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Il faut sauver la rue des Creusets (Sion VS)Dans les faits on assiste depuis quelques années à une stratégie de la terre brûlée orchestrée par quelques familles héritières particulièrement cupides : les petites maisons sont abandonnées, les jardins ne sont plus entretenus, des arbres protégés sont abattus, toute végétation est anéantie, des squatters/dealers investissent les lieux, des départs d’incendie s’ensuivent, etc... Après cette déstructuration complète du quartier devraient être érigés, en lieu et place de petites maisons entourées de jardins, des immeubles de cinq étages avec parkings souterrains. Par cette pétition nous demandons au futur conseil communal de la Ville de Sion, qui sera élu le week-end du 12-13 octobre 2024, qu’il prenne enfin en considération le classement ISOS de la rue des Creusets dans sa planification et qu’il ne sacrifie pas sur l’autel du profit de quelques-uns, les derniers espaces verts salutaires en terre profonde du centre-ville.304 of 400 SignaturesCreated by Christophe Imsand
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Sauvons le dernier espace vert encore intact à Beaumont, Vignettaz, Monséjour !En 2023, le quartier Beaumont-Vignettaz-Monséjour, s’est vu augmenté d’un tiers (une partie du quartier de Pérolles) et la construction de nombreux nouveaux logements y est prévue. Plusieurs milliers d’habitant-e-s viendront s’établir ici (Fribourg 2030 : 50'000 habitant-e-s). Un agrandissement de l’école de la Vignettaz sera nécessaire: Le bâtiment existant (Rte de la Vignettaz 59, ancien logement des séminaristes) pourrait être réaménagé en complexe scolaire et AES complémentaires, ainsi qu’en maison de quartier. Ce grand quartier ne disposant actuellement d’aucun centre de loisirs, ni d’animation socioculturelle pour les jeunes, d’aucun centre de jour pour les aîné-e-s, d’aucune maison de quartier. Le parc urbain pourrait devenir exemplaire pour répondre aux besoins des habitant-e-s : zone verte d’intérêt général (ZVIG), forêt urbaine, architecture participative, préservation de la biodiversité... La pétition demande: • Que le terrain adjacent à la forêt communale de Monséjour soit racheté notamment par la Ville et réaménagé en parc urbain. En liens avec la forêt communale, il développera des fonctions d’utilité publique et offrira des infrastructures couvrant des besoins de la population dans toute sa diversité : WC publics, jeux de mouvements (enfants), street workout, coins détente-lecture, accès à l’eau, jeux collectifs, école à la forêt, remise à ciel ouvert de ruisseau, jardins partagés, etc. • Que ce terrain soit enfin protégé, conformément à la plus haute protection que lui a donné la Confédération en 2004 (ISOS : inventaire fédéral des sites construits d’importance nationale à protéger en Suisse). • Que la Ville consolide ses efforts pour plus de durabilité, une meilleure protection de la santé publique et le renforcement de la cohésion sociale dans ce grand quartier, notamment par la protection de la biodiversité existante, par la lutte contre les îlots de chaleur, par la préservation des arbres et forêt, par la mise à disposition d’infrastructures de loisirs et rencontre, ainsi que d’espaces verts pour les habitant-e-s. Ainsi, préservons le dernier espace vert du quartier pour... • créer un parc urbain et une maison de quartier • pouvoir agrandir l’école - les accueils extrascolaires • valoriser la forêt urbaine • protéger la biodiversité3 of 100 SignaturesCreated by Michel Rüeger
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SOS Massacre des loups : Non à la politique d'abattage sans pitié !De début septembre à fin janvier, les loups seront à nouveau abattus sans pitié en Suisse - ce n'est pas seulement cruel, c'est aussi inutile. Malgré l'augmentation de la population de loups, le nombre d'animaux de rente tués a diminué ces dernières années - ce qui prouve clairement qu'il existe de meilleures solutions. La protection des troupeaux a fait ses preuves, car la plupart des animaux de rente attaqués n'étaient pas protégés (3). Les tirs actuels sont par ailleurs contraires à la Convention de Berne, qui reconnaît le loup comme une espèce strictement protégée et que la Suisse a signée. Malgré cela, l'OFEV, sous la pression du conseiller fédéral Rösti, donne à nouveau son feu vert à l'abattage de meutes entières. Or, cette mise à mort sans discernement entraîne encore plus de problèmes : Si les meutes sont déstabilisées, les jeunes loups inexpérimentés pourraient même s'attaquer davantage aux animaux d'élevage. De plus, le rôle important du loup dans la stabilité des écosystèmes est largement connu et reconnu. Mais l'horloge tourne pour les loups : les abattages cruels ont recommencé depuis le 1.9.24. C'est pourquoi nous vous demandons instamment, ainsi qu'à l'OFEV, de mettre immédiatement fin à cette politique de tirs extrêmes et de garantir la protection du loup en Suisse ! Ne donnez plus votre accord lorsque les cantons déposent des demandes d'autorisation de tir. Sources: 1. Lettre de l'UICN (Groupe de spécialistes des canidés) au gouvernement suisse Rapport de la Convention de Berne (pages 20 et 21) 2. https://www.20min.ch/fr/story/valais-et-grisons-le-nombre-de-victimes-du-loup-baisse-a-nouveau-en-2024-103176439 Étude dans le journal « Frontiers in Ecology and the Environment » 3. Suisse en général: https://www.protectiondestroupeaux.ch/fileadmin/doc/Berichte/Jahresberichte/Agridea/Jahresbericht_HS_2022_def_DE_fca..pdf Canton des Grisons: https://chwolf.org/assets/documents/News-Events-Aktuell/2024/AJF-GR_Jahresbericht_2023_DE_15-04-2024.pdf4,860 of 5,000 SignaturesCreated by Campax - make change happen
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SOS massacro dei lupi: No alla politica di abbattimento senza pietà!Dall'inizio di settembre alla fine di gennaio, i lupi verranno ancora una volta abbattuti senza pietà in Svizzera - questo non è solo crudele, ma anche inutile. Nonostante la crescente popolazione di lupi, il numero di uccisioni di bestiame è diminuito negli ultimi anni - una prova evidente che esistono soluzioni migliori. La protezione delle greggi ha dimostrato la sua validità, date che la maggior parte del bestiame ucciso non era protetto (3). Le attuali uccisioni violano anche la Convenzione di Berna, che riconosce il lupo come specie strettamente protetta e di cui la Svizzera è firmataria. Tuttavia, sotto la pressione del Consigliere federale Rösti, l'UFAM ha nuovamente dato il via libera all'uccisione di interi branchi. Tuttavia, questa uccisione indiscriminata porta a problemi ancora maggiori: Se i branchi vengono destabilizzati, i lupi giovani e inesperti potrebbero attaccare il bestiame con maggiore frequenza. Inoltre, il ruolo importante dei lupi per la stabilità degli ecosistemi è generalmente conosciuto e riconosciuto. Ma il tempo stringe per i lupi: i crudeli abbattimenti sono ricominciati dal 1° settembre 2024. Esortiamo pertanto Lei e l'UFAM a porre immediatamente fine alla politica di abbattimento estremo e a garantire la protezione dei lupi in Svizzera! Non dia più il Suo consenso quando i Cantoni presentano le licenze di tiro. Fonti: 1. Lettera della IUCN (Gruppo di specialisti dei canidi) al Governo svizzero Rapporto della Convenzione di Berna (pagine 20 e 21) 2. https://www.rsi.ch/info/ticino-grigioni-e-insubria/La-protezione-delle-greggi-con-i-cani-funziona--1795904.html Studio pubblicato nella rivista "Frontiers in Ecology and the Environment" 3. La Svizzera in generale: https://www.protectiondestroupeaux.ch/fileadmin/doc/Berichte/Jahresberichte/Agridea/Jahresbericht_HS_2022_def_DE_fca..pdf Cantone dei Grigioni: https://chwolf.org/assets/documents/News-Events-Aktuell/2024/AJF-GR_Jahresbericht_2023_DE_15-04-2024.pdf647 of 800 SignaturesCreated by Campax - make change happen
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SOS Wolfsmassaker: Nein zur gnadenlosen Abschusspolitik!Von Anfang September bis Ende Januar werden die Wölfe in der Schweiz erneut erbarmungslos abgeschossen – das ist nicht nur grausam, sondern auch unnötig. Trotz wachsender Wolfspopulation ist die Zahl der Nutztierrisse in den letzten Jahren gesunken – ein klarer Beweis dafür, dass es bessere Lösungen gibt. Der Herdenschutz hat sich bewährt, denn die meisten gerissenen Nutztiere waren ungeschützt (3). Die aktuellen Abschüsse verstossen zudem gegen die Berner Konvention, die den Wolf als streng geschützte Art anerkennt und die von der Schweiz unterzeichnet wurde. Trotzdem gibt das BAFU unter dem Druck von Bundesrat Rösti erneut grünes Licht für die Tötung ganzer Rudel. Dieses wahllose Töten führt aber zu noch mehr Problemen: Wenn Rudel destabilisiert werden, könnten junge, unerfahrene Wölfe sogar vermehrt Nutztiere angreifen. Zudem ist die wichtige Rolle des Wolfes für die Stabilität von Ökosystemen allgemein bekannt und anerkannt. Doch die Uhr tickt für die Wölfe: Die grausamen Abschüsse haben seit dem 1.9.24 wieder begonnen. Deswegen fordern wir Sie und das BAFU eindringlich auf, die extreme Abschusspolitik sofort zu beenden und den Schutz des Wolfes in der Schweiz zu gewährleisten! Geben Sie keine Zustimmung mehr, wenn die Kantone Abschussbewilligungen einreichen. Quellen: 1. Brief der IUCN (Canid Specialist Group) an die Schweizer Regierung Bericht der Bern Convention (Seiten 20 and 21) 2. https://www.srf.ch/news/schweiz/erfolgreicher-herdenschutz-woelfe-reissen-deutlich-weniger-nutztiere-als-im-vorjahr Studie im Fachjournal «Frontiers in Ecology and the Environment» 3. Schweiz allgemein: https://www.protectiondestroupeaux.ch/fileadmin/doc/Berichte/Jahresberichte/Agridea/Jahresbericht_HS_2022_def_DE_fca..pdf Kanton Graubünden: https://chwolf.org/assets/documents/News-Events-Aktuell/2024/AJF-GR_Jahresbericht_2023_DE_15-04-2024.pdf7,948 of 8,000 SignaturesCreated by Campax - make change happen
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Abfallberg statt Wädi-Berg?«Wir kämpfen für Wädenswil und unsere Heimat! Wir sagen NEIN zu Abfall statt Lebensmitteln, zu Abgasen statt Landluft, zu Abfallblick statt Seeblick für Erholungssuchende, zu Lastwagen statt Velos, zu Baggern statt Kühen, zu Lärm statt Ruhe!» Klar gegen den Deponie-Standort im Wädenswiler Waggital spricht: • Verlust von Naherholungsgebiet – eines der schönsten in Wädenswil: unberührte Natur und eine vielfältige Tier- und Pflanzenwelt wären für Jahrzehnte verloren • Verlust einer Fläche von 14 Fussballfeldern für die Lebensmittelproduktion (Fruchtfolgefläche) • Belastende Emissionen für hunderte dort beheimateter Menschen beim Errichten und Betreiben der Deponie • Mehr (Schwerlast-)Verkehr für das Schul- und Kindergartengebiet (rund 50 Kinder) • Luftverschmutzung, Lärm, Kontamination von Böden • Existenzsorgen der betroffenen bäuerlichen Familien nach Flächenverlust • Eingreifen in ein Grundwasser-Quellgebiet • Wädenswil trägt bereits genug Lasten mit ehemaligen, bestehenden und geplanten Deponien sowie der KVA Horgen DANKE, dass Sie unsere Petition mit Ihrer Unterschrift unterstützen! Die IG «Waggital»1,897 of 2,000 SignaturesCreated by IG Waggital
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Feuerwerksverbot zwischen den HäusernWeil alle die selber Tiere haben mich sicher verstehen. Die Tiere leiden jedes Jahr unendlich.4 of 100 SignaturesCreated by maria Giger
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Coexister et non tuer !Plus il y aura de signataires, plus nos arguments auront de poids, et l'Office fédéral de l'environnement (OFEV) ne pourra pas ignorer nos préoccupations. Vous trouverez ci-dessous notre réponse à la consultation, réponse dans laquelle nous expliquons pourquoi il est si important de réviser l'ordonnance sur la chasse. Signez maintenant afin de préserver notre biodiversité et de promouvoir une coexistence pacifique au lieu de la politique d'abattage prévue ! Le texte suivant est soumis en réponse à la consultation : Mesdames et Messieurs de l'Office fédéral de l'environnement (OFEV), Au nom de X signataires, nous vous transmettons ci-joint notre prise de position sur l'ordonnance révisée sur la chasse. Nous sommes profondément préoccupés et indignés par la proposition de révision de l'ordonnance sur la chasse qui, une fois de plus, veut autoriser la mise à mort des loups, une pratique inefficace et contraire à l'éthique et à la science, et qui autorise par ailleurs la mise à mort d'autres espèces animales protégées (!). Tous ces animaux contribuent de manière importante à la santé des écosystèmes dont nous dépendons tous. Au lieu de se concentrer sur le développement et la mise en œuvre cohérente de mesures de protection des troupeaux et sur la promotion de la coexistence avec la faune sauvage locale, l'ordonnance révisée met l'accent sur une politique d'abattage. Ainsi, même les animaux n'ayant causé aucun problème ni dommage peuvent être abattus à titre préventif. Non seulement cela est scandaleux, mais cela va également à l'encontre de l'engagement de la Suisse en faveur de la protection et de la préservation de notre biodiversité. Nous souhaitons préserver la biodiversité et maintenir une coexistence pacifique avec notre faune sauvage ; l'ordonnance doit privilégier et encourager les mesures non létales telles que le recours à des chiens de protection. Ces méthodes, ainsi que d'autres méthodes non létales, sont non seulement éprouvées et efficaces, mais elles témoignent également d'un désir de coexistence pacifique plutôt que de mise à mort. Régulation des loups et protection des troupeaux Le loup est une espèce strictement protégée dans le cadre de la Convention de Berne, que la Suisse a également signée (1). L'abattage approuvé par l'OFEV est en totale contradiction avec la protection des espèces et la préservation de la biodiversité. Les analyses ADN des 27 loups tués dans le canton du Valais montrent qu'aucun d'entre eux n'avait tué de bétail (2), ce qui démontre que ces abattages sont excessifs, contraires à l'éthique et inefficaces. L'action de la Suisse contre les loups a été condamnée par l'UICN/SSC Canid Specialist Group, un groupe d'échelle mondiale composé d'experts en canidés sauvages (3), et ouvertement critiquée par le Bureau de la Convention de Berne. Cette procédure a été décrite comme « extrêmement préoccupante » et « arbitraire » (4). Nous appelons le gouvernement suisse à écouter la science ! Des études montrent également que l'abattage préventif des loups n'est pas efficace pour empêcher les attaques visant le bétail (5). L'abattage aléatoire des loups perturbe le bon fonctionnement des meutes de loups à l'état sauvage et augmente le risque que des loups solitaires et inexpérimentés capturent des proies faciles, ce qui augmenterait les pertes au niveau du bétail, au lieu de les réduire. Il faudrait plutôt soutenir et encourager les bergers et les bergères à mieux protéger leurs troupeaux et à prendre d'autres mesures de prévention non létales. Les chiffres disponibles (KORA) indiquent que seuls 0,05 à 0,09 % des moutons et vaches suisses sont tués par des loups chaque année (6). La protection des troupeaux en Suisse s'est déjà avérée efficace ces dernières années, puisque le nombre d'animaux tués a diminué malgré l'augmentation de la population de loups (7). Ceci est corroboré par le fait que plus de 90 % du bétail tué en Suisse en 2022 n'avait pas été protégé ou surveillé (8). C'était également le cas dans le canton des Grisons, où 20 loups ont été tués rien que l'hiver dernier (9). Faire porter aux cantons la responsabilité de la promotion, de l'organisation et du financement des mesures de protection des troupeaux, comme le prévoit l'ordonnance révisée, n'est pas la bonne solution. Cela a pour effet de compliquer et de ralentir les mesures de promotion et de renforcement de la protection des troupeaux. Nous demandons donc que la protection des troupeaux fasse à nouveau l'objet d'une réglementation fédérale et que les succès obtenus jusqu'à présent continuent d'être encouragés. Régulation d'autres espèces animales protégées Nous sommes également très préoccupés par l'inclusion d'autres espèces animales protégées à la liste des espèces à abattre, telles que le bouquetin, le castor, mais aussi le lynx, la loutre et l'aigle royal. Cela est particulièrement incompréhensible et inquiétant compte tenu de la crise de la biodiversité qui sévit en Suisse (10). L'utilité écologique de la faune sauvage n'est pas inscrite dans l'ordonnance. Au contraire, la protection de la faune sauvage suisse se retrouve une fois de plus édulcorée, ce qui se répercute inévitablement sur la biodiversité. Nous souhaitons que toutes les espèces animales fassent l'objet d'une réévaluation dans le cadre de l'ordonnance sur la chasse et demandons que l'on mette plutôt l'accent sur les avantages qu'elles apportent aux écosystèmes et à la biodiversité. Au nom de X signataires inquiets, nous vous remercions de tenir compte de nos préoccupations et d'examiner notre proposition. Nous restons à votre disposition pour toute question. Cordialement, X signataires Jen Buchli, Campax Sources5,545 of 6,000 SignaturesCreated by Campax - make change happen
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Coesistenza invece di abbattimento!Più persone firmano, maggiore sarà il peso delle nostre argomentazioni e l’Ufficio federale dell’ambiente (UFAM) non potrà ignorare le nostre preoccupazioni. Di seguito troverai la nostra risposta alla consultazione, che spiega perché è così importante rivedere l’Ordinanza sulla caccia. Firma ora per la conservazione della nostra biodiversità e per la coesistenza pacifica invece della politica di abbattimento pianificato! Il seguente testo verrà presentato come risposta alla consultazione: Signore e Signori dell’Ufficio federale dell’ambiente (UFAM) A nome di X firmatarie e firmatari, alleghiamo i nostri commenti sulla revisione dell’Ordinanza sulla caccia. Siamo profondamente preoccupate/i e indignate/i dalla proposta di revisione dell’Ordinanza sulla caccia, che ancora una volta cerca di autorizzare l’abbattimento non etico, non scientifico e inefficace dei lupi e permette anche l’uccisione di altre specie animali protette (!). Tutti questi animali svolgono un ruolo importante per la salute degli ecosistemi da cui tutte/i noi dipendiamo. Invece di concentrarsi sull’espansione e sull’attuazione coerente della protezione delle greggi e sulla promozione della coesistenza con i nostri animali selvatici autoctoni, l’ordinanza rivista dà la priorità a una politica di tiro. Ciò significa che anche gli animali che non hanno causato problemi o danni possono essere abbattuti in via preventiva. Questo non solo è scandaloso, ma contraddice anche l’obbligo della Svizzera di proteggere e conservare la nostra biodiversità. Chiediamo la conservazione della biodiversità e la coesistenza pacifica; l’ordinanza deve favorire e promuovere misure non letali, come l’uso di cani da guardia delle greggi. Questi e altri metodi non letali non solo sono sperimentati ed efficaci, ma dimostrano anche il desiderio di una coesistenza pacifica invece di abbattere. Regolamentazione del lupo e protezione delle greggi Il lupo è una specie strettamente protetta dalla Convenzione di Berna, di cui la Svizzera è firmataria (1). Gli abbattimenti autorizzati dall’UFAM contraddicono fondamentalmente la protezione delle specie e la conservazione della biodiversità. Le analisi del DNA dei 27 lupi uccisi nel Canton Vallese dimostrano che nessuno di loro ha ucciso del bestiame (2), il che rende le uccisioni estreme, non etiche e inefficaci. Le azioni della Svizzera contro i lupi sono state condannate dal Gruppo Specialistico Canidi dell’IUCN/SSC, gli esperti mondiali di canidi selvatici (3), e apertamente criticate dall’Ufficio della Convenzione di Berna. La procedura è stata descritta come “estremamente preoccupante” e “arbitraria” (4). Chiediamo al governo svizzero di ascoltare la scienza! Gli studi dimostrano anche che l’abbattimento preventivo dei lupi non è efficace nel prevenire le uccisioni di bestiame (5). L’abbattimento indiscriminato dei lupi disturba il funzionamento naturale dei branchi di lupi e aumenta il rischio che lupi solitari e inesperti diventino prede più facili, portando a un maggior numero di uccisioni di bestiame, non a un minor numero. Invece, i pastori dovrebbero essere sostenuti e incoraggiati a proteggere meglio le loro greggi e ad adottare altre misure di prevenzione non letali. I dati disponibili (KORA) mostrano che il numero di capi di bestiame uccisi dai lupi rappresenta solo lo 0,05-0,09% di tutte le pecore e le mucche svizzere all’anno (6). La protezione delle greggi in Svizzera si è già dimostrata vincente negli ultimi anni, in quanto il numero di capi di bestiame uccisi è diminuito nonostante la popolazione di lupi sia cresciuta (7). Ciò è confermato dal fatto che oltre il 90% degli animali da allevamento uccisi in Svizzera nel 2022 non erano protetti o custoditi (8). Questo è stato anche il caso del Cantone dei Grigioni, dove solo lo scorso inverno sono stati abbattuti 20 lupi (9). Spostare la responsabilità della promozione, dell’organizzazione e del finanziamento delle misure di protezione del bestiame ai Cantoni, come previsto dall’ordinanza rivista, è un approccio sbagliato. Questo complica e rallenta la promozione e l’espansione della protezione del bestiame. Chiediamo quindi che la protezione delle greggi sia nuovamente regolamentata a livello federale e che i successi ottenuti finora siano ulteriormente promossi. Regolamentazione di altre specie animali protette Siamo anche molto preoccupate/i per l’inclusione di altre specie protette come lo stambecco, il castoro, la lince, la lontra e l’aquila reale nella lista degli abbattimenti. Questo è incomprensibile e preoccupante, soprattutto alla luce della crisi della biodiversità in Svizzera (10). Invece di sancire i benefici ecologici degli animali selvatici nell’ordinanza, la protezione degli animali selvatici in Svizzera viene ancora una volta annacquata, il che avrà inevitabilmente un impatto sulla biodiversità. Chiediamo una rivalutazione di tutte le specie animali nei regolamenti sulla caccia e chiediamo che vengano invece enfatizzati i benefici che apportano agli ecosistemi e alla biodiversità. A nome di X firmatarie e firmatari preoccupate/i, vi ringraziamo per prendere in considerazione le nostre preoccupazioni e per esaminare la nostra proposta. Se avete qualche domanda, non esitate a contattarci. Cordiali saluti X firmatarie e firmatari Jen Buchli, Campax Fonti1,091 of 2,000 SignaturesCreated by Campax - make change happen
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Petition gegen die Leinenpflicht vom 1. April bis 31. Juli im Wald und am Waldrand im Kanton ZürichEinmal mehr werden wegen ein paar fehlbaren Hundehaltern alle bestraft. Während vier Monaten werden die Hunde in ihrem Recht auf freien Auslauf ohne Leine massiv eingeschränkt (Art. 71 Eidg. Tierschutzverordnung). Der grösste Teil der Hundehalter sind verantwortungsvoll und können auch ohne Leinenpflicht sicherstellen, dass ihre Hunde keinen Schaden anrichten. Dieses Verbot muss umgehend aufgehoben werden.6,935 of 7,000 SignaturesCreated by Susanne Matti
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Coexistence not killing!The more people sign, the more weight our arguments will carry and the FOEN (Federal Office for the Environment) will not be able to ignore our concerns. Below you will find our consultation response which explains why it is so important that the Hunting Ordinance be revised to promote coexistence not killing. Sign now for the preservation of our biodiversity and for peaceful coexistence instead of the planned shooting policy! The following text will be submitted as a consultation response: Dear Federal Office for the Environment (FOEN) On behalf of X signatories, please find enclosed our comments on the revised Hunting Ordinance. We are deeply concerned and outraged by the proposed revisions to the Hunting Ordinance, which once again seeks to authorise the unethical, unscientific and ineffective culling of wolves as well as allowing the killing of other protected (!) animal species which play vital roles in maintaining the health of the ecosystems we all depend on. Instead of focusing on the expansion and consistent implementation of herd protection and the promotion of coexistence with our native wildlife, the revised Ordinance prioritises a shooting policy and even authorises the preventative elimination of animals which have not caused any problem or damage. In addition to being outrageous, this goes against Switzerland’s commitment to protect and preserve our biodiversity. We call instead for the preservation of biodiversity and for peaceful coexistence; the ordinance must prioritise and promote non-lethal measures such as the use of livestock guardian dogs. These and other non-lethal preventative methods aren’t just well tested and effective, they demonstrate a genuine desire to coexist with wildlife rather than the simplistic reaction of resorting to extreme lethal measures. We owe this to the wildlife we share our planet with, to honour Switzerland's international commitment to protect biodiversity and the health of the ecosystems these species play a key role in and we all ultimately depend on. Wolf regulation & herd protection The wolf is a strictly protected species under the Bern Convention, which Switzerland has also signed (1). The preventative killing authorised by FOEN is fundamentally at odds with the key principles of conservation and science-based management of biodiversity. DNA analyses of the 27 wolves killed in the canton of Valais.show that not a single one had preyed on livestock (2), clearly exposing these preventative measures as being extreme, unethical and ineffectual. We are well aware that Switzerland’s turn against the wolves has been condemned by the IUCN/SSC Canid Specialist Group, the world’s experts on wild canids (3) as well as openly criticised by the Bern Convention Bureau,which defined it as“extremely worrying” and “arbitrary” (4). We call for the Swiss Government to listen to science! Studies also show that culling is not effective in preventing livestock predation (5). Shooting wolves indiscriminately disrupts naturally-functioning wolf societies, increasing the risk of lone and inexperienced wolves targeting easier prey, thus leading to more livestock predation, not less. Herders should, instead, be supported and encouraged to adopt increased herd protection and other non-lethal prevention measures. Based on available figures (KORA) it appears that the number of livestock killed by wolves accounts just between 0,05-0.09% of all Swiss sheep and cows annually (6). Herd protection in Switzerland has already proven successful in recent years, as the number of livestock killed has fallen even though the wolf population has grown (7). This is supported by the fact that more than 90% of the livestock killed in 2022 across Switzerland had not been protected or guarded (8). This has also been the case in the canton of Grisons, which was responsible for 20 wolf kills alone last winter (9). Shifting the responsibility of promoting, organising and funding livestock protection measures to the cantons, as mandated by the revised Ordinance, is the wrong approach, as it will complicate and slow down the promotion and expansion of livestock protection. We therefore call for herd protection to be regulated at the federal level once again and for the successes achieved to date to continue to be promoted. Regulation of other protected animal species We are also deeply concerned about the new provisions of the Ordinance by which several other protected animal species are targeted. In particular species like ibex and beaver but also lynx, otter, golden eagle and others can be culled. We find this disconcerting and incomprehensible, especially in view of the biodiversity crisis in Switzerland (10), Europe and worldwide. Instead of enshrining the ecological benefits of wild animals in the Ordinance, wildlife conservation and animal welfare in Switzerland are once again being watered down, with further inevitable repercussions on biodiversity. We therefore call for a reassessment of all targeted species and demand that the benefits which they bring to ecosystems and biodiversity be emphasised in the Ordinance instead. On behalf of X concerned citizens we thank you for taking our concerns into account and for considering our proposal. Our team remains at your disposal to answer any questions you may have. Yours faithfully X Signatories Jen Buchli, Campax Sources713 of 800 SignaturesCreated by Campax - make change happen
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Koexistieren statt töten!Je mehr Menschen unterschreiben, desto mehr Gewicht haben unsere Argumente und das Bundesamt für Umwelt (BAFU) wird unsere Anliegen nicht ignorieren können. Unten findest du unsere Vernehmlassungsantwort, die erklärt, warum es so wichtig ist, dass die Jagdverordnung überarbeitet wird. Unterschreibe jetzt für den Erhalt unserer Artenvielfalt und für eine friedliche Koexistenz anstelle der geplanten Abschusspolitik! Der folgende Text wird als Vernehmlassungsantwort eingereicht: Sehr geehrte Damen und Herren des Bundesamts für Umwelt (BAFU) Im Namen von X Unterzeichnenden übermitteln wir Ihnen anbei unsere Stellungnahme zur revidierten Jagdverordnung. Wir sind zutiefst besorgt und empört über die vorgeschlagene Revision der Jagdverordnung, die einmal mehr die unethische, unwissenschaftliche und ineffektive Tötung von Wölfen zulassen will und auch die Tötung anderer geschützter (!) Tierarten erlaubt. Alle diese Tiere spielen eine wichtige Rolle für die Gesundheit der Ökosysteme, von denen wir alle abhängen. Anstatt sich auf den Ausbau und die konsequente Umsetzung des Herdenschutzes und die Förderung der Koexistenz mit unseren einheimischen Wildtieren zu fokussieren, setzt die überarbeitete Verordnung vorrangig auf eine Abschusspolitik. Damit können sogar Tiere präventiv abgeschossen werden, die keine Probleme oder Schäden verursacht haben. Das ist nicht nur empörend, sondern widerspricht auch der Verpflichtung der Schweiz, unsere Biodiversität zu schützen und zu erhalten. Wir fordern den Erhalt der Artenvielfalt und eine friedliche Koexistenz; die Verordnung muss nicht-tödliche Massnahmen wie den Einsatz von Herdenschutzhunden bevorzugen und fördern. Diese und andere nicht-tödliche Methoden sind nicht nur erprobt und effektiv, sie zeigen auch den Wunsch nach friedlicher Koexistenz statt Tötung. Wolfsregulierung und Herdenschutz Der Wolf ist eine streng geschützte Art im Rahmen der Berner Konvention, die auch die Schweiz unterzeichnet hat (1). Die vom BAFU genehmigten Abschüsse widersprechen grundlegend dem Artenschutz und dem Erhalt der Biodiversität. DNA-Analysen der 27 Wölfe, die im Kanton Wallis getötet wurden, zeigen, dass kein einziger von ihnen Nutztiere gerissen hat (2), was die Abschüsse als extrem, unethisch und ineffektiv entlarvt. Die Schweiz wurde mit ihrem Vorgehen gegen die Wölfe von der IUCN/SSC Canid Specialist Group, den weltweiten Experten und Expertinnen für wildlebende Caniden (3), verurteilt und vom Büro der Berner Konvention offen kritisiert. Das Vorgehen wurde als "äusserst besorgniserregend" und "willkürlich" bezeichnet (4). Wir fordern die Schweizer Regierung auf, auf die Wissenschaft zu hören! Studien zeigen auch, dass die präventive Tötung von Wölfen nicht wirksam ist, um Nutztierrisse zu verhindern (5). Der wahllose Abschuss von Wölfen stört natürlich funktionierende Wolfsrudel und erhöht das Risiko, dass einsame und unerfahrene Wölfe leichtere Beute machen, was zu mehr Nutztierrissen führt, nicht zu weniger. Stattdessen sollten Hirten und Hirtinnen unterstützt und ermutigt werden, ihre Herden besser zu schützen und andere nicht-tödliche Präventionsmassnahmen zu ergreifen. Aus den verfügbaren Zahlen (KORA) geht hervor, dass die Zahl der von Wölfen getöteten Nutztiere nur 0,05-0,09% aller Schweizer Schafe und Kühe pro Jahr ausmacht (6). Der Herdenschutz in der Schweiz hat sich in den letzten Jahren bereits als erfolgreich erwiesen, denn die Zahl der getöteten Nutztiere ist gesunken, obwohl die Wolfspopulation gewachsen ist (7). Dies wird durch die Tatsache untermauert, dass mehr als 90% der im Jahr 2022 in der Schweiz getöteten Nutztiere nicht geschützt oder bewacht wurden (8). Dies war auch im Kanton Graubünden der Fall, wo allein im letzten Winter 20 Wölfe getötet wurden (9). Die Verantwortung für die Förderung, Organisation und Finanzierung von Herdenschutzmassnahmen auf die Kantone zu verlagern, wie es die revidierte Verordnung vorsieht, ist der falsche Weg. Damit werden die Förderung und der Ausbau des Herdenschutzes verkompliziert und verlangsamt. Wir fordern daher, den Herdenschutz wieder auf Bundesebene zu regeln und die bisher erzielten Erfolge weiter zu fördern. Regulierung von anderen geschützten Tierarten Wir sind auch sehr besorgt über die Aufnahme anderer geschützter Tierarten, wie Steinbock, Biber, aber auch Luchs, Fischotter und Steinadler in die Abschussliste. Dies ist besonders angesichts der Biodiversitätskrise in der Schweiz unverständlich und beunruhigend (10). Anstatt den ökologischen Nutzen von Wildtieren in der Verordnung zu verankern, wird der Wildtierschutz in der Schweiz wieder einmal verwässert, was sich unweigerlich auf die Biodiversität auswirkt. Wir fordern eine Neubewertung aller Tierarten in der Jagdverordnung und verlangen, dass stattdessen der Nutzen, den sie für die Ökosysteme und die Biodiversität bringen, hervorgehoben wird. Im Namen von X besorgten Unterzeichnenden danken wir Ihnen, dass Sie unsere Bedenken berücksichtigen und unseren Vorschlag prüfen. Für Fragen stehen wir Ihnen zur Verfügung. Freundliche Grüsse X Unterzeichnende Jen Buchli, Campax Quellen13,862 of 15,000 SignaturesCreated by Campax - make change happen