• Rojda et sa fille doivent rester !
    L'histoire de Rojda : Cette femme de 38 ans est originaire d'une région kurde pauvre de Turquie. Elle grandit avec cinq frères et sœurs. Elle est mariée de force à l'âge de 13 ans. Au début de sa vingtaine, elle est déjà mère de deux enfants, mais elle ne peut plus supporter ce mariage forcé. Elle demande le divorce en sachant qu'elle ne reverra peut-être jamais ses enfants. Rojda rencontre ensuite un nouveau mari, un activiste politique, constamment poursuivi par l'État. Après une peine de prison, il parvient à s'enfuir en Suisse, qui, depuis, lui accorde l'asile. Rojda est tiraillée entre les deux. En 2012, elle suit son fiancé en Suisse. « C'était très dur », dit-elle aujourd'hui, « ici je ne connaissais personne, je ne comprenais pas un mot et j'étais séparée de mes proches ». Mais Rojda se remarie et donne naissance à une fille à Soleure. C'est alors que le désastre commence. Après des insultes et des injures, son mari maltraite aussi physiquement la jeune mère, de plus en plus souvent et de manière brutale. Elle en souffrira pendant quatre ans, jusqu'à ce qu'elle arrive presque à bout. Mais Rojda et sa fille parviennent à s'enfuir et à se réfugier dans un foyer pour femmes. Là, elle peut enfin respirer et s'informer sur ses droits. Elle et sa fille reçoivent un soutien psychologique. Rojda divorce, cherche du travail, en trouve dans un snack-bar et un magasin de nettoyage, et passe bientôt à un emploi à 70%. Elle suit des cours d'allemand quotidiens et s'occupe également de sa fille. Avec son ex-mari, elle règle les horaires de visite de leur fille. Aujourd'hui encore, la jeune fille entretient une relation étroite avec son père. Peu après, le renouvellement annuel du permis de séjour (B) est prévu. Auparavant, la demande de renouvellement était toujours examinée et acceptée rapidement, mais cette fois-ci, le processus dure cinq ans. La décision est négative pour Rojda et sa fille. Toutes deux sont expulsées de Suisse. L'expulsion de la mère est motivée par le fait qu'elle bénéficie de l'aide sociale, ce qui devrait entraîner l'extinction du droit à la prolongation. Le fait que Rojda n'ait été en mesure de s'intégrer qu'après s'être réfugiée dans un foyer pour femmes n'est pas pris en compte. Il en va de même pour le fait qu'elle ait appris l'allemand de manière intensive après la séparation et qu'elle ait commencé à travailler à 70%. Bien que sa fille soit née ici, qu'elle ait un permis d'établissement (C), qu'elle aille à l'école ici et qu'elle ait des amis et des hobbies, on peut raisonnablement attendre d'elle qu'elle quitte la Suisse avec sa mère. Les autorités ont également ignoré des raisons personnelles telles que les conséquences de la violence domestique, qui doivent être prises en compte lors de l'intégration. En effet, « seul » l'acte de violence survenu peu avant sa fuite vers la maison d'accueil pour femmes est documenté. Ses autres « descriptions » sont « très vagues et générales ». Certes, son mariage n'était « pas facile », mais ce n’est pas un cas de rigueur. Comme Rojda n'a pas dénoncé son mari violent à plusieurs reprises et que les actes de violence de longue durée ne peuvent pas être documentés, il n'y aurait pas de cas de rigueur. C'est l'argument de l'office de l'immigration. Le recours complémentaire à l'aide sociale s'opposerait donc en soi à la poursuite du séjour, a décidé la plus haute juridiction suisse. Il y a aussi sa fille mineure, qui est contrainte de quitter la Suisse avec sa mère. Bien que la Suisse ait signé la Convention de l'ONU relative aux droits de l'enfant, les autorités et les tribunaux suisses ont ignoré son sort et n'ont pas évalué les intérêts supérieurs de l'enfant, et les ont encore moins pris en compte dans leur jugement. Ils auraient pourtant dû le faire. Son expulsion vers la Turquie aurait pour conséquence de la déraciner de son pays d'origine. Elle serait arrachée à son environnement scolaire et séparée de tous·te·s ses ami·e·s. Elle n'aurait plus aucun contact avec son père. En tant que réfugié reconnu en Turquie, il ne pourra jamais lui rendre visite. De plus, la Turquie n'est pas un endroit sûr pour Rojda et sa fille. Après que son ex-mari a appris qu'elle risquait d'être expulsée, les menaces ont repris. Il n'existe pas d'environnement sûr et adapté pour sa fille. Demandez à l'Office des migrations de Soleure de continuer à accorder le droit de séjour à Rojda et à sa fille afin qu'elles puissent rester en Suisse. Signez la pétition maintenant. (1) En cas de violence domestique, garantir la pratique des cas de rigueur selon l'article 50 de la LGI *Nom modifié
    2.293 von 3.000 Unterschriften
    Gestartet von Itziar Marañón
  • Rojda und ihre Tochter müssen bleiben!
    Rojdas* Geschichte: Die 38-Jährige stammt aus einer ärmlichen kurdischen Region in der Türkei. Aufgewachsen ist sie mit fünf Geschwistern. Schon als 13-Jährige wird sie zwangsverheiratet. Anfang 20 ist sie schon eine zweifache Mutter, aber sie erträgt die Zwangsehe nicht mehr. Sie lässt sich scheiden, mit dem Wissen, ihre Kinder vielleicht nie mehr sehen zu können.  Rojda lernt einen neuen Mann kennen, einen politischen Aktivisten, ständig verfolgt vom Staat. Nach einer Haftstrafe gelingt ihm die Flucht in die Schweiz, die ihm seither Asyl gewährt. Rojda ist hin- und hergerissen. 2012 folgte sie ihrem Verlobten in die Schweiz. «Es war sehr hart», sagt sie heute, «hier kannte ich niemanden, verstand kein Wort und war von meinen Liebsten getrennt.» Doch Rojda heiratet erneut und bringt in Solothurn ihre Tochter zur Welt. Dann geht das Desaster los. Nach Beleidigungen und Beschimpfungen misshandelt ihr Mann die junge Mutter auch körperlich, immer häufiger und auch brutaler. 4 Jahre leidet sie darunter, bis es fast zum Äussersten kommt. Doch Rojda und ihrer Tochter gelingt die Flucht ins Frauenhaus. Dort kann sie endlich durchatmen und sich über ihre Rechte informieren. Sie und ihre Tochter erhalten psychologische Unterstützung. Rojda lässt sich scheiden, bemüht sich um Jobs, findet sie in Imbiss- und Reinigungsladen, stockt bald auf ein 70 %-Pensum auf. Sie besucht täglich einen Deutschkurs und kümmert sich auch noch um ihre Tochter. Mit ihrem Ex-Mann regelt sie die Besuchszeiten für die gemeinsame Tochter. Bis heute pflegt das Mädchen eine enge Beziehung zu ihrem Vater.  Kurz darauf steht die jährliche Verlängerung der Aufenthaltsbewilligung (B) an. Zuvor wurde das Verlängerungsgesuch jeweils schnell geprüft und bewilligt, dieses Mal geht der Prozess fünf Jahre. Der Entscheid fällt für Rojda und ihre Tochter negativ aus. Beide werden aus der Schweiz weggewiesen. Begründet wird die Wegweisung der Mutter mit ihrem Sozialhilfebezug, welcher zum Erlöschen des Verlängerungsanspruchs führen soll. Dass Rojda überhaupt erst nach der Flucht ins Frauenhaus in der Lage war, sich zu integrieren, bleibt unberücksichtigt. Dasselbe gilt dafür, dass sie nach der Trennung intensiv Deutsch gelernt hat und in einem 70%-Pensum begonnen hat zu arbeiten. Obwohl die Tochter hier geboren ist, eine Niederlassungsbewilligung (C) hat, hier die Schule besucht und Freund*innen sowie auch Hobbies hat, sei ihr zuzumuten, die Schweiz mit ihrer Mutter zu verlassen. Auch persönliche Gründe wie die Folgen häuslicher Gewalt bei der Integration Beurteilung berücksichtigt werden müssen, haben die Behörden ignoriert. Aktenkundig sei nämlich «nur» die Gewalttat kurz vor ihrer Flucht ins Frauenhaus. Ihre übrigen «Schilderungen» seien «sehr vage und allgemein». Zwar möge ihre Ehe «nicht einfach» gewesen sein, doch ein Härtefall sei nicht zu erkennen. Weil Rojda ihren gewalttätigen Ehemann nicht mehrfach angezeigt habe und die langanhaltenden Gewalttaten nicht dokumentierbar seien, soll kein Härtefall gegeben sein. So das Argument des Migrationsamtes. Der ergänzende Sozialhilfebezugs stünde einem weiteren Aufenthalt sodann per se entgegen, entschied das höchste Schweizer Gericht.  Dann gibt es noch die minderjährige Tochter, welche gezwungen wird, die Schweiz mit der Mutter zu verlassen. Obwohl die Schweiz die UNO-Kinderrechtskonvention unterzeichnet hat, haben die schweizerischen Behörden und Gerichte ihr Schicksal ignoriert und keine Würdigung der übergeordneten Kindesinteressen vorgenommen, geschweige denn diese in die Beurteilung miteinbezogen. Obwohl sie hierzu verpflichtet gewesen wären. Die Abschiebung in die Türkei hätte die Entwurzelung aus ihrer Heimat zur Folge. Sie würde ihrem schulischen Umfeld entrissen und von all ihren Freundinnen und Freunden getrennt. Auch der Kontakt zu ihrem Vater wäre nicht mehr möglich. Als anerkannter Flüchtling aus der Türkei wird er sie nämlich nie besuchen können. Hinzu kommt, dass die Türkei für Rojda und ihre Tochter kein sicherer Ort ist. Nachdem ihr Ex-Mann von der drohenden Ausschaffung erfahren hat, haben die Drohungen wieder begonnen. Ein sicheres, kindgerechtes Umfeld für die traumatisierte Tochter ist nicht gegeben.  Fordere das Migrationsamt Solothurn dazu auf, Rojda und ihrer Tochter das Aufenthaltsrecht weiterhin zu gewähren, damit sie in der Schweiz bleiben können. Unterschreibe jetzt die Petition. *Namen geändert
    8.320 von 9.000 Unterschriften
    Gestartet von Itziar Marañón
  • Hilfe, um die Familie zusammenzuhalten
    Diese Petition fordert die sofortige Überprüfung der Haftverlängerung für Abdelghafour Chadi und den Schutz des Rechts auf Familienleben. Die Trennung von Familienmitgliedern, insbesondere eines Kindes von seinem Vater, verletzt grundlegende Menschenrechte und das Wohl des Kindes. Warum sollten Sie sich anschließen? 1. Recht auf Familie: Jeder sollte das Recht haben, mit seiner Familie zusammenzuleben, besonders nach der Haftstrafe. 2. Menschenrechte und Mitgefühl: Ihre Unterstützung schützt das Wohl eines Kindes und sorgt dafür, dass humane Lösungen gefunden werden. 3. Gerechtigkeit für alle: Gemeinsam können wir Veränderungen bewirken und verhindern, dass Familien ungerecht behandelt werden. Unterstützen Sie uns, damit Gerechtigkeit und Menschlichkeit siegen!
    19 von 100 Unterschriften
    Gestartet von Samira Mahmud
  • Ein Recht auf Liebe und Familie
    Die Schweiz muss ihr Versprechen für Liebe und Menschenrechte einhalten! Die Schweiz steht für Menschenrechte und das Recht auf Liebe. Jetzt muss sie diese Werte beweisen, indem sie uns als Familie vereint.  Jeder Mensch hat das Recht, zu heiraten und mit seiner Familie zu leben. Wir fordern, dass dieses Grundrecht uns endlich gewährt wird! Unterstützt uns und unterschreibt unsere Petition
    189 von 200 Unterschriften
    Gestartet von Samira Mahmud
  • Keine Militärshow am Schaffhauser Jugendfest
    Wir freuen uns, dass die Stadt am 25. Juni 2024 nach mehrjähriger Pause das traditionelle Jugendfest durchführt. Kein Verständnis haben wir hingegen für die Tatsache, dass zum angeblichen "Höhepunkt" des Kinderfestes Militärflieger der Schweizer Flugwaffe über die Köpfe der knapp 4'000 Kinder donnern sollen. Das ist gleich aus mehreren Gründen absolut birreweich!  - Werbung für das Militär hat an einem Schüler:innen-Fest nichts zu suchen. - Die Fliegerei ist ein Haupttreiber des Klimawandels. Diese Spassflüge zu feiern, finden wir total daneben. - Unter den Kindern am Jugendfest gibt es auch zahlreiche Kriegsflüchtlinge. Die Militärshow ist unsensibel und birgt die Gefahr, diese Kinder zu retraumatisieren. Elternkomitee Militärshow am Jugendfest NEIN
    1.002 von 2.000 Unterschriften
    Gestartet von Keine Militärshow
  • Droit de rester pour la famille Kurtaj
    Soutenez cette famille de Boudry ! Gjylfidane KURTAJ doit pouvoir travailler et rester en Suisse pour élever ses enfants. Une expulsion vers le Kosovo séparerait cette mère de ses trois enfants. Leur histoire est racontée dans le journal "Littoral Région" du 12 avril 2024, lisez l'article : https://littoralregion.ch/content/archives/littoral_region_12_4_2024.pdf
    1.841 von 2.000 Unterschriften
    Gestartet von Maud Bardet
  • Vogliamo un padre lavoratore vicino a suo figlio di appena un anno!
    È importante che la Costituzioni Svizzera cambi e che tramite queste petizioni possiamo sensibilizzare gli organi costituzionali di modo che l'opinione pubblica faccia leva su i diritti della famiglia: dando ad un bimbo/a la certezza dei genitori, soprattutto se questi presentano un contratto di lavoro vigente allegato alla domanda di permesso! Si aprono porte agli asilanti politici, ai boss pentiti, ecc ed essi vengono pur mantenuti dallo Stato e NON DANNO IL PERMESSO B al padre di un bambino italiano(?), con contratto di lavoro vigente e con stipendio di 3'200CHF/mese circa(?). Perché no?! I soldi sono importanti per lo Stato, ma una società sana ha bisogno di equilibrio emotivo e questo viene dato da una presenza genitoriale positiva. Vogliamo che tutti i bambini possano essere felici, almeno in uno Stato/Confederazione "civile", come si ritiene sia la Svizzera! Vero o no?! Per favore, firmate di modo che ci sia un numero considerevole di persone e che lo Stato sia più democratico con le famiglie e i rilasci di permessi di soggiorno per i/le lavoratori/trici, gli/le studenti/esse di questa Confederazione Civile.
    16 von 100 Unterschriften
    Gestartet von Gabriela Herrera Vortmann Picture
  • Wir fordern dringend eine Überprüfung des Falles von Fereydun Rabbani
    Die Eltern von Fereydun Rabbani (Mahjan Haidari, Ghulam Rabbani Nabi Zada) sowie seine Geschwister (Afshin, Jalil, Homayoon, Aresu, Elmira und Ebrahim) kamen 2008 aus Afghanistan in die Schweiz, nachdem sie schweren Verfolgungen durch die Taliban ausgesetzt waren. Die Familie ist gut in das soziale Gefüge des Tessins integriert und wird von vielen geschätzt. Alle Geschwister von Fereydun sowie auch seine Eltern leben seit langem in der Schweiz und haben alle eine Aufenthaltsbewilligung erhalten: Aresu Rabbani (28), heute Schweizer Bürgerin, engagiert sich für afghanische Frauen, für geflüchteten und Migrant:innen in der Schweiz, sie wird bald eine Hebamme in Zürich. Jalil Rabbani (33), einer der Söhne, hat eine eidgenössische Kochausbildung absolviert, arbeitet in einem Altersheim und hat kürzlich das Restaurant "1001 Notte" eröffnet, ein persisches Lokal im Zentrum von Lugano, das möglicherweise eine Arbeitsmöglichkeit für Fereydun bieten könnte. Elmira (25), Schweizer Bürgerin, studiert Architektur an der Akademie von Mendrisio. Die Anwesenheit der Familie Rabbani ist eine grosse Bereicherung für unsere Gesellschaft. Im Jahr 2017 kam Fereydun nach einem mehrjährigen Aufenthalt im Iran, wo er Verfolgungen und Gewalt erlebt hatte, in die Schweiz und heiratete Parvaneh Sharifzadeh, eine iranische Aktivistin, die in Lugano und Zürich an zahlreichen Demonstrationen für die Rechte der Frauen teilgenommen hat. Zusammen haben sie zwei Kinder: Roham, der Ältere (6), besucht die zweite Klasse in Lugano mit ausgezeichnetem Erfolg und ist vollständig in das soziale Umfeld des Tessins integriert. Er spricht Italienisch und fühlt sich im Tessin zu Hause. Ryan, der Jüngere (2), wurde im Tessin geboren und spricht ebenfalls Italienisch. Er wurde für den Kindergarten im September angemeldet und verdient es ebenso, in einem sicheren und stabilen Land aufzuwachsen. Trotz all dem riskiert Fereydun heute die Abschiebung aus dem Land und die Trennung von seiner Familie. Fereyduns psychische Situation ist bereits durch die Folter und Gewalt gezeichnet, die er im Iran als afghanischer Staatsbürger erleiden musste. Die Gefahr der Abschiebung und der Trennung von seiner Familie, die Ungewissheit und die Unmöglichkeit zu arbeiten, machen die Situation noch belastender. Wir unterzeichnen diese Petition, um der Familie Rabbani Sharifzadeh eine sichere und würdevolle Zukunft in der Schweiz zu sichern, um unseren solidarischen Beitrag gegen Intoleranz zu leisten, um eine Familie zu schützen, die es verdient, und um zwei integrierte und gut erzogene Kinder zu schützen. Deshalb bitten wir die Abteilung für Bevölkerung des Kantons Tessin und das SEM, den Fall dieser Familie, die seit über sechs Jahren bei uns lebt und sich immer korrekt und respektvoll verhalten hat, sorgfältig zu überprüfen und ihnen zu gestatten, in der Schweiz zu bleiben. Der positive Beitrag zur schweizerischen Gesellschaft und die offensichtliche Gefährdung ihrer Sicherheit in ihren Herkunftsländern rechtfertigen zweifellos die Gewährung einer B-Bewilligung aus humanitären Gründen.
    273 von 300 Unterschriften
    Gestartet von Aresu Rabbani
  • Gaza braucht die UNO-Hilfe!
    Der Entscheid von mehreren Geberländern, die Finanzierung des Uno-Hilfswerks UNRWA auszusetzen, ist ein verheerender Schlag für die mehr als zwei Millionen Flüchtlinge im besetzten Gazastreifen. Für sie stellt das Hilfswerk die einzige Lebensgrundlage dar. Betroffen sind auch Millionen von palästinensischen Flüchtlingen in der besetzten Westbank und den arabischen Nachbarländern. Die Aussetzung der Finanzhilfe folgte auf Anschuldigungen Israels gegen 12 UNRWA-Angestellte, an dem von der Hamas verübten Massaker vom 7. Oktober in Israel beteiligt gewesen zu sein. Die UNRWA hat neun Angestellte wegen dieser Vorwürfe sofort entlassen und eine Untersuchung eingeleitet. Die Vorwürfe sind gravierend und müssen untersucht werden. Doch an der Beweislage bestehen erhebliche Zweifel. (1) Die mutmasslichen Handlungen einzelner Personen dürfen nicht dazu führen, lebensrettende Hilfe für Millionen von Menschen einzustellen. Die USA, England und Italien gehören zu den Staaten, die die UNRWA-Finanzierung ausgesetzt haben. Die Schweizer Regierung informierte, dass sie die Ergebnisse der Untersuchung der Uno abwarten will, bevor sie über ihr weiteres Vorgehen entscheidet. Der Bundesrat wird auch die aussenpolitischen Kommissionen vor seinem Entscheid anhören.   Dabei könnte die Schweiz dem Beispiel mehrerer europäischen Staaten folgen, die die wichtige Rolle der UNRWA anerkennen: Deutschland, Norwegen, Spanien, Irland und Belgien führen ihre Finanzierung weiter oder haben sie gar deutlich erhöht. Auch die Europäische Union hat einen Schritt in die richtige Richtung getan, und Anfang März 2024 eine erste Tranche von 50 Millionen Euro für die UNRWA freigegeben. Diesem Beispiel soll die Schweiz folgen! *** Hinweis: Diese Petition läuft mit identischem Text bei Amnesty International Schweiz. Doppelte Unterschriften werden gestrichen. *** Anmerkungen (1) Gemäss einer Analyse der Anklageschrift von Amnesty International hat Israel keine Beweise vorgelegt. Siehe dazu auch der Artikel im Guardian, https://www.theguardian.com/world/2024/mar/01/unrwa-funding-pause-employees-october-7-hamas-attack-claims-no-evidence-un
    2.347 von 3.000 Unterschriften
    Gestartet von Campax - make change happen Picture
  • Demande aux autorités de Genève: STOP à la guerre et à la catastrophe humanitaire à Gaza !
    Il est grand temps que nos gouvernements, cantonal et fédéral agissent pour faire cesser la guerre et la catastrophe humanitaire en cours à Gaza. Merci de signer maintenant et de partager la pétition dans vos réséaux. Pas besoin d'être Suisses ni domiciliés à Genève pour signer. Nous devons déposer les signatures déjà le mardi 27 février afin que le Grand Conseil genevois puisse traiter la pétition lors de sa prochaine séance de jeudi 29 février 2024.
    5.720 von 6.000 Unterschriften
    Gestartet von Tobias Casimir SCHNEBLI
  • ¡No al alojamiento de niñxs refugiadxs y sus familias en refugios antiaéreos subterráneos!
    El martes 28.11.2023, la Secretaría de Estado de Migración (SEM) anunció la apertura, el 11.12.2023 y durante un año, de un centro de asilo temporal en las instalaciones de protección civil de la Turnerstrasse, 8006 Zúrich, en el que se acogerá a 90 madres con sus hijxs. (Información de Tagesanzeiger en Zúrich/ Noticias breves: Centro federal temporal de asilo en Zúrich/Federación abre un centro de asilo en el distrito 6) El alojamiento de lxs niñxs y sus madres en búnkeres subterráneos sin luz diurna no es adecuado ni para niños y ni familias. La petición no se dirige contra el alojamiento de niñxs refugiados y sus madres/familias en el barrio/Kreis 6 de Zúrich, sino contra el ALOJAMIENTO INADECUADO Y NO CONFORME A LOS DERECHOS DE LxS NIÑxS en búnkeres subterráneos. La petición reclama un alojamiento adaptado y conforme al derecho para lxs niñxs refugiadxs vulnerables y sus familias en toda Suiza. Por lo tanto, nada de alojar a lxs niñxs y sus familias en búnkeres subterráneos o instalaciones de defensa civil, ¡ni siquiera un solo día! Es un certificado de pobreza política, que uno de los países más ricos del mundo no sea capaz de encontrar y lograr una solución mejor. Fuentes: https://www.tagesanzeiger.ch/temporaeres-bundesasylzentrum-in-zuerich-bund-eroeffnet-asylzentrum-im-kreis-6-748675910560
    7 von 100 Unterschriften
    Gestartet von Regina Strupler
  • Jo vendosjes se fëmijëve të strehuar dhe familjeve të tyre në bunkerët e mbrojtjes ajrore!
    Të martën me datë 28.11.2023, Sekretariati i Shtetit për Migracionin (SEM) njoftoi se në objektin e mbrojtjes civile në rrugën Turnerstrasse, 8006 Zürich, do të hapet një qendër azili e përkohshme për një vit nga data 11.12.2023, ku do të vendosen 90 nëna dhe fëmijët e tyre. (Informacion nga Tagesanzeiger nën Zürich/ Lajme të shkurtra: Qendra Federale e përkohshme e Azilit në Cyrih/Qeveria hap qendrën e azilit në rrethin 6) Vendosja e fëmijëve dhe nënave të tyre në bunkerë nëntokësorë pa dritën e ditës nuk është e përshtatshme për fëmijët dhe familjet. Peticioni nuk është kundër vendosjes së fëmijëve të strehuar dhe nënave/familjeve të tyre në rrethin 6 në Cyrih, por kundër MËNYRËS JO TË PËRSHTATSHME PËR FËMIJËT TË VENDOSJES në bunkerë nëntokësorë. Peticioni kërkon në të gjithë Zvicrën vendosjen e përshtatshme për fëmijët dhe familjet e fëmijëve të strehuar të brishtë dhe familjet e tyre. Prandaj, asnjë vendosje e fëmijëve dhe familjeve të tyre në bunkerë nëntokësorë/objekte të mbrojtjes civile, as për një ditë të vetme! Është një turp që një nga vendet më të pasura në botë nuk është në gjendje të arrijë një zgjidhje më të mirë. Burimet: https://www.tagesanzeiger.ch/temporaeres-bundesasylzentrum-in-zuerich-bund-eroeffnet-asylzentrum-im-kreis-6-748675910560
    2 von 100 Unterschriften
    Gestartet von Regina Strupler