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Chancengleichheit – auch mit AngststörungenFür viele psychische Erkrankungen (definierte ICD-10 Diagnosen) gibt es bereits einen Nachteilsausgleich, für Angststörungen aber noch nicht. AD(H)S-Betroffene bekommen unter anderem auf Grund ihrer Konzentrationsschwierigkeiten einen Nachteilsausgleich. Doch auch Betroffene einer Angststörung können unter Konzentrationsschwierigkeiten leiden, bekommen aber keinen Nachteilsausgleich. Das muss sich ändern. Angststörungen sind zwar heilbar, dies ist allerdings meistens ein langer Prozess. Während dieses Prozesses kann eine Angststörung eine Behinderung im Schulalltag darstellen. Im Anschluss an eine fachärztliche Diagnose und begleitend zu Psychotherapie, um das Problem langfristig anzugehen, sollte eine Hilfe im Schulalltag geboten werden. Allein die mögliche Konzentrationsschwäche sollte wie bei AD(H)S-Betroffenen genug Begründung für einen Nachteilsausgleich sein. Anrecht auf einen Nachteilsausgleich in der Schweiz haben Menschen mit einer voraussichtlich dauernden Behinderung, welche sowohl körperlich, geistig, wie auch psychisch sein kann. Für den Kanton Basel-Stadt gelten die Richtlinien zu den Massnahmen zum Nachteilsausgleich vom 15. August 2025. In Art. 2, Abs. 2.2 steht: «Die Massnahmen zum Nachteilsausgleich sollen die äusseren Bedingungen, die Form oder auch die Aufgabenstellung der Leistungserhebung so verändern, dass die Benachteiligung, die durch die Entwicklungsstörung oder Behinderung bei der Leistungserhebung entsteht, so gut wie möglich ausgeglichen wird. Sie haben die Art und den Grad der Entwicklungsstörung oder Behinderung zu berücksichtigen.» Mehr Informationen zu diesem Thema findest du auf meiner Website: https://angststoerungen-1.jimdosite.com Die Unterzeichnenden der Petition fordern: Betroffene einer Agoraphobie, Panikstörung, Sozialer Phobie und/oder Generalisierten Angststörung, welche fachärztlich diagnostiziert ist und eine Auswirkung auf den Schulalltag hat, sollen einen auf die Angststörung angepassten Nachteilsausgleich erhalten. Der Nachteilsausgleich soll auf die Bedürfnisse und Angststörung der Person angepasst werden. Während einer Therapie und dem Heilungsprozess sollen Betroffene somit Unterstützung erhalten. Der Nachteilsausgleich soll für betroffene Schüler*innen in Basel der Sek 1 und 2 gelten. Mögliche Lösungsansätze wären dabei: - Die Verlängerung der Zeit an schriftlichen Prüfungen. - Die Befreiung von Mitmachnoten/Anpassung der Mitmachnoten. - Die Durchführung von Vorträgen und/oder Diskussionen in kleinen Gruppen oder nur vor der Lehrperson allein. - Sport- oder Musikvorführungen nur vor der Lehrperson / in kleinen Gruppen. - Die Möglichkeit, Vorträge schriftlich einzureichen und als Facharbeit abzugeben. - Das Schreiben einer Prüfung in einem separaten Raum.28 von 100 UnterschriftenGestartet von Delia Speiser
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Gesunde Lernräume statt Hitzequal - Für ein erträgliches Schulklima im Schulhaus GrentschelWir wollen unseren Kindern adäquate und gesunde Lernräume bieten, in denen sie sich entfalten können – trotz zunehmender sommerlicher Hitzewellen.566 von 600 UnterschriftenGestartet von Martin Banz
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Cave di Arzo: luogo di incontro e di culturaVogliamo mostrare vicinanza e sostegno agli eventi che hanno luogo nelle Cave di Arzo, dimostrando così la nostra volontà di proteggere questo bene immateriale.2.034 von 3.000 UnterschriftenGestartet von Elia Agostinetti
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Fairer Lohnanreiz für Wiedereinstieg ins BerufslebenDieses Thema betrifft immer mehr Menschen in der Schweiz (mich mit eingeschlossen) und würde nicht nur uns helfen, sondern auch dem ganzen Sozialsystem. Eine Entlastung für IV und EL, zudem müsste nicht mehr darüber diskutiert werden, dass junge Menschen keine oder nur eine begrenzte Rente erhalten. Ein absoluter Blödsinn, um Ausgaben zu senken, auf Kosten der Gesundheit dieser Personen, die darauf angewiesen sind.20 von 100 UnterschriftenGestartet von Marco Bassini
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Inondations du Rhône : aide immédiate et plan durable contre les catastrophes futuresDans une maison de Chippis, le salon a été ravagé par les eaux du Rhône. Le parquet est gondolé, les murs noircis par l’humidité. Une grand-mère y vit seule, en attendant que l’assurance “prenne position”. Cela fait un an. À Chippis toujours, un artisan a vu son atelier englouti. Il a tout nettoyé à la main, seul, sans savoir s’il pourra reconstruire. À Sierre, une jeune famille a été évacuée, les enfants en pyjama dans l’eau jusqu’aux genoux. Depuis, plus personne ne les informe. Ces histoires ne sont pas des exceptions. Ce sont des visages du Valais, laissés dans l’attente, dans le doute, dans l’oubli. Pendant ce temps, l’État a lancé une commission d’enquête à 400’000 francs. Une initiative utile, peut-être, mais qui n’a réparé ni les toits, ni les espoirs. Et pourtant, les faits sont là : • Les inondations du Rhône ont frappé durement notre canton. • Un an plus tard, aucune aide financière cantonale concrète n’a été versée. • Les procédures sont complexes, les assurances sont lentes, et les sinistrés sont seuls. Nous vous écrivons aujourd’hui parce que vous avez le pouvoir d’agir. Parce que derrière chaque sinistré, il y a une vie suspendue. Parce que la solidarité ne peut pas attendre. Ce que nous demandons : 1. Un fonds d’urgence cantonal, même partiel, pour débloquer la situation des personnes laissées sans réponse. 2. Un accompagnement administratif renforcé, humain, simplifié, pour aider celles et ceux qui n’ont plus la force de se battre seuls contre des formulaires. 3. L’accélération des travaux de correction du Rhône, car les risques s’accumulent et les retards deviennent dangereux. 4. Et surtout, un plan climat cantonal écopragmatique, ambitieux et concret, incluant : • un fonds intercommunal de prévention et reconstruction, • des infrastructures résilientes, • une stratégie d’anticipation face aux catastrophes climatiques à répétition. Le Valais n’est pas à l’abri. Les crues du Rhône, les coulées de Lourtier, la catastrophe de Blatten le prouvent. Nous ne sommes plus dans l’exception, mais dans la répétition. Face à cela, nous n’avons plus le luxe d’attendre. Nous avons besoin de vision. De courage politique. D’actes. Nous vous écrivons avec le respect dû à vos fonctions, mais aussi avec la force de celles et ceux que vous représentez. Nous ne vous demandons pas de compatir. Nous vous demandons de protéger, réparer et préparer. Le Valais peut montrer l’exemple. Le Valais peut choisir l’action. Mais cela commence maintenant. Les citoyennes et citoyens signataires.20 von 100 UnterschriftenGestartet von Vert’Liberaux Valais
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Pour un congé parental JUSTE - Pas touche au congé maternité !La Commission de la sécurité sociale et de la santé publique du Conseil national (CSSS-N) a décidé de fusionner le congé de maternité de 14 semaines et le congé de paternité de 14 jours en un « congé parental » et de vouloir ainsi les « flexibiliser ». Désormais, les 16 semaines au total doivent pouvoir être réparties « à égalité » entre les deux parents. Cela n'a rien à voir avec l'égalité - au contraire : Il s'agit de supprimer le congé maternité. La santé des personnes qui accouchent est en grand danger. De plus, cette proposition n'a pas vraiment pour but d'offrir aux mères plus de chances sur le marché du travail et aux parents une véritable conciliation, mais en premier lieu d'exploiter davantage le potentiel de la main-d'œuvre et de maîtriser la pénurie de personnel qualifié. Un rapport du Conseil fédéral a récemment exposé le besoin d'un congé parental, les faits sont établis depuis longtemps. Les femmes, les personnes qui accouchent, les sages-femmes, les gynécologues et autres spécialistes doivent être consulté-e-s et leurs préoccupations prises en compte. Avec cette pétition, nous demandons à la Commission de la sécurité sociale d'introduire un véritable congé parental au lieu d'une pseudo solution au détriment de la santé des parturientes. Tu nous trouves aussi sur Instagram : https://www.instagram.com/p/DKFoCFXgLo_/ Ou sur notre site web (en allemand) : https://ekdm.ch/faire-elternzeit/3.725 von 4.000 UnterschriftenGestartet von EKdM Eidgenössische Kommission dini Mueter
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Per un congedo parentale GIUSTO - Giù le mani dalla protezione della maternità!La Commissione della sicurezza sociale e della sanità del Consiglio nazionale (CSSS-N) ha deciso di unire il congedo di maternità di 14 settimane e il congedo di paternità di 14 giorni in un unico «congedo parentale», con l'obiettivo di renderlo più «flessibile». Le 16 settimane complessive potranno essere suddivise «in modo equo» tra i due genitori. Questo non ha niente a che vedere con la parità, anzi: Il congedo di maternità verrebbe così abolito. Questo mette a rischio la salute delle donne che partoriscono. Inoltre, la proposta non mira necessariamente a offrire alle mamme maggiori opportunità sul mercato del lavoro e a consentire ai genitori di conciliare meglio la vita familiare e quella lavorativa, ma principalmente a sfruttare ulteriormente il potenziale della forza lavoro e a far fronte alla carenza di personale qualificato. Un rapporto del Consiglio federale sul congedo parentale ha recentemente evidenziato questa necessità, i fatti sono ormai noti da tempo. Le donne che partoriscono, le ostetriche, le ginecologhe e altre professioniste devono essere ascoltate e le loro preoccupazioni devono essere prese in considerazione. Con questa petizione chiediamo alla Commissione per la sicurezza sociale di introdurre un vero congedo parentale invece di una soluzione fittizia a scapito della salute delle donne che partoriscono. Ci trovi anche su Instagram: https://www.instagram.com/p/DKFoCFXgLo_/ Oppure: https://ekdm.ch/faire-elternzeit/1.680 von 2.000 UnterschriftenGestartet von EKdM Eidgenössische Kommission dini Mueter
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Für eine FAIRE Elternzeit - Hände weg vom Mutterschutz!Die Nationalratskommission für soziale Sicherheit und Gesundheit (SGK-N) hat entschieden, den Mutterschaftsurlaub von 14 Wochen und den Vaterschaftsurlaub von 14 Tagen zu einer «Elternzeit» zusammenzulegen und damit «flexibilisieren» zu wollen. Neu sollen die insgesamt 16 Wochen unter den beiden Eltern «gleichberechtigt» aufteilbar sein. Das hat nichts mit Gleichstellung zu tun – im Gegenteil: Der Mutterschaftsurlaub soll aufgelöst werden. Damit ist die Gesundheit von Gebärenden in grosser Gefahr. Ausserdem geht es bei dem Vorschlag nicht unbedingt darum, Müttern mehr Chancen auf dem Arbeitsmarkt zu bieten und Eltern eine echte Vereinbarkeit zu ermöglichen, sondern primär darum, das Potenzial der Arbeitskräfte weiter auszuschöpfen und den Fachkräftemangel in den Griff zu bekommen. Ein Bericht des Bundesrates zur Elternzeit hat den Bedarf jüngst dargelegt, die Fakten liegen längst auf dem Tisch. Gebärende, Hebammen, Gynäkologinnen und weitere Fachpersonen müssen angehört und ihre Bedenken berücksichtigt werden. Mit dieser Petition fordern wir die Kommission für soziale Sicherheit auf, eine echte Elternzeit einzuführen anstelle einer Scheinlösung auf Kosten der Gesundheit von Gebärenden. Hier kannst du kostenlose Postkarten zum Verschicken, Auflegen und Verteilen bestellen: https://ekdm.ch/shop/ Du findest uns auch auf Instagram: https://www.instagram.com/p/DKFoCFXgLo_/ Oder weitere Infos unter: https://ekdm.ch/faire-elternzeit/27.562 von 30.000 UnterschriftenGestartet von EKdM Eidgenössische Kommission dini Mueter
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Wir fordern längeren und bezahlten Mutterschaftsurlaub!In der Schweiz gibt es 14 Wochen bezahlten Mutterschaftsurlaub. Und dann? Ja, dann muss man wieder arbeiten gehen, wenn man es sich nicht leisten kann, länger zuhause zu bleiben. Und glauben Sie mir, heutzutage können sich das nicht mehr viele leisten, da das Leben so extrem teuer geworden ist. Das heisst: Kind abgeben. Wenn man Pech hat, auch noch Fremdbetreuen lassen, wenn man keine Familie oder Freunde in der Nähe hat. Und das heisst wiederum. Man geht nur arbeiten um die horrenden Preise der Kita zu bezahlen. Ein 14 Wochen altes Baby abgeben, dass die Mutter noch so sehr braucht. Und geschweige denn, von der Mutter zu sprechen. Eventuell hat sie auch noch Geburtsverletzungen? Vielleicht verheilt die Kaiserschnitt Narbe nicht richtig. Und sie muss trotzdem nach 14 Wochen wieder arbeiten gehen. Trotz Schmerzen. Weil das System versagt. Es wird immer davon gesprochen, was für ein faires Land die Schweiz ist. Aber ganz ehrlich? Wo sind 14 Wochen fair? Nur als Beispiel: in Bulgarien sind es 58 Wochen. Oder Kroatien mit 30 Wochen. Ich möchte mich für alle werdenden Mütter einsetzen. Für mehr Mutterschaftsurlaub. Für mehr Gerechtigkeit. Und dafür, die Schweiz, in dem Punkt ein bisschen fairer zu machen16 von 100 UnterschriftenGestartet von Stella Sauseng
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Sosteniamo l'appello del Consiglio di Stato ticinese al Consiglio federaleLa nostra coscienza ci impone di non tacere oltre sul dramma che si sta consumando in Palestina, e altrettanto crediamo debba fare chi ci rappresenta a livello internazionale.2.538 von 3.000 UnterschriftenGestartet von Redazione Naufraghi/e
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Sostegno a Roberto AntoniniTutte le spiegazioni sono disponibili sul sito Naufraghi.ch1.777 von 2.000 UnterschriftenGestartet von Redazione Naufraghi/e
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AHV-Ausbildungsjahre auch nach 5 Jahren nachträglich anrechenbar machen – für soziale Gerechtigkeit!Die aktuelle Regelung ist ein stiller Systemfehler – und viele erfahren erst Jahrzehnte später von ihrer Existenz: Wer eine weiterführende Ausbildung oder ein Studium absolviert, kann sogenannte Ausbildungsjahre geltend machen, um Beitragslücken in der AHV zu vermeiden. Doch: Das geht nur innerhalb von fünf Jahren. Danach ist es zu spät – für immer. Das Tragische: Kaum jemand weiss davon. Weder in der Schule noch in der Lehre oder im Studium wird darüber gesprochen. Selbst Eltern, die jahrzehntelang AHV-Beiträge zahlen, kennen diese Bestimmung oft nicht. Und viele entdecken sie zu spät – meist erst kurz vor der Pensionierung, wenn die Rentenkürzung nicht mehr rückgängig zu machen ist. Ob man die volle Rente bekommt, hängt also nicht vom Lebenslauf ab – sondern vom Wissen der Eltern, dem Zufall von Gesprächen im Umfeld oder einer zufälligen Beratung durch Dritte. Das ist keine soziale Gerechtigkeit, sondern willkürliche Ungleichbehandlung. Diese Wissenslücke betrifft sogar viele gebildete Menschen – weil die Information weder verständlich noch proaktiv kommuniziert wird. Es ist höchste Zeit, diesen Missstand zu beheben und die AHV so fair zu gestalten, wie sie gedacht war.20 von 100 UnterschriftenGestartet von Claudia Hirt