• Beruf und Familie vereinbaren: Fixe Wochentage für den Nachmittagsunterricht in der Primarschule
    Die Vereinbarkeit von Beruf und Kindern ist heute Realität. Für viele ist das Zweiteinkommen eine finanzielle Notwendigkeit oder sie müssen als Alleinerziehende alles unter einen Hut bringen. Anderen Familien geht es um die Altersvorsorge, den Erhalt der Arbeitsmarktfähigkeit oder die finanzielle Unabhängigkeit. Und in Zeiten des Arbeitskräftemangels hat die Berufstätigkeit von Eltern auch aus gesellschaftlicher Sicht an Bedeutung gewonnen. Doch die Vereinbarkeit von Beruf und Familie stellt viele Eltern vor grosse finanzielle und organisatorische Herausforderungen. Aktuell stellt die Schule eine weitere Hürde dar. Denn die Stundenpläne werden teilweise erst eine Woche vor den Sommerferien verteilt - viel zu spät,  um Arbeitstage, -pensen und die Kinderbetreuung fürs nächste Schuljahr organisieren zu können. Herzlichen Dank für Ihre Unterschrift. Gemeinsam vereinfachen wir die Vereinbarkeit von Beruf und Familie.
    647 von 800 Unterschriften
    Gestartet von Nina Schärrer Picture
  • Verhütung ist ein Menschenrecht!
    .• Vor allem Jugendliche und junge Erwachsene (oft noch in Ausbildung) befinden sich schnell mal in Geldnot. Wenn es in der Schweiz öffentlichen Zugang zu Verhütungsmitteln gäbe, könnten sie sich einfacher vor ungewollten Schwangerschaften und Geschlechtskrankheiten schützen. • Jede dritte Schwangerschaft bei unverheirateten Frauen ist ungewollt. Durch kostenlose Verhütungsmittel könnten einige davon verhindert werden. • Momentan muss man in der Schweiz Verhütungsmittel selbst bezahlen, Schwangerschaftsabbrüche werden jedoch von der Krankenkasse übernommen. Dies schafft unserer Meinung nach einen finanziellen Fehlanreiz. • Die Bereitstellung kostenloser Verhütungsmittel ist langfristig kosteneffektiver, da die Kosten für Schwangerschaftsabbrüche, die damit verbundene psychische Begleitung, ungewollte Schwangerschaften gesenkt werden können. Die in den letzten Jahren immer wieder ansteigenden öffentlichen Gesundheitsausgaben können durch weniger Geburten auf lange Sicht also reduziert werden. • In der Schweiz haben Frauen oft noch immer eine höhere Verantwortung in Bezug auf Verhütung. Kostenlose Verhütungsmittel würden dazu beitragen, die Geschlechterungleichheiten zu verringern und Frauen mehr Kontrolle über ihre Gesundheit und ihr Leben zu geben. • Teile der fast 11'000 Schwangerschaftsabbrüche (darunter auch fast 1'000 bei unter 20-Jährigen), die pro Jahr in der Schweiz durchgeführt werden, könnten verhindert werden. Unserer Meinung nach ist es ein Menschenrecht, über seinen eigenen Körper bestimmen zu können und die Wahl zu haben, ob man ein Kind haben möchte oder eben nicht. Dazu sollten keine zusätzlichen Ressourcen aufgewendet werden müssen. Wenn sie auch unserer Meinung sind, dann unterzeichnen Sie jetzt die Petition. Herzlichen Dank für ihre Unterstützung. Quellen: https://www.sexuelle-gesundheit.ch/assets/docs/213-1720.pdf https://www.br.de/puls/themen/leben/kostenlose-verhuetung-fuer-geringverdiener-gruene-100.html#:~:text=Verh%C3%BCtungsmittel%20m%C3%BCssen%20auch%20f%C3%BCr%20Leute,Frauen%20%2D%20sondern%20auch%20an%20M%C3%A4nner.&text=Wer%20Sex%20hat%20und%20keine,muss%20auch%20die%20Verh%C3%BCtung%20bezahlen. https://www.sexuelle-gesundheit.ch/themen/verhuetung https://de.statista.com/statistik/daten/studie/6728/umfrage/jugendliche-die-bereits-geschlechtsverkehr-hatten/
    57 von 100 Unterschriften
    Gestartet von Kajsa La
  • Assez de journalisme à sensation mensonger !
    Les articles de presse sexistes et sans fondement ne sont pas nouveaux. On trouve également des articles sur l'étude dans les médias de Suisse romande, soutenus et alimentés par l'article de la Sonntagszeitung. Le débat sur l'égalité est mené de manière unilatérale dans les médias et est encore une fois traîné dans la boue juste avant le 14 juin, sur la base de contre-vérités. C'est pourquoi la qualité du journalisme doit être préservée, même pour les médias romands ! Vous trouverez ici notre plainte adressée au Conseil de la presse (en allemand) : https://uploads-campax.s3.eu-central-1.amazonaws.com/20230510_Beschwerde%20Presserat%20%281%29-1.png https://uploads-campax.s3.eu-central-1.amazonaws.com/20230510_Beschwerde%20Presserat%20%281%29-2.png https://uploads-campax.s3.eu-central-1.amazonaws.com/20230510_Beschwerde%20Presserat%20%281%29-3.png https://uploads-campax.s3.eu-central-1.amazonaws.com/20230510_Beschwerde%20Presserat%20%281%29-4.png La traduction de la plainte: Chers membres du Conseil de la presse Je dépose une plainte contre l'article "Umfrage an der ETH und Uni Zürich : Die meisten Studentinnen willst lieber einen erfolgreichen Mann als selber Karriere machen" de Rico Bandle, paru le 6 mai 2023 dans la Sonntagszeitung. L'article viole la directive 1.1 (recherche de la vérité). Exemple 1 : Le titre "La plupart des étudiantes préfèrent avoir un homme qui réussit plutôt que de faire carrière elles-mêmes" ne peut pas être déduit de l'étude en question comme une conclusion causale. Certes, 23% (dans les disciplines "féminines") et 28% (dans les disciplines "masculines") des étudiantes déclarent vouloir occuper un poste de direction avec des responsabilités en matière de personnel, tandis que 45% (dans les disciplines "féminines") et 32% (dans les disciplines "masculines") recherchent un partenaire avec des chances et des perspectives de carrière plus élevées. L'intersection de ces deux groupes n'a pas été calculée dans l'étude et ne peut pas représenter mathématiquement la majorité des étudiantes. De même, le titre suggère que le manque d'intérêt pour les postes de direction est corrélé au sexe, alors que l'étude montre que les postes de direction ne sont pas appréciés par la majorité des étudiants, indépendamment du sexe. Exemple 2 : "La principale raison de la direction au compte-gouttes (le fait empiriquement constaté que les femmes sont sous-représentées dans les postes supérieurs, ndlr) n'est pas la discrimination ou des conditions plus difficiles pour les mères, comme on le dit souvent, mais le fait que de nombreuses étudiantes n'ont pas ou peu d'ambitions de carrière". Ce que dit l'étude : 23% de toutes les femmes interrogées dans des "disciplines féminines" et 28% dans des "disciplines masculines" aspirent à un "poste de direction avec des responsabilités en matière de ressources humaines". Mais ce chiffre est également relativement bas chez les hommes, où 25% (dans les "matières féminines") et 35% (dans les "matières masculines") aspirent à un "poste de direction avec responsabilité de personnel". La différence entre les sexes est faible. (Annexe, Fig. 5) Une fois de plus, il est suggéré ici que les ambitions de carrière déduites de la présente étude ont un lien avec le sexe. Cela ne correspond pas à la vérité. Exemple 3 : "Leur (les femmes interrogées, ndlr) vision de la famille reste plutôt conservatrice : elles ont tendance à préférer un partenaire plus âgé et plus performant qu'elles". Ce que dit l'étude : 45% de toutes les femmes interrogées dans des "disciplines féminines" et 32% dans des "disciplines masculines" souhaitent avoir des partenaires* avec de meilleures perspectives de carrière. (Annexe, Fig. 8) Cela signifie qu'une nette majorité de femmes - 55% des femmes interrogées dans les "disciplines féminines" et 68% dans les "disciplines masculines" - souhaitent un partenaire qui a des perspectives de carrière aussi bonnes ou moins bonnes. En ne mentionnant pas qu'une majorité des deux sexes souhaitent un* partenaire avec des perspectives de carrière égales ou inférieures, on donne une image fausse et déséquilibrée. Exemple 4 : "Quand il y a des enfants, elles (les femmes interrogées, ndlr) veulent travailler à temps partiel, l'homme doit assurer le revenu principal à plein temps". Ce que dit l'étude : une nette minorité - 22% des répondantes dans les "matières féminines" et 34% dans les "matières masculines" - souhaitent que leur partenaire travaille à plein temps après avoir fondé une famille. Les valeurs comparatives pour les hommes : 16% des hommes dans les "matières féminines" (soit seulement 6% de moins que les femmes) et 27% dans les "matières masculines" (7% de moins) souhaitent un partenaire qui travaille à plein temps après avoir fondé une famille. (voir statistique 3, annexe) L'article donne l'image d'une majorité de femmes interrogées souhaitant un homme travaillant à plein temps. En réalité, il s'agit d'une minorité et l'affirmation de l'article est fausse. Je n'ai pas l'intention d'intenter une action en justice contre ce média.
    462 von 500 Unterschriften
    Gestartet von Campax - make change happen Picture
  • Basta con il giornalismo sensazionalista e falso!
    Gli articoli sessisti e infondati dei media non sono una novità. Articoli sullo studio si trovano anche nei media di lingua italiana, sostenuti e alimentati dall'articolo della Sonntagszeitung. Il dibattito sull'uguaglianza di genere è condotto in modo unilaterale dai media e viene trascinato nel fango ancora una volta poco prima del 14 giugno, sulla base di falsità. Ecco perché vale anche per i media in lingua italiana: il giornalismo di qualità deve essere preservato! Qui può trovare il nostro reclamo al Consiglio svizzero della Stampa (in tedesco): https://uploads-campax.s3.eu-central-1.amazonaws.com/20230510_Beschwerde%20Presserat%20%281%29-1.png https://uploads-campax.s3.eu-central-1.amazonaws.com/20230510_Beschwerde%20Presserat%20%281%29-2.png https://uploads-campax.s3.eu-central-1.amazonaws.com/20230510_Beschwerde%20Presserat%20%281%29-3.png https://uploads-campax.s3.eu-central-1.amazonaws.com/20230510_Beschwerde%20Presserat%20%281%29-4.png
    56 von 100 Unterschriften
    Gestartet von Campax - make change happen Picture
  • Genug von unwahrem Sensationsjournalismus!
    Dieser Fall ist nicht der erste von sexistischer, sensationsheischender Berichterstattung. Aber jetzt ist es genug! Hier die Detaillierten Ausführungen dazu, warum der Artikel den Richtlinien des Presserates widerspricht: Der Artikel verletzt die Richtlinie 1.1 (Wahrheitssuche). Beispiel 1: Der Titel «Die meisten Studentinnen wollen lieber einen erfolgreichen Mann, als selber Karriere machen» kann so kausal nicht als Schlussfolgerung aus der betreffenden Studie abgeleitet werden. Zwar geben 23% (in «Frauenfächern») bzw. 28% (in «Männerfächern») der Studentinnen an eine Führungsposition mit Personalverantwortung anzustreben, während 45% (in «Frauenfächern») bzw. 32% (in «Männerfächern») einen Partner mit höheren Karrierechancen und - aussichten suchen. Die Schnittmenge dieser beiden Gruppen ist in der Studie nicht berechnet worden und kann rechnerisch nicht die Mehrheit der Studentinnen abbilden. Ebenfalls wird mit dem Titel suggeriert, dass fehlendes Interesse an Führungspositionen mit dem Geschlecht korreliert, während die Studie aufzeigt, dass Führungspositionen beim Grossteil der Studierenden unbeliebt sind, unabhängig vom Geschlecht. Beispiel 2: «Der wichtigste Grund für die tröpfelnde Leitung (die empirisch feststellbare Tatsache, dass Frauen in höheren Positionen untervertreten sind, Anm. d. Verf.) sind nicht etwa Diskriminierung oder erschwerte Bedingungen für Mütter, wie oft gesagt wird, sondern dass viele Studentinnen keine oder nur geringe Karriereambitionen haben.» Was die Studie sagt: 23% aller weiblichen Befragten in «Frauenfächern» und 28% in «Männerfächern» streben eine «Führungsposition mit Personalverantwortung» an. Die Zahl ist bei Männern aber auch verhältnismässig tief, dort streben 25% (in «Frauenfächern») und 35% (in «Männerfächern») eine «Führungsposition mit Personalverantwortung» an. Der Geschlechterunterschied ist gering. (siehe Statistik 1, Anhang) Erneut wird hier suggeriert, dass die Karriereambitionen abgeleitet aus der vorliegenden Studie einen Bezug zum Geschlecht haben. Dies entspricht nicht der Wahrheit. Beispiel 3: «Ihr (die weiblichen Befragten, Anm. d. Verf.) Familienbild ist nach wie vor eher konservativ geprägt: Tendenziell bevorzugen sie einen Partner, der älter und erfolgreicher ist als sie.» Was die Studie sagt: 45% aller weiblichen Befragten in «Frauenfächern» und 32% in «Männerfächern» wünschen sich Partner*innen mit besseren Karriereaussichten. (siehe Statistik 2, Anhang) Das heisst eine deutliche Frauenmehrheit – 55% der weiblichen Befragten in «Frauenfächern» und 68% in «Männerfächern» – wünscht sich einen Partner, der gleich gute oder geringere Karriereaussichten hat. Indem nicht erwähnt wird, dass sich eine Mehrheit beider Geschlechter eine*n Partner*in mit gleichen oder geringeren Karrierechancen wünscht, wird ein falsches und unausgewogenes Bild vermittelt. Beispiel 4: «Wenn Kinder da sind, wollen sie (die weiblichen Befragten, Anm. d. Verf.) Teilzeit arbeiten, der Mann soll Vollzeit für das Haupteinkommen sorgen.» Was die Studie sagt: Eine klare Minderheit – 22% der weiblichen Befragten in «Frauenfächern» und 34% in «Männerfächern» – wünschen sich einen Partner, der nach der Familiengründung Vollzeit arbeitet. Die Vergleichswerte für Männer: 16% der Männer in «Frauenfächern» (also nur 6% weniger als bei den Frauen) und 27% in «Männerfächern» (7% weniger) wollen eine Partnerin, die nach der Familiengründung Vollzeit arbeitet. (siehe Statistik 3, Anhang) Im Artikel wird das Bild gezeichnet, dass eine Mehrheit der weiblichen Befragten sich einen Vollzeit arbeitenden Mann wünscht. Tatsächlich ist es eine Minderheit und die Aussage des Artikels falsch. Unsere Beschwerde an den Presserat: https://uploads-campax.s3.eu-central-1.amazonaws.com/20230510_Beschwerde%20Presserat%20%281%29-1.png https://uploads-campax.s3.eu-central-1.amazonaws.com/20230510_Beschwerde%20Presserat%20%281%29-2.png https://uploads-campax.s3.eu-central-1.amazonaws.com/20230510_Beschwerde%20Presserat%20%281%29-3.png https://uploads-campax.s3.eu-central-1.amazonaws.com/20230510_Beschwerde%20Presserat%20%281%29-4.png
    2.889 von 3.000 Unterschriften
    Gestartet von Campax - make change happen Picture
  • Binden sind wie Klopapier – Gratis-Menstruationsprodukte, jetzt!
    Perioden-Armut kann der Gesundheit schaden. Oder bewirkt, dass manche nicht zur Schule oder zur Arbeit gehen. Manche Menschen können sich keine oder nur wenig Produkte für die Menstruation leisten. Produkte für die Menstruation sind zum Beispiel Tampons oder Binden. Manche Menschen schämen sich wegen der Menstruation. Nicht alle wissen, was die Menstruation ist. Und welche verschiedenen Produkte es für die Menstruation gibt. Oder was sie tun können, wenn sie Schmerzen oder Beschwerden haben wegen der Menstruation. Obwohl ungefähr die Hälfte der Menschen die Menstruation etwa einmal im Monat während rund 40 Jahren hat. All dies gehört zur Perioden-Armut. [1] Der Kauf von Menstruationsprodukten kann zu einer finanziellen Belastung werden. Gemäss einer Schätzung von Radio Télévision Suisse RTS zahlen Mädchen, Frauen und ein Teil der trans und intergeschlechtlichen Menschen im Leben etwa 4500 Franken für Tampons, Binden und ähnliche Produkte. [2] Insbesondere für Obdachlose, Menschen in prekären Verhältnissen und Studentinnen kann das ins Gewicht fallen. In allen Toiletten steht Toilettenpapier gratis zur Verfügung. Ebenso wie beim Toilettenpapier handelt es sich bei Monatshygieneartikel um Güter des Grundbedarfs. Die freie Verfügbarkeit von Menstruationsprodukten bedeutet eine grosse Entlastung bezüglich dem Schamgefühl wegen möglichen Blutflecken und erspart unangenehme oder gar gefährliche Situationen, die immer dann entstehen, wenn auf andere, weniger hygienische Produkte zurückgegriffen werden muss. [3] [1] https://www.stadt-zuerich.ch/prd/de/index/gleichstellung/themen/oeffentlicher_raum/periodenarmut/pilotprojekt.html [2] https://pages.rts.ch/la-1ere/programmes/on-en-parle/11066995-le-cout-des-menstruations-et-comment-reduire-la-facture-18-02-2020.html?mediaShare=1 [3] https://www.parlament.ch/de/ratsbetrieb/suche-curia-vista/geschaeft?AffairId=20204493
    10 von 100 Unterschriften
    Gestartet von Susan Schühle
  • Binden sind wie Klopapier – Gratis-Menstruationsprodukte, jetzt!
    Perioden-Armut kann der Gesundheit schaden. Oder bewirkt, dass manche nicht zur Schule oder zur Arbeit gehen. Manche Menschen können sich keine oder nur wenig Produkte für die Menstruation leisten. Produkte für die Menstruation sind zum Beispiel Tampons oder Binden. Manche Menschen schämen sich wegen der Menstruation. Nicht alle wissen, was die Menstruation ist. Und welche verschiedenen Produkte es für die Menstruation gibt. Oder was sie tun können, wenn sie Schmerzen oder Beschwerden haben wegen der Menstruation. Obwohl ungefähr die Hälfte der Menschen die Menstruation etwa einmal im Monat während rund 40 Jahren hat. All dies gehört zur Perioden-Armut. [1] Der Kauf von Menstruationsprodukten kann zu einer finanziellen Belastung werden. Gemäss einer Schätzung von Radio Télévision Suisse RTS zahlen Mädchen, Frauen und ein Teil der trans und intergeschlechtlichen Menschen im Leben etwa 4500 Franken für Tampons, Binden und ähnliche Produkte. [2] Insbesondere für Obdachlose, Menschen in prekären Verhältnissen und Studentinnen kann das ins Gewicht fallen. In allen Toiletten steht Toilettenpapier gratis zur Verfügung. Ebenso wie beim Toilettenpapier handelt es sich bei Monatshygieneartikel um Güter des Grundbedarfs. Die freie Verfügbarkeit von Menstruationsprodukten bedeutet eine grosse Entlastung bezüglich dem Schamgefühl wegen möglichen Blutflecken und erspart unangenehme oder gar gefährliche Situationen, die immer dann entstehen, wenn auf andere, weniger hygienische Produkte zurückgegriffen werden muss. [3] [1] https://www.stadt-zuerich.ch/prd/de/index/gleichstellung/themen/oeffentlicher_raum/periodenarmut/pilotprojekt.html [2] https://pages.rts.ch/la-1ere/programmes/on-en-parle/11066995-le-cout-des-menstruations-et-comment-reduire-la-facture-18-02-2020.html?mediaShare=1 [3] https://www.parlament.ch/de/ratsbetrieb/suche-curia-vista/geschaeft?AffairId=20204493
    6 von 100 Unterschriften
    Gestartet von Barbara Just
  • Binden sind wie Klopapier – Gratis-Menstruationsprodukte, jetzt!
    Perioden-Armut kann der Gesundheit schaden. Oder bewirkt, dass manche nicht zur Schule oder zur Arbeit gehen. Manche Menschen können sich keine oder nur wenig Produkte für die Menstruation leisten. Produkte für die Menstruation sind zum Beispiel Tampons oder Binden. Manche Menschen schämen sich wegen der Menstruation. Nicht alle wissen, was die Menstruation ist. Und welche verschiedenen Produkte es für die Menstruation gibt. Oder was sie tun können, wenn sie Schmerzen oder Beschwerden haben wegen der Menstruation. Obwohl ungefähr die Hälfte der Menschen die Menstruation etwa einmal im Monat während rund 40 Jahren hat. All dies gehört zur Perioden-Armut. [1] Der Kauf von Menstruationsprodukten kann zu einer finanziellen Belastung werden. Gemäss einer Schätzung von Radio Télévision Suisse RTS zahlen Mädchen, Frauen und ein Teil der trans und intergeschlechtlichen Menschen im Leben etwa 4500 Franken für Tampons, Binden und ähnliche Produkte. [2] Insbesondere für Obdachlose, Menschen in prekären Verhältnissen und Studentinnen kann das ins Gewicht fallen. In allen Toiletten steht Toilettenpapier gratis zur Verfügung. Ebenso wie beim Toilettenpapier handelt es sich bei Monatshygieneartikel um Güter des Grundbedarfs. Die freie Verfügbarkeit von Menstruationsprodukten bedeutet eine grosse Entlastung bezüglich dem Schamgefühl wegen möglichen Blutflecken und erspart unangenehme oder gar gefährliche Situationen, die immer dann entstehen, wenn auf andere, weniger hygienische Produkte zurückgegriffen werden muss. [3] [1] https://www.stadt-zuerich.ch/prd/de/index/gleichstellung/themen/oeffentlicher_raum/periodenarmut/pilotprojekt.html [2] https://pages.rts.ch/la-1ere/programmes/on-en-parle/11066995-le-cout-des-menstruations-et-comment-reduire-la-facture-18-02-2020.html?mediaShare=1 [3] https://www.parlament.ch/de/ratsbetrieb/suche-curia-vista/geschaeft?AffairId=20204493
    4 von 100 Unterschriften
    Gestartet von Raymond Liaudet
  • Binden sind wie Klopapier – Gratis-Menstruationsprodukte, jetzt!
    Perioden-Armut kann der Gesundheit schaden. Oder bewirkt, dass manche nicht zur Schule oder zur Arbeit gehen. Manche Menschen können sich keine oder nur wenig Produkte für die Menstruation leisten. Produkte für die Menstruation sind zum Beispiel Tampons oder Binden. Manche Menschen schämen sich wegen der Menstruation. Nicht alle wissen, was die Menstruation ist. Und welche verschiedenen Produkte es für die Menstruation gibt. Oder was sie tun können, wenn sie Schmerzen oder Beschwerden haben wegen der Menstruation. Obwohl ungefähr die Hälfte der Menschen die Menstruation etwa einmal im Monat während rund 40 Jahren hat. All dies gehört zur Perioden-Armut. [1] Der Kauf von Menstruationsprodukten kann zu einer finanziellen Belastung werden. Gemäss einer Schätzung von Radio Télévision Suisse RTS zahlen Mädchen, Frauen und ein Teil der trans und intergeschlechtlichen Menschen im Leben etwa 4500 Franken für Tampons, Binden und ähnliche Produkte. [2] Insbesondere für Obdachlose, Menschen in prekären Verhältnissen und Studentinnen kann das ins Gewicht fallen. In allen Toiletten steht Toilettenpapier gratis zur Verfügung. Ebenso wie beim Toilettenpapier handelt es sich bei Monatshygieneartikel um Güter des Grundbedarfs. Die freie Verfügbarkeit von Menstruationsprodukten bedeutet eine grosse Entlastung bezüglich dem Schamgefühl wegen möglichen Blutflecken und erspart unangenehme oder gar gefährliche Situationen, die immer dann entstehen, wenn auf andere, weniger hygienische Produkte zurückgegriffen werden muss. [3] [1] https://www.stadt-zuerich.ch/prd/de/index/gleichstellung/themen/oeffentlicher_raum/periodenarmut/pilotprojekt.html [2] https://pages.rts.ch/la-1ere/programmes/on-en-parle/11066995-le-cout-des-menstruations-et-comment-reduire-la-facture-18-02-2020.html?mediaShare=1 [3] https://www.parlament.ch/de/ratsbetrieb/suche-curia-vista/geschaeft?AffairId=20204493
    7 von 100 Unterschriften
    Gestartet von Barbara Thurnher
  • Tibits, Binden sind wie Klopapier – Gratis-Menstruationsprodukte, jetzt!
    Perioden-Armut kann der Gesundheit schaden. Oder bewirkt, dass manche nicht zur Schule oder zur Arbeit gehen. Manche Menschen können sich keine oder nur wenig Produkte für die Menstruation leisten. Produkte für die Menstruation sind zum Beispiel Tampons oder Binden. Manche Menschen schämen sich wegen der Menstruation. Nicht alle wissen, was die Menstruation ist. Und welche verschiedenen Produkte es für die Menstruation gibt. Oder was sie tun können, wenn sie Schmerzen oder Beschwerden haben wegen der Menstruation. Obwohl ungefähr die Hälfte der Menschen die Menstruation etwa einmal im Monat während rund 40 Jahren hat. All dies gehört zur Perioden-Armut. [1] Der Kauf von Menstruationsprodukten kann zu einer finanziellen Belastung werden. Gemäss einer Schätzung von Radio Télévision Suisse RTS zahlen Mädchen, Frauen und ein Teil der trans und intergeschlechtlichen Menschen im Leben etwa 4500 Franken für Tampons, Binden und ähnliche Produkte. [2] Insbesondere für Obdachlose, Menschen in prekären Verhältnissen und Studentinnen kann das ins Gewicht fallen. In allen Toiletten steht Toilettenpapier gratis zur Verfügung. Ebenso wie beim Toilettenpapier handelt es sich bei Monatshygieneartikel um Güter des Grundbedarfs. Die freie Verfügbarkeit von Menstruationsprodukten bedeutet eine grosse Entlastung bezüglich dem Schamgefühl wegen möglichen Blutflecken und erspart unangenehme oder gar gefährliche Situationen, die immer dann entstehen, wenn auf andere, weniger hygienische Produkte zurückgegriffen werden muss. [3] [1] https://www.stadt-zuerich.ch/prd/de/index/gleichstellung/themen/oeffentlicher_raum/periodenarmut/pilotprojekt.html [2] https://pages.rts.ch/la-1ere/programmes/on-en-parle/11066995-le-cout-des-menstruations-et-comment-reduire-la-facture-18-02-2020.html?mediaShare=1 [3] https://www.parlament.ch/de/ratsbetrieb/suche-curia-vista/geschaeft?AffairId=20204493
    4 von 100 Unterschriften
    Gestartet von Beat Oesch
  • Binden sind wie Klopapier – Gratis-Menstruationsprodukte, jetzt!
    Perioden-Armut kann der Gesundheit schaden. Oder bewirkt, dass manche nicht zur Schule oder zur Arbeit gehen. Manche Menschen können sich keine oder nur wenig Produkte für die Menstruation leisten. Produkte für die Menstruation sind zum Beispiel Tampons oder Binden. Manche Menschen schämen sich wegen der Menstruation. Nicht alle wissen, was die Menstruation ist. Und welche verschiedenen Produkte es für die Menstruation gibt. Oder was sie tun können, wenn sie Schmerzen oder Beschwerden haben wegen der Menstruation. Obwohl ungefähr die Hälfte der Menschen die Menstruation etwa einmal im Monat während rund 40 Jahren hat. All dies gehört zur Perioden-Armut. [1] Der Kauf von Menstruationsprodukten kann zu einer finanziellen Belastung werden. Gemäss einer Schätzung von Radio Télévision Suisse RTS zahlen Mädchen, Frauen und ein Teil der trans und intergeschlechtlichen Menschen im Leben etwa 4500 Franken für Tampons, Binden und ähnliche Produkte. [2] Insbesondere für Obdachlose, Menschen in prekären Verhältnissen und Studentinnen kann das ins Gewicht fallen. In allen Toiletten steht Toilettenpapier gratis zur Verfügung. Ebenso wie beim Toilettenpapier handelt es sich bei Monatshygieneartikel um Güter des Grundbedarfs. Die freie Verfügbarkeit von Menstruationsprodukten bedeutet eine grosse Entlastung bezüglich dem Schamgefühl wegen möglichen Blutflecken und erspart unangenehme oder gar gefährliche Situationen, die immer dann entstehen, wenn auf andere, weniger hygienische Produkte zurückgegriffen werden muss. [3] [1] https://www.stadt-zuerich.ch/prd/de/index/gleichstellung/themen/oeffentlicher_raum/periodenarmut/pilotprojekt.html [2] https://pages.rts.ch/la-1ere/programmes/on-en-parle/11066995-le-cout-des-menstruations-et-comment-reduire-la-facture-18-02-2020.html?mediaShare=1 [3] https://www.parlament.ch/de/ratsbetrieb/suche-curia-vista/geschaeft?AffairId=20204493
    5 von 100 Unterschriften
    Gestartet von Kim Gallagher
  • Binden sind wie Klopapier – Gratis-Menstruationsprodukte, jetzt!
    Perioden-Armut kann der Gesundheit schaden. Oder bewirkt, dass manche nicht zur Schule oder zur Arbeit gehen. Manche Menschen können sich keine oder nur wenig Produkte für die Menstruation leisten. Produkte für die Menstruation sind zum Beispiel Tampons oder Binden. Manche Menschen schämen sich wegen der Menstruation. Nicht alle wissen, was die Menstruation ist. Und welche verschiedenen Produkte es für die Menstruation gibt. Oder was sie tun können, wenn sie Schmerzen oder Beschwerden haben wegen der Menstruation. Obwohl ungefähr die Hälfte der Menschen die Menstruation etwa einmal im Monat während rund 40 Jahren hat. All dies gehört zur Perioden-Armut. [1] Der Kauf von Menstruationsprodukten kann zu einer finanziellen Belastung werden. Gemäss einer Schätzung von Radio Télévision Suisse RTS zahlen Mädchen, Frauen und ein Teil der trans und intergeschlechtlichen Menschen im Leben etwa 4500 Franken für Tampons, Binden und ähnliche Produkte. [2] Insbesondere für Obdachlose, Menschen in prekären Verhältnissen und Studentinnen kann das ins Gewicht fallen. In allen Toiletten steht Toilettenpapier gratis zur Verfügung. Ebenso wie beim Toilettenpapier handelt es sich bei Monatshygieneartikel um Güter des Grundbedarfs. Die freie Verfügbarkeit von Menstruationsprodukten bedeutet eine grosse Entlastung bezüglich dem Schamgefühl wegen möglichen Blutflecken und erspart unangenehme oder gar gefährliche Situationen, die immer dann entstehen, wenn auf andere, weniger hygienische Produkte zurückgegriffen werden muss. [3] [1] https://www.stadt-zuerich.ch/prd/de/index/gleichstellung/themen/oeffentlicher_raum/periodenarmut/pilotprojekt.html [2] https://pages.rts.ch/la-1ere/programmes/on-en-parle/11066995-le-cout-des-menstruations-et-comment-reduire-la-facture-18-02-2020.html?mediaShare=1 [3] https://www.parlament.ch/de/ratsbetrieb/suche-curia-vista/geschaeft?AffairId=20204493
    7 von 100 Unterschriften
    Gestartet von René Edward Knupfer