• Former davantage de médecins de famille et de l’enfance pour garantir les soins de base de demain !
    Croissance démographique et augmentation de la demande Les soins médicaux de base doivent être renforcés. Selon le scénario de l’Office fédéral de la statistique, la population suisse devrait croître d’environ 8,8 % entre 2021 et 2030, et la proportion de personnes âgées de plus de 65 ans passera de 18,9 % en 2020 à 25,6 % en 2050. La moitié des personnes âgées de plus de 65 ans souffre aujourd’hui d’au moins deux maladies chroniques (1), et cette tendance est à la hausse. Chez les personnes âgées de plus de 75 ans en Suisse, 17,7 % ont consulté leur médecin de famille cinq fois ou plus au cours des douze derniers mois (2). Des soins de base pertinents pour le système et en matière de coûts La médecine de famille et de l’enfance est un pilier central du système de santé. Plus la densité de médecins de famille est élevée dans un système, meilleure est la santé générale de la population (3)/(4). Une couverture suffisante en médecins de premier recours est associée à un taux de mortalité plus faible et à une baisse du nombre d’hospitalisations. À l’inverse, une couverture insuffisante en médecins de famille entraîne une augmentation des consultations d’urgence (coûteuses) et des hospitalisations inutiles. De plus, il est bien connu que la médecine de famille est extrêmement rentable et que plus de 90 % des cas traités par les médecins de famille sont résolus de manière définitive. Risque élevé de pénurie La situation va continuer à s’aggraver. L’âge moyen des médecins de famille et de l’enfance en Suisse est en effet passé de 51 ans en 2015 à 55 ans en 2020, la proportion de femmes s’élevant à 61 % en 2020 (5). En 2021, une étude de la Fédération romande des consommateurs FRC (6) a montré que pour obtenir un rendez-vous chez un nouveau médecin, il fallait passer en moyenne 2,3 appels téléphoniques à Genève, 14,5 à Delémont et jusqu’à 30,5 à Fribourg. À Berne, 60 % des médecins de famille ne prennent plus du tout de nouvelles patientes et nouveaux patients (7). Baisse de la force de travail par personne Il faut aujourd’hui davantage de médecins de famille pour réaliser le même travail. Les jeunes et futurs médecins de famille et de l’enfance veulent impérativement pouvoir concilier davantage leur vie professionnelle et leur vie privée. En 2023, 41 % des médecins généralistes souhaitent réduire leur temps de travail au cours des trois prochaines années (le temps de travail hebdomadaire moyen des médecins de famille et des pédiatres est de 55 heures pour un temps plein) (8). Cela s’accompagne dès lors d’une diminution de la force de travail individuelle par médecin de famille et de l’enfance. La conclusion est donc évidente : il faudra à l’avenir davantage de médecins de famille et de l’enfance pour la même charge de travail. L’étude Workforce 2010 a calculé un facteur de 1,7. Cela signifie que si un médecin de famille cesse aujourd’hui son activité pour des raisons liées à l’âge, il faudra dorénavant deux successeurs pour le remplacer. Trop peu de médecins choisissent les soins de base Le nombre de médecins qui s’orientent vers les soins médicaux de base est trop faible. Selon un rapport de l’Obsan, 50 % des diplômées et diplômés en médecine devraient choisir une discipline liée aux soins de base pour permettre de couvrir la demande en matière de relève (étude Workforce 2015). Or, fin 2022, seuls 36 % des médecins autorisés à exercer étaient en possession d’un titre de spécialiste en médecine interne générale ou en pédiatrie (9) ou de médecin praticien. C’est bien trop peu. Au Danemark, on estime que 60 % des médecins doivent exercer dans le domaine des soins de base pour garantir le bon fonctionnement d’un tel système. Dépendance de l'étranger Le système de santé suisse est fortement dépendant de la main d'œuvre étrangère. 40% des médecins ont obtenu leur diplôme à l'étranger. Cette dépendance n'a cessé d'augmenter ces dernières années : actuellement, un diplôme obtenu en Suisse est reconnu à hauteur de 2,4 à l'étranger et près de 60% des médecins dont le titre de spécialiste a été délivré et reconnu (9) ont obtenu leur diplôme à l'étranger. La Suisse ne respecte donc pas le code de pratique de l'OMS 2020 (10) et enfreint ainsi les principes éthiques dans le recrutement international du personnel de santé. Sources : (1) Swiss Health Survey 2017 / 2022 https://www.bfs.admin.ch/bfs/de/home/statistiken/gesundheit/erhebungen/sgb/ergebnisse-publikationen.html (2) Swiss Health Survey 2017 / 2022 https://www.bfs.admin.ch/bfs/de/home/statistiken/gesundheit/erhebungen/sgb/ergebnisse-publikationen.html (3) Contribution of Primary Care to Health Systems and Health https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC2690145/ (4) Continuity in general practice as predictor of mortality, acute hospitalisation, and use of out-of-horus care: https://bjgp.org/content/bjgp/72/715/e84.full.pdf (5) Obsan 01/23: Ärztinnen und Ärzte in der Grundversorgung – Situation in der Schweiz und im internationalen Vergleich https://www.obsan.admin.ch/sites/default/files/2023-02/Obsan_01_2023_BERICHT.pdf (6) FRC: Recherche médecin, désespérément: https://enquetes.frc.ch/medecins (7) Workforce-Studie 2020 – 2025 (Kanton Bern): https://www.berner-aerzte.ch/fileadmin/user_upload/0_Startseite/doc.be/BEKAG_Magazin_doc_be_04-2021_d_V_Web.pdf / https://smw.ch/index.php/smw/article/view/3062 (8) https://saez.swisshealthweb.ch/de/article/doi/saez.2023.21657/ resp. https://www.bfs.admin.ch/bfs/de/home/statistiken/gesundheit/erhebungen/sdapaz.html (9) BAG: Statistik Ärztinnen/Ärzte 2022: https://www.bag.admin.ch/bag/de/home/zahlen-und-statistiken/statistiken-berufe-im-gesundheitswesen/statistiken-medizinalberufe1/statistiken-aerztinnen-aerzte.html (10) Code of Practice WHO: https://www.who.int/publications/i/item/wha68.32
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  • Des mesures d’accompagnement dès l’ouverture de la route des Nations
    La Route des Nations va ouvrir ses vannes le 25 mars en créant une nouvelle pénétrante pour le trafic motorisé individuel. Elle ouvrira un nouvel axe pour les automobilistes provenant essentiellement de l’autoroute, du pays de Gex et de Terre-Sainte, pour autant que la route du Bois-Brûlé soit mieux utilisée qu’aujourd’hui. La route et son tunnel ont été financés par le Canton et l’énorme échangeur autoroutier essentiellement par la Confédération. Les plans de circulation du côté de l’autoroute semblent relativement clairs, mais ce n’est pas le cas sur la commune du Grand-Saconnex et encore moins sur la Ville de Genève. Il est toutefois nécessaire que les mesures d’accompagnement soient rapidement mises en place afin que l’aubaine d’une double pénétrante entre la jonction autoroutière et la place des Nations ne se transforme en une habitude difficile à inverser. Le risque d’augmentation globale du trafic avait conduit une alliance d’associations à s’opposer à la construction de cette route. Il s’agit de l’ATE, de l’Association RADAR et de l’Association pour une mobilité responsable. En fin de compte, en mars 2017, pour lever leur opposition, ces associations ont signé avec le DETA (qui était alors responsable de la mobilité) et la Commune du Grand-Saconnex un accord comprenant des mesures d’accompagnement dont la mise en application doit être effective dès l’ouverture de la route des Nations. La concrétisation de ces mesures a déjà été planifiée récemment avec la Commune du Grand-Saconnex, mais d’autres mesures du côté de la Ville de Genève sont nécessaires. En effet, même si une partie de la circulation provenant du tunnel sera absorbée dans les Organisations internationales, une bonne part du trafic débouchera sur la Place des Nations depuis l’avenue de Titre 2/2 la Paix et non plus depuis la route de Ferney, sans compter l’augmentation de trafic global que l’attractivité de cette nouvelle infrastructure ne manquera pas de générer. La configuration de la Place des Nations induira un écoulement du trafic soit vers le bas de l’Avenue de la Paix, soit vers l’Avenue Giuseppe Motta, l’accès à l’Avenue de France et à la rue de Montbrillant n’étant pas autorisé. On peut donc à juste titre craindre une importante percolation du trafic automobile vers les quartiers fortement habités de Varembé, de la Servette et jusqu’à la Place des Charmilles.
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  • Hände weg von unseren Grosseltern - Pro Senectute!
    Hilf mit - unsere Menschenrechte zu schützen. Grundsatz: Wird im Artikel 1 der Allgemeinen Erklärung der Menschenrechte zusammengefasst mit „Alle Menschen sind frei und gleich an Würde und Rechten geboren.“
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  • Mehr Haus- und Kinderärzt:innen ausbilden - damit es auch morgen noch eine Grundversorgung gibt!
    Bevölkerungswachstum und steigende Nachfrage Es braucht immer mehr ärztliche Grundversorgung. Die Schweizer Bevölkerung wächst gemäss Szenario des Bundesamts für Statistik zwischen 2021 und 2030 um etwa 8.8 %. Der Anteil der über 65-Jährigen steigt gemäss diesem Szenario von 18.9 % im Jahr 2020 auf 25.6 % im Jahr 2050. Die Hälfte der über 65-Jährigen hat heute mindestens zwei chronische Krankheiten (1), Tendenz steigend, und 17.7 % der über 75 Jahre alten Menschen in der Schweiz haben ihren Hausarzt oder ihre Hausärztin in den 12 letzten Monaten fünf oder mehr Mal konsultiert (2). System- und kostenrelevante Grundversorgung Die Haus- und Kinderarztmedizin ist ein zentraler Pfeiler der Versorgung. Je höher die Dichte an Hausärzt:innen in einem System ist, desto besser steht es um die allgemeine Gesundheit der Bevölkerung ( 3/ 4). Eine ausreichende Abdeckung durch Grundversorger:innen geht einher mit tieferer Sterblichkeit und weniger Hospitalisierungen. Im Gegenzug führt eine Unterversorgung mit Hausärzt:innen zu einer Zunahme von (teuren) Notfallkonsultationen und unnötigen Hospitalisationen. Zudem ist hinlänglich bekannt, dass hausärztliche Medizin äusserst kosteneffizient ist und über 90 % der hausärztlichen Fälle abschliessend gelöst werden. Kritische Versorgungssituation Die Versorgungskrise wird sich weiter zuspitzen. Das Durchschnittsalter der Haus- und Kinderärzt:innen in der Schweiz ist von 51 Jahren im Jahr 2015 auf 55 Jahre im Jahr 2020 angestiegen, der Frauenanteil betrug 2020 61 % (5). Eine Studie der Westschweizer Konsumentenorganisation FRC (6) hat 2021 ergeben, dass für einen Termin bei einem neuen Arzt in Genf durchschnittlich 2.3, in Delsberg 14.5 und in Freiburg gar 30.5 Telefonanrufe nötig waren. In Bern können 60 % der Hausärzt:innen überhaupt keine neuen Patient:innen mehr aufnehmen (7). Sinkende Workforce pro Person Es braucht mehr Hausärzt:innen für die gleiche Arbeit. Für jüngere und künftige Haus- und Kinderärzt:innen hat die Vereinbarkeit von Berufs- und Privatleben hohe Priorität. 2023 wünschten sich 41 % der Hausärzt:innen eine Reduktion ihrer Arbeitszeit in den kommenden drei Jahren (die durchschnittliche Wochenarbeitszeit von Haus- und Kinderärzt:innen liegt bei einem Vollzeitpensum bei 55 Stunden (8). Damit verbunden ist ein Rückgang der individuellen Workforce pro Hausärztin und Kinderarzt. Das bedeutet nichts anderes als: Es braucht mehr Haus- und Kinderärzt:innen. Die Workforce-Studie 2010 hat einen Faktor von 1.7 berechnet. Gibt eine Hausärztin heute ihre Tätigkeit altershalber auf, braucht es für ihre Nachfolge sogar 2 Nachfolger:innen. Zu wenige Ärzt:innen wählen die Grundversorgung Viel zu wenige Ärzt:innen gehen in die Grundversorgung. Gemäss einem Bericht des Obsan müssten 50 % der Studienabgänger:innen in Medizin eine der Grundversorgerdisziplinen wählen, damit die Nachfrage an Nachwuchs gedeckt werden kann (Workforce Studie 2015). Ende 2022 waren aber nur 36 % der Mediziner:innen mit Berufsausübungsbewilligung überhaupt im Besitz eines entsprechenden Facharzttitels Allgemeine Innere Medizin oder Kinder- und Jugendmedizin (9) oder waren praktischer Ärzt:in. Das sind deutlich zu wenige. In Dänemark geht man davon aus, dass 60 % der Ärzteschaft in der Grundversorgung tätig sein muss, damit ein solches System funktioniert. Abhängigkeit vom Ausland Das schweizerische Gesundheitswesen ist relevant von ausländischen Fachkräften abhängig. 40% der Ärzt:innen haben ihr Diplom im Ausland erworben. Die Abhängigkeit nimmt in den letzten Jahren auch kontinuierlich zu: Aktuell wird auf ein in der Schweiz erworbenes Diplom 2.4 aus dem Ausland anerkannt und knapp 60 % der Ärzt:innen die einen erteilten und anerkannte Facharzttitel (Ärztestatistik BAG 2022), haben ihr Diplom im Ausland erworben. Die Schweiz erfüllt damit den Code of Practice der WHO 2020 (10) nicht und vestösst damit gegen ethische Prinzipien in der internationalen Rekrutierung von Gesundheitspersonal. Quellen: (1) Swiss Health Survey 2017 / 2022 https://www.bfs.admin.ch/bfs/de/home/statistiken/gesundheit/erhebungen/sgb/ergebnisse-publikationen.html (2) Swiss Health Survey 2017 / 2022 https://www.bfs.admin.ch/bfs/de/home/statistiken/gesundheit/erhebungen/sgb/ergebnisse-publikationen.html (3) Starfield B. et al. (2005): Contribution of Primary Care to Health Systems and Health https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC2690145/ (4) Sandvik H. et al. (2022): Continuity in general practice as predictor of mortality, acute hospitalisation, and use of out-of-horus care: https://bjgp.org/content/bjgp/72/715/e84.full.pdf (5) Obsan 01/23: Ärztinnen und Ärzte in der Grundversorgung – Situation in der Schweiz und im internationalen Vergleich https://www.obsan.admin.ch/sites/default/files/2023-02/Obsan_01_2023_BERICHT.pdf (6) Fédération romande des consommateurs: Recherche médecin, désespéreément: https://enquetes.frc.ch/medecins (7) Workforce-Studie 2020 – 2025 (Kanton Bern): https://www.berner-aerzte.ch/fileadmin/user_upload/0_Startseite/doc.be/BEKAG_Magazin_doc_be_04-2021_d_V_Web.pdf / https://smw.ch/index.php/smw/article/view/3062 (8) https://saez.swisshealthweb.ch/de/article/doi/saez.2023.21657/ resp. https://www.bfs.admin.ch/bfs/de/home/statistiken/gesundheit/erhebungen/sdapaz.html (9) BAG: Statistik Ärztinnen/Ärzte 2022: https://www.bag.admin.ch/bag/de/home/zahlen-und-statistiken/statistiken-berufe-im-gesundheitswesen/statistiken-medizinalberufe1/statistiken-aerztinnen-aerzte.html (10) Code of Practice WHO 2020: https://www.who.int/publications/i/item/wha68.32
    39.365 von 40.000 Unterschriften
    Gestartet von mfe Haus- und Kinderärzte Schweiz Picture
  • Pour le droit à un congé prénatal ! (Grève féministe, SSP, SIT, SEV)
    Le congé prénatal est une revendication très ancienne, demandé par les travailleuse-x-s depuis la fin du 19ème siècle au moins. Plus récemment, le Cartel intersyndical de la fonction publique a déposé le 14 juin 2023 un cahier de revendications féministe dans lequel figure la demande d’introduire ce congé indispensable. Le fait que les employeurs des secteurs publics et subventionnés ne reconnaissent toujours pas le droit au congé prénatal pour leurs employée-x-s fait d’eux des employeurs aux valeurs archaïques. Le congé prénatal est une nécessité, il est temps de le reconnaître ! Par la présente pétition, les soussigné-e-x-s demandent au Conseil d’Etat et au Grand Conseil de reconnaître et défendre la nécessité d’introduire un congé prénatal d’au moins 4 semaines avec plein traitement (sur le modèle du congé maternité) dans les lois et règlements d’application auxquels sont soumises les travailleuse-x-s des secteurs publics et subventionnés. Ce congé prénatal doit s’ajouter au congé maternité de 20 semaines. Pétition lancée par - le Syndicat des services publics - Genève (SSP), https://geneve.ssp-vpod.ch/ - le Syndicat interprofessionnel de travailleuses et travailleurs (SIT), https://www.sit-syndicat.ch/spip/ - le Syndicat SEV-TPG, https://sevtpg.org/ - le Collectif genevois de la Grève féministe, https://grevefeministe-ge.ch/ Avec le soutien du Cartel intersyndical de la fonction publique (https://cartel-ge.ch/) et la Commission féministe de la Communauté genevoise d'action syndicale (https://www.cgas.ch/SPIP/)
    818 von 1.000 Unterschriften
    Gestartet von Aline Zuber
  • Gegen freistehende Mobilfunkantenne an der Lättgasse in Küttigen
    Die geplante Antenne steht mitten in der Wohnzone, ist freistehend und 20 m hoch und oben aufgrund der Sendeanlagen über einen Meter dick. Sie ist aufgrund der exponierten Lage von nahezu überall im Dorf und von allen umliegenden Hügeln im Jura sichtbar. Sie verunstaltet das Ortsbild in kaum vorstellbarer Art und Weise. Sie steht direkt neben einem vielbenutzten Schul- und Wanderweg, auf dem bisher viele Wanderer die Aussicht geniessen und fotografieren. Die 5G Netzabdeckung ist gemäss Salt im gesamten Quartier, in dem die Antenne steht, bereits heute sehr gut. Falls es wirklich eine neue Antenne braucht, muss ein Standort gefunden werden, welcher der Bauordnung von Küttigen entspricht und die Antenne soll installationsgebunden und nicht freistehend gebaut werden.
    620 von 800 Unterschriften
    Gestartet von Simone Wehrli
  • JA zum Bahnhof Thurnen – NEIN zu Bauzügen im Thurnenmoos
    Das Beladen, Abstellen und Rangieren von Bauzügen - auch während der Nacht - verursacht erhebliche Belasungen für AnwohnerInnen, für die Landwirtschaft und für die Natur. Die Gleisanlagen verschlingen wertvolle Fruchtfolgeflächen. Der Naturpark Gantrisch gehört zu einem schweizweit einzigartigen Sternenpark, in dem geschützte und bedrohte Tierarten leben. Diese würden durch zusätzliche Lichtverschmutzung und Lärmbelastung weiter bedroht. Eine neue, lärmige Industriezone gehört nicht in ein Naherholungsgebiet im Naturpark Gantrisch. Es ist unverhältnismässig, für den Neubau einer solchen Anlage offene, geschützte Landschaften zu opfern. ******************************* Hier geht's zum Petitionstext: https://www.fdp-thurnen.ch/fileadmin/groups/568/Berichte/Petition_Rangieranlage/Petition_gegen_die_Rangieranlage_fuer_Bauzuege_im_Thurnenmoos.pdf
    1.753 von 2.000 Unterschriften
    Gestartet von Überparteiliches Komitee NEIN zur Rangieranlage Thurnenmoos Picture
  • Übernahme der Kosten künstlicher Befruchtungen (IVF/ICSI) bei Endometriose
    Mind. jede 10. Person mit Gebärmutter ist von der Krankheit Endometriose betroffen. Viele der Betroffenen leiden an starken chronischen Schmerzen. Dazu kommt, dass 30-50% der Betroffenen unfruchtbar sind. Mit den Verfahren der künstlichen Befruchtung (IVF/ICSI) hat man laut Expert*innen die grösste Chance auf die Erfüllung des Kinderwunsches. Viele Betroffenen können sich jedoch diese Verfahren nicht leisten. Mir liegt das Thema sehr am Herzen, da ich der Meinung bin, dass alle mit Kinderwunsch, unabhängig vom Einkommen, die Möglichkeit haben sollten, eine künstliche Befruchtung (IVF/ICSI) in Anspruch zu nehmen.
    545 von 600 Unterschriften
    Gestartet von Samira Muster
  • Unnötiger Lärm von Garagenlüftung im autoarmen Hunziker-Areal
    Wir, deren Wohnungen auf den Werkplatz im Hunziker-Areal ausgerichtet sind, leiden täglich unter der extrem lauten Tiefgaragen-Lüftung und fühlen uns unnötig gestört. VIDEO mit Aufnahme der Lüftung: https://youtube.com/shorts/yvBg5hUz73Y Wir leben hier an sehr lärmexponierter Lage mit vielen Lärmquellen, die wir nicht beeinflussen können. Darum können wir es erst recht nicht verstehen, warum eine beeinflussbare Lärmquelle wie diese Lüftung nicht saniert wird. Seit über zwei Jahren suchen wir bereits erfolglos das Gespräch mit der Geschäftsleitung mit der Bitte, Massnahmen gegen die laute Lüftung einzuleiten. Leider wurden wir bis heute nicht ernst genommen. Das wollen bzw. müssen wir nun endlich ändern! Wir richten uns an alle Bewohner:innen und Nutzer:innen des Hunziker-Areals und dabei insbesondere an alle betroffenen Menschen, die in den Häusern Hagenholzstrasse 104A/B, Hagenholzstrasse 106A/B, an der Genossenschaftsstrasse 11 sowie an der Genossenschaftsstrasse 13 wohnen. Bitte unterstützt uns alle dabei, uns bei der Geschäftsstelle des Hunziker-Areals Gehör zu verschaffen!
    106 von 200 Unterschriften
    Gestartet von Hausversammlung 106A/B Hunziker-Areal Picture
  • Kein Glockengeläut in der Nacht: Reformierte Kirchgemeinde Horgen
    Lärm macht krank, ganz besonders nachts. Schon bei geringerer Lautstärke kann mit einer Störung des Schlafes gerechnet werden.[1] Nachtlärm kann zu Schlafstörungen, Bluthochdruck und Herzproblemen führen. Bereits Lärmeinflüsse über 40 dB können leichte gesundheitliche Probleme verursachen. Eine dauernde Lärmbelastung über 55 dB steht mit Bluthochdruck, Herzinfarkten und Todesfällen im Zusammenhang.[2] [1] https://www.ethlife.ethz.ch/archive_articles/110526_kirchenglocken_phn/ [2] https://vitagate.ch/de/gesund_und_schoen/ratgeber/schlafen/laerm Foto © Drazen Zigic – Freepik.com
    330 von 400 Unterschriften
    Gestartet von Andreas Freimueller
  • Verhütung ist ein Menschenrecht!
    .• Vor allem Jugendliche und junge Erwachsene (oft noch in Ausbildung) befinden sich schnell mal in Geldnot. Wenn es in der Schweiz öffentlichen Zugang zu Verhütungsmitteln gäbe, könnten sie sich einfacher vor ungewollten Schwangerschaften und Geschlechtskrankheiten schützen. • Jede dritte Schwangerschaft bei unverheirateten Frauen ist ungewollt. Durch kostenlose Verhütungsmittel könnten einige davon verhindert werden. • Momentan muss man in der Schweiz Verhütungsmittel selbst bezahlen, Schwangerschaftsabbrüche werden jedoch von der Krankenkasse übernommen. Dies schafft unserer Meinung nach einen finanziellen Fehlanreiz. • Die Bereitstellung kostenloser Verhütungsmittel ist langfristig kosteneffektiver, da die Kosten für Schwangerschaftsabbrüche, die damit verbundene psychische Begleitung, ungewollte Schwangerschaften gesenkt werden können. Die in den letzten Jahren immer wieder ansteigenden öffentlichen Gesundheitsausgaben können durch weniger Geburten auf lange Sicht also reduziert werden. • In der Schweiz haben Frauen oft noch immer eine höhere Verantwortung in Bezug auf Verhütung. Kostenlose Verhütungsmittel würden dazu beitragen, die Geschlechterungleichheiten zu verringern und Frauen mehr Kontrolle über ihre Gesundheit und ihr Leben zu geben. • Teile der fast 11'000 Schwangerschaftsabbrüche (darunter auch fast 1'000 bei unter 20-Jährigen), die pro Jahr in der Schweiz durchgeführt werden, könnten verhindert werden. Unserer Meinung nach ist es ein Menschenrecht, über seinen eigenen Körper bestimmen zu können und die Wahl zu haben, ob man ein Kind haben möchte oder eben nicht. Dazu sollten keine zusätzlichen Ressourcen aufgewendet werden müssen. Wenn sie auch unserer Meinung sind, dann unterzeichnen Sie jetzt die Petition. Herzlichen Dank für ihre Unterstützung. Quellen: https://www.sexuelle-gesundheit.ch/assets/docs/213-1720.pdf https://www.br.de/puls/themen/leben/kostenlose-verhuetung-fuer-geringverdiener-gruene-100.html#:~:text=Verh%C3%BCtungsmittel%20m%C3%BCssen%20auch%20f%C3%BCr%20Leute,Frauen%20%2D%20sondern%20auch%20an%20M%C3%A4nner.&text=Wer%20Sex%20hat%20und%20keine,muss%20auch%20die%20Verh%C3%BCtung%20bezahlen. https://www.sexuelle-gesundheit.ch/themen/verhuetung https://de.statista.com/statistik/daten/studie/6728/umfrage/jugendliche-die-bereits-geschlechtsverkehr-hatten/
    57 von 100 Unterschriften
    Gestartet von Kajsa La
  • Eine Nation in medizinischer Not: mehr Medizinstudienplätze in der Schweiz
    Rund 10% der Medizinstudierenden brechen derzeit ihr Studium ab. Dabei wird momentan davon ausgegangen, dass jeder fünfte Absolvent der Humanmedizin sein Studium nicht fortsetzt und sich nicht als Assistenzarzt weiterbilden lässt. Ein Grund dafür könnten die verbesserungswürdigen Arbeitszeiten sein, welche nicht mit dem Familienleben übereinstimmen. Heute sind 29 222 Ärzte in der Schweiz berufstätig. Ein Drittel dieser Ärzte haben ein ausländisches Diplom. Dies bedeutet, sie haben ihr Studium im Ausland abgeschlossen. Die Schweizer Bevölkerung ist dementsprechend abhängig von Ärzten mit einem Ausländischen Diplom. Würden in der Schweiz keine ausländischen Ärzte mehr eingestellt werden, wäre das Gesundheitswesen der Schweiz am Anschlag. Jeder Arzt wäre statistisch gesehen für ungefähr 337 Personen zuständig. Um den Verlust dieser Studierenden auszugleichen, ist es dringend erforderlich, mehr Studienplätze anzubieten. Im Bereich der Medizinstudienplätze hat der Bund bereits 100 Millionen Franken investiert. Gerade einmal 20% von diesen 100 Millionen fliessen in die Ausbildung von Hausärzten, obwohl der Hausärztemangel in der Schweiz erheblich gross ist. Aktuell sind 1,2 Hausärzte auf 100 Einwohner zu rechnen. Bis 2030 geht mehr als die Hälfte der Hausärzte in den Ruhestand. Für jeden pensionierten Hausarzt werden zwei neue Ärzte benötigt, da viele von ihnen nur in Teilzeit arbeiten wollen. Es ist an der Zeit, diese dringenden Probleme anzugehen, um die medizinische Versorgung in der Schweiz sicherzustellen. Wir müssen in die Ausbildung von mehr Schweizer Ärzten investieren, damit alle Menschen, unabhängig von ihrem Wohnort, Zugang zu medizinischer Versorgung haben.
    20 von 100 Unterschriften
    Gestartet von Kate L