Aspekt zu bedenken. Zahlreiche Gärtnereien sind auf den Verkauf von Pflanzen an die Freizeitgärten angewiesen. Sie bleiben nun auf ihren Pflanzen sitzen und verlieren damit eine wichtige Einnahmequelle. Könnten die Gärten benutzt werden, gäbe es für die Produkte der Gärtnereien zahlreiche Abnehmer*innen. Die staatliche Hilfe könnte damit reduziert werden. Sollte die Bepflanzung jetzt nicht erfolgen, kann sie später nicht mehr nachgeholt werden, was für die Gartenbewirtschaftung Folgen für das ganze Jahr mit sich zieht. Das eigene Gemüse ist für viele ein wichtiger Beitrag zur Selbstversorgung, in das schon viel Geld und Arbeit investiert wurde. Die Gärten werden schliesslich für das ganze Jahr gemietet und nicht monatlich, was auch eine Kostenfrage mit sich bringt. Die vorliegende Petition fordert den Regierungsrat auf, möglichst schnell eine Lösung zu finden, die betroffenen Freizeitgärten zumindest für die von der Schweiz herkommenden Nutzer*innen wieder zu öffnen. Demzufolge wird mit den französischen Nachbarn eine Vereinbarung getroffen, die Eingänge auf der Basler Seite für die Freizeitspächter*innen zu öffnen.
    1.588 von 2.000 Unterschriften
    Gestartet von BastA! Basels starke Alternative Picture