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Pétition pour un congé menstruel équitable dans le canton de Berne et en SuisseCette mesure vise à reconnaître un besoin physiologique naturel, à améliorer la santé, et à renforcer l’égalité réelle entre femmes et hommes dans la société et le monde du travail. Cette pétition peut être signée par toute personne résidant en Suisse, sans condition d’âge ou de nationalité (art. 33 Cst).351 von 400 UnterschriftenGestartet von Zora Wittwer
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Halte à la contrainte et à la violence pendant l'accouchement !“Toute femme victime d'une forme de violence est une femme de trop.” En Suisse, une femme sur quatre subit une forme de violence psychologique ou physique pendant l'accouchement. Cela doit changer. MAINTENANT. Selon la Haute école spécialisée bernoise (1), 25 % des femmes qui accouchent font état de contrainte, de violences ou d'un manque d'information dans la salle d'accouchement. Beaucoup en gardent de profondes blessures psychologiques, et certaines développent une dépression post-partum, voire un syndrome de stress post-traumatique. Il est également scientifiquement prouvé que les interventions médicales non nécessaires augmentent le risque de violences pendant l’accouchement. L'Organisation mondiale de la santé (OMS) (2) met en garde depuis des années contre le recours trop fréquent et souvent inutile à la césarienne. L'OMS recommande un taux maximal de césariennes d'environ 15 %, alors qu'en Suisse, ce taux est actuellement supérieur à 33 % et tend à augmenter. Le nombre élevé de déclenchements d'accouchements est également problématique : en Suisse, une femme sur quatre subit un déclenchement artificiel, souvent sans indication impérative. Cette pratique conduit souvent à des accouchements riches en interventions, avec un risque accru de complications pour la mère et l'enfant. Les derniers chiffres de l'Office fédéral de la statistique (3) confirment cette évolution. Un moyen efficace et éprouvé pour réduire les interventions inutiles est l'accompagnement continu par une doula ou une autre personne de confiance non médicale. Une étude internationale menée dans 17 pays (4) montre que les femmes bénéficiant d'un accompagnement continu pendant l'accouchement ont 50 % moins de césariennes, 41 % moins d'utilisation de ventouses ou de forceps, 39 % moins d'utilisation de médicaments pour stimuler les contractions, 60 % moins de recours à la péridurale et 28 % moins d'analgésiques au total. Dans le même temps, elles rapportent beaucoup plus souvent des expériences positives de l'accouchement. “« L'accouchement nous concerne touxstes, pas seulement les mères. La manière dont les bébés naissent façonne la confiance fondamentale, la santé d'une famille et les fondements de notre société. »” Les expériences traumatisantes liées à l'accouchement peuvent peser sur la vie familiale, affaiblir la relation de couple et compliquer le démarrage commun de la vie avec l'enfant. (5) Il ne s'agit pas seulement de l'intégrité physique, mais aussi de la santé mentale de la femme. Un accouchement respectueux et autodéterminé, sans interventions inutiles, renforce le bien-être émotionnel et protège contre la dépression post-partum, qui affecte souvent tout l'environnement familial. (6) De plus, une obstétrique de qualité et peu interventionniste est non seulement judicieuse sur le plan humain, mais aussi sur le plan économique : moins de césariennes inutiles, moins de complications, des mères en bonne santé, cela signifie également à long terme une réduction des coûts pour le système de santé. (7/8) “Pourquoi MAINTENANT ? Parce que nous ne pouvons plus rester silencieux·ses. Parce que les femmes ne doivent plus subir de violences lors de l'accouchement. Parce que les enfants ont droit à une naissance digne et paisible. Parce que la naissance nous concerne touxstes.” En signant cette pétition, vous demandez : • Un engagement national contre la violence pendant l'accouchement • Une prise en charge individuelle pendant l'accouchement • Une information transparente et le consentement avant toute intervention • Une formation initiale et continue du personnel médical à une approche sensible aux traumatismes • Des changements structurels dans l'obstétrique, axés sur des accouchements centrés sur la femme, autodéterminés et éclairés “Chaque voix compte. Chaque naissance compte. Votre signature peut changer des vies.” Nous vous remercions du fond du cœur pour votre soutien ! En partenariat avec : Hannah Ladda, doula et co-fondatrice de Womb Expansion Doula Training Michèle Stratmann, fondatrice de l'école de doulas malea lin et fondatrice du réseau suisse des doulas Dr Dorin Ritzmann, médecin spécialiste en gynécologie et obstétrique FMH Norina Wartmann, sage-femme à domicile et sage-femme libérale Monika Di Benedetto, fondatrice de l'association Verein Gewaltfreie Geburtshilfe Sources : (1) Étude de la Haute école spécialisée bernoise (2020) : «Jede 4. Frau hat unter der Geburt informellen Zwang erlebt.» (2) Déclaration de l'OMS (2015) : «Caesarean sections should only be performed when medically necessary.» (3) Office fédéral de la statistique, section Soins de santé (2023) : «Unter der Woche täglich 30% mehr Geburten als am Wochenende.» (4) Cochrane Collaboration (2017) : «Continuous support for women during childbirth» (5) Meta-Analyse (2023): «Birth related PTSD and its association with the mother-infant relationship: A meta-analysis» (6) Hollins‑Martin & Fleming (2021) : The Association between Birth Satisfaction and the Risk of Postpartum Depression (7) Camacho E. M. et al. (2018) : « Cost-effectiveness of interventions for perinatal anxiety and/or depression: a systematic review » (8) Verbeke E. et al. (2022) : « Rentabilité des interventions en santé mentale pendant et après la grossesse : revue systématique » (9) Expériences et vécu de Gina lors de la naissance de son enfant588 von 600 UnterschriftenGestartet von Gina Tanner Gobine
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Stop alla coercizione e alla violenza ostetrica durante il parto!“«Ogni donna che subisce una forma di violenza è una donna di troppo.»” Una donna su quattro in Svizzera subisce una forma di violenza psicologica o fisica durante il parto. Questo deve cambiare. ADESSO. Secondo la Scuola universitaria professionale di Berna (1), il 25% delle partorienti riferisce di aver subito coercizioni, abusi o mancanza di informazioni in sala parto. Molte subiscono profonde ferite psicologiche, alcune sviluppano una depressione post-parto o addirittura un disturbo da stress post-traumatico. È inoltre scientificamente provato che interventi medici non necessari aumentano il rischio di violenza durante il parto. L'Organizzazione Mondiale della Sanità (OMS) (2) avverte da anni che i tagli cesarei vengono eseguiti troppo di frequente e spesso senza necessità medica. L'OMS raccomanda un tasso massimo di cesarei del 15% circa, mentre in Svizzera è attualmente superiore al 33%, con una tendenza al rialzo. Anche l'alto numero di induzioni del parto è un problema: una donna su quattro in Svizzera viene indotta artificialmente, spesso senza indicazioni mediche. Questa pratica porta spesso a parti con molti interventi e un rischio maggiore di complicazioni per la mamma e il bambino. Gli ultimi dati dell'Ufficio federale di statistica (3) confermano questa tendenza. Un modo che funziona per ridurre gli interventi non necessari è avere il supporto continuo di una doula o di un'altra persona di fiducia che non sia un medico. Uno studio internazionale condotto in 17 paesi (4) mostra che le donne con assistenza continua durante il parto hanno il 50% in meno di cesarei, il 41% in meno di uso di ventose ostetriche o forcipi, il 39% in meno di uso di farmaci per stimolare le contrazioni, il 60% in meno di necessità di epidurale e il 28% in meno di analgesici in generale. Allo stesso tempo, riferiscono significativamente più spesso esperienze positive del parto. “Il parto riguarda tutti/e noi, non solo le mamme. Il modo in cui nascono i bambini influenza la fiducia di base, la salute di una famiglia e le fondamenta della nostra società.” Esperienze traumatiche durante il parto possono mettere a dura prova la vita familiare, indebolire la relazione di coppia e rendere più difficile l'inizio della vita insieme al bambino. (5) Non si tratta solo dell'integrità fisica, ma anche della salute mentale della donna. Un parto rispettoso e autodeterminato, senza interventi inutili, rafforza il benessere emotivo e protegge dalla depressione post-parto, che spesso coinvolge l'intero ambiente familiare. (6) Inoltre, un'assistenza al parto di qualità e con pochi interventi non è solo sensata dal punto di vista umano, ma anche economica: meno cesarei non necessari, meno complicazioni, mamme in buona salute... tutto questo significa anche meno costi a lungo termine per il sistema sanitario. (7/8) “Perché ora? Perché non intendiamo più rimanere in silenzio. Perché le donne non devono più subire violenze durante il parto. Perché i bambini hanno diritto a un parto dignitoso e sereno. Perché il parto riguarda tutti noi.” Con la tua firma chiedi: • Un impegno nazionale contro la violenza durante il parto • Assistenza individuale durante il parto su tutto il territorio • Informazioni trasparenti e consenso prima di ogni intervento • Formazione e aggiornamento sensibili al trauma per il personale medico • Cambiamenti strutturali nell'assistenza ostetrica con particolare attenzione ai parti incentrati sulla donna, autodeterminati e informati “Ogni voce conta. Ogni parto conta. La tua firma può cambiare la vita.” Ti ringraziamo di cuore per il tuo sostegno! In collaborazione con: Hannah Ladda, doula e co-fondatrice di Womb Expansion Doula Training Michèle Stratmann, fondatrice della scuola per doule malea lin e fondatrice della rete svizzera delle doule Dr. med. Dorin Ritzmann, specialista in ginecologia e ostetricia FMH Norina Wartmann, ostetrica domiciliare e ostetrica convenzionata Monika Di Benedetto, fondatrice dell'associazione Verein Gewaltfreie Geburtshilfe Fonti: (1) Studio della Scuola universitaria professionale di Berna (2020): «Jede 4. Frau hat unter der Geburt informellen Zwang erlebt.» (2) Dichiarazione dell'OMS (2015): «Caesarean sections should only be performed when medically necessary» (3) Ufficio federale di statistica, Sezione Assistenza sanitaria (2023): «Il 30% di nascite in più nei giorni feriali rispetto al fine settimana» (4) Cochrane Collaboration (2017): «Continuous support for women during childbirth». (5) Meta-analisi (2023): «Birth related PTSD and its association with the mother-infant relationship: A meta-analysis». (6) Hollins-Martin & Fleming (2021): «The Association between Birth Satisfaction and the Risk of Postpartum Depression» (7) Camacho E. M. et al. (2018): «Cost-effectiveness of interventions for perinatal anxiety and/or depression: a systematic review» (8) Verbeke E. et al. (2022): «Cost-effectiveness of mental health interventions during and after pregnancy: A systematic review» (9) Esperienze e vissuti di Gina durante il parto504 von 600 UnterschriftenGestartet von Gina Tanner Gobine
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Stoppt Zwang und Gewalt unter der Geburt!“«Jede Frau, die eine Form von Gewalt erleben muss, ist eine Frau zu viel.»” Jede vierte Frau in der Schweiz erlebt unter der Geburt eine Form von psychischer oder physischer Gewalt. Das muss sich ändern. JETZT. Laut der Berner Fachhochschule (1) berichten 25% der Gebärenden von Zwang, Übergriffen oder mangelnder Aufklärung im Kreißsaal. Viele erleiden dadurch tiefe seelische Wunden, manche entwickeln eine postpartale Depression oder gar eine posttraumatische Belastungsstörung. Es ist zudem wissenschaftlich belegt, dass unnötige medizinische Interventionen das Risiko für Gewalt unter der Geburt erhöhen. Die Weltgesundheitsorganisation WHO (2) warnt seit Jahren davor, dass Kaiserschnitte zu häufig und oft ohne medizinische Notwendigkeit durchgeführt werden. Die WHO empfiehlt eine maximale Kaiserschnittrate von rund 15%, in der Schweiz liegt diese aktuell bei über 33%, Tendenz steigend. Auch die hohe Zahl an Geburtseinleitungen ist problematisch: Jede vierte Frau in der Schweiz wird künstlich eingeleitet, oft ohne zwingende Indikation. Diese Praxis führt nicht selten zu interventionsreichen Geburten mit erhöhtem Komplikationsrisiko für Mutter und Kind. Die neuesten Zahlen des Bundesamts für Statistik (3) bestätigen diese Entwicklungen. Ein nachweislich wirksames Mittel zur Reduktion unnötiger Eingriffe ist die kontinuierliche Begleitung durch eine Doula oder eine andere nicht-medizinische Vertrauensperson. Eine internationale Studie aus 17 Ländern (4) zeigt: Frauen mit kontinuierlicher Geburtsbegleitung haben 50% weniger Kaiserschnitte, 41% weniger Einsatz von Saugglocke oder Zange, 39% weniger Verwendung wehenfördernder Mittel, 60% weniger Bedarf an PDA und 28% weniger Schmerzmittel insgesamt. Gleichzeitig berichten sie signifikant häufiger von positiven Geburtserfahrungen. “«Geburt betrifft uns alle, nicht nur Mütter. Wie Babys geboren werden, prägt das Urvertrauen, die Gesundheit einer Familie und die Basis unserer Gesellschaft.»” Traumatische Geburtserfahrungen können das Familienleben belasten, die Paarbeziehung schwächen und den gemeinsamen Start ins Leben mit dem Kind erschweren. (5) Dabei geht es nicht nur um die körperliche Unversehrtheit, sondern auch um die mentale Gesundheit der Frau. Eine respektvolle, selbstbestimmte Geburt ohne unnötige Eingriffe stärkt das emotionale Wohlbefinden und schützt vor postpartaler Depression, die oft das gesamte familiäre Umfeld mit in Mitleidenschaft zieht. (6) Zudem ist gute, interventionsarme Geburtshilfe nicht nur menschlich sinnvoll, sondern auch wirtschaftlich: Weniger unnötige Kaiserschnitte, weniger Komplikationen, gesunde Mütter das bedeutet langfristig auch geringere Kosten für das Gesundheitssystem. (7/8) “Warum JETZT? Weil wir nicht länger schweigen. Weil Frauen keine Geburtsgewalt mehr ertragen dürfen. Weil Kinder das Recht auf eine würdevolle, friedliche Geburt haben. Weil Geburt uns alle betrifft.” Mit Deiner Unterschrift forderst Du: • Ein nationales Bekenntnis gegen Gewalt unter der Geburt • Flächendeckende 1:1-Betreuung unter der Geburt • Transparente Aufklärung und Einverständnis vor jeder Intervention • Trauma-sensible Aus- und Weiterbildung für medizinisches Fachpersonal • Strukturelle Veränderungen in der Geburtshilfe mit Fokus auf frauenzentrierte, selbstbestimmte und informierte Geburten “Jede Stimme zählt. Jede Geburt zählt. Deine Unterschrift kann Leben verändern.” Wir danken dir von Herzen für deine Unterstützung! In Partnerschaft mit: Hannah Ladda, Doula und Co-Founder Womb Expansion Doula Training Michèle Stratmann, Gründerin malea lin Doulafachschule & Gründerin Doula Netzwerk Schweiz Dr. med. Dorin Ritzmann, Fachärztin Gynäkologie und Geburtshilfe FMH Norina Wartmann, Hausgeburtshebamme und Beleghebamme Monika Di Benedetto, Gründerin Verein Gewaltfreie Geburtshilfe Quellen: (1) Studie der Berner Fachhochschule (2020): «Jede 4. Frau hat unter der Geburt informellen Zwang erlebt.» (2) WHO‑Statement (2015): «Caesarean sections should only be performed when medically necessary.» (3) Bundesamt für Statistik, Sektion Gesundheitsversorgung (2023): «Unter der Woche täglich 30% mehr Geburten als am Wochenende.» (4) Cochrane Collaboration (2017): «Continuous support for women during childbirth» (5) Meta-Analyse (2023): «Birth related PTSD and its association with the mother-infant relationship: A meta-analysis» (6) Hollins‑Martin & Fleming (2021): The Association between Birth Satisfaction and the Risk of Postpartum Depression (7) Camacho E. M. et al. (2018): «Cost-effectiveness of interventions for perinatal anxiety and/or depression: a systematic review» (8) Verbeke E. et al. (2022): «Cost-effectiveness of mental health interventions during and after pregnancy: A systematic review» (9) Gina's Erfahrungen und Erlebnisse bei der Geburt ihres Kindes3.295 von 4.000 UnterschriftenGestartet von Gina Tanner Gobine
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"In buocha d'luf" – der neue Jagdgruss für alleDer Gruss «Weidmannsheil» stammt aus einer Zeit, in der die Jagd ausschliesslich Männern vorbehalten war. Heute sind Frauen ein selbstverständlicher Teil der Jagdkultur – doch die Sprache hat sich nicht mitentwickelt. Der Ausdruck wirkt dadurch ausgrenzend und überholt. Mit der Einführung von «in bocca al luf» haben wir die Chance, ein starkes Zeichen zu setzen: geschlechtergerecht – ein Gruss für alle Jäger*innen kulturell verankert – ein Ausdruck aus der romanischen Schweiz modern und offen – eine Tradition, die mit der Gesellschaft Schritt hält Tradition lebt nur, wenn sie sich wandeln darf. Ein neuer, inklusiver Jagdgruss verbindet Generationen und Regionen und zeigt, dass die Jagd eine Gemeinschaft ist, in der alle willkommen sind.3 von 100 UnterschriftenGestartet von Luca Mondelli
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Scandale des caméras au Grand Théâtre: des mesures à prendre immédiatement !Nous sommes profondément choquéexs et préoccupéexs par le fonctionnement du Grand Théâtre de Genève suite à la découverte de caméras dissimulées dans les douches du vestiaire du personnel féminin. Cette prestigieuse institution largement subventionnée par la Ville et le Canton se doit d’être exemplaire. En effet, les victimes potentielles doivent avoir accès aux mesures de protection et de prévention contre les comportements et les abus discriminatoires et sexistes à l’intérieur de l’institution du Grand Théâtre. À l’avenir, l’ensemble du personnel devra directement être informé en cas d’infraction du même ordre. Il faut mettre fin au climat sexiste persistant dans cette institution en pratiquant la tolérance zéro.688 von 800 UnterschriftenGestartet von Grève Féministe GE
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Für eine gerechte Soziale Arbeit: FLINTA, Feminismus und Gewalt müssen Pflichtstoff seinIn der Schweiz erlebt jede fünfte Frau mindestens einmal in ihrem Leben psychische, physische oder sexualisierte Gewalt in einer Partnerschaft. Und im Schnitt wird alle zwei Wochen eine Frau von ihrem (Ex-)Partner getötet - ein Femizid. (Quelle: Bundesamt für Statistik, 2023) Diese Realität ist Alltag. Und sie betrifft genau jene Menschen, mit denen wir in der Sozialen Arbeit arbeiten. Ob in Frauenhäusern, in Begleitung von Jugendlichen, in der Arbeit mit queeren Menschen oder mit Betroffenen häuslicher Gewalt - wir begegnen diesen Themen überall. Trotzdem fehlt in vielen Studiengängen ein verpflichtendes Modul, das genau hier ansetzt: Themen wie Feminismus, Gewaltverhältnisse, patriarchale Strukturen, Männlichkeitsbilder, intersektionale Diskriminierung und sexualisierte Gewalt werden häufig nur optional oder gar nicht behandelt. Das führt dazu, dass viele angehende Fachpersonen - gerade auch männlich gelesene - die strukturellen Hintergründe dieser Gewalt nicht verstehen oder erkennen. Sie wissen zu wenig darüber, was es bedeutet, sich in einem von patriarchaler Gewalt geprägten Alltag zu bewegen und können ihre zukünftigen Klient*innen dadurch nicht angemessen begleiten. Wir fordern dieses Modul, ...weil Wissen schützt. ...weil Empathie nicht reicht, wenn das Verständnis fehlt. ...weil Soziale Arbeit eine Verantwortung trägt. Wir wünschen uns eine Ausbildung, die hin- statt wegschaut. Eine feministische, reflektierte Soziale Arbeit, die den Menschen gerecht wird, die sie unterstützen will. Petition wird gestartet von: Natalia Hedinger, Nerea Rodriguez und Ariane Brunner “FLINTA* steht für Frauen, Lesben, intergeschlechtliche, nicht-binäre, trans und agender Personen. Der Begriff wird genutzt, um Gruppen zu benennen, die von patriarchalen und cis-männlichen Machtstrukturen betroffen sind. Das Sternchen (*) zeigt an, dass die Aufzählung offen ist und auch weitere geschlechtliche Identitäten einschliesst, die nicht unter „Cis-männlich“ fallen.”3.527 von 4.000 UnterschriftenGestartet von Natalia Hedinger
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Per il rimborso dei contraccettivi ormonali a scopo terapeutico da parte dell'assicurazione di base!Anche l'Ufficio federale della sanità pubblica lo riconosce: le donne hanno esigenze specifiche in materia di salute, che sono ancora troppo poco considerate nel nostro sistema sanitario. E un rapporto del Consiglio federale chiede misure concrete per colmare questa lacuna. [2] Il rimborso dei costi delle terapie ormonali per le malattie ginecologiche sarebbe un primo passo semplice ed efficace in questa direzione. In Svizzera, decine di migliaia di ragazze e donne soffrono di disturbi ginecologici come l'endometriosi, mestruazioni molto dolorose o abbondanti o la sindrome dell'ovaio policistico. Queste patologie, frequenti ma spesso sottovalutate, hanno un impatto significativo su: • la qualità della vita • la salute mentale • la fertilità • la capacità di seguire una formazione o di svolgere un'attività professionale Il trattamento di queste patologie si basa spesso, e talvolta esclusivamente, sulla prescrizione di contraccettivi ormonali. Tuttavia, poiché questi farmaci non figurano nell'elenco delle specialità riconosciute, non vengono rimborsati dall'assicurazione di base, anche quando sono prescritti a fini strettamente terapeutici. Di conseguenza, rimangono inaccessibili ad alcune persone per motivi finanziari. Questa situazione è ingiusta. Penalizza economicamente le persone colpite e rafforza le disuguaglianze in materia di salute. Il rimborso dei contraccettivi ormonali prescritti per disturbi ginecologici è una misura giustificata dal punto di vista medico, basata su dati scientifici e indispensabile per rispondere meglio alle esigenze specifiche delle donne. La salute delle donne non è un tema marginale. Deve finalmente essere presa sul serio e trattata in modo equo! Questa petizione è stata firmata anche dai seguenti medici specialisti: • Prof. Michael Mueller, primario del reparto di ginecologia e oncologia ginecologica dell'Inselspital e presidente della Società Svizzera di Ginecologia • Prof. Nicola Pluchino, specialista in endometriosi, responsabile dell'unità di Medicina della fertilità ed endocrinologia ginecologica del CHUV • Prof. Anis Feki, primario del reparto di ginecologia e ostetricia dell'HFR e presidente dell'ESHRE (European Society of Human Reproduction and Embryology) [1] Per motivi di leggibilità, utilizziamo qui il termine «donne» per indicare le persone affette da patologie ginecologiche. Siamo ben consapevoli che queste questioni riguardano anche alcune persone trans e non binarie, che sono ovviamente pienamente incluse nel nostro approccio. [2] «Salute delle donne. Per una migliore considerazione delle loro specificità», rapporto del Consiglio federale in risposta al postulato 19.3910 Fehlmann Rielle del 21.06.2019.580 von 600 UnterschriftenGestartet von Campax, S-Endo, Endo-Help & PROFA
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Medizinisch verschriebene hormonelle Verhütung muss von der Grundversicherung übernommen werden!Das Bundesamt für Gesundheit (BAG) anerkennt selbst: Die spezifischen Gesundheitsbedürfnisse von Frauen werden im Schweizer Gesundheitssystem noch immer ungenügend berücksichtigt. Ein Bericht des Bundesrats fordert konkrete Schritte, um diese Lücke zu schliessen [2]. Ein erster, einfacher und wirksamer Schritt: Die Kostenübernahme für hormonelle Behandlungen bei gynäkologischen Erkrankungen. Zehntausende Frauen und Mädchen in der Schweiz leiden an gynäkologischen Erkrankungen wie Endometriose oder PCOS – chronische Beschwerden, die oft verharmlost werden, aber massive Auswirkungen haben auf: • die Lebensqualität • die psychische Gesundheit • die Fertilität • die Fähigkeit, eine Ausbildung zu absolvieren oder einer beruflichen Tätigkeit nachzugehen. Die Behandlung dieser Erkrankungen erfolgt meist (und manchmal ausschliesslich) durch die Verschreibung hormoneller Verhütungsmittel. Da diese Medikamente jedoch nicht auf der Liste der anerkannten Behandlungen stehen, werden sie von der Grundversicherung nicht erstattet. Sie bleiben daher für manche aus finanziellen Gründen unzugänglich. Diese Situation ist ungerecht. Sie benachteiligt die Betroffenen finanziell und verstärkt die Ungleichheiten im Gesundheitswesen. Die Erstattung von hormonellen Verhütungsmitteln, die bei gynäkologischen Beschwerden verschrieben werden, ist eine medizinisch begründete, wissenschaftlich fundierte und unverzichtbare Massnahme, um den gesundheitlichen Bedürfnissen von Frauen besser gerecht zu werden. Die Gesundheit von Frauen ist kein Randthema. Sie muss endlich ernst genommen und gleichberechtigt behandelt werden! Diese Petition wurde auch von folgenden Fachärzten unterzeichnet: • Prof. Michael Mueller, Chefarzt der Abteilung für Gynäkologie und gynäkologische Onkologie am Inselspital und Präsident der Schweizerischen Gesellschaft für Gynäkologie • Prof. Nicola Pluchino, Endometriose-Spezialist, Leiter der Abteilung für Fertilitätsmedizin und gynäkologische Endokrinologie am CHUV • Prof. Anis Feki, Leiter der Abteilung für Gynäkologie und Geburtshilfe am HFR und Präsident der ESHRE (European Society of Human Reproduction and Embryology) [1] Aus Gründen der Lesbarkeit verwenden wir hier den Begriff «Frauen», um Personen zu bezeichnen, die von gynäkologischen Erkrankungen betroffen sind. Wir sind uns bewusst, dass diese Themen auch trans- und nicht-binäre Personen betreffen können, die selbstverständlich vollständig in unseren Ansatz einbezogen sind. [2] «Gesundheit der Frauen. Bessere Berücksichtigung ihrer Eigenheiten», Bericht des Bundesrats in Erfüllung des Postulats 19.3910 Fehlmann Rielle vom 21.06.2019.10.828 von 15.000 UnterschriftenGestartet von Campax, Endo-Help, S-Endo & PROFA
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Pour le remboursement des contraceptifs hormonaux à visée thérapeutique par l’assurance de base !Même l’Office fédéral de la santé publique le reconnaît : les femmes ont des besoins spécifiques en matière de santé, qui sont encore trop peu pris en compte dans notre système de soins. Et un rapport du Conseil fédéral demande des mesures concrètes pour combler cette lacune. [2] Le remboursement des coûts des traitements hormonaux pour les maladies gynécologiques serait une première étape simple et efficace dans cette direction. En Suisse, des dizaines de milliers de jeunes filles et femmes souffrent de troubles gynécologiques comme l’endométriose, de règles très douloureuses ou abondantes, ou encore du syndrome des ovaires polykystiques. Ces affections, fréquentes mais souvent minimisées, ont des répercussions importantes sur: • la qualité de vie • la santé mentale • la fertilité • la capacité à suivre une formation ou à exercer une activité professionnelle. Le traitement de ces pathologies repose le plus souvent – et parfois uniquement – sur la prescription de contraceptifs hormonaux. Or, comme ces médicaments ne figurent pas sur la liste des spécialités reconnues, ils ne sont pas remboursés par l’assurance de base, même lorsqu’ils sont prescrits à des fins strictement thérapeutiques. Ils restent par conséquent inaccessibles à certaines pour des raisons financières. Cette situation est injuste. Elle pénalise financièrement les personnes concernées et renforce les inégalités en matière de santé. Le remboursement des contraceptifs hormonaux prescrits pour des troubles gynécologiques est une mesure médicalement justifiée, fondée sur des données scientifiques, et indispensable pour mieux répondre aux besoins spécifiques des femmes. La santé des femmes n’est pas un sujet marginal. Elle doit enfin être prise au sérieux et traitée de manière équitable! Cette pétition a également été signée par les médecins spécialistes suivants: • Pr Michael Mueller, médecin-chef du service de gynécologie et d'oncologie gynécologique à Inselspital et président de la société suisse de gynécologie • Pr Nicola Pluchino, spécialiste de l'endométriose, responsable de l'unité de Médecine de la fertilité et endocrinologie gynécologique du CHUV • Pr Anis Feki, chef du service de gynécologie et obstétrique du HFR et président de l'ESHRE (European Society of Human Reproduction and Embryology) [1] Par souci de lisibilité, nous utilisons ici le terme « femmes » pour désigner les personnes concernées par des pathologies gynécologiques. Nous sommes bien conscient·e·s que ces enjeux concernent également certaines personnes trans et non binaires, qui sont évidemment pleinement incluses dans notre démarche. [2] “Santé des femmes. Pour une meilleure prise en compte de leurs spécificités”, Rapport du Conseil fédéral donnant suite au postulat 19.3910 Fehlmann Rielle du 21.06.2019.7.891 von 8.000 UnterschriftenGestartet von Campax, S-Endo, PROFA et Endo-Help
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«Pas d’interdiction – Pas de recul» :La réalité actuelle : Les jeunes trans à Zurich sont accompagné·e·s sur le plan thérapeutique et médical – avec soin, compétence, en dialogue avec les familles et les professionnel·le·s, selon des directives internationales. Ces traitements ne sont pas administrés à la légère, mais selon des critères clairs et une évaluation individuelle. Les analyses éthiques et juridiques commandées spécialement l'ont clairement démontré. La mesure médicale la plus courante est les bloqueurs de puberté : ils permettent un temps de réflexion, soulagent psychologiquement – et sont réversibles. Ils ne constituent pas une décision irrévocable. Aujourd'hui, la directrice de la santé veut que les bloqueurs ne soient accessibles que dans le cadre d'études. Cela empêcherait de fait l'accès à des soins médicalement nécessaires – une ingérence illégale et dangereuse. Une interdiction générale signifierait : • Des jeunes subissant une puberté non désirée et irréversible – avec une forte détresse psychologique et un risque accru de suicide. • L’inaccessibilité du traitement le plus sûr et éprouvé (les bloqueurs). • La perte du droit à la participation, pourtant garanti par la loi, des parents et les jeunes capables de discernement. • Les professionnel·le·s de la santé seraient mis·e·s sous tutelle, la recherche devient un moyen de discrimination pour des raisons politiques. Les jeunes trans méritent protection, soutien médical et respect – pas une négligence orchestrée par l'État pour gagner des voix. 👉 Signez maintenant – pour l'autodétermination, les soins et la dignité. https://uploads-campax.s3.eu-central-1.amazonaws.com/Petition.png HAZ Queer Zürich Transgender Network Switzerland LOS PinkCross InterActionSuisse Milchjugend Campax Checkpoint Zürich Brava SEGZ Sexuelle Gesundheit Zürich feministisches Streikkollektiv Zürich QueerAmnesty Du-bist-du Zürich Pride CSD Zürich JUSO Stadt Zürich spqueer Grüne Stadt Zürich Junge Grüne Zürich Grüne Kanton Zürich queer GLP/PVL feministischer Polito Treff wilsch Winterthur zwischenraum feministisches Kollektiv Winterthur Ekivock1.480 von 2.000 UnterschriftenGestartet von HAZ – Queer Zürich & TGNS – Transgender Network Switzerland
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Kein Verbot – Kein Rückschritt: Für kompetente und sichere GesundheitsversorgungDie heutige Realität: Trans Jugendliche werden in Zürich therapeutisch und medizinisch begleitet – sorgfältig, kompetent, gemeinsam im Gespräch mit Familien und Fachpersonen, nach internationalen Leitlinien. Behandlungen erfolgen nicht leichtfertig, sondern nach klaren Kriterien und individueller Abklärung. Die eigens in Auftrag gegebenen ethischen und rechtlichen Abklärungen haben das klar bewiesen. Die häufigste medizinische Massnahme sind Pubertätsblocker: Sie verschaffen Zeit zur Orientierung, entlasten psychisch – und sind reversibel. Sie bedeuten keine endgültige Entscheidung. Nun will die Gesundheitsdirektorin, dass Blocker nur noch im Rahmen von Studien zugänglich sind. Das würde den Zugang zu medizinisch nötiger Versorgung faktisch verhindern – ein rechtswidriger und gefährlicher Eingriff. Ein pauschales Verbot bedeutet: • Jugendliche erleben eine ungewollte, irreversible Pubertät – mit hohem psychischem Leidensdruck und erhöhtem Suizidrisiko. • Die bewährte, sicherste Behandlung (Blocker) wird unerreichbar. • Eltern und urteilsfähige Jugendliche verlieren ihr gesetzlich garantiertes Mitspracherecht. • Fachpersonen werden entmündigt, Forschung wird zum Mittel politisch motivierter Diskriminierung Trans Jugendliche verdienen Schutz, medizinische Unterstützung und Respekt – nicht staatlich verordnete Vernachlässigung als Mittel zum Stimmenfang. 👉 Unterschreibe jetzt – für Selbstbestimmung, Versorgung und Würde. Gestartet von: HAZ – Queer Zürich & TGNS – Transgender Network Switzerland https://uploads-campax.s3.eu-central-1.amazonaws.com/Petitiona%CC%88r%2Ainnen.png Petitionär:innen 1. HAZ – Queer Zürich 2. Transgender Network Switzerland 3. LOS Lesbenorganisation Schweiz 4. PinkCross 5. Milchjugend 6. InterAction Suisse 7. Campax 8. Checkpoint Zürich 9. Queer Amnesty 10. Zurich Pride 11. CSD Zürich 12. Regenbogenhaus Zürich 13. Regenbogentreff 14. Bisexuelle Schweiz 15. du-bist-du 16. Trans Open Wardrobe 17. Trans Safety Emergency Fund 18. Schweizer LGBTIQ Panel 19. schmaz Schwuler Männerchor Zürich 20. asso verein trans & non binär 21. voqueer 22. Ekivock 23. HIV und AidsSeelsorge Kanton Zürich 24. zwischenraum 25. Brava 26. feministisches Streikkollektiv Zürich 27. feministischer Politotreff 28. feministisches Kollektiv Winterthur 29. wilsch Winterthur 30. Sexuelle Gesundheit Zürich 31. Sexuelle Gesundheit Schweiz 32. SPqueer 33. juso Stadt Zürich 34. juso Kanton Zürich 35. juso Schweiz 36. junge grüne Zürich 37. Grüne Stadt Zürich 38. Grüne Kanton Zürich 39. Queer GLP PVL 40. junge grünliberale Schweiz 41. AL Zürich 42. FSP 43. TransParents14.646 von 15.000 UnterschriftenGestartet von HAZ – Queer Zürich & TGNS – Transgender Network Switzerland


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