• Inondations du Rhône : aide immédiate et plan durable contre les catastrophes futures
    Dans une maison de Chippis, le salon a été ravagé par les eaux du Rhône. Le parquet est gondolé, les murs noircis par l’humidité. Une grand-mère y vit seule, en attendant que l’assurance “prenne position”. Cela fait un an. À Chippis toujours, un artisan a vu son atelier englouti. Il a tout nettoyé à la main, seul, sans savoir s’il pourra reconstruire. À Sierre, une jeune famille a été évacuée, les enfants en pyjama dans l’eau jusqu’aux genoux. Depuis, plus personne ne les informe. Ces histoires ne sont pas des exceptions. Ce sont des visages du Valais, laissés dans l’attente, dans le doute, dans l’oubli. Pendant ce temps, l’État a lancé une commission d’enquête à 400’000 francs. Une initiative utile, peut-être, mais qui n’a réparé ni les toits, ni les espoirs. Et pourtant, les faits sont là : • Les inondations du Rhône ont frappé durement notre canton. • Un an plus tard, aucune aide financière cantonale concrète n’a été versée. • Les procédures sont complexes, les assurances sont lentes, et les sinistrés sont seuls. Nous vous écrivons aujourd’hui parce que vous avez le pouvoir d’agir. Parce que derrière chaque sinistré, il y a une vie suspendue. Parce que la solidarité ne peut pas attendre. Ce que nous demandons : 1. Un fonds d’urgence cantonal, même partiel, pour débloquer la situation des personnes laissées sans réponse. 2. Un accompagnement administratif renforcé, humain, simplifié, pour aider celles et ceux qui n’ont plus la force de se battre seuls contre des formulaires. 3. L’accélération des travaux de correction du Rhône, car les risques s’accumulent et les retards deviennent dangereux. 4. Et surtout, un plan climat cantonal écopragmatique, ambitieux et concret, incluant :   • un fonds intercommunal de prévention et reconstruction, • des infrastructures résilientes, • une stratégie d’anticipation face aux catastrophes climatiques à répétition. Le Valais n’est pas à l’abri. Les crues du Rhône, les coulées de Lourtier, la catastrophe de Blatten le prouvent. Nous ne sommes plus dans l’exception, mais dans la répétition. Face à cela, nous n’avons plus le luxe d’attendre. Nous avons besoin de vision. De courage politique. D’actes. Nous vous écrivons avec le respect dû à vos fonctions, mais aussi avec la force de celles et ceux que vous représentez. Nous ne vous demandons pas de compatir. Nous vous demandons de protéger, réparer et préparer. Le Valais peut montrer l’exemple. Le Valais peut choisir l’action. Mais cela commence maintenant. Les citoyennes et citoyens signataires.
    19 von 100 Unterschriften
    Gestartet von Vert’Liberaux Valais
  • Sauvez le centre antipoison suisse (📞 145) !
    Tox Info Suisse est le seul point de contact en Suisse pour les urgences relatives aux intoxications, plus de 40'000 demandes de conseil sont enregistrées par année. Cette institution médicale indispensable est sur le point de disparaître.  Une fermeture du centre antipoison entraînerait des conséquences délétères : • Des mesures d’urgence erronées ou retardées peuvent entrainer un décours grave d’une intoxication, des dommages permanents ou des décès évitables. • Les services d’urgence seraient encore plus surchargés, ce qui entrainerait des temps d’attente plus long et des coûts plus élevés pour le système de santé. Des études ont montré que chaque franc investit dans le centre antipoison réduit considérablement les coûts afférents. • Ambulanciers et médecins devraient renoncer aux connaissances toxicologiques spécialisées et à une longue expérience en matière d’intoxications. Avec la pétition, nous invitons la Conseillère fédérale Baume-Schneider avec insistance de sécuriser le financement durable du centre antipoison suisse par des contributions fédérales indispensables avant qu’il ne soit trop tard. S’il vous plait, agissez maintenant ! Chaque voix compte – signez pour le maintien du centre antipoison suisse et préservez ce qui est le plus précieux : la vie de nos enfants et adolescents ! La pétition sera soumise à la session d’automne. 
    3.707 von 4.000 Unterschriften
    Gestartet von Tox Info Suisse
  • Retten Sie den Giftnotruf (📞 145) !
    Tox Info Suisse ist die einzige Anlaufstelle in der Schweiz für Vergiftungsnotfälle, pro Jahr gehen über 40'000 Anfragen ein. Diese unverzichtbare medizinische Institution steht nun vor dem Aus. Eine Schliessung des Giftnotrufs hätte fatale Folgen: • Verzögerte oder fehlerhafte Erstmassnahmen können zu schlimmeren Vergiftungsverläufen, bleibenden Schäden oder vermeidbaren Todesfällen führen. • Die Notaufnahmen würden zusätzlich belastet, was zu längeren Wartezeiten und höheren Kosten fürs Gesundheitswesen führte. Studien zeigen, dass jeder investierte Franken in den Giftnotruf ein Vielfaches an Folgekosten spart. • Rettungssanitäter, Ärztinnen und Ärzte müssten auf toxikologisches Fachwissen und langjährige Erfahrungswerte bezüglich Vergiftungen verzichten. Mit der Petition fordern wir Bundesrätin Baume-Schneider eindringlich auf, die nachhaltige Finanzierung des schweizerischen Giftnotrufs durch die notwendigen Bundesbeiträge zu sichern, bevor es zu spät ist! Bitte handeln Sie jetzt! Jede Stimme zählt - unterzeichnen Sie für den Fortbestand des Giftnotrufs und schützen Sie, was am wertvollsten ist: das Leben unserer Kinder und Jugendlichen! Die Petition wird zur Herbstsession eingereicht.
    76.523 von 100.000 Unterschriften
    Gestartet von Tox Info Suisse
  • Schützt unsere Kinder: Gegen falsche Werte, Social Media, Sucht, voreilige Sexualität, Überkonsum
    Unsere Kinder verlieren ihre natürlichen Werte. Freundschaft, Respekt, gemeinsames Spielen in der echten Welt, natürliche Hobbys – all das rückt in den Hintergrund. Stattdessen wachsen Suchtverhalten, Unzufriedenheit, Depressionen, fehlende Sozialkompetenz, asoziales Verhalten, Gruppendruck, Mobbing, Drogenkonsum und voreiliges Eintreten in die Sexualität. Wir als Gesellschaft dürfen dabei nicht einfach zusehen. Wir müssen jetzt handeln – zum Schutz unserer Kinder und Jugendlichen. Es geht nicht darum, ihnen alles zu verbieten, sondern darum, sie vor schädlichem Einfluss zu schützen, ihnen Zeit zu geben, sich gesund zu entwickeln, und ihnen wieder den Weg zu echten Werten und sozialen Fähigkeiten zu öffnen. Wir tragen Verantwortung. Wenn wir jetzt nicht reagieren, wird es in Zukunft noch schwieriger sein, diese Entwicklung umzukehren. Unterstützen Sie diese Petition. Nicht, weil es einfach ist – sondern weil es dringend notwendig ist.
    109 von 200 Unterschriften
    Gestartet von Valerio Scrivano
  • ✊ Pour une Suisse qui fait du sport une priorité nationale
    Le sport est bien plus qu’un loisir. Il est un pilier essentiel de notre société : 🏃‍♂️ Il améliore la santé physique et mentale, 🧠 Il prévient les maladies, 🤝 Il favorise l’inclusion, la cohésion sociale et le vivre-ensemble, 🎓 Il joue un rôle éducatif fondamental pour les jeunes générations. Pourtant, le programme Jeunesse+Sport, pierre angulaire du sport de base en Suisse, fait face à une coupe budgétaire annoncée de 20 % dès 2026. Cette décision menace directement l’accès au sport pour des milliers d’enfants, d’adolescents et de jeunes adultes dans toutes les régions du pays. En tant que citoyens, parents, éducateurs, sportifs, professionnels de la santé, élus et membres de la société civile, nous disons non à cette réduction destructrice, et appelons à une vision ambitieuse, humaine et stratégique du sport en Suisse. ✅ Nous demandons au Conseiller fédéral Martin Pfister :  1. De renoncer à la coupe budgétaire prévue dans Jeunesse+Sport.  2. De faire du sport une priorité nationale inscrite dans les politiques de santé, d’éducation et d’inclusion.  3. De renforcer le soutien au sport pour les jeunes, au sport féminin, au sport amateur et au sport pour les personnes en situation de handicap. ⸻ 📢 Pourquoi signer cette pétition ? Parce que le sport est l’un des meilleurs investissements pour :  • Prévenir les maladies chroniques,  • Réduire les coûts de santé à long terme,  • Favoriser l’épanouissement des jeunes,  • Lutter contre les inégalités sociales et renforcer le tissu communautaire. 🖋️ Signez cette pétition pour faire entendre votre voix. 📣 Partagez-la autour de vous. 👉 Ensemble, mobilisons-nous pour une politique sportive à la hauteur des enjeux de notre société. Francisco Taboada Député au Grand Conseil de Genève Athlète paralympique – Président de Satus Genève athlétisme – Papa de trois enfants Laurent Seydoux Député au Grand Conseil de Genève - Président de l’Association Genevoise d’Athlétisme
    38 von 100 Unterschriften
    Gestartet von Francisco Taboada
  • Création d'un Jardin Urbain sur le trottoir de la Rue du Maupas
    Imaginez un quartier plus vert et plus agréable à vivre, où chacun peut trouver un peu de fraîcheur lors des journées chaudes. Nous avons l'opportunité de transformer des espaces de stationnement en zones vertes avec des arbres et des bancs. Rejoignez-nous pour créer un environnement plus accueillant et plus sain pour tous. Ensemble, faisons de notre quartier un endroit où il fait bon vivre. 
    51 von 100 Unterschriften
    Gestartet von Jaume A.
  • No all'uso inutile e pericoloso dei pesticidi nei boschi.
    I pesticidi sono sostanze tossiche che si accumulano nel suolo e nell'acqua e avvelenano la catena alimentare, compresi noi esseri umani. Inoltre, non agiscono in modo selettivo: se si vuole combattere un determinato insetto, il pesticida uccide o indebolisce anche molti altri animali, piante, funghi, batteri e virus. Ed è impossibile prevedere le conseguenze che ciò comporta. I pesticidi rappresentano quindi un pericolo reale per l'intero ecosistema forestale. [1,3] Ciononostante, il consigliere federale Albert Rösti intende rivedere l’ordinanza sulla riduzione dei rischi inerenti ai prodotti chimici (ORRPChim) per consentire, a partire da questo autunno, l'uso di pesticidi nei boschi per combattere il calabrone asiatico, una specie invasiva che si nutre di api. Attualmente, in alcuni casi vengono concesse deroghe per l'uso di pesticidi nelle foreste, ma solo a condizioni estremamente rigorose e solo se «non esistano misure alternative meno dannose per l'ambiente» (UFAM). [1] Tuttavia, Pro Natura e WWF concordano sul fatto che esistono metodi più efficaci dei pesticidi per distruggere i nidi dei calabroni asiatici, ad esempio con il calore, il vapore acqueo o anche meccanicamente. Inoltre, la difficoltà non sta nel distruggere i nidi, ma nel trovarli [3]. Perché quindi rischiare l'equilibrio del bosco per nulla? *** Fonti: [1] UFAM, «Prodotti fitosanitari nel bosco» [2] RTS, “Les pesticides pourraient être autorisés en forêt pour lutter contre le frelon asiatique” [3] Pro Natura, «Nonostante i rischi: il Consiglio federale intende revocare il divieto di pesticidi nel bosco»
    943 von 1.000 Unterschriften
    Gestartet von Campax - make change happen Picture
  • Nein zum unnötigen und gefährlichen Einsatz von Pestiziden im Wald.
    Pestizide sind giftige Stoffe, die sich im Boden und im Wasser ansammeln und die Nahrungskette vergiften – auch uns. Ausserdem wirken sie nicht selektiv: Wenn man ein bestimmtes Insekt bekämpfen will, tötet oder schwächt das Pestizid auch viele andere Tiere, Pflanzen, Pilze, Bakterien und Viren. Und es ist unmöglich, die Folgen abzusehen, die das nach sich zieht. Pestizide sind daher eine echte Gefahr für das gesamte Ökosystem des Waldes. [1,3] Dennoch will Bundesrat Albert Rösti die Chemikalien-Risikoreduktions-Verordnung (ChemRRV) überarbeiten, um ab diesem Herbst den Einsatz von Pestiziden im Wald zu erlauben, zur Bekämpfung der asiatischen Hornisse – einer invasiven, bienenfressenden Art. Derzeit werden in gewissen Fällen Ausnahmegenehmigungen für den Einsatz von Pestiziden im Wald erteilt, aber nur unter extrem strengen Bedingungen und nur dann, wenn sie „nicht durch Massnahmen ersetzt werden können, die die Umwelt weniger belasten” (BAFU) [1]. Doch Pro Natura und WWF sind sich einig: Es gibt andere, effektivere Methoden als Pestizide, um die Nester der asiatischen Hornissen zu zerstören, zum Beispiel mit Hitze, mit Wasserdampf oder auch mechanisch. Ausserdem ist die Schwierigkeit nicht, die Nester zu zerstören, sondern sie zu finden [3]. Warum also das Gleichgewicht des Waldes für nichts riskieren? Quellen [1] BAFU, «Pflanzenschutzmittel im Wald» [2] RTS, «Pestizide könnten im Wald zur Bekämpfung der Asiatischen Hornisse zugelassen werden» [3] Pro Natura, «Trotz Risiken: Der Bundesrat will das Verbot von Pestiziden im Wald aufheben»
    8.580 von 9.000 Unterschriften
    Gestartet von Campax - make change happen Picture
  • Non à l’utilisation inutile et dangereuse des pesticides en forêt.
    Les pesticides sont des substances toxiques qui s’accumulent dans les sols et dans les eaux, contaminant la chaîne alimentaire. De plus, leur action n’est pas sélective : en voulant cibler un insecte en particulier, le pesticide tuera ou fragilisera également de nombreux autres animaux, plantes, champignons, bactéries et virus. Et il est impossible de prévoir les conséquences en chaîne que cela pourrait déclencher. Les pesticides posent donc une véritable menace pour l’écosystème forestier dans son ensemble. [1,3] Malgré cela, le conseiller fédéral Albert Rösti souhaite réviser l'ordonnance sur la réduction des risques liés aux produits chimiques (l’ORRChim) pour permettre d'utiliser des pesticides en forêt dès cet automne, afin de lutter contre le frelon asiatique – une espèce invasive prédatrices d’abeilles. Actuellement, des autorisations exceptionnelles sont parfois octroyées pour utiliser des pesticides en forêt, mais sous des conditions extrêmement strictes, et uniquement lorsqu'ils "ne peuvent pas être remplacés par des mesures polluant moins l’environnement” (OFEV) [1] Ce qui n’est pas le cas ici.  En effet, Pro Natura et WWF sont unanimes: il existe d’autres mesures plus efficaces que les pesticides pour détruire les nids de frelons asiatiques : par la chaleur ou la vapeur d’eau, ou encore mécaniquement. En outre, la difficulté ne réside en réalité pas dans la destruction du nid, mais dans la localisation de celui-ci [3].  Alors pourquoi risquer l’équilibre de la forêt pour rien?  Sources [1] OFEV, “Produits phytosanitaires en forêt” [2] RTS, “Les pesticides pourraient être autorisés en forêt pour lutter contre le frelon asiatique” [3] Pro Natura, “Malgré les risques: le conseil fédéral veut lever l’interdiction d’utiliser des pesticides dans la forêt”
    2.372 von 3.000 Unterschriften
    Gestartet von Campax - make change happen Picture
  • Niente PFAS nei nostri piatti!
    I PFAS, noti anche come “sostanze chimiche eterne”, sono sostanze chimiche tossiche che si accumulano nell'acqua, nel suolo, negli alimenti e infine anche nel nostro corpo, causando numerosi problemi di salute. Gli studi dimostrano che aumentano il rischio di indebolimento del sistema immunitario, problemi al fegato, disturbi ormonali e tiroidei, cancro ai testicoli e al fegato, effetti sulla riproduzione e lo sviluppo, aumento del colesterolo e malattie cardiovascolari. La loro estrema persistenza rende quasi impossibile la loro eliminazione, con conseguente accumulo costante e aumento dei rischi. Nonostante tutti questi rischi, il Consiglio degli Stati ha appena approvato la mozione 25.3421, che propone di allentare i limiti e di continuare a vendere gli alimenti con un contenuto di PFAS superiore ai limiti fissati, mescolandoli con prodotti meno contaminati. Durante il dibattito, però, Tiana Moser (GLP/ZH), Mathilde Crevoisier Crelier (SP/JU) e Carlo Sommaruga (SP/GE) hanno sottolineato la pericolosità dei PFAS e hanno chiesto di rispettare il principio di precauzione. Invano. Gli interessi degli agricoltori sono stati messi davanti a quelli della salute pubblica. Ma permettere loro di continuare a vendere prodotti con un alto contenuto di PFAS non è la soluzione giusta. Ovviamente è molto più facile allentare i limiti piuttosto che accettare rischi economici. Ma questa soluzione a breve termine non ha senso nel lungo periodo, nemmeno dal punto di vista economico. Infatti, più i PFAS si diffondono, più aumentano i costi per la bonifica del suolo. Solo per la bonifica dei siti altamente contaminati e dell'acqua potabile in Svizzera, i costi ammontano già a un miliardo di franchi, e i PFAS continuano a essere rilasciati nell'ambiente. Per tutti questi motivi, chiediamo al Consiglio nazionale di respingere questa mozione e di proporre invece soluzioni sostenibili per proteggere la salute pubblica, sostenere gli agricoltori colpiti e accelerare la transizione verso un'alimentazione senza PFAS. Fonti: [1] 20 Minutes, “De la viande contaminée se retrouve dans nos assiettes”.  [2] RTS, Des PFAS détectés dans la truite et le brochet des lacs romands”.  [3] RTS, 19h30 du 4.6.25, “Le Conseil des Etats veut assouplir les valeurs limites des teneurs en PFAS”. [4] Mozione 25.3421, Benedikt Würth, "Stabilire in modo adeguato i valori limite delle PFAS tenendo conto delle ripercussioni, in particolare sull'agricoltura o sui fornitori di acqua, e avviare misure di sostegno all'agricoltura”. [5] USAV, "Sostanze per- e polifluoroalchiliche”. [6] Association of European Cancer League, “Towards a PFAS-free future, preventing cancer through regulatory action”.  [7] Foods, “Research Progress in Current and Emerging Issues of PFASs’ Global Impact: Long-Term Health Effects and Governance of Food Systems”. [8] European Environment Agency, “Emerging chemical risks in Europe — ‘PFAS’”.  [9] 20 Minutes, “Even low concentrations of PFAS can cause cancer”.  [10] RTS, “Le nettoyage des PFAS pourrait coûter jusqu'à 26 milliards à la Suisse ces vingt prochaines années”.
    331 von 400 Unterschriften
    Gestartet von Campax - make change happen Picture
  • Keine PFAS auf unseren Tellern!
    PFAS, auch „Ewigkeitschemikalien“ genannt, sind giftige chemische Substanzen, die sich in unserem Wasser, Boden, in Lebensmitteln und schliesslich auch in unseren Körpern anreichern und zahlreiche Gesundheitsprobleme verursachen. Studien zeigen, dass sie das Risiko für eine Schwächung des Immunsystems, Leberprobleme, hormonelle und Schilddrüsenstörungen, Hoden- und Leberkrebs, Auswirkungen auf die Fortpflanzung und die Entwicklung, erhöhten Cholesterinspiegel und Herz-Kreislauf-Erkrankungen erhöhen. Ihre extreme Persistenz macht ihre Beseitigung fast unmöglich, was zu einer ständigen Anreicherung und steigenden Risiken führt. Trotz dieser zahlreichen Risiken hat der Ständerat gerade die Motion 25.3421 verabschiedet, die vorschlägt, die Grenzwerte zu lockern und Nahrungsmittel, deren PFAS-Gehalt die festgelegten Grenzen überschreitet, weiterhin zu vermarkten – indem sie mit weniger belasteten Produkten gemischt werden. Während der Debatte haben Tiana Moser (GLP/ZH), Mathilde Crevoisier Crelier (SP/JU) und Carlo Sommaruga (SP/GE) jedoch auf die Gefährlichkeit von PFAS hingewiesen und dazu aufgerufen, das Vorsorgeprinzip zu beachten. Vergeblich. Die Interessen der Landwirt*innen wurden über diejenigen der öffentlichen Gesundheit priorisiert. Aber ihnen einfach zu erlauben, Produkte trotz ihres hohen PFAS-Gehalts weiter zu verkaufen, ist nicht die richtige Lösung. Es ist natürlich viel einfacher, die Grenzwerte zu lockern, als wirtschaftliche Risiken in Kauf zu nehmen. Aber diese kurzfristige Lösung macht auf lange Sicht keinen Sinn – auch nicht wirtschaftlich. Denn je mehr PFAS sich ausbreiten, desto höher werden die Kosten für die Bodensanierung. Allein für die Sanierung hochkontaminierter Standorte und des Trinkwassers in der Schweiz belaufen sich die Kosten bereits auf eine Milliarde Franken, und PFAS werden weiterhin in die Umwelt freigesetzt. Aus all diesen Gründen fordern wir den Nationalrat auf, diese Motion abzulehnen und stattdessen nachhaltige Lösungen zum Schutz der öffentlichen Gesundheit, zur Unterstützung der betroffenen Landwirt*innen und zur Beschleunigung des Übergangs zu einer PFAS-freien Ernährung vorzuschlagen. Quellen: [1] 20 Minuten, “De la viande contaminée se retrouve dans nos assiettes”.  [2] RTS, Des PFAS détectés dans la truite et le brochet des lacs romands”.  [3] RTS, 19h30, 4.6.25, “Le Conseil des Etats veut assouplir les valeurs limites des teneurs en PFAS”. [4] Motion 25.3421, Benedikt Würth, “PFAS-Grenzwerte unter Berücksichtigung der Auswirkungen, insbesondere für die Landwirtschaft oder die Wasserversorger, sachgerecht festlegen und Massnahmen zur Unterstützung der Landwirtschaft einleiten”. [5] BLV, “Per- und polyfluorierte Alkylverbindungen (PFAS)" [6] Association of European Cancer League, “Towards a PFAS-free future, preventing cancer through regulatory action”.  [7] Foods, “Research Progress in Current and Emerging Issues of PFASs’ Global Impact: Long-Term Health Effects and Governance of Food Systems”. [8] European Environment Agency, “Emerging chemical risks in Europe — ‘PFAS’”.  [9] 20 Minuten, “Auch tiefe Konzentrationen von PFAS können Krebs auslösen".  [10] RTS, “Le nettoyage des PFAS pourrait coûter jusqu'à 26 milliards à la Suisse ces vingt prochaines années”.
    8.290 von 9.000 Unterschriften
    Gestartet von Campax - make change happen Picture
  • Pas de PFAS dans nos assiettes!
    Les PFAS, également appelés “polluants éternels”, sont des substances chimiques toxiques qui s’accumulent dans nos eaux, sols, aliments, et finalement dans nos corps, engendrant de nombreux problèmes de santé. Des études révèlent en effet des risques d’affaiblissement du système immunitaire, de problèmes hépatiques, de dérèglements hormonaux et thyroïdiens, de cancer des testicules et du foie, d’effets sur la reproduction et le développement, d’augmentation du cholestérol, et de maladies cardiovasculaires [5,6,7,8]. Leur extrême persistance rend leur élimination presque impossible, entraînant une accumulation continue et des risques croissants. Malgré ces nombreux risques, le Conseil des États vient d’approuver la motion 25.3421 [4], qui propose d’assouplir les valeurs limites, et que les produits dont la teneur en PFAS dépasse les limites fixées continuent d’être commercialisés en étant mixés avec d’autres produits contenant moins de PFAS. Pendant le débat, Tiana Moser (PVL/ZH), Mathilde Crevoisier Crelier (PS/JU) et Carlo Sommaruga (PS/GE) ont pourtant rappelé la dangerosité des PFAS et appelé à respecter le principe de précaution. En vain. Les intérêts des agriculteur·ice·s ont primé, au mépris de la santé publique. Mais les laisser continuer de vendre ces produits malgré leur haute teneur en PFAS n’est pas la bonne solution! Il est certes bien plus facile d’adapter les normes que de mettre en péril l’économie, mais cette solution éphémère n’a aucun sens sur le long terme, même en termes économiques. En effet, plus les PFAS se répandent, plus le coût de la décontamination des sols explose. Simplement pour l'assainissement des sites hautement contaminés et de l'eau potable en Suisse, il s’élève déjà à un milliard de francs [10]. Et les PFAS continuent à être libérés dans l’environnement. Pour toutes ces raisons, nous demandons au Conseil national de rejeter cette motion et de proposer à la place des solutions durables pour protéger la santé publique, soutenir les agriculteur·rice·s touché·e·s et accélérer la transition vers une alimentation sans PFAS. Sources:  [1] Viande: 20 Minutes, “De la viande contaminée se retrouve dans nos assiettes”.  [2] Poissons: RTS, Des PFAS détectés dans la truite et le brochet des lacs romands”.  [3] RTS, 19h30 du 4.6.25, “Le Conseil des Etats veut assouplir les valeurs limites des teneurs en PFAS”. [4] Motion 25.3421, Benedikt Würth, “Fixer des valeurs limites pertinentes pour les PFAS en tenant compte des conséquences pour l'agriculture et les distributeurs d'eau et introduire des mesures de soutien à l'agriculture”. [5] OSAV, “Substances per- et polyfluoroalkylées (PFAS)”. [6] Association of European Cancer League, “Towards a PFAS-free future, preventing cancer through regulatory action”.  [7] Foods, “Research Progress in Current and Emerging Issues of PFASs’ Global Impact: Long-Term Health Effects and Governance of Food Systems”. [8] European Environment Agency, “Emerging chemical risks in Europe — ‘PFAS’”.  [9] 20 Minutes, “Even low concentrations of PFAS can cause cancer”.  [10] RTS, “Le nettoyage des PFAS pourrait coûter jusqu'à 26 milliards à la Suisse ces vingt prochaines années”.
    2.327 von 3.000 Unterschriften
    Gestartet von Campax - make change happen Picture