• Pour le droit à un congé prénatal ! (Grève féministe, SSP, SIT, SEV)
    Le congé prénatal est une revendication très ancienne, demandé par les travailleuse-x-s depuis la fin du 19ème siècle au moins. Plus récemment, le Cartel intersyndical de la fonction publique a déposé le 14 juin 2023 un cahier de revendications féministe dans lequel figure la demande d’introduire ce congé indispensable. Le fait que les employeurs des secteurs publics et subventionnés ne reconnaissent toujours pas le droit au congé prénatal pour leurs employée-x-s fait d’eux des employeurs aux valeurs archaïques. Le congé prénatal est une nécessité, il est temps de le reconnaître ! Par la présente pétition, les soussigné-e-x-s demandent au Conseil d’Etat et au Grand Conseil de reconnaître et défendre la nécessité d’introduire un congé prénatal d’au moins 4 semaines avec plein traitement (sur le modèle du congé maternité) dans les lois et règlements d’application auxquels sont soumises les travailleuse-x-s des secteurs publics et subventionnés. Ce congé prénatal doit s’ajouter au congé maternité de 20 semaines. Pétition lancée par - le Syndicat des services publics - Genève (SSP), https://geneve.ssp-vpod.ch/ - le Syndicat interprofessionnel de travailleuses et travailleurs (SIT), https://www.sit-syndicat.ch/spip/ - le Syndicat SEV-TPG, https://sevtpg.org/ - le Collectif genevois de la Grève féministe, https://grevefeministe-ge.ch/ Avec le soutien du Cartel intersyndical de la fonction publique (https://cartel-ge.ch/) et la Commission féministe de la Communauté genevoise d'action syndicale (https://www.cgas.ch/SPIP/)
    144 von 200 Unterschriften
    Gestartet von Aline Zuber
  • Petition: Gemeinsam gegen sexualisierte Gewalt als Waffe im Nahen Osten (D/E)
    Diese Petition ist wichtig, da sie zu gemeinsamem Handeln gegen sexualisierte Gewalt aufruft und sich für die Würde und Gleichheit aller Menschen unabhängig von ihrem Geschlecht im Nahen Osten einsetzt. Sie betont die Notwendigkeit globaler Zusammenarbeit und spezifischer Maßnahmen zum Schutz und zur Stärkung von Frauen, um Frieden und Gerechtigkeit in der Region zu fördern. **** This petition is crucial as it calls for collective action against sexualized violence, advocating for the dignity and equality of all individuals regardless of gender in the Middle East. It emphasizes the need for global cooperation and specific measures to protect and empower women, promoting peace and justice in the region.
    908 von 1.000 Unterschriften
    Gestartet von Rachel M.
  • APPELLO AI COMUNI – INVESTIRE NEL TICINO DI DOMANI
    Perché firmare l'appello? Per un Ticino più competitivo. Un Cantone che sa offrire ai propri cittadini un welfare avanzato, fornendo servizi a favore delle famiglie, verrebbe apprezzato e preferito ad altri e potrebbe scoraggiare i giovani dal cercare opportunità fuori dal Ticino ma anche invogliare altri a rientrare dopo gli studi. Investire nelle famiglie e non solo nelle attività economiche. Per un Ticino che sostiene il lavoro indigeno. Le cifre dicono che le donne ticinesi hanno un elevato tasso di abbandono dell’attività lavorativa in occasione del maternità, e a rendere il lavoro delle donne ancora più fragile sono i tempi di lavoro parziali: ciò ha un impatto fiscale (meno tasse pagate) e previdenziale (meno contributi nel corso della vita). In assenza di vere misure di conciliabilità continueremo a perdere lavoratici o a ridurne la capacità lavorativa, rendendo sempre più necessario il ricorso a lavoratori frontalieri. Per un Ticino con famiglie più resilienti. Famiglie con un solo reddito sono più esposte agli eventi negativi quali divorzio, perdita del lavoro, malattie, infortuni e lutti. Il buco contributivo delle donne lascia le più esposte a condizioni economiche disagiate nella vecchiaia. Sostenere il lavoro femminile con misure che consentono di lavorare dopo la maternità, equivale a ridurre nel tempo la necessità di ricorrere a prestazioni sociali negli anni.
    1.056 von 2.000 Unterschriften
    Gestartet von Comitato FAFTPlus
  • Protection et perspectives pour les requérant·es d’asile débouté·es d’Iran en Suisse
    En Iran, personne n’est en sécurité. Le gouvernement réprime brutalement les droits fondamentaux de toute la population. Le 7 février 2023, le rapporteur spécial sur la situation des droits de l’homme en Iran publiait un rapport accablant (1). Le régime traite les personnes de manière totalement arbitraire. La répression frappe en particulier les personnes FINTA (femmes, personnes intersexes, non-binaires, trans et «agenres»), les enfants et les jeunes, les membres de l’opposition et les minorités ethniques ou religieuses. Sans aucune considération pour l’État de droit et les droits humains, le régime fait tuer, torturer, maltraiter, arrêter et condamner des personnes sur la base d’aveux forcés. Il est impossible de retourner en Iran (2). Le régime persécute les personnes y compris à l’étranger. Le service de renseignement de la Confédération confirme qu’il existe «des éléments indiquant une intensification des activités de renseignement de l’Iran en Suisse» (3). Les Iranien·nes qui manifestent en Suisse contre le régime iranien peuvent être poursuivi·es pour cela en Iran. Selon les informations d’Amnesty International, «les personnes qui ont demandé l’asile à l’étranger peuvent être considérées comme des opposantes au gouvernement et être menacées en cas de retour, même sans présenter un profil particulier».(4) Dans ce contexte, la collaboration du SEM avec « l’avocat de confiance » iranien Hasan Amirshahi, qui travaillerait régulièrement pour le régime iranien, est particulièrement explosive. Depuis des années, les indications selon lesquelles cette collaboration permet de transmettre des informations au régime, sabotant ainsi les demandes d'asile et mettant en danger les requérants d'asile et leurs familles, s’accumulent. (5) Les exilé·es iranien·nes débouté·es se retrouvent dans une situation très difficile. Ils et elles n’ont pas droit à une vie normale. Cela affecte particulièrement les enfants et les jeunes, qui grandissent dans une situation marquée par l’insécurité. Trop souvent, tout cela porte atteinte à leur santé physique et psychique, entraînant des dépressions et des idées suicidaires. Il est inacceptable que les personnes réfugiées d’Iran continuent à vivre dans des conditions désespérées et juridiquement précaires en Suisse. (1) Rapport du rapporteur spécial sur la situation des droits de l’homme en Iran: https://undocs.org/Home/Mobile?FinalSymbol=A%2FHRC%2F52%2F67&Language=E&DeviceType=Desktop&LangRequested=False (2) «Kein Zurück mehr», Lukas Tobler, WOZ, 10.08.2023 (en allemand): https://www.woz.ch/2332/asylpolitik/kein-zurueck-mehr/!ZVR9Y99DQ2Q2 (3) Reportage sur les activités des services secrets iraniens (en allemand): https://www.srf.ch/news/schweiz/spionage-und-repression-der-iranische-geheimdienst-ist-vermehrt-in-der-schweiz-aktiv (4) «Solidarität und Schutz für Geflüchtete aus dem Iran», Medienmitteilung Amnesty Schweiz, 27. Februar 2023: https://www.amnesty.ch/de/laender/naher-osten-nordafrika/iran/dok/2023/solidaritaet-und-schutz-fuer-gefluechtete-aus-dem-iran# (5) «Der Anwalt, der ihnen Angst macht: Flüchtlinge aus Iran misstrauen dem Vertrauensanwalt der Schweiz in Teheran», Ladina Triaca, NZZ am Sonntag, 2. Dezember 2023: https://www.nzz.ch/nzzas/iran-mit-diesem-vertrauensanwalt-arbeitet-die-schweiz-ld.1768715 sowie «Dann sprang er», Christoph Keller (Text) und Jeanette Besmer (Illustration), WOZ, 16. September 2021: https://www.woz.ch/2137/asylpolitik/dann-sprang-er
    443 von 500 Unterschriften
    Gestartet von Empathie und Einheit & Migrant Solidarity Network
  • حمایت و چشم انداز پناهندگان ایرانی بدون جواب در سوئیس
    در ایران امنیت وجود ندارد. دولت حقوق اساسی کل مردم را به طرز وحشیانه ای سرکوب می کند. در ٧ فوریه ٢٠٢٣، گزارشگر ویژه سازمان ملل در امور حقوق بشر در ایران گزارشی تکان دهنده منتشر کرد.رژیم، خودسرانه علیه مردم عمل می کند. از جمله زنان، کودکان، نوجوانان، دگرباش های جنسی، اقلیت های مذهبی، و اعضای مخالف رژیم تحت تاثیر اين موضوع قرار ميگيرند. رژیم بدون توجه به حاکمیت قانون و حقوق بشر، مردم را دستگیر می کند و براساس اعترافات اجباری مورد بدرفتاری قرار میدهد، شکنجه و محکوم می کند. بازگشت به ایران غیرممکن است. رژیم در خارج از کشور نیز مردم را مورد آزار و اذیت قرار می دهد. سرویس اطلاعاتی فدرال تأیید می‌کند که «یافته‌هایی وجود دارد که حاکی از تشدید فعالیت‌های اطلاعاتی ایران در سوئیس است. ايرانياني كه عليه رژيم ايران در سوئیس تظاهرات ميكنند ميتوانند در ايران ( حكومت جمهوري اسلامي ) مورد سوال واقع شوند. عفو بین‌الملل همچنین اطلاعاتی در اختیار دارد که «افرادی که در خارج از کشور درخواست پناهندگی داده‌اند، می‌توانند مخالفان دولت تلقی شوند و در صورت بازگشت در معرض خطر هستند، حتی اگر مشخصات خاصی نداشته باشند. در اين زمينه ، همكاري اداره مهاجرت سوئيس با وكيل معتمد ايراني حسن امير شاهي، که گفته می شود به طور منظم برای رژیم ایران کار می کند، بسيار خطرناك و جنجال بر انگيز است. سال‌هاست که نشانه‌های فزاینده‌ای وجود دارد مبنی بر اینکه این همکاری اجازه می‌دهد اطلاعات به رژیم برسد و در نتيجه نه تنها درخواست پناهجويان را خراب ميكند بلكه جان آنها و خانواده هايشان را به خطر مي اندازد پناهندگان ایرانی بدون جواب در شرایط بسیار سختی قراردارند. آنها حق زندگی عادی ندارند. این امر به ویژه کودکان و جوانان را تحت تأثیر قرار می دهد؛ آنها در ناامنی شدید بزرگ می شوند. خیلی اوقات، همه اینها منجر به بیماری های جسمی، آسیب های روانی، افسردگی و خودکشی می شود. نميتواند اينچنين باشد كه پناهندگان ايراني مجبور باشند همچنان در این وضعیت ناامیدکننده و از نظر قانونی دشوار در .سوئیس بمانند
    133 von 200 Unterschriften
    Gestartet von Empathie und Einheit & Migrant Solidarity Network
  • Schutz und Perspektive für abgewiesene geflüchtete Iraner*innen in der Schweiz
    Im Iran gibt es keine Sicherheit. Die Regierung unterdrückt die Grundrechte der gesamten Bevölkerung mit Brutalität. Am 7. Februar 2023 veröffentlichte der UN-Sonderberichterstatter für Menschenrechte im Iran 
einen erschütternden Bericht (1): Das Regime geht willkürlich gegen Menschen vor. Besonders FINTA-Personen (Frauen, intergeschlechtliche, non-binäre, trans und agender Personen), Kinder und Jugendliche, Oppositionsmitglieder und Mitglieder von ethnischen und religiösen Minderheiten sind betroffen. Ohne Rücksicht auf Rechtsstaatlichkeit und Menschenrechte lässt das Regime töten, foltern, misshandeln, verhaften und verurteilt Menschen aufgrund erzwungener Geständnisse. Es ist unmöglich, in den Iran zurückzukehren. (2) Das Regime verfolgt auch Personen im Ausland. Der Nachrichtendienst des Bundes bestätigt, es gäbe «Erkenntnisse, die auf eine Intensivierung der nachrichtendienstlichen Aktivitäten Irans in der Schweiz hindeuten.» (3). Iraner*innen, die in der Schweiz gegen das iranische Regime demonstrieren, können im Iran dafür zur Rechenschaft gezogen werden. Amnesty International liegen zudem Informationen vor, «dass Personen, die im Ausland um Asyl ersucht haben, als Regierungsgegner*innen erachtet werden könnten und bei einer Rückkehr gefährdet sind, auch wenn sie kein besonderes Profil aufweisen.» (4) Vor diesem Hintergrund besonders brisant ist die Zusammenarbeit des SEM mit dem iranischen «Vertrauensanwalt» Hasan Amirshahi, der regelmässig für das iranische Regime arbeiten soll. Seit Jahren häufen sich die Hinweise, dass durch diese Zusammenarbeit Informationen an das Regime gelangen und so Asylgesuche sabotiert und Asylsuchende sowie ihre Familien gefährdet werden. (5) Abgewiesene geflüchtete Iraner*innen befinden sich in einer sehr schwierigen Situation. Sie haben kein Recht auf ein normales Leben. Dies trifft besonders Kinder und Jugendlichen, sie wachsen in grosser Unsicherheit auf. Zu oft führt all dies zu körperlicher Krankheit, psychischen Verletzungen, Depression und Suizidalität. Es kann nicht sein, dass geflüchtete Iraner*innen weiterhin in dieser hoffnungslosen und rechtlich schwierigen Situation in der Schweiz verharren müssen. (1) Report des UN-Sonderberichterstatters für Menschenrechte: https://undocs.org/Home/Mobile?FinalSymbol=A%2FHRC%2F52%2F67&Language=E&DeviceType=Desktop&LangRequested=False (2) «Kein Zurück mehr», Lukas Tobler, WOZ, 10.08.2023: https://www.woz.ch/2332/asylpolitik/kein-zurueck-mehr/!ZVR9Y99DQ2Q2 (3) Medienbericht über Aktivitäten des iranischen Geheimdienstes: https://www.srf.ch/news/schweiz/spionage-und-repression-der-iranische-geheimdienst-ist-vermehrt-in-der-schweiz-aktiv (4) «Solidarität und Schutz für Geflüchtete aus dem Iran», Medienmitteilung Amnesty Schweiz, 27. Februar 2023: https://www.amnesty.ch/de/laender/naher-osten-nordafrika/iran/dok/2023/solidaritaet-und-schutz-fuer-gefluechtete-aus-dem-iran# (5) «Der Anwalt, der ihnen Angst macht: Flüchtlinge aus Iran misstrauen dem Vertrauensanwalt der Schweiz in Teheran», Ladina Triaca, NZZ am Sonntag, 2. Dezember 2023: https://www.nzz.ch/nzzas/iran-mit-diesem-vertrauensanwalt-arbeitet-die-schweiz-ld.1768715 sowie «Dann sprang er», Christoph Keller (Text) und Jeanette Besmer (Illustration), WOZ, 16. September 2021: https://www.woz.ch/2137/asylpolitik/dann-sprang-er
    516 von 600 Unterschriften
    Gestartet von Empathie und Einheit & Migrant Solidarity Network
  • Assez de journalisme à sensation mensonger !
    Les articles de presse sexistes et sans fondement ne sont pas nouveaux. On trouve également des articles sur l'étude dans les médias de Suisse romande, soutenus et alimentés par l'article de la Sonntagszeitung. Le débat sur l'égalité est mené de manière unilatérale dans les médias et est encore une fois traîné dans la boue juste avant le 14 juin, sur la base de contre-vérités. C'est pourquoi la qualité du journalisme doit être préservée, même pour les médias romands ! Vous trouverez ici notre plainte adressée au Conseil de la presse (en allemand) : https://uploads-campax.s3.eu-central-1.amazonaws.com/20230510_Beschwerde%20Presserat%20%281%29-1.png https://uploads-campax.s3.eu-central-1.amazonaws.com/20230510_Beschwerde%20Presserat%20%281%29-2.png https://uploads-campax.s3.eu-central-1.amazonaws.com/20230510_Beschwerde%20Presserat%20%281%29-3.png https://uploads-campax.s3.eu-central-1.amazonaws.com/20230510_Beschwerde%20Presserat%20%281%29-4.png La traduction de la plainte: Chers membres du Conseil de la presse Je dépose une plainte contre l'article "Umfrage an der ETH und Uni Zürich : Die meisten Studentinnen willst lieber einen erfolgreichen Mann als selber Karriere machen" de Rico Bandle, paru le 6 mai 2023 dans la Sonntagszeitung. L'article viole la directive 1.1 (recherche de la vérité). Exemple 1 : Le titre "La plupart des étudiantes préfèrent avoir un homme qui réussit plutôt que de faire carrière elles-mêmes" ne peut pas être déduit de l'étude en question comme une conclusion causale. Certes, 23% (dans les disciplines "féminines") et 28% (dans les disciplines "masculines") des étudiantes déclarent vouloir occuper un poste de direction avec des responsabilités en matière de personnel, tandis que 45% (dans les disciplines "féminines") et 32% (dans les disciplines "masculines") recherchent un partenaire avec des chances et des perspectives de carrière plus élevées. L'intersection de ces deux groupes n'a pas été calculée dans l'étude et ne peut pas représenter mathématiquement la majorité des étudiantes. De même, le titre suggère que le manque d'intérêt pour les postes de direction est corrélé au sexe, alors que l'étude montre que les postes de direction ne sont pas appréciés par la majorité des étudiants, indépendamment du sexe. Exemple 2 : "La principale raison de la direction au compte-gouttes (le fait empiriquement constaté que les femmes sont sous-représentées dans les postes supérieurs, ndlr) n'est pas la discrimination ou des conditions plus difficiles pour les mères, comme on le dit souvent, mais le fait que de nombreuses étudiantes n'ont pas ou peu d'ambitions de carrière". Ce que dit l'étude : 23% de toutes les femmes interrogées dans des "disciplines féminines" et 28% dans des "disciplines masculines" aspirent à un "poste de direction avec des responsabilités en matière de ressources humaines". Mais ce chiffre est également relativement bas chez les hommes, où 25% (dans les "matières féminines") et 35% (dans les "matières masculines") aspirent à un "poste de direction avec responsabilité de personnel". La différence entre les sexes est faible. (Annexe, Fig. 5) Une fois de plus, il est suggéré ici que les ambitions de carrière déduites de la présente étude ont un lien avec le sexe. Cela ne correspond pas à la vérité. Exemple 3 : "Leur (les femmes interrogées, ndlr) vision de la famille reste plutôt conservatrice : elles ont tendance à préférer un partenaire plus âgé et plus performant qu'elles". Ce que dit l'étude : 45% de toutes les femmes interrogées dans des "disciplines féminines" et 32% dans des "disciplines masculines" souhaitent avoir des partenaires* avec de meilleures perspectives de carrière. (Annexe, Fig. 8) Cela signifie qu'une nette majorité de femmes - 55% des femmes interrogées dans les "disciplines féminines" et 68% dans les "disciplines masculines" - souhaitent un partenaire qui a des perspectives de carrière aussi bonnes ou moins bonnes. En ne mentionnant pas qu'une majorité des deux sexes souhaitent un* partenaire avec des perspectives de carrière égales ou inférieures, on donne une image fausse et déséquilibrée. Exemple 4 : "Quand il y a des enfants, elles (les femmes interrogées, ndlr) veulent travailler à temps partiel, l'homme doit assurer le revenu principal à plein temps". Ce que dit l'étude : une nette minorité - 22% des répondantes dans les "matières féminines" et 34% dans les "matières masculines" - souhaitent que leur partenaire travaille à plein temps après avoir fondé une famille. Les valeurs comparatives pour les hommes : 16% des hommes dans les "matières féminines" (soit seulement 6% de moins que les femmes) et 27% dans les "matières masculines" (7% de moins) souhaitent un partenaire qui travaille à plein temps après avoir fondé une famille. (voir statistique 3, annexe) L'article donne l'image d'une majorité de femmes interrogées souhaitant un homme travaillant à plein temps. En réalité, il s'agit d'une minorité et l'affirmation de l'article est fausse. Je n'ai pas l'intention d'intenter une action en justice contre ce média.
    461 von 500 Unterschriften
    Gestartet von Campax - make change happen Picture
  • Basta con il giornalismo sensazionalista e falso!
    Gli articoli sessisti e infondati dei media non sono una novità. Articoli sullo studio si trovano anche nei media di lingua italiana, sostenuti e alimentati dall'articolo della Sonntagszeitung. Il dibattito sull'uguaglianza di genere è condotto in modo unilaterale dai media e viene trascinato nel fango ancora una volta poco prima del 14 giugno, sulla base di falsità. Ecco perché vale anche per i media in lingua italiana: il giornalismo di qualità deve essere preservato! Qui può trovare il nostro reclamo al Consiglio svizzero della Stampa (in tedesco): https://uploads-campax.s3.eu-central-1.amazonaws.com/20230510_Beschwerde%20Presserat%20%281%29-1.png https://uploads-campax.s3.eu-central-1.amazonaws.com/20230510_Beschwerde%20Presserat%20%281%29-2.png https://uploads-campax.s3.eu-central-1.amazonaws.com/20230510_Beschwerde%20Presserat%20%281%29-3.png https://uploads-campax.s3.eu-central-1.amazonaws.com/20230510_Beschwerde%20Presserat%20%281%29-4.png
    56 von 100 Unterschriften
    Gestartet von Campax - make change happen Picture
  • Genug von unwahrem Sensationsjournalismus!
    Dieser Fall ist nicht der erste von sexistischer, sensationsheischender Berichterstattung. Aber jetzt ist es genug! Hier die Detaillierten Ausführungen dazu, warum der Artikel den Richtlinien des Presserates widerspricht: Der Artikel verletzt die Richtlinie 1.1 (Wahrheitssuche). Beispiel 1: Der Titel «Die meisten Studentinnen wollen lieber einen erfolgreichen Mann, als selber Karriere machen» kann so kausal nicht als Schlussfolgerung aus der betreffenden Studie abgeleitet werden. Zwar geben 23% (in «Frauenfächern») bzw. 28% (in «Männerfächern») der Studentinnen an eine Führungsposition mit Personalverantwortung anzustreben, während 45% (in «Frauenfächern») bzw. 32% (in «Männerfächern») einen Partner mit höheren Karrierechancen und - aussichten suchen. Die Schnittmenge dieser beiden Gruppen ist in der Studie nicht berechnet worden und kann rechnerisch nicht die Mehrheit der Studentinnen abbilden. Ebenfalls wird mit dem Titel suggeriert, dass fehlendes Interesse an Führungspositionen mit dem Geschlecht korreliert, während die Studie aufzeigt, dass Führungspositionen beim Grossteil der Studierenden unbeliebt sind, unabhängig vom Geschlecht. Beispiel 2: «Der wichtigste Grund für die tröpfelnde Leitung (die empirisch feststellbare Tatsache, dass Frauen in höheren Positionen untervertreten sind, Anm. d. Verf.) sind nicht etwa Diskriminierung oder erschwerte Bedingungen für Mütter, wie oft gesagt wird, sondern dass viele Studentinnen keine oder nur geringe Karriereambitionen haben.» Was die Studie sagt: 23% aller weiblichen Befragten in «Frauenfächern» und 28% in «Männerfächern» streben eine «Führungsposition mit Personalverantwortung» an. Die Zahl ist bei Männern aber auch verhältnismässig tief, dort streben 25% (in «Frauenfächern») und 35% (in «Männerfächern») eine «Führungsposition mit Personalverantwortung» an. Der Geschlechterunterschied ist gering. (siehe Statistik 1, Anhang) Erneut wird hier suggeriert, dass die Karriereambitionen abgeleitet aus der vorliegenden Studie einen Bezug zum Geschlecht haben. Dies entspricht nicht der Wahrheit. Beispiel 3: «Ihr (die weiblichen Befragten, Anm. d. Verf.) Familienbild ist nach wie vor eher konservativ geprägt: Tendenziell bevorzugen sie einen Partner, der älter und erfolgreicher ist als sie.» Was die Studie sagt: 45% aller weiblichen Befragten in «Frauenfächern» und 32% in «Männerfächern» wünschen sich Partner*innen mit besseren Karriereaussichten. (siehe Statistik 2, Anhang) Das heisst eine deutliche Frauenmehrheit – 55% der weiblichen Befragten in «Frauenfächern» und 68% in «Männerfächern» – wünscht sich einen Partner, der gleich gute oder geringere Karriereaussichten hat. Indem nicht erwähnt wird, dass sich eine Mehrheit beider Geschlechter eine*n Partner*in mit gleichen oder geringeren Karrierechancen wünscht, wird ein falsches und unausgewogenes Bild vermittelt. Beispiel 4: «Wenn Kinder da sind, wollen sie (die weiblichen Befragten, Anm. d. Verf.) Teilzeit arbeiten, der Mann soll Vollzeit für das Haupteinkommen sorgen.» Was die Studie sagt: Eine klare Minderheit – 22% der weiblichen Befragten in «Frauenfächern» und 34% in «Männerfächern» – wünschen sich einen Partner, der nach der Familiengründung Vollzeit arbeitet. Die Vergleichswerte für Männer: 16% der Männer in «Frauenfächern» (also nur 6% weniger als bei den Frauen) und 27% in «Männerfächern» (7% weniger) wollen eine Partnerin, die nach der Familiengründung Vollzeit arbeitet. (siehe Statistik 3, Anhang) Im Artikel wird das Bild gezeichnet, dass eine Mehrheit der weiblichen Befragten sich einen Vollzeit arbeitenden Mann wünscht. Tatsächlich ist es eine Minderheit und die Aussage des Artikels falsch. Unsere Beschwerde an den Presserat: https://uploads-campax.s3.eu-central-1.amazonaws.com/20230510_Beschwerde%20Presserat%20%281%29-1.png https://uploads-campax.s3.eu-central-1.amazonaws.com/20230510_Beschwerde%20Presserat%20%281%29-2.png https://uploads-campax.s3.eu-central-1.amazonaws.com/20230510_Beschwerde%20Presserat%20%281%29-3.png https://uploads-campax.s3.eu-central-1.amazonaws.com/20230510_Beschwerde%20Presserat%20%281%29-4.png
    2.885 von 3.000 Unterschriften
    Gestartet von Campax - make change happen Picture
  • Pour un vrai usage inclusif du français dans les textes de la Confédération
    Ce guide est un peu passé inaperçu et pour autant il va avoir des conséquences sérieuses sur l'égalité des genres. Plus nous serons de personnes à visibiliser ce problème, plus cela forcera la chancellerie à agir et changer ce guide trompeur.
    983 von 1.000 Unterschriften
    Gestartet von David Saltiel
  • Féminicides - dites-le tel que c'est
    Le groupe d'experts du GREVIO propose, en tant que mesure, que la Suisse désigne également la violence sexiste de cette manière. À ce sujet, le rapport indique : « Le GREVIO demande instamment également aux autorités suisses de prendre les mesures nécessaires afin de développer une reconnaissance et une compréhension communes du phénomène de la violence à l'égard des femmes en tant que forme de violence sexiste, en élaborant des définitions communes et harmonisées qui définissent une terminologie de référence commune et sans ambiguïté pour la violence à l'égard des femmes, conformément à l'article 3 de la Convention d'Istanbul. » (5) En effet, ce n'est qu'en reconnaissant l'aspect sexospécifique en tant que tel que les féminicides peuvent être enregistrés sous le terme approprié à des fins statistiques. Ce n'est qu'ainsi qu'ils pourront être examinés et analysés ultérieurement dans ce contexte. Car chaque féminicide est un de trop et empêcher le prochain meurtre d'une FLINTA doit être une priorité absolue. La manière dont la Confédération parle des féminicides, les saisit et les analyse, crée des réalités. Tant que l'on parle de violence domestique, la violence sexiste n'est pas reconnue. Ainsi, la Confédération ne peut pas lutter contre ses causes de manière efficace. L'absence d'enquête systématique est une occasion manquée de se pencher sur les images patriarcales et toxiques de la masculinité dans notre société. Nous demandons au Conseil fédéral de ne plus détourner le regard et d'appeler enfin ce sujet urgent par son nom. 1. https://www.swissinfo.ch/ger/warum-die-erfassung-von-femiziden-eine-globale-herausforderung-darstellt/47444186 2. FLINTA : cette abréviation désigne les femmes, les lesbiennes, les personnes intersexes, non binaires, transgenres et asexuées. Nous avons consciemment besoin de cette abréviation dans cette pétition parce que tous ces groupes sont concernés par la violence patriarcale. 3. Convention d'Istanbul : https://www.fedlex.admin.ch/eli/cc/2018/168/fr 4. Dans le rapport Grevio, des experts mandatés par le Conseil de l'Europe ont évalué la mise en œuvre de la Convention d'Istanbul en Suisse. Grevio Baseline Evaluation Report Switzerland. Convention d'Istanbul (15 novembre 2022) https://rm.coe.int/grevio-inf-2022-27-eng-final-draft-report-on-switzerland-publication/1680a8fc73 5.« En outre, le GREVIO demande instamment aux autorités suisses de maintenir et d'étendre les mesures visant à enquêter rétrospectivement sur les homicides sexospécifiques et à identifier les lacunes dans la réaction des autorités et/ou des tribunaux susceptibles d'avoir conduit à l'issue fatale, afin d'éviter de nouvelles tragédies et de demander des comptes aux auteurs d'homicides ainsi qu'aux nombreuses institutions différentes qui entrent en contact avec les personnes impliquées. (Section 234) » 6. Dans la langue originale : GREVIO also urges the Swiss authorities to take the necessary measures to develop a common recognition and understanding of the phenomenon of violence against women as a form of gender-based violence by developing shared and harmonised definitions that provide a common and unquivocal reference terminology on violence against women in accordance with Article 3 of the Istanbul Convention.
    1.733 von 2.000 Unterschriften
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  • Femminicidio - Dillo così com'è
    Il gruppo di esperti/e del GREVIO propone, come misura, che anche la Svizzera nomini la violenza di genere in questo modo. Il rapporto afferma: "Il GREVIO esorta inoltre le autorità svizzere a prendere le misure necessarie per sviluppare un riconoscimento e una comprensione comuni del fenomeno della violenza contro le donne come forma di violenza di genere, sviluppando definizioni comuni e armonizzate che forniscano una terminologia di riferimento comune e non ambigua per la violenza contro le donne, in conformità con l'Articolo 3 della Convenzione di Istanbul". (5) Infatti, solo se l'aspetto specifico del genere viene riconosciuto come tale, i femminicidi possono essere registrati statisticamente con il termine corretto. Solo allora potranno essere studiati e analizzati in seguito in questo contesto. Perché ogni femminicidio è uno di troppo e la prevenzione del prossimo omicidio FLINTA deve essere una priorità assoluta. Il modo in cui la Confederazione parla dei femminicidi, rispettivamente li registra e li analizza, crea delle realtà. Finché si parla di violenza domestica, la violenza sessista non verrà riconosciuta. Pertanto, la Confederazione non può combattere efficacemente le sue cause. La mancanza di indagini sistematiche è un'opportunità mancata per affrontare le immagini patriarcali e tossiche della mascolinità nella nostra società. Chiediamo al Consiglio federale di smettere di guardare dall'altra parte e di chiamare finalmente le cose con il loro nome su questo problema urgente. 1. https://www.swissinfo.ch/ger/warum-die-erfassung-von-femiziden-eine-globale-herausforderung-darstellt/47444186 2. FLINTA: questa abbreviazione sta per donne, lesbiche, inter, non binarie, trans e agender. Utilizziamo volutamente questa abbreviazione in questa petizione perché tutti questi gruppi sono colpiti dalla violenza patriarcale. 3. Convenzione di Istanbul: https://www.fedlex.admin.ch/eli/cc/2018/168/it 4. Nel rapporto Grevio, gli/le esperti/e hanno valutato l'attuazione della Convenzione di Istanbul in Svizzera per conto del Consiglio d'Europa. Rapporto di valutazione Grevio Baseline Svizzera. Convenzione di Istanbul (15 novembre 2022) https://rm.coe.int/grevio-inf-2022-27-eng-final-draft-report-on-switzerland-publication/1680a8fc73 5. "GREVIO esorta inoltre le autorità svizzere a mantenere e ampliare le misure volte a indagare retrospettivamente sugli omicidi di genere e a identificare le carenze nella risposta delle autorità e/o dei tribunali che possono aver portato all'esito fatale, al fine di prevenire ulteriori tragedie e di chiamare a rispondere gli autori degli omicidi, così come le numerose istituzioni che entrano in contatto con le persone coinvolte. (Sezione 234)" 6. In lingua originale: GREVIO also urges the Swiss authorities to take the necessary measures to develop a common recognition and understanding of the phenomenon of violence against women as a form of gender-based violence by developing shared and harmonised definitions that provide a common and unequivocal reference terminology on violence against women in accordance with Article 3 of the Istanbul Convention.
    579 von 600 Unterschriften
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