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Assez de journalisme à sensation mensonger !Les articles de presse sexistes et sans fondement ne sont pas nouveaux. On trouve également des articles sur l'étude dans les médias de Suisse romande, soutenus et alimentés par l'article de la Sonntagszeitung. Le débat sur l'égalité est mené de manière unilatérale dans les médias et est encore une fois traîné dans la boue juste avant le 14 juin, sur la base de contre-vérités. C'est pourquoi la qualité du journalisme doit être préservée, même pour les médias romands ! Vous trouverez ici notre plainte adressée au Conseil de la presse (en allemand) : https://uploads-campax.s3.eu-central-1.amazonaws.com/20230510_Beschwerde%20Presserat%20%281%29-1.png https://uploads-campax.s3.eu-central-1.amazonaws.com/20230510_Beschwerde%20Presserat%20%281%29-2.png https://uploads-campax.s3.eu-central-1.amazonaws.com/20230510_Beschwerde%20Presserat%20%281%29-3.png https://uploads-campax.s3.eu-central-1.amazonaws.com/20230510_Beschwerde%20Presserat%20%281%29-4.png La traduction de la plainte: Chers membres du Conseil de la presse Je dépose une plainte contre l'article "Umfrage an der ETH und Uni Zürich : Die meisten Studentinnen willst lieber einen erfolgreichen Mann als selber Karriere machen" de Rico Bandle, paru le 6 mai 2023 dans la Sonntagszeitung. L'article viole la directive 1.1 (recherche de la vérité). Exemple 1 : Le titre "La plupart des étudiantes préfèrent avoir un homme qui réussit plutôt que de faire carrière elles-mêmes" ne peut pas être déduit de l'étude en question comme une conclusion causale. Certes, 23% (dans les disciplines "féminines") et 28% (dans les disciplines "masculines") des étudiantes déclarent vouloir occuper un poste de direction avec des responsabilités en matière de personnel, tandis que 45% (dans les disciplines "féminines") et 32% (dans les disciplines "masculines") recherchent un partenaire avec des chances et des perspectives de carrière plus élevées. L'intersection de ces deux groupes n'a pas été calculée dans l'étude et ne peut pas représenter mathématiquement la majorité des étudiantes. De même, le titre suggère que le manque d'intérêt pour les postes de direction est corrélé au sexe, alors que l'étude montre que les postes de direction ne sont pas appréciés par la majorité des étudiants, indépendamment du sexe. Exemple 2 : "La principale raison de la direction au compte-gouttes (le fait empiriquement constaté que les femmes sont sous-représentées dans les postes supérieurs, ndlr) n'est pas la discrimination ou des conditions plus difficiles pour les mères, comme on le dit souvent, mais le fait que de nombreuses étudiantes n'ont pas ou peu d'ambitions de carrière". Ce que dit l'étude : 23% de toutes les femmes interrogées dans des "disciplines féminines" et 28% dans des "disciplines masculines" aspirent à un "poste de direction avec des responsabilités en matière de ressources humaines". Mais ce chiffre est également relativement bas chez les hommes, où 25% (dans les "matières féminines") et 35% (dans les "matières masculines") aspirent à un "poste de direction avec responsabilité de personnel". La différence entre les sexes est faible. (Annexe, Fig. 5) Une fois de plus, il est suggéré ici que les ambitions de carrière déduites de la présente étude ont un lien avec le sexe. Cela ne correspond pas à la vérité. Exemple 3 : "Leur (les femmes interrogées, ndlr) vision de la famille reste plutôt conservatrice : elles ont tendance à préférer un partenaire plus âgé et plus performant qu'elles". Ce que dit l'étude : 45% de toutes les femmes interrogées dans des "disciplines féminines" et 32% dans des "disciplines masculines" souhaitent avoir des partenaires* avec de meilleures perspectives de carrière. (Annexe, Fig. 8) Cela signifie qu'une nette majorité de femmes - 55% des femmes interrogées dans les "disciplines féminines" et 68% dans les "disciplines masculines" - souhaitent un partenaire qui a des perspectives de carrière aussi bonnes ou moins bonnes. En ne mentionnant pas qu'une majorité des deux sexes souhaitent un* partenaire avec des perspectives de carrière égales ou inférieures, on donne une image fausse et déséquilibrée. Exemple 4 : "Quand il y a des enfants, elles (les femmes interrogées, ndlr) veulent travailler à temps partiel, l'homme doit assurer le revenu principal à plein temps". Ce que dit l'étude : une nette minorité - 22% des répondantes dans les "matières féminines" et 34% dans les "matières masculines" - souhaitent que leur partenaire travaille à plein temps après avoir fondé une famille. Les valeurs comparatives pour les hommes : 16% des hommes dans les "matières féminines" (soit seulement 6% de moins que les femmes) et 27% dans les "matières masculines" (7% de moins) souhaitent un partenaire qui travaille à plein temps après avoir fondé une famille. (voir statistique 3, annexe) L'article donne l'image d'une majorité de femmes interrogées souhaitant un homme travaillant à plein temps. En réalité, il s'agit d'une minorité et l'affirmation de l'article est fausse. Je n'ai pas l'intention d'intenter une action en justice contre ce média.462 von 500 UnterschriftenGestartet von Campax - make change happen
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Basta con il giornalismo sensazionalista e falso!Gli articoli sessisti e infondati dei media non sono una novità. Articoli sullo studio si trovano anche nei media di lingua italiana, sostenuti e alimentati dall'articolo della Sonntagszeitung. Il dibattito sull'uguaglianza di genere è condotto in modo unilaterale dai media e viene trascinato nel fango ancora una volta poco prima del 14 giugno, sulla base di falsità. Ecco perché vale anche per i media in lingua italiana: il giornalismo di qualità deve essere preservato! Qui può trovare il nostro reclamo al Consiglio svizzero della Stampa (in tedesco): https://uploads-campax.s3.eu-central-1.amazonaws.com/20230510_Beschwerde%20Presserat%20%281%29-1.png https://uploads-campax.s3.eu-central-1.amazonaws.com/20230510_Beschwerde%20Presserat%20%281%29-2.png https://uploads-campax.s3.eu-central-1.amazonaws.com/20230510_Beschwerde%20Presserat%20%281%29-3.png https://uploads-campax.s3.eu-central-1.amazonaws.com/20230510_Beschwerde%20Presserat%20%281%29-4.png56 von 100 UnterschriftenGestartet von Campax - make change happen
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Genug von unwahrem Sensationsjournalismus!Dieser Fall ist nicht der erste von sexistischer, sensationsheischender Berichterstattung. Aber jetzt ist es genug! Hier die Detaillierten Ausführungen dazu, warum der Artikel den Richtlinien des Presserates widerspricht: Der Artikel verletzt die Richtlinie 1.1 (Wahrheitssuche). Beispiel 1: Der Titel «Die meisten Studentinnen wollen lieber einen erfolgreichen Mann, als selber Karriere machen» kann so kausal nicht als Schlussfolgerung aus der betreffenden Studie abgeleitet werden. Zwar geben 23% (in «Frauenfächern») bzw. 28% (in «Männerfächern») der Studentinnen an eine Führungsposition mit Personalverantwortung anzustreben, während 45% (in «Frauenfächern») bzw. 32% (in «Männerfächern») einen Partner mit höheren Karrierechancen und - aussichten suchen. Die Schnittmenge dieser beiden Gruppen ist in der Studie nicht berechnet worden und kann rechnerisch nicht die Mehrheit der Studentinnen abbilden. Ebenfalls wird mit dem Titel suggeriert, dass fehlendes Interesse an Führungspositionen mit dem Geschlecht korreliert, während die Studie aufzeigt, dass Führungspositionen beim Grossteil der Studierenden unbeliebt sind, unabhängig vom Geschlecht. Beispiel 2: «Der wichtigste Grund für die tröpfelnde Leitung (die empirisch feststellbare Tatsache, dass Frauen in höheren Positionen untervertreten sind, Anm. d. Verf.) sind nicht etwa Diskriminierung oder erschwerte Bedingungen für Mütter, wie oft gesagt wird, sondern dass viele Studentinnen keine oder nur geringe Karriereambitionen haben.» Was die Studie sagt: 23% aller weiblichen Befragten in «Frauenfächern» und 28% in «Männerfächern» streben eine «Führungsposition mit Personalverantwortung» an. Die Zahl ist bei Männern aber auch verhältnismässig tief, dort streben 25% (in «Frauenfächern») und 35% (in «Männerfächern») eine «Führungsposition mit Personalverantwortung» an. Der Geschlechterunterschied ist gering. (siehe Statistik 1, Anhang) Erneut wird hier suggeriert, dass die Karriereambitionen abgeleitet aus der vorliegenden Studie einen Bezug zum Geschlecht haben. Dies entspricht nicht der Wahrheit. Beispiel 3: «Ihr (die weiblichen Befragten, Anm. d. Verf.) Familienbild ist nach wie vor eher konservativ geprägt: Tendenziell bevorzugen sie einen Partner, der älter und erfolgreicher ist als sie.» Was die Studie sagt: 45% aller weiblichen Befragten in «Frauenfächern» und 32% in «Männerfächern» wünschen sich Partner*innen mit besseren Karriereaussichten. (siehe Statistik 2, Anhang) Das heisst eine deutliche Frauenmehrheit – 55% der weiblichen Befragten in «Frauenfächern» und 68% in «Männerfächern» – wünscht sich einen Partner, der gleich gute oder geringere Karriereaussichten hat. Indem nicht erwähnt wird, dass sich eine Mehrheit beider Geschlechter eine*n Partner*in mit gleichen oder geringeren Karrierechancen wünscht, wird ein falsches und unausgewogenes Bild vermittelt. Beispiel 4: «Wenn Kinder da sind, wollen sie (die weiblichen Befragten, Anm. d. Verf.) Teilzeit arbeiten, der Mann soll Vollzeit für das Haupteinkommen sorgen.» Was die Studie sagt: Eine klare Minderheit – 22% der weiblichen Befragten in «Frauenfächern» und 34% in «Männerfächern» – wünschen sich einen Partner, der nach der Familiengründung Vollzeit arbeitet. Die Vergleichswerte für Männer: 16% der Männer in «Frauenfächern» (also nur 6% weniger als bei den Frauen) und 27% in «Männerfächern» (7% weniger) wollen eine Partnerin, die nach der Familiengründung Vollzeit arbeitet. (siehe Statistik 3, Anhang) Im Artikel wird das Bild gezeichnet, dass eine Mehrheit der weiblichen Befragten sich einen Vollzeit arbeitenden Mann wünscht. Tatsächlich ist es eine Minderheit und die Aussage des Artikels falsch. Unsere Beschwerde an den Presserat: https://uploads-campax.s3.eu-central-1.amazonaws.com/20230510_Beschwerde%20Presserat%20%281%29-1.png https://uploads-campax.s3.eu-central-1.amazonaws.com/20230510_Beschwerde%20Presserat%20%281%29-2.png https://uploads-campax.s3.eu-central-1.amazonaws.com/20230510_Beschwerde%20Presserat%20%281%29-3.png https://uploads-campax.s3.eu-central-1.amazonaws.com/20230510_Beschwerde%20Presserat%20%281%29-4.png2.890 von 3.000 UnterschriftenGestartet von Campax - make change happen
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Binden sind wie Klopapier – Gratis-Menstruationsprodukte, jetzt!Perioden-Armut kann der Gesundheit schaden. Oder bewirkt, dass manche nicht zur Schule oder zur Arbeit gehen. Manche Menschen können sich keine oder nur wenig Produkte für die Menstruation leisten. Produkte für die Menstruation sind zum Beispiel Tampons oder Binden. Manche Menschen schämen sich wegen der Menstruation. Nicht alle wissen, was die Menstruation ist. Und welche verschiedenen Produkte es für die Menstruation gibt. Oder was sie tun können, wenn sie Schmerzen oder Beschwerden haben wegen der Menstruation. Obwohl ungefähr die Hälfte der Menschen die Menstruation etwa einmal im Monat während rund 40 Jahren hat. All dies gehört zur Perioden-Armut. [1] Der Kauf von Menstruationsprodukten kann zu einer finanziellen Belastung werden. Gemäss einer Schätzung von Radio Télévision Suisse RTS zahlen Mädchen, Frauen und ein Teil der trans und intergeschlechtlichen Menschen im Leben etwa 4500 Franken für Tampons, Binden und ähnliche Produkte. [2] Insbesondere für Obdachlose, Menschen in prekären Verhältnissen und Studentinnen kann das ins Gewicht fallen. In allen Toiletten steht Toilettenpapier gratis zur Verfügung. Ebenso wie beim Toilettenpapier handelt es sich bei Monatshygieneartikel um Güter des Grundbedarfs. Die freie Verfügbarkeit von Menstruationsprodukten bedeutet eine grosse Entlastung bezüglich dem Schamgefühl wegen möglichen Blutflecken und erspart unangenehme oder gar gefährliche Situationen, die immer dann entstehen, wenn auf andere, weniger hygienische Produkte zurückgegriffen werden muss. [3] [1] https://www.stadt-zuerich.ch/prd/de/index/gleichstellung/themen/oeffentlicher_raum/periodenarmut/pilotprojekt.html [2] https://pages.rts.ch/la-1ere/programmes/on-en-parle/11066995-le-cout-des-menstruations-et-comment-reduire-la-facture-18-02-2020.html?mediaShare=1 [3] https://www.parlament.ch/de/ratsbetrieb/suche-curia-vista/geschaeft?AffairId=2020449310 von 100 UnterschriftenGestartet von Susan Schühle
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Binden sind wie Klopapier – Gratis-Menstruationsprodukte, jetzt!Perioden-Armut kann der Gesundheit schaden. Oder bewirkt, dass manche nicht zur Schule oder zur Arbeit gehen. Manche Menschen können sich keine oder nur wenig Produkte für die Menstruation leisten. Produkte für die Menstruation sind zum Beispiel Tampons oder Binden. Manche Menschen schämen sich wegen der Menstruation. Nicht alle wissen, was die Menstruation ist. Und welche verschiedenen Produkte es für die Menstruation gibt. Oder was sie tun können, wenn sie Schmerzen oder Beschwerden haben wegen der Menstruation. Obwohl ungefähr die Hälfte der Menschen die Menstruation etwa einmal im Monat während rund 40 Jahren hat. All dies gehört zur Perioden-Armut. [1] Der Kauf von Menstruationsprodukten kann zu einer finanziellen Belastung werden. Gemäss einer Schätzung von Radio Télévision Suisse RTS zahlen Mädchen, Frauen und ein Teil der trans und intergeschlechtlichen Menschen im Leben etwa 4500 Franken für Tampons, Binden und ähnliche Produkte. [2] Insbesondere für Obdachlose, Menschen in prekären Verhältnissen und Studentinnen kann das ins Gewicht fallen. In allen Toiletten steht Toilettenpapier gratis zur Verfügung. Ebenso wie beim Toilettenpapier handelt es sich bei Monatshygieneartikel um Güter des Grundbedarfs. Die freie Verfügbarkeit von Menstruationsprodukten bedeutet eine grosse Entlastung bezüglich dem Schamgefühl wegen möglichen Blutflecken und erspart unangenehme oder gar gefährliche Situationen, die immer dann entstehen, wenn auf andere, weniger hygienische Produkte zurückgegriffen werden muss. [3] [1] https://www.stadt-zuerich.ch/prd/de/index/gleichstellung/themen/oeffentlicher_raum/periodenarmut/pilotprojekt.html [2] https://pages.rts.ch/la-1ere/programmes/on-en-parle/11066995-le-cout-des-menstruations-et-comment-reduire-la-facture-18-02-2020.html?mediaShare=1 [3] https://www.parlament.ch/de/ratsbetrieb/suche-curia-vista/geschaeft?AffairId=202044936 von 100 UnterschriftenGestartet von Barbara Just
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Binden sind wie Klopapier – Gratis-Menstruationsprodukte, jetzt!Perioden-Armut kann der Gesundheit schaden. Oder bewirkt, dass manche nicht zur Schule oder zur Arbeit gehen. Manche Menschen können sich keine oder nur wenig Produkte für die Menstruation leisten. Produkte für die Menstruation sind zum Beispiel Tampons oder Binden. Manche Menschen schämen sich wegen der Menstruation. Nicht alle wissen, was die Menstruation ist. Und welche verschiedenen Produkte es für die Menstruation gibt. Oder was sie tun können, wenn sie Schmerzen oder Beschwerden haben wegen der Menstruation. Obwohl ungefähr die Hälfte der Menschen die Menstruation etwa einmal im Monat während rund 40 Jahren hat. All dies gehört zur Perioden-Armut. [1] Der Kauf von Menstruationsprodukten kann zu einer finanziellen Belastung werden. Gemäss einer Schätzung von Radio Télévision Suisse RTS zahlen Mädchen, Frauen und ein Teil der trans und intergeschlechtlichen Menschen im Leben etwa 4500 Franken für Tampons, Binden und ähnliche Produkte. [2] Insbesondere für Obdachlose, Menschen in prekären Verhältnissen und Studentinnen kann das ins Gewicht fallen. In allen Toiletten steht Toilettenpapier gratis zur Verfügung. Ebenso wie beim Toilettenpapier handelt es sich bei Monatshygieneartikel um Güter des Grundbedarfs. Die freie Verfügbarkeit von Menstruationsprodukten bedeutet eine grosse Entlastung bezüglich dem Schamgefühl wegen möglichen Blutflecken und erspart unangenehme oder gar gefährliche Situationen, die immer dann entstehen, wenn auf andere, weniger hygienische Produkte zurückgegriffen werden muss. [3] [1] https://www.stadt-zuerich.ch/prd/de/index/gleichstellung/themen/oeffentlicher_raum/periodenarmut/pilotprojekt.html [2] https://pages.rts.ch/la-1ere/programmes/on-en-parle/11066995-le-cout-des-menstruations-et-comment-reduire-la-facture-18-02-2020.html?mediaShare=1 [3] https://www.parlament.ch/de/ratsbetrieb/suche-curia-vista/geschaeft?AffairId=202044934 von 100 UnterschriftenGestartet von Raymond Liaudet
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Binden sind wie Klopapier – Gratis-Menstruationsprodukte, jetzt!Perioden-Armut kann der Gesundheit schaden. Oder bewirkt, dass manche nicht zur Schule oder zur Arbeit gehen. Manche Menschen können sich keine oder nur wenig Produkte für die Menstruation leisten. Produkte für die Menstruation sind zum Beispiel Tampons oder Binden. Manche Menschen schämen sich wegen der Menstruation. Nicht alle wissen, was die Menstruation ist. Und welche verschiedenen Produkte es für die Menstruation gibt. Oder was sie tun können, wenn sie Schmerzen oder Beschwerden haben wegen der Menstruation. Obwohl ungefähr die Hälfte der Menschen die Menstruation etwa einmal im Monat während rund 40 Jahren hat. All dies gehört zur Perioden-Armut. [1] Der Kauf von Menstruationsprodukten kann zu einer finanziellen Belastung werden. Gemäss einer Schätzung von Radio Télévision Suisse RTS zahlen Mädchen, Frauen und ein Teil der trans und intergeschlechtlichen Menschen im Leben etwa 4500 Franken für Tampons, Binden und ähnliche Produkte. [2] Insbesondere für Obdachlose, Menschen in prekären Verhältnissen und Studentinnen kann das ins Gewicht fallen. In allen Toiletten steht Toilettenpapier gratis zur Verfügung. Ebenso wie beim Toilettenpapier handelt es sich bei Monatshygieneartikel um Güter des Grundbedarfs. Die freie Verfügbarkeit von Menstruationsprodukten bedeutet eine grosse Entlastung bezüglich dem Schamgefühl wegen möglichen Blutflecken und erspart unangenehme oder gar gefährliche Situationen, die immer dann entstehen, wenn auf andere, weniger hygienische Produkte zurückgegriffen werden muss. [3] [1] https://www.stadt-zuerich.ch/prd/de/index/gleichstellung/themen/oeffentlicher_raum/periodenarmut/pilotprojekt.html [2] https://pages.rts.ch/la-1ere/programmes/on-en-parle/11066995-le-cout-des-menstruations-et-comment-reduire-la-facture-18-02-2020.html?mediaShare=1 [3] https://www.parlament.ch/de/ratsbetrieb/suche-curia-vista/geschaeft?AffairId=202044937 von 100 UnterschriftenGestartet von Barbara Thurnher
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Tibits, Binden sind wie Klopapier – Gratis-Menstruationsprodukte, jetzt!Perioden-Armut kann der Gesundheit schaden. Oder bewirkt, dass manche nicht zur Schule oder zur Arbeit gehen. Manche Menschen können sich keine oder nur wenig Produkte für die Menstruation leisten. Produkte für die Menstruation sind zum Beispiel Tampons oder Binden. Manche Menschen schämen sich wegen der Menstruation. Nicht alle wissen, was die Menstruation ist. Und welche verschiedenen Produkte es für die Menstruation gibt. Oder was sie tun können, wenn sie Schmerzen oder Beschwerden haben wegen der Menstruation. Obwohl ungefähr die Hälfte der Menschen die Menstruation etwa einmal im Monat während rund 40 Jahren hat. All dies gehört zur Perioden-Armut. [1] Der Kauf von Menstruationsprodukten kann zu einer finanziellen Belastung werden. Gemäss einer Schätzung von Radio Télévision Suisse RTS zahlen Mädchen, Frauen und ein Teil der trans und intergeschlechtlichen Menschen im Leben etwa 4500 Franken für Tampons, Binden und ähnliche Produkte. [2] Insbesondere für Obdachlose, Menschen in prekären Verhältnissen und Studentinnen kann das ins Gewicht fallen. In allen Toiletten steht Toilettenpapier gratis zur Verfügung. Ebenso wie beim Toilettenpapier handelt es sich bei Monatshygieneartikel um Güter des Grundbedarfs. Die freie Verfügbarkeit von Menstruationsprodukten bedeutet eine grosse Entlastung bezüglich dem Schamgefühl wegen möglichen Blutflecken und erspart unangenehme oder gar gefährliche Situationen, die immer dann entstehen, wenn auf andere, weniger hygienische Produkte zurückgegriffen werden muss. [3] [1] https://www.stadt-zuerich.ch/prd/de/index/gleichstellung/themen/oeffentlicher_raum/periodenarmut/pilotprojekt.html [2] https://pages.rts.ch/la-1ere/programmes/on-en-parle/11066995-le-cout-des-menstruations-et-comment-reduire-la-facture-18-02-2020.html?mediaShare=1 [3] https://www.parlament.ch/de/ratsbetrieb/suche-curia-vista/geschaeft?AffairId=202044934 von 100 UnterschriftenGestartet von Beat Oesch
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Binden sind wie Klopapier – Gratis-Menstruationsprodukte, jetzt!Perioden-Armut kann der Gesundheit schaden. Oder bewirkt, dass manche nicht zur Schule oder zur Arbeit gehen. Manche Menschen können sich keine oder nur wenig Produkte für die Menstruation leisten. Produkte für die Menstruation sind zum Beispiel Tampons oder Binden. Manche Menschen schämen sich wegen der Menstruation. Nicht alle wissen, was die Menstruation ist. Und welche verschiedenen Produkte es für die Menstruation gibt. Oder was sie tun können, wenn sie Schmerzen oder Beschwerden haben wegen der Menstruation. Obwohl ungefähr die Hälfte der Menschen die Menstruation etwa einmal im Monat während rund 40 Jahren hat. All dies gehört zur Perioden-Armut. [1] Der Kauf von Menstruationsprodukten kann zu einer finanziellen Belastung werden. Gemäss einer Schätzung von Radio Télévision Suisse RTS zahlen Mädchen, Frauen und ein Teil der trans und intergeschlechtlichen Menschen im Leben etwa 4500 Franken für Tampons, Binden und ähnliche Produkte. [2] Insbesondere für Obdachlose, Menschen in prekären Verhältnissen und Studentinnen kann das ins Gewicht fallen. In allen Toiletten steht Toilettenpapier gratis zur Verfügung. Ebenso wie beim Toilettenpapier handelt es sich bei Monatshygieneartikel um Güter des Grundbedarfs. Die freie Verfügbarkeit von Menstruationsprodukten bedeutet eine grosse Entlastung bezüglich dem Schamgefühl wegen möglichen Blutflecken und erspart unangenehme oder gar gefährliche Situationen, die immer dann entstehen, wenn auf andere, weniger hygienische Produkte zurückgegriffen werden muss. [3] [1] https://www.stadt-zuerich.ch/prd/de/index/gleichstellung/themen/oeffentlicher_raum/periodenarmut/pilotprojekt.html [2] https://pages.rts.ch/la-1ere/programmes/on-en-parle/11066995-le-cout-des-menstruations-et-comment-reduire-la-facture-18-02-2020.html?mediaShare=1 [3] https://www.parlament.ch/de/ratsbetrieb/suche-curia-vista/geschaeft?AffairId=202044936 von 100 UnterschriftenGestartet von Kim Gallagher
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Binden sind wie Klopapier – Gratis-Menstruationsprodukte, jetzt!Perioden-Armut kann der Gesundheit schaden. Oder bewirkt, dass manche nicht zur Schule oder zur Arbeit gehen. Manche Menschen können sich keine oder nur wenig Produkte für die Menstruation leisten. Produkte für die Menstruation sind zum Beispiel Tampons oder Binden. Manche Menschen schämen sich wegen der Menstruation. Nicht alle wissen, was die Menstruation ist. Und welche verschiedenen Produkte es für die Menstruation gibt. Oder was sie tun können, wenn sie Schmerzen oder Beschwerden haben wegen der Menstruation. Obwohl ungefähr die Hälfte der Menschen die Menstruation etwa einmal im Monat während rund 40 Jahren hat. All dies gehört zur Perioden-Armut. [1] Der Kauf von Menstruationsprodukten kann zu einer finanziellen Belastung werden. Gemäss einer Schätzung von Radio Télévision Suisse RTS zahlen Mädchen, Frauen und ein Teil der trans und intergeschlechtlichen Menschen im Leben etwa 4500 Franken für Tampons, Binden und ähnliche Produkte. [2] Insbesondere für Obdachlose, Menschen in prekären Verhältnissen und Studentinnen kann das ins Gewicht fallen. In allen Toiletten steht Toilettenpapier gratis zur Verfügung. Ebenso wie beim Toilettenpapier handelt es sich bei Monatshygieneartikel um Güter des Grundbedarfs. Die freie Verfügbarkeit von Menstruationsprodukten bedeutet eine grosse Entlastung bezüglich dem Schamgefühl wegen möglichen Blutflecken und erspart unangenehme oder gar gefährliche Situationen, die immer dann entstehen, wenn auf andere, weniger hygienische Produkte zurückgegriffen werden muss. [3] [1] https://www.stadt-zuerich.ch/prd/de/index/gleichstellung/themen/oeffentlicher_raum/periodenarmut/pilotprojekt.html [2] https://pages.rts.ch/la-1ere/programmes/on-en-parle/11066995-le-cout-des-menstruations-et-comment-reduire-la-facture-18-02-2020.html?mediaShare=1 [3] https://www.parlament.ch/de/ratsbetrieb/suche-curia-vista/geschaeft?AffairId=202044937 von 100 UnterschriftenGestartet von René Edward Knupfer
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Universität Zürich, Binden sind wie Klopapier – Gratis-Menstruationsprodukte, jetzt!Perioden-Armut kann der Gesundheit schaden. Oder bewirkt, dass manche nicht zur Schule oder zur Arbeit gehen. Manche Menschen können sich keine oder nur wenig Produkte für die Menstruation leisten. Produkte für die Menstruation sind zum Beispiel Tampons oder Binden. Manche Menschen schämen sich wegen der Menstruation. Nicht alle wissen, was die Menstruation ist. Und welche verschiedenen Produkte es für die Menstruation gibt. Oder was sie tun können, wenn sie Schmerzen oder Beschwerden haben wegen der Menstruation. Obwohl ungefähr die Hälfte der Menschen die Menstruation etwa einmal im Monat während rund 40 Jahren hat. All dies gehört zur Perioden-Armut. [1] Der Kauf von Menstruationsprodukten kann zu einer finanziellen Belastung werden. Gemäss einer Schätzung von Radio Télévision Suisse RTS zahlen Mädchen, Frauen und ein Teil der trans und intergeschlechtlichen Menschen im Leben etwa 4500 Franken für Tampons, Binden und ähnliche Produkte. [2] Insbesondere für Obdachlose, Menschen in prekären Verhältnissen und Studentinnen kann das ins Gewicht fallen. In allen Toiletten steht Toilettenpapier gratis zur Verfügung. Ebenso wie beim Toilettenpapier handelt es sich bei Monatshygieneartikel um Güter des Grundbedarfs. Die freie Verfügbarkeit von Menstruationsprodukten bedeutet eine grosse Entlastung bezüglich dem Schamgefühl wegen möglichen Blutflecken und erspart unangenehme oder gar gefährliche Situationen, die immer dann entstehen, wenn auf andere, weniger hygienische Produkte zurückgegriffen werden muss. [3] [1] https://www.stadt-zuerich.ch/prd/de/index/gleichstellung/themen/oeffentlicher_raum/periodenarmut/pilotprojekt.html [2] https://pages.rts.ch/la-1ere/programmes/on-en-parle/11066995-le-cout-des-menstruations-et-comment-reduire-la-facture-18-02-2020.html?mediaShare=1 [3] https://www.parlament.ch/de/ratsbetrieb/suche-curia-vista/geschaeft?AffairId=202044935 von 100 UnterschriftenGestartet von Caroline Reber
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Auszahlung Familienzulagen an den Elternteil mit KindDie Familienzulagen sind für die Ausgaben für die Kinder gedacht. Wenn ein Kind nur bei einem Elternteil lebt, dann sollte die Familienzulage dementsprechend jenem Elternteil ausbezahlt werden, bei dem das Kind lebt. Sowohl der Bund als auch der Kanton Zürich haben eine Reihenfolge definiert, die regelt, wer das Recht hat, die Familienzulagen zu beantragen. Diese Reihenfolge führt jedes Jahr wieder zu komplizierten Rückforderungen von Familienzulagen, weil die Familienausgleichskassen erst über ein Jahr verspätet die Informationen erhalten, ob der jeweilige andere Elternteil mehr verdient hat als der Elternteil, der mit dem Kind lebt. Das Problem ist die Reihenfolge der Anspruchsberechtigung. Kommen beim gemeinsamen Sorgerecht beide Elternteile in Frage, hat aktuell der besser verdienende Elternteil Anspruch auf die Familienzulage, auch wenn das Kind in der Obhut des anderen Elternteils ist. Haben sich die beiden Elternteile im Streit getrennt, so kommt es leider oft vor, dass jener Elternteil, bei dem das Kind lebt und der die weitaus meisten Kosten trägt, nicht in den Genuss der Familienzulage kommt, weil der andere Elternteil das Geld für sich behält. Daher sollte für die Auszahlung der Familienzulagen die elterliche Obhut stärker gewichtet werden, als das höhere Erwerbseinkommen. Viele der getrennt lebenden Eltern wissen gar nicht, ob und wie viel der andere Elternteil verdient hat. Dies führt dazu, dass jährlich Tausende Franken ausbezahlt werden und wieder zurückbezahlt werden müssen. Dies betrifft vor allem Einelternfamilien, die sowieso meistens nur ein kleines Einkommen haben und auf die Familienzulagen angewiesen sind. Eine Rückforderung führt oft dazu, dass der Elternteil mit dem Kind benachteiligt ist, weil er dann verpflichtet ist, die erhaltenen Familienzulagen nachträglich an die Familienausgleichskasse zurückzuzahlen und jene, auf die der andere Elternteil Anspruch gehabt hätte, im schlimmsten Fall dann doch nicht bekommt. Somit lebt die Familie mit Kind schlussendlich ohne Familienzulagen und hat zusätzlich noch Schulden bei der Familienausgleichskasse. Beispiel: Die Kindsmutter hat im Jahr 2021 die Familienzulagen über die SVA erhalten, monatlich CHF 200.- für das gemeinsame Kind. Der Kindsvater hat im Jahr 2021 ausnahmsweise während sechs Monaten gearbeitet und in dieser Zeit ein höheres Einkommen erzielt als die Kindsmutter, diese wusste jedoch nichts davon. Anfang 2023 bekommt die Kindsmutter eine Rechnung von der SVA für eine Rückzahlung von CHF 1200.-, da ja der Kindsvater gesetzlich gesehen die Familienzulage hätte beantragen müssen für die sechs Monate, die er gearbeitet hat, dies jedoch nicht tat. Dies muss jetzt nachgeholt werden. Die SVA fühlt sich aber nicht verantwortlich, der Kindsmutter mitzuteilen, wo der Kindsvater gearbeitet hat, bzw. bei welcher Firma die Familienzulage nachträglich beantragt werden soll. Wenn die beiden Elternteile in unterschiedlichen Kantonen wohnen, wird die Sache noch umständlicher. Das aktuelle Gesetz passt für jene Eltern, die in gutem Einvernehmen zusammen (oder auch getrennt) leben, jedoch nicht für Eltern, die getrennt leben und nicht miteinander auskommen oder nicht mal mehr miteinander reden. Das Gesetz müsste jedoch auch für solche komplizierteren Familienverhältnisse passend sein. Dies ist es aktuell jedoch leider nicht. Deshalb fordern wir mit dieser Petition, dass die Reihenfolge, welche die Anspruchsberechtigung für Familienzulagen in den Gesetzen auf Ebene des Bundes und des Kantons Zürich regelt, dahingehend geändert wird, dass Familienzulagen in erster Linie jenem Elternteil zugesprochen werden, bei dem das Kind lebt. Eine Änderung, die für alle Familienkonstellationen passend ist. Auszahlung der Familienzulagen an den Elternteil mit Obhut!3.255 von 4.000 UnterschriftenGestartet von Martina Hegetschweiler
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