• Pour le remboursement des contraceptifs hormonaux à visée thérapeutique par l’assurance de base !
    Même l’Office fédéral de la santé publique le reconnaît : les femmes ont des besoins spécifiques en matière de santé, qui sont encore trop peu pris en compte dans notre système de soins. Et un rapport du Conseil fédéral demande des mesures concrètes pour combler cette lacune. [2] Le remboursement des coûts des traitements hormonaux pour les maladies gynécologiques serait une première étape simple et efficace dans cette direction. En Suisse, des dizaines de milliers de jeunes filles et femmes souffrent de troubles gynécologiques comme l’endométriose, de règles très douloureuses ou abondantes, ou encore du syndrome des ovaires polykystiques. Ces affections, fréquentes mais souvent minimisées, ont des répercussions importantes sur: • la qualité de vie  • la santé mentale  • la capacité à suivre une formation ou à exercer une activité professionnelle. Le traitement de ces pathologies repose le plus souvent – et parfois uniquement – sur la prescription de contraceptifs hormonaux. Or, comme ces médicaments ne figurent pas sur la liste des spécialités reconnues, ils ne sont pas remboursés par l’assurance de base, même lorsqu’ils sont prescrits à des fins strictement thérapeutiques. Ils restent par conséquent inaccessibles à certaines pour des raisons financières. Cette situation est injuste. Elle pénalise financièrement les personnes concernées et renforce les inégalités en matière de santé.  Le remboursement des contraceptifs hormonaux prescrits pour des troubles gynécologiques est une mesure médicalement justifiée, fondée sur des données scientifiques, et indispensable pour mieux répondre aux besoins spécifiques des femmes. La santé des femmes n’est pas un sujet marginal. Elle doit enfin être prise au sérieux et traitée de manière équitable! [1] Par souci de lisibilité, nous utilisons ici le terme « femmes » pour désigner les personnes concernées par des pathologies gynécologiques. Nous sommes bien conscient·e·s que ces enjeux concernent également certaines personnes trans et non binaires, qui sont évidemment pleinement incluses dans notre démarche. [2] “Santé des femmes. Pour une meilleure prise en compte de leurs spécificités”, Rapport du Conseil fédéral donnant suite au postulat 19.3910 Fehlmann Rielle du 21.06.2019.
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    Gestartet von Campax, S-Endo, PROFA & Endo-Help Picture
  • Aucune interdiction – Aucun recul : Pour des soins de santé compétents et sûrs
    La réalité actuelle :   Les jeunes trans à Zurich sont accompagné·e·s sur le plan thérapeutique et médical – avec soin, compétence, en dialogue avec les familles et les professionnel·le·s, selon des directives internationales.   Ces traitements ne sont pas administrés à la légère, mais selon des critères clairs et une évaluation individuelle.    Les analyses éthiques et juridiques commandées spécialement l'ont clairement démontré.   La mesure médicale la plus courante est les bloqueurs de puberté : ils permettent un temps de réflexion, soulagent psychologiquement – et sont réversibles. Ils ne constituent pas une décision irrévocable.   Aujourd'hui, la directrice de la santé veut que les bloqueurs ne soient accessibles que dans le cadre d'études. Cela empêcherait de fait l'accès à des soins médicalement nécessaires – une ingérence illégale et dangereuse.   Une interdiction générale signifierait :   • Des jeunes subissant une puberté non désirée et irréversible – avec une forte détresse psychologique et un risque accru de suicide.   • L’inaccessibilité du traitement le plus sûr et éprouvé (les bloqueurs).   • La perte du droit à la participation, pourtant garanti par la loi, des parents et les jeunes capables de discernement.   • Les professionnel·le·s de la santé seraient mis·e·s sous tutelle, la recherche devient un moyen de discrimination pour des raisons politiques.   Les jeunes trans méritent protection, soutien médical et respect – pas une négligence orchestrée par l'État pour gagner des voix.   👉 Signez maintenant – pour l'autodétermination, les soins et la dignité. https://uploads-campax.s3.eu-central-1.amazonaws.com/Petitionaerinnen-fr.jpeg HAZ Queer Zürich Transgender Network Switzerland LOS PinkCross InterActionSuisse Milchjugend Campax Checkpoint Zürich Brava SEGZ Sexuelle Gesundheit Zürich feministisches Streikkollektiv Zürich QueerAmnesty Du-bist-du Zürich Pride CSD Zürich JUSO Stadt Zürich spqueer Grüne Stadt Zürich Junge Grüne Zürich Grüne Kanton Zürich queer GLP/PVL feministischer Polito Treff wilsch Winterthur zwischenraum feministisches Kollektiv Winterthur Ekivock
    737 von 800 Unterschriften
    Gestartet von HAZ – Queer Zürich & TGNS – Transgender Network Switzerland
  • Kein Verbot – Kein Rückschritt: Für kompetente und sichere Gesundheitsversorgung
    Die heutige Realität: Trans Jugendliche werden in Zürich therapeutisch und medizinisch begleitet – sorgfältig, kompetent, gemeinsam im Gespräch mit Familien und Fachpersonen, nach internationalen Leitlinien. Behandlungen erfolgen nicht leichtfertig, sondern nach klaren Kriterien und individueller Abklärung. Die eigens in Auftrag gegebenen ethischen und rechtlichen Abklärungen haben das klar bewiesen.  Die häufigste medizinische Massnahme sind Pubertätsblocker: Sie verschaffen Zeit zur Orientierung, entlasten psychisch – und sind reversibel. Sie bedeuten keine endgültige Entscheidung.   Nun will die Gesundheitsdirektorin, dass Blocker nur noch im Rahmen von Studien zugänglich sind. Das würde den Zugang zu medizinisch nötiger Versorgung faktisch verhindern – ein rechtswidriger und gefährlicher Eingriff. Ein pauschales Verbot bedeutet: • Jugendliche erleben eine ungewollte, irreversible Pubertät – mit hohem psychischem Leidensdruck und erhöhtem Suizidrisiko. • Die bewährte, sicherste Behandlung (Blocker) wird unerreichbar. • Eltern und urteilsfähige Jugendliche verlieren ihr gesetzlich garantiertes Mitspracherecht. • Fachpersonen werden entmündigt, Forschung wird zum Mittel politisch motivierter Diskriminierung Trans Jugendliche verdienen Schutz, medizinische Unterstützung und Respekt – nicht staatlich verordnete Vernachlässigung als Mittel zum Stimmenfang. 👉 Unterschreibe jetzt – für Selbstbestimmung, Versorgung und Würde. Gestartet von: HAZ – Queer Zürich & TGNS – Transgender Network Switzerland https://uploads-campax.s3.eu-central-1.amazonaws.com/Petitionaerinnen.png Petitionär:innen HAZ Queer Zürich Transgender Network Switzerland LOS PinkCross InterActionSuisse Milchjugend Campax Checkpoint Zürich Brava SEGZ Sexuelle Gesundheit Zürich feministisches Streikkollektiv Zürich QueerAmnesty Du-bist-du Zürich Pride CSD Zürich JUSO Stadt Zürich spqueer Grüne Stadt Zürich Junge Grüne Zürich Grüne Kanton Zürich queer GLP/PVL feministischer Polito Treff wilsch Winterthur zwischenraum feministisches Kollektiv Winterthur Schmaz asso Verein Junge Grünlieberale Schweiz TSEF trans safety emergency fund HIV-Aidsseelsorge Ekivock Alternative Liste Regenbogenhaus Trans Open Wardrobe Schweizer LGBTIQ+ Panel Regenbogentreff
    11.662 von 15.000 Unterschriften
    Gestartet von HAZ – Queer Zürich & TGNS – Transgender Network Switzerland
  • Inondations du Rhône : aide immédiate et plan durable contre les catastrophes futures
    Dans une maison de Chippis, le salon a été ravagé par les eaux du Rhône. Le parquet est gondolé, les murs noircis par l’humidité. Une grand-mère y vit seule, en attendant que l’assurance “prenne position”. Cela fait un an. À Chippis toujours, un artisan a vu son atelier englouti. Il a tout nettoyé à la main, seul, sans savoir s’il pourra reconstruire. À Sierre, une jeune famille a été évacuée, les enfants en pyjama dans l’eau jusqu’aux genoux. Depuis, plus personne ne les informe. Ces histoires ne sont pas des exceptions. Ce sont des visages du Valais, laissés dans l’attente, dans le doute, dans l’oubli. Pendant ce temps, l’État a lancé une commission d’enquête à 400’000 francs. Une initiative utile, peut-être, mais qui n’a réparé ni les toits, ni les espoirs. Et pourtant, les faits sont là : • Les inondations du Rhône ont frappé durement notre canton. • Un an plus tard, aucune aide financière cantonale concrète n’a été versée. • Les procédures sont complexes, les assurances sont lentes, et les sinistrés sont seuls. Nous vous écrivons aujourd’hui parce que vous avez le pouvoir d’agir. Parce que derrière chaque sinistré, il y a une vie suspendue. Parce que la solidarité ne peut pas attendre. Ce que nous demandons : 1. Un fonds d’urgence cantonal, même partiel, pour débloquer la situation des personnes laissées sans réponse. 2. Un accompagnement administratif renforcé, humain, simplifié, pour aider celles et ceux qui n’ont plus la force de se battre seuls contre des formulaires. 3. L’accélération des travaux de correction du Rhône, car les risques s’accumulent et les retards deviennent dangereux. 4. Et surtout, un plan climat cantonal écopragmatique, ambitieux et concret, incluant :   • un fonds intercommunal de prévention et reconstruction, • des infrastructures résilientes, • une stratégie d’anticipation face aux catastrophes climatiques à répétition. Le Valais n’est pas à l’abri. Les crues du Rhône, les coulées de Lourtier, la catastrophe de Blatten le prouvent. Nous ne sommes plus dans l’exception, mais dans la répétition. Face à cela, nous n’avons plus le luxe d’attendre. Nous avons besoin de vision. De courage politique. D’actes. Nous vous écrivons avec le respect dû à vos fonctions, mais aussi avec la force de celles et ceux que vous représentez. Nous ne vous demandons pas de compatir. Nous vous demandons de protéger, réparer et préparer. Le Valais peut montrer l’exemple. Le Valais peut choisir l’action. Mais cela commence maintenant. Les citoyennes et citoyens signataires.
    19 von 100 Unterschriften
    Gestartet von Vert’Liberaux Valais
  • Pour un congé parental JUSTE - Pas touche au congé maternité !
    La Commission de la sécurité sociale et de la santé publique du Conseil national (CSSS-N) a décidé de fusionner le congé de maternité de 14 semaines et le congé de paternité de 14 jours en un « congé parental » et de vouloir ainsi les « flexibiliser ». Désormais, les 16 semaines au total doivent pouvoir être réparties « à égalité » entre les deux parents. Cela n'a rien à voir avec l'égalité - au contraire : Il s'agit de supprimer le congé maternité. La santé des personnes qui accouchent est en grand danger. De plus, cette proposition n'a pas vraiment pour but d'offrir aux mères plus de chances sur le marché du travail et aux parents une véritable conciliation, mais en premier lieu d'exploiter davantage le potentiel de la main-d'œuvre et de maîtriser la pénurie de personnel qualifié. Un rapport du Conseil fédéral a récemment exposé le besoin d'un congé parental, les faits sont établis depuis longtemps. Les femmes, les personnes qui accouchent, les sages-femmes, les gynécologues et autres spécialistes doivent être consulté-e-s et leurs préoccupations prises en compte. Avec cette pétition, nous demandons à la Commission de la sécurité sociale d'introduire un véritable congé parental au lieu d'une pseudo solution au détriment de la santé des parturientes. Tu nous trouves aussi sur Instagram : https://www.instagram.com/p/DKFoCFXgLo_/ Ou sur notre site web (en allemand) : https://ekdm.ch/faire-elternzeit/
    2.031 von 3.000 Unterschriften
    Gestartet von EKdM Eidgenössische Kommission dini Mueter
  • Per un congedo parentale GIUSTO - Giù le mani dalla protezione della maternità!
    La Commissione della sicurezza sociale e della sanità del Consiglio nazionale (CSSS-N) ha deciso di unire il congedo di maternità di 14 settimane e il congedo di paternità di 14 giorni in un unico «congedo parentale», con l'obiettivo di renderlo più «flessibile». Le 16 settimane complessive potranno essere suddivise «in modo equo» tra i due genitori. Questo non ha niente a che vedere con la parità, anzi: Il congedo di maternità verrebbe così abolito. Questo mette a rischio la salute delle donne che partoriscono. Inoltre, la proposta non mira necessariamente a offrire alle mamme maggiori opportunità sul mercato del lavoro e a consentire ai genitori di conciliare meglio la vita familiare e quella lavorativa, ma principalmente a sfruttare ulteriormente il potenziale della forza lavoro e a far fronte alla carenza di personale qualificato. Un rapporto del Consiglio federale sul congedo parentale ha recentemente evidenziato questa necessità, i fatti sono ormai noti da tempo. Le donne che partoriscono, le ostetriche, le ginecologhe e altre professioniste devono essere ascoltate e le loro preoccupazioni devono essere prese in considerazione. Con questa petizione chiediamo alla Commissione per la sicurezza sociale di introdurre un vero congedo parentale invece di una soluzione fittizia a scapito della salute delle donne che partoriscono. Ci trovi anche su Instagram: https://www.instagram.com/p/DKFoCFXgLo_/ Oppure: https://ekdm.ch/faire-elternzeit/
    778 von 800 Unterschriften
    Gestartet von EKdM Eidgenössische Kommission dini Mueter
  • MEYRIN - Pour des Baignades inclusives à Meyrin
    9 arguments pour modifier le règlement meyrinois en un règlement inclusif   1. Hygiène validée scientifiquement et qualité de l'eau Des agences officielles (ANSES, UNIA, CPES) confirment que les maillots couvrants n’engendrent aucun risque hygiénique et n'affectent pas la qualité de l'eau s’ils sont propres et réservés à la baignade. 2. Sécurité garantie Les maillots couvrants n’entravent ni la nage ni les sauvetages (UNIA Belgique). 3. Mauvais signal envoyé par la commune Le règlement de Meyrin est l’un des plus excluants du canton. Près de Meyrin, certaines communes comme Genève, Vernier, Nyon et Lausanne autorisent les maillots couvrants. Pourquoi pas nous ? 4. Protection contre les UV  Les maillots couvrants (bras et jambe) protègent du soleil et devraient être encouragés comme mesure de santé publique. 5. Canicule et accès à l'eau Avec les épisodes de canicule qui vont s'intensifier, l'accès à la piscine publique pour se rafraichir est un droit qui doit être garanti à toute personne. 6. Égalité d’accès aux loisirs Le règlement actuel exclut des femmes, des personnes trans, des personnes grosses, ou avec cicatrices, et toute personne qui se sentirait plus à l'aise dans un maillot plus long et moins moulant. 7. Exclusion sociale et discrimination L’interdiction des maillots couvrants exclut surtout des femmes musulmanes ou migrantes, ce qui est particulièrement injuste dans une commune sur le territoire de laquelle se trouve une grande diversité de population, qui participe à la vie civique, sociale, et paie ses impôts. 8. Discrimination raciale et de genre La mention "vêtements spéciaux, longs ou courts, marquant une différence culturelle ou religieuse, sont interdits", marque une interdiction basée sur la race, l'origine ou la religion. Les précisions de genre telles que "les femmes sont autorisées à se tenir seins nus" mène à des situations inconfortables d'arbitraire pour déterminer le genre et le sexe des personnes. C'est inadmissible. 9. Effet domino sur les enfants Des enfants sont privés de piscine parce que leur mère ou personne accompagnante n'est pas autorisée à entrer dans les zones près des bassins dans la tenue de baignade de leur choix pour surveiller leurs enfants. 10. Un règlement réellement impartial est possible Il suffit d’exiger des tenues propres, spécifiques à la baignade, et qu'une douche soit prise avant le bain. Lorsque les usagères et usagers de la piscine sont informés et responsabilisés, les bons comportements sont adoptés. L'inclusion, c'est facile ! Pour trouver des règlements rédigés de façon inclusive, regardez notre map :  https://www.google.com/maps/d/u/0/edit?mid=1G2JmneAjPllBSvjePBTSfDQKV3TcUFU&ll=46.60156829994392%2C6.463808050000006&z=9 -------- La Coordination pour des Baignades inclusives Petits Pas de Société Grève féministe Genève Les Foulards Violets Coordination-Asile.ge 3Chêne Accueil Association Mille Sept Sans
    1 von 100 Unterschriften
    Gestartet von Petits Pas de Société ONG
  • Der 14. Juni gehört dem feministischen Streik – Demoroute und Bundesplatz sichern
    Leben wir in einer Gesellschaft, in der alle Menschen frei von Diskriminierung und Gewalt leben können? Solange die Antwort “nein” ist und besonders solange wir, Frauen, Lesben intergeschlechtliche, non-binäre, trans und agender Personen (FLINTA) – die Mehrheit der Bevölkerung – davon betroffen sind, brauchen wir den 14. Juni. Dieser Tag ist ein zentrales Datum für die feministische Bewegung in der Schweiz. Seit Jahren gehen hunderttausende Menschen an diesem Tag auf die Strasse – für Gleichberechtigung, soziale Gerechtigkeit und die Sichtbarkeit unbezahlter und unterbewerteter Care-Arbeit. Der Bundesplatz in Bern ist dabei ein symbolischer Ort für diese Anliegen. 2025 gibt es immer noch 1000 Gründe zum Streiken. Dies sind einige unserer Forderungen [1]: • Mitgestaltung in der Politik für alle. • Einen selbstbestimmten Umgang mit unseren reproduktiven Rechten. • Anerkennung, Zeit und Geld für Care-Arbeit. • Eine konsequente Bekämpfung geschlechtsspezifischer Gewalt. • Klimaschutz mit sozialer Gerechtigkeit. • Eine postkoloniale Politik. • Gesellschaftliche Vielfalt und Inklusion. • Ein entschlossenes Vorgehen gegen faschistische Ideologien. Die Stadt Bern hat eine Verantwortung: Als Bundeshauptstadt soll Bern dem feministischen Streik den Raum geben, den er verdient. Obwohl seit 2019 jährlich zehntausende Personen am 14. Juni für eine gleichberechtige Gesellschaft auf die Strasse gehen, muss die Bewegung jedes Jahr für die Bewilligung kämpfen und kommerzielle Organisationen bestreiten den Anspruch der Bewegung auf diesen Raum an diesem wichtigen Tag. Die parlamentarische Sommer-Session und der feministische Streik haben beide gleichzeitig Platz, wir fordern, dass dies nicht in Frage gestellt wird. Der Prozess, um eine Bewilligung für den 14. Juni zu erhalten bedeutet immer einen riesigen Aufwand für Aktivist*innen, welche den ganzen 14. Juni in ihrer “Freizeit” organisieren.  Mit einer dauerhaften Platzreservation am 14. Juni kann die Stadt Bern ein starkes Zeichen setzen: Für Gleichstellung. Für Demokratie. Für eine gerechte Gesellschaft. Unterzeichne jetzt und fordere mit uns: Der 14. Juni gehört dem feministischen Streik! ________________________________________ Quellen: [1] Forderungen des feministischen Streikkollektivs Bern *FLINTA steht für Frauen, Lesben, intergeschlechtliche, non-binäre, trans und agender Personen.
    5.021 von 6.000 Unterschriften
    Gestartet von Feministisches Streikkollektiv Bern
  • Für eine FAIRE Elternzeit - Hände weg vom Mutterschutz!
    Die Nationalratskommission für soziale Sicherheit und Gesundheit (SGK-N) hat entschieden, den Mutterschaftsurlaub von 14 Wochen und den Vaterschaftsurlaub von 14 Tagen zu einer  «Elternzeit» zusammenzulegen und damit «flexibilisieren» zu wollen. Neu sollen die insgesamt 16 Wochen unter den beiden Eltern «gleichberechtigt» aufteilbar sein.  Das hat nichts mit Gleichstellung zu tun – im Gegenteil:  Der Mutterschaftsurlaub soll aufgelöst werden. Damit ist die Gesundheit von Gebärenden  in grosser Gefahr.  Ausserdem geht es bei dem Vorschlag nicht unbedingt darum, Müttern mehr Chancen auf dem Arbeitsmarkt zu bieten und Eltern eine echte Vereinbarkeit zu ermöglichen, sondern primär darum, das Potenzial der Arbeitskräfte weiter auszuschöpfen und den Fachkräftemangel in den Griff zu bekommen. Ein Bericht des Bundesrates zur Elternzeit hat den Bedarf jüngst dargelegt, die Fakten liegen längst auf dem Tisch. Gebärende, Hebammen, Gynäkologinnen und weitere Fachpersonen müssen angehört und ihre Bedenken berücksichtigt werden. Mit dieser Petition fordern wir die Kommission für soziale Sicherheit auf, eine echte Elternzeit einzuführen anstelle einer Scheinlösung auf Kosten der Gesundheit von Gebärenden. Hier kannst du kostenlose Postkarten zum Verschicken, Auflegen und Verteilen bestellen: https://ekdm.ch/shop/ Du findest uns auch auf Instagram: https://www.instagram.com/p/DKFoCFXgLo_/ Oder weitere Infos unter: https://ekdm.ch/faire-elternzeit/
    18.559 von 20.000 Unterschriften
    Gestartet von EKdM Eidgenössische Kommission dini Mueter
  • Pour des baignades inclusives à Thônex
    9 arguments pour modifier le règlement thônésien en un règlement inclusif   1. Hygiène validée scientifiquement et qualité de l'eau Des agences officielles (ANSES, UNIA, CPES) confirment que les maillots couvrants n’engendrent aucun risque hygiénique et n'affectent pas la qualité de l'eau s’ils sont propres et réservés à la baignade.   1. Sécurité garantie Les maillots couvrants n’entravent ni la nage ni les sauvetages (UNIA Belgique).   1. Mauvais signal envoyé par la commune Le règlement de Thônex est l’un des plus excluants du canton. Près de chez nous, Genève, Vernier, Nyon et Lausanne autorisent les maillots couvrants. Pourquoi pas nous ?   1. Protection contre les UV  Les maillots couvrants (bras et jambe) protègent du soleil et devraient être encouragés comme mesure de santé publique.   1. Canicule et accès à l'eau Avec les épisodes de canicule qui vont certainement s'intensifier, l'accès à la piscine publique pour se rafraichir est un droit qui doit être garanti à toute personne.   1. Égalité d’accès aux loisirs Le règlement actuel exclut des femmes, des personnes trans, des personnes grosses, ou avec cicatrices, et toute personne qui se sentirait plus à l'aise dans un maillot plus long et moins moulant.   1. Exclusion sociale et discrimination L’interdiction des maillots couvrants exclut surtout des femmes musulmanes ou migrantes, ce qui est particulièrement injuste dans une commune sur le territoire de laquelle se trouve un foyer pour personnes migrantes.   1. Effet domino sur les enfants Des enfants sont privés de piscine parce que leur mère ou accompagnant·e n'est pas autorisée à entrer dans les zones près des bassins dans la tenue de baignade de leur choix pour surveiller leurs enfants.   1. Un règlement réellement impartial est possible Il suffit d’exiger des tenues propres, spécifiques à la baignade, et qu'une douche soit prise avant le bain. Lorsque les usagères et usagers de la piscine sont informés et responsabilisés, les bons comportements sont adoptés. L'inclusion, c'est facile !
    456 von 500 Unterschriften
    Gestartet von Petits Pas de Société ONG
  • Basta con i contenuti pro-anoressia su TikTok e Instagram!
    I contenuti che promuovono la magrezza, o addirittura l'anoressia – la linea di demarcazione tra i due tipi di contenuti è sottile – hanno gravi conseguenze sulla salute mentale e fisica e incoraggiano e banalizzano i disturbi alimentari (DCA), malattie gravi e talvolta mortali. E sono soprattutto i giovani a essere colpiti da questi contenuti. L'Organizzazione Mondiale della Sanità dice infatti che è durante l'adolescenza e all'inizio dell'età adulta che di solito compaiono i disturbi alimentari (3). L'eccessiva esposizione di questa fascia d'età ai social media contribuisce al problema. Anche se il culto della magrezza non è una novità, l'hashtag #SkinnyTok è particolarmente virale e viene messo in evidenza dagli algoritmi. Questo ha un impatto enorme su molte persone vulnerabili o che già soffrono di disturbi alimentari (4). La banalizzazione, o addirittura la glorificazione, dei disturbi alimentari deve finire. È urgente regolamentare meglio questi contenuti e proteggere i giovani. Con il supporto di Pro Juventute. *** Fonti (1) Meta Transparency Centre, “Suicide, Self-Injury, and Eating Disorders” (2) Tiktok Community Guidelines, ‘Disordered Eating and Body Image” (3) OMS, ’Salute mentale degli adolescenti” (4) NYT, “Skinnytok: the online trend leading kids to starve themselves”
    271 von 300 Unterschriften
    Gestartet von Campax - make change happen Picture
  • Schluss mit Pro-Magersucht-Inhalten auf TikTok und Instagram!
    Inhalte, die Magerkeit oder sogar Magersucht fördern – die Grenze dazwischen ist schmal – haben schwerwiegende Folgen für die psychische und physische Gesundheit und fördern und banalisieren Essstörungen (EDs), die ernsthafte, manchmal tödliche Krankheiten sind. Und es sind vor allem junge Menschen, die von diesen Inhalten betroffen sind. Die Weltgesundheitsorganisation berichtet, dass Essstörungen in der Regel im Jugendalter und im frühen Erwachsenenalter auftreten (3). Die Nutzung sozialer Netzwerke in dieser Altersgruppe trägt zu diesem Problem bei. Der extreme Schlankheitswahn ist zwar nicht neu, aber der Hashtag #SkinnyTok ist besonders viral und wird damit durch Algorithmen hervorgehoben. Er erreicht viele Menschen, die bereits an Essstörungen leiden oder dafür anfällig sind (4). Die Banalisierung – oder sogar Verherrlichung – von Essstörungen muss aufhören. Es ist dringend notwendig, diese Inhalte besser zu regulieren und junge Menschen zu schützen! Unterstützt von Pro Juventute. *** Quellen: 1) Meta Transparency Centre, ‚‚Suicide, Self-Injury, and Eating Disorders“ 2) Tiktok Community Guidelines, „Disordered Eating and Body Image“ 3) WHO, ‚‚Psychische Gesundheit von Jugendlichen“ 4) NYT, ‚‚Skinnytok: the online trend leading kids to starve themselves“
    6.608 von 7.000 Unterschriften
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