• Mehr vegane Lebensmittel, weniger Tierleid in Fertigprodukten!
    1. Für Menschen, die sich erst teilweise vegan oder vegetarisch ernähren können, ist bei Fertigprodukten leider oft unklar, ob hinter den Zutaten schlimmste Formen von Tierhaltung stecken. 2. Viele für Veganer*innen oder Vegetarier*innen halbwegs geeignete Fertigprodukte sind oft noch nicht als Bio-Produkte erhältlich, unverhältnismässig teuer - oder es ist unklar, ob für Zutaten wie Palmöl, Zuckerrohr oder Soja Regenwald gerodet wurde. Gerade dort wo die Art der Tierhaltung bei Zutaten von Fertigprodukten nicht genannt wird, muss man befürchten, dass eine besonders ausbeuterische Situation bei der Tierhaltung hinter der fehlenden Deklaration steckt, denn: Erfüllt die Tierhaltung mehr als nur die allertiefsten Standards, schmücken sich die Grossverteiler / Detailhändler - oft unverhältnismässig damit: Beispielsweise wird Freilandhaltung bei Hühnern idyllisch dargestellt, obwohl sie nur knapp besser ist als Bodenhaltung. Und als KonsumentIn muss man befrüchten, dass vielen Anbietern Umweltschutz und Tierhaltung bei Produkten, wo die Gewinnspanne nicht hoch ist, weitgehend egal ist. So stellt sich die Frage, ob man noch Kund*in von Grossverteilern bleiben, und dies indirekt mitfinanzieren will. Anders gesagt: Es darf nicht sein, dass sich Grossverteiler mit einem ökologischen Gewissen schmücken, während: Die Zutaten aus Hühnereiern, die in Fertigprodukten enthalten sind, noch oft aus Bodenhaltung stammen; vermutlich nicht selten sogar aus ausländischer Boden- oder Käfighaltung**. Und dass bei Milch- oder oder Fleischbestandteile, welche in Fertigprodukten enthalten sind, die Tierhaltung oft völlig intransparent bleibt. weiterführende Infos, Links Beispiele für die Situation von u.a. Legehennen in der EU: https://albert-schweitzer-stiftung.de/massentierhaltung/legehennen ** Für Forderung 4 relevant: Hier wird u.a. über Beispiele für Zustände bei Bodenhaltung von Hühnern im Ausland berichtet. https://www.srf.ch/sendungen/kassensturz-espresso/importeier-zu-ostern-so-schockierend-ist-die-tierhaltung Was gibt es für Alternativen? Was steckt hinter den Idyllen, die Grossverteiler punkto Tierhaltung in der Schweiz vermitteln? https://www.tier-im-fokus.ch/info-material/themen/ernaehrung_und_konsum#zwischentitel_01c Milchproduktion und Tierschutz, Hintergrund-Bericht STS (16 Seiten): http://www.tierschutz.com/publikationen/nutztiere/infothek/div/milchproduktion_tierschutz.pdf Verhaltensauffälligkeiten / Kannibalismus bei Hühnern als Folge von Haltungsbedingungen: https://www.rettet-das-huhn.de/h%C3%BChnerhaltung/verhaltensauff%C3%A4lligkeiten/ Labels versprechen Unterschiedliches. Wichtig ist, dass sich leider nicht wenige Labels selbst kleinste Vorteile grossspurig auf die Fahne schreiben. Oder dass Aspekte mit denen sich ein Label oder Anbieter in der Label-Definition NICHT schmückt, meist auch NICHT abgedeckt sind. Mit wenigen Ausnahmen (u.a. Demeter, Bio-Knospe). Und es gibt Labels, die für aufgeklärte Konsument*innen befremdend sind, wie jenes das bei Übersee-Produkten von Coop auf CO2 Kompensation hinweist. Der Import** per Flugzeug wird dort mit dem Kauf nämlich mitfinanziert; darauf sollte man - wenn irgend möglich - verzichten. https://www.clever-konsumieren.ch/infos-tipps/labels/ **Wo das Bedürfnis nach Früchten oder Gemüse mal wirklich nicht regional und saisonal befriedigt werden kann, bitte auf Art des Transportes achten: Bananen / Kiwis sind zwar ökologisch keine Wohltat: Diese werden aber meist nach der Ernte mit dem Frachtschiff transport (Erdölverbrauch pro Tonne Transportgewicht vertretbar, Schweröl eher weniger). Im Zweifelsfall einfach beim Kundendienst / per Feedback-Karten nach dem Transportweg des Produktes fragen!
    172 von 200 Unterschriften
    Gestartet von Reto Gasser
  • Aucune importation de produits à base de fourrure obtenus par maltraitance d'animaux
    Mauvais traitements des animaux Les méthodes de chasse aux animaux à fourrure courantes à l'étranger (pièges à mâchoires, pièges annulaires et pièges mortuaires) ainsi que les conditions d'élevage (cages étroites à fond grillagé) dans les fermes commerciales répondent clairement aux critères de la Loi fédérale sur la protection des animaux. Il en va de même pour l'abattage des animaux : il n'y a généralement pas d'obligation de sédation préalable, comme dans le cas des animaux de ferme. Afin de ne pas abîmer la fourrure, les animaux sont brutalement abattus, empoisonnés, gazés, étranglés, électrocutés ou écorchés alors qu'ils sont encore conscients. Les formes actuelles de production de fourrure vont donc à l'encontre des valeurs fondamentales de la population suisse. Pollution de l'environnement Contrairement à l'opinion générale selon laquelle la fourrure est un produit "naturel", sa transformation est un procédé chimique hautement toxique. 80 à 85 % de la fourrure provient d'élevages d'animaux à fourrure, où l'élevage, l'alimentation et la reproduction sont tout sauf naturels et où les excréments des animaux polluent l'environnement. Pendant le traitement, la peau brute d'un animal doit d'abord être traitée avec un mélange de produits chimiques après le dépouillement pour protéger la fourrure de la détérioration et de la décomposition. Ces produits chimiques doivent ensuite être éliminés et se retrouvent souvent dans le plan d'eau le plus proche. Cela signifie de mauvaises conditions de travail et une pollution massive de l'environnement. [1] Dangers pour la santé des consommateurs et des travailleurs Des études ont montré que les produits à base de fourrure sont contaminés par un certain nombre de toxines chimiques dangereuses (p. ex. formaldéhyde et chrome 6). Ceci s'applique également aux vêtements pour enfants. 2] Il s'agit d'un danger pour la santé des consommateurs et des travailleurs. Ordonnance sur la déclaration des fourrures (ODP) L'ODP est en vigueur en Suisse depuis 2014 dans le but de réduire la vente de fourrure. Toutefois, cette ordonnance est rarement appliquée correctement. Des déclarations insuffisantes, fausses, voire inexistantes, sont à l'ordre du jour dans le domaine des produits en fourrure. Des échantillons provenant des autorités, des organisations de protection des animaux et des médias ont également montré que les consommateurs sont souvent induits en erreur lorsque des questions critiques concernant la production de fourrure sont soulevées et sont donc encouragés à acheter. 3] Une révision de l'ordonnance sur la déclaration de la fourrure (ODP) prévoit désormais d'introduire l'appellation "origine inconnue", ce qui serait impensable pour des produits comme la viande et les œufs. Même les termes d'élevage "individuel" et "en groupe" ne parlent pas d'un mode d'élevage respectueux des animaux. --> Même une obligation de déclaration conçue et mise en œuvre de manière optimale ne permettrait pas d'empêcher l'importation et la vente de produits à base de fourrure obtenus en maltraitant des animaux. Texte de la motion: "Les méthodes de piégeage employées à l'étranger telles que le piège à mâchoires, le collet ou encore le piège assomoir, ainsi que l'élevage d'animaux à fourrure dans des cages étroites au sol grillagé répondent clairement aux critères de mauvais traitements énoncés dans la LPA. Aux atroces souffrances des animaux vient s'ajouter le fait que de plus en plus, ils ne sont pas assez, voire pas du tout sédatés avant la mise à mort et donc dépouillés à vif. Ces méthodes, tout à fait usuelles, vont ainsi à l'encontre des valeurs fondamentales de la population suisse. Et pourtant, les grandes quantités de fourrures importées en Suisse sont loin de diminuer. En 2013, l'ordonnance sur la déclaration des fourrures est entrée en vigueur dans le but d'endiguer les importations et de permettre au consommateur de faire un choix en toute connaissance de cause lorsqu'il achète un produit. Néanmoins, suite à des défauts matériels et des graves lacunes dans sa mise en oeuvre, l'ordonnance ne crée pas la transparence requise. De plus, même en cas d'une mise en oeuvre correcte, la déclaration obligatoire n'empêcherait pas que de tels produits continuent à être importés et vendus en Suisse. Par conséquent, l'interdiction d'importer des produits de pelleterie issus d'animaux maltraités s'impose, car elle constitue la seule façon de ne plus encourager les méthodes cruelles appliquées à l'étranger, qui sont favorisées par la demande en Suisse et pourtant clairement rejetées par la majorité de la population. Il ressort en outre d'une thèse et de deux avis de droit qu'une telle interdiction serait compatible avec les engagements internationaux de la Suisse, ce que confirme également l'interdiction d'importer des produits fabriqués à partir de peaux de phoque décrétée par l'Union européenne et approuvée par les organes compétents de l'OMC. La Suisse, ayant repris l'interdiction édictée par l'Union européenne d'importer des produits dérivés du phoque et des peaux de chien et de chat, connaît d'ores et déjà des interdictions d'importation motivées par la protection des animaux. Pour toutes les raisons qui précèdent, il convient d'étendre l'interdiction à l'ensemble des produits de la pelleterie impliquant des méthodes cruelles de détention, de piégeage et de mise à mort d'animaux."
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  • Nessuna importazione di prodotti di pellicceria ottenuti infliggendo sofferenze agli animali
    Maltrattamento degli animali I metodi di caccia agli animali da pelliccia comuni all'estero (tagliole, trappole con funi o a scatto) così come le condizioni di allevamento (gabbie strette con pavimenti in rete metallica) negli allevamenti commerciali adempiono chiaramente, secondo i criteri della Legge federale sulla protezione degli animali, al maltrattamento degli animali. Lo stesso vale per l'abbattimento: Di solito non c'è l'obbligo di sedare preventivamente gli animali, come nel caso degli animali da allevamento. Per non danneggiare la pelliccia, gli animali vengono abbattuti brutalmente, avvelenati, gasati, strangolati, folgorati o scuoiati mentre sono ancora coscienti. Le attuali forme di produzione di pellicce sono quindi in contraddizione con i valori fondamentali della popolazione svizzera. Impatto ambientale Contrariamente all'opinione generale secondo cui la pelliccia sia un prodotto "naturale", la sua lavorazione è un processo chimico altamente velenoso. L'80-85% della pelliccia proviene da allevamenti di pellicce, dove la detenzione, l'alimentazione e l'allevamento sono tutt'altro che naturali e le feci degli animali inquinano l'ambiente. Durante la lavorazione, la pelle grezza di un animale deve prima essere trattata con una miscela di sostanze chimiche dopo la scuoiatura per proteggere la pelliccia dal deterioramento e dalla decomposizione. Queste sostanze chimiche devono poi essere smaltite e spesso finiscono nel corpo idrico più vicino. Ciò significa pessime condizioni di lavoro e massiccio inquinamento ambientale. [1] Pericoli per la salute dei/delle consumatori/trici e dei/delle lavoratori/trici Studi hanno dimostrato che i prodotti di pellicceria sono contaminati da una serie di tossine chimiche pericolose (ad esempio formaldeide e cromo 6). Ciò vale anche per l'abbigliamento per bambini. 2] Si tratta di un pericolo per la salute dei/delle consumatori/trici e dei/delle lavoratori/trici. Ordinanza sulla dichiarazione delle pellicce (ODP) L’ODP è in vigore in Svizzera dal 2014 con l'obiettivo di ridurre la vendita di pellicce. Tuttavia questa ordinanza viene raramente applicata correttamente. Dichiarazioni insufficienti, false o addirittura nessuna dichiarazione sono all’ordine del giorno nell’ambito dei prodotti di pellicceria. Campioni forniti da autorità, organizzazioni per la protezione degli animali e dai media hanno inoltre dimostrato che i consumatori vengono spesso ingannati quando si pongono questioni critiche sulla produzione di pellicce e sono quindi incoraggiati ad acquistare. 3] Una revisione dell’Ordinanza sulla dichiarazione delle pellicce (ODP) prevede ora di introdurre la denominazione "origine sconosciuta", cosa che sarebbe impensabile per prodotti come la carne e le uova. Anche i termini allevamento “individuale” e "di gruppo" non dicono nulla riguardo una forma di allevamento rispettosa degli animali. --> Anche un obbligo di dichiarazione, concepito e attuato in modo ottimale, non riuscirebbe a impedire l'importazione di prodotti di pellicceria ottenuti infliggendo sofferenze agli animali. Testo della mozione: "Secondo la legge svizzera sulla protezione degli animali, sia i metodi di caccia di animali da pelliccia comunemente utilizzati all'estero (tagliole, trappole a laccio ecc.) sia le condizioni in cui sono tenuti gli animali da pelliccia negli allevamenti commerciali (gabbie strette con pavimenti grigliati) rientrano chiaramente nella fattispecie del maltrattamento di animali. Agli animali sono inflitte gravi sofferenze. Succede di continuo che vengano storditi in modo insufficiente o non vengano storditi affatto prima di essere uccisi e che siano scuoiati vivi. Le comuni forme di ottenimento delle pellicce sono quindi in contraddizione con i valori fondamentali della popolazione svizzera. Tuttavia, in Svizzera continuano a essere importate grandi quantità di prodotti di pellicceria. Per ridurre le importazioni e consentire ai clienti di prendere una decisione d'acquisto consapevole, nel 2013 è entrata in vigore l'ordinanza sulla dichiarazione delle pellicce che però, a causa di lacune contenutistiche e di gravi carenze nell'attuazione, non contribuisce a creare la necessaria trasparenza. Ma neanche un obbligo di dichiarazione concepito e attuato in modo ottimale permetterebbe di impedire l'importazione e la vendita di prodotti di pellicceria ottenuti infliggendo sofferenze agli animali. In questo contesto s'impone l'introduzione di un divieto d'importazione di prodotti di pellicceria ottenuti infliggendo sofferenze agli animali. Solo in questo modo si può impedire che, attraverso la sua domanda interna, la Svizzera promuova all'estero metodi di ottenimento di pellicce chiaramente respinti da una netta maggioranza della popolazione svizzera. Un simile divieto d'importazione sarebbe inoltre compatibile con gli obblighi commerciali internazionali della Svizzera, come dimostrano una dissertazione e due perizie giuridiche. Le argomentazioni in esse addotte sono state sostanzialmente confermate dagli organi dell'OMC in relazione al divieto d'importazione di prodotti derivati dalle foche emanato dall'UE. Con il suddetto divieto e il divieto d'importazione di pellicce di cane e di gatto ripresi dall'UE, in Svizzera vigono già oggi divieti d'importazione motivati da principi della protezione degli animali. Di conseguenza, per le ragioni sopra esposte, deve essere emanato anche un divieto d'importazione per tutti i prodotti di pellicceria per i quali gli animali sono tenuti, catturati o uccisi in modo crudele." Fonti: [1] https://www.antifurleague.org/luegen [2] Krauter, 2011 [https://www.tierimrecht.org/documents/2024/2011_Report_Gift_im_Pelz_II_VIER_PFOTEN_und_ECOAID_small.pdf] [3] tierimrecht.org/de/ueber-uns/publikationen/argumentarium/pelz/ [4]https://www.parlament.ch/it/ratsbetrieb/suche-curia-vista/geschaeft?AffairId=20194425
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  • Kein Import von tierquälerisch erzeugten Pelzprodukten
    Tierquälerei Die im Ausland üblichen Methoden der Pelztierjagd (Tellereisen, Schlingen- und Totschlagfallen) sowie die Haltungsbedingungen (enge Käfige mit Drahtgitter-Böden) in kommerziellen "Pelztierfarmen" – aus denen 85% der Pelze stammen – erfüllen nach Massstab des Schweizer Tierschutzgesetzes klar den Tatbestand der Tierquälerei. Ebenso die Tötung: Eine Pflicht zur vorgängigen Betäubung gibt es meist nicht. Um das Fell nicht zu beschädigen und da Arbeiter*innen unter Zeitdruck stehen, werden die Tiere brutal erschlagen, vergiftet, vergast, erwürgt oder per Stromschlag getötet – oder noch bei Bewusstsein gehäutet. Diese Tötungsmethoden gelten auch in Europa. Die gängigen Formen der Pelzgewinnung widersprechen damit grundlegenden Wertvorstellungen der schweizerischen Bevölkerung. Umweltbelastung Entgegen der allgemeinen Auffassung, Pelz sei ein "natürliches" Produkt, ist dessen Verarbeitung ein hochgiftiger, chemischer Prozess. Bei der Verarbeitung muss zunächst die rohe Haut eines Tieres nach dem Häuten mit einer Mischung aus Chemikalien behandelt werden, um das Fell vor Verfall und Zersetzung zu schützen. Diese Chemikalien müssen danach entsorgt werden und gelangen dabei oft ins nächste Gewässer. Dies bedeutet schlimme Arbeitsbedingungen und eine massive Umweltbelastung. [1] Da es in Europa fast keine Gerbereien gibt – eben weil dies ein so hochgiftiger Prozess ist – werden die allermeisten Pelze zur Verarbeitung nach China geflogen. Dies schlägt sich zusätzlich in der Ökobilanz des Pelzes nieder. Gesundheitliche Gefahr für Konsument*innen und Arbeiter*innen Untersuchungen haben gezeigt, dass Pelzprodukte mit einer Reihe gesundheitlich bedenklicher chemischer Giftstoffe (z.B. Formaldehyd und Chrom 6) belastet sind. So auch Kinderkleidung. [2] Diese sind eine gesundheitliche Gefahr für Konsument*innen sowie Arbeiter*innen. Pelzdeklarationsverordnung (PDV) Seit 2014 ist die PDV in der Schweiz in Kraft – mit dem Ziel den Verkauf von Pelz zu vermindern. Diese wird jedoch selten korrekt umgesetzt: 70% der kontrollierten Geschäfte deklarieren nach wie vor ungenügend oder gar nicht. Stichproben von Behörden, Tierschutzorganisationen und Medien haben ebenfalls gezeigt, dass Konsumenten bei kritischen Fragen zur Pelzproduktion häufig gezielt in die Irre geführt und so zum Kauf animiert werden. [3] Eine Revision der PDV sieht nun vor, die Bezeichnung "Herkunft unbekannt" einzuführen, was bei Produkten wie Eier oder Fleisch undenkbar wäre. Auch die Bezeichnungen "Einzel-" und "Gruppenhaltung" sagen nichts über eine tiergerechte Haltungsform aus. --> Selbst eine optimal ausgestaltete und umgesetzte Deklarationspflicht könnte nicht verhindern, dass tierquälerisch gewonnene Pelzwaren weiterhin eingeführt und verkauft werden. Deshalb kann nur ein Pelzimportverbot verhindern, dass tierquälerisch erzeugte Pelzprodukte ihren Weg in Schweizer Läden finden. Wir unterstützen damit die Motion 19.4425. Motionstext: "Sowohl die im Ausland üblichen Methoden der Pelztierjagd (Tellereisen, Schlingen- und Totschlagfallen) als auch die Haltungsbedingungen in kommerziellen Pelztierzuchtbetrieben (enge Käfige mit Drahtgitter-Böden) erfüllen nach Massstab des Schweizer Tierschutzgesetzes klar den Tatbestand der Tierquälerei. Die Tiere erleiden enorme Qualen und werden an der Auslebung selbst elementarster Grundbedürfnisse gehindert. Immer wieder kommt es zudem vor, dass Tiere vor ihrer Tötung nur unzureichend oder gar nicht betäubt und bei lebendigem Leib gehäutet werden. Die gängigen Formen der Pelzgewinnung widersprechen damit grundlegenden Wertvorstellungen der schweizerischen Bevölkerung. Dennoch werden nach wie vor grosse Mengen an Pelzprodukten in die Schweiz eingeführt. Um die Importzahlen zu senken und den Kunden eine fundierte Kaufentscheidung zu ermöglichen, wurde 2013 die Pelzdeklarationsverordnung in Kraft gesetzt. Aufgrund inhaltlicher Mängel und gravierender Defizite in der Umsetzung vermag diese jedoch nicht die notwendige Transparenz zu schaffen. Doch selbst eine optimal ausgestaltete und umgesetzte Deklarationspflicht könnte nicht verhindern, dass tierquälerisch gewonnene Pelzwaren weiterhin eingeführt und verkauft werden. Vor diesem Hintergrund drängt sich der Erlass eines Importverbots für tierquälerisch erzeugte Pelzprodukte auf. Nur mittels eines solchen lässt sich verhindern, dass die Schweiz durch eine inländische Nachfrage Pelzgewinnungsmethoden im Ausland fördert, die von einem überwiegenden Teil der Schweizer Bevölkerung klar abgelehnt werden. Ein solches Importverbot wäre auch mit den internationalen Handelsverpflichtungen der Schweiz vereinbar, wie eine Dissertation und zwei Rechtsgutachten belegen. Die dort vorgebrachte Argumentation wurde von den WTO-Gremien im Zusammenhang mit einem von der EU erlassenen Importverbot für Robbenprodukte im Wesentlichen bestätigt. Mit dem von der EU übernommenen Importverbot für Robbenprodukte und jenem für Hunde- und Katzenfelle bestehen in der Schweiz schon heute tierschützerisch motivierte Einfuhrverbote. Konsequenterweise ist ein solches aus den oben dargelegten Gründen für sämtliche Pelzerzeugnisse zu erlassen, für deren Herstellung Tiere in tierquälerischer Weise gehalten, gefangen oder getötet wurden." Quellen: [1] https://www.antifurleague.org/hintergruende [2] Krauter, 2011 [https://www.tierimrecht.org/documents/2024/2011_Report_Gift_im_Pelz_II_VIER_PFOTEN_und_ECOAID_small.pdf] [3] tierimrecht.org/de/ueber-uns/publikationen/argumentarium/pelz/
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  • Keine Rodung von Urwäldern für Lebensmittel!
    Auch als Kund*innen die vegetarisch, vegan oder rein 'Bio' einkaufen, sollte es uns beschäftigen, welches Fleisch Supermärkte anbieten. Denn unsere Einkäufe finanzieren indirekt das ganze Angebot! Hier siehst du Fleischprodukte die in unseren Supermärkten angeboten werden, welche DIREKT aus Südamerika und Brasilien stammen. Dort wird sowohl für Soja-Futtermittel wie AUCH für Weideland gerodet: https://wolkig.ch/index.php/s/niazs2878sTFPWS Die Erweiterung des Soja-Anbaus für Futtermittel und Weideflächen für die Rinderhaltung sind in Brasilien und Südamerika die Hauptursache für Brandrodung! In der industriellen Tierhaltung von Südamerika und den USA wird als Futtermittel meist ein sehr hoher Anteil Soja aus Gebieten verwendet, wo viel Brandrodung stattfindet! Aber auch in Europa wird in der Massen-Tierhaltung oft ein hoher Anteil von Soja aus Brasilien eingesetzt! Falls Grossverteiler Brandrodung für Soja-Futtermittel und Weideflächen weiterhin dulden, wäre es aber schade, wenn du dich direkt von ihnen verabschiedest, ohne diese wissen zu lassen wieso! Wenn du empört bist, benutze bitte deinen Einfluss als noch Kund*in mit einem (schriftlichen) Feedback. Unsere Grossverteiler scheint selbst dieser direkte Zusammenhang momentan (noch) wenig zu interessieren. Und das mengenmässig viel grössere Angebot von europäischem Fleisch aus Massentierhaltung, wo sehr oft Futtermittel aus Brasilien verwendet wird, kommt noch dazu! Andere Lebensmittel die mit Rodungen von Urwäldern zu tun haben können: In Indonesien sind Plantagen für die Gewinnung von Palmöl eine Hauptursache für verlustreiche Rodungen von Regenwald. Weniger bedeutend, aber ein weiterer Grund für Rodungen im Amazonas und anderen Urwäldern ist der Anbau von Zuckerrohr oder exotischen Früchten. Falsche Behauptungen zu Soja sind zu vermeiden: Nur ein ganz kleiner Teil (ca. 2 Prozent) des z.B. in Deutschland benutzten Soja wird für Sojamilch, Tofu und ähnliche, vegane Produkte verwendet. Und dieses Soja wächst meistens auf europäischen Äckern! In Forderung 4 sind Fleischersatz-Produkte dennoch erwähnt, weil dort zum Teil auch ärgerlich unklare Fälle auftauchen: So unter anderem die Migros Cornatur-Linie (Fleischersatz), wo die Herkunft der Sojabestandteile oft absolut unklar bleibt (elaboré en suisse) und problematische Quellen daher nicht ausgeschlossen werden können. Und wer vegan einkauft, möchte (wie ich) vermutlich sicher sein, nur Produkte zu kaufen, hinter denen wirklich keine Brandrodung steckt! Ähnliche Petitionen und weiterführende Infos: Wie viel wird wo gerodet? • https://de.wikipedia.org/wiki/Tropischer_Regenwald#Gef%C3%A4hrdung_des_tropischen_Regenwaldes Am Beispiel eines artenreichen Feuchtgebiets (Patanal) zeigt ein Greenpeace-Report Zusammenhänge der Rodungs-Situation im Amazonas auf: www.greenpeace.ch/de/story/64614 Zwei Petitionen betreffend Urwald-Schutz, die sich an politische Entscheidungsträger in der Schweiz und Bolivien wenden: • https://www.greenpeace.ch/de/handeln/stopp-dem-import-von-umweltzerstoerendem-futtermittel-und-fleisch/ • https://www.regenwald.org/petitionen/1198/bitte-protestiert-der-tropenwald-brennt-fuer-fleisch-und-soja Kurzer Einblick zu Ursachen von Rodungen in Regenwäldern: • https://www.abenteuer-regenwald.de/bedrohungen Bericht über die Situation im Amazonas und die Verursacher von Brandrodung und Abholzung • https://amazonwatch.org/assets/files/2019-complicity-in-destruction-2.pdf Umfassender Bericht über die Ursachen von Brandrodung und Abholzung von Primärwäldern (Urwald) weltweit: • https://www.greenpeace.org/international/publication/22247/countdown-extinction-report-deforestation-commodities-soya-palm-oil/
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  • Petition gegen die Tierfabrik «Chueweid» in Drälikon Hünenberg
    Die einleitende Argumentation wird aufgrund der nachfolgenden Fakten deutlich: ● Die Reussebene wird neben den Gewächshäusern eines anderen Bauernhofs zusätzlich durch einen Stall mit den Dimensionen 230 Meter Länge, 50 Meter Breite und 20 Meter Höhe verschandelt. Die 11 000 m2 Halle entspricht der Grösse von 1,6 Fussballfeldern (Waldvogel, 2018). ● Der anfallende Tretmist beläuft sich für den voraussichtlichen Tierbestand auf 9 240 Tonnen pro Jahr. Hinzu kommt eine Jaucheansammlung von 6 230 m3 (6 230 000 Liter) pro Jahr. Würde die Raumkapazität für über 1 000 Tiere ausgelastet, würde sich Jauche- und Tretmistbelastungen entsprechend erhöhen (Rutzmoser, Horlacher, & Schultheiss, 2014). Die entstehende Gülle wird aufgrund der enormen Menge an benachbarte Höfe als Dünger verteilt. Die anfallende Güllenmenge wird die Wiesen veröden und die Nitratbelastung der Böden verschärfen. Unzählige Tiere und Insekten werden aussterben und die Biodiversität wird weiter abnehmen (Biermayr, 2018). Die schweizerische Landwirtschaft ist für mehr als 90 Prozent der Ammoniakemissionen im Land verantwortlich. Ein Grossteil davon entsteht, wenn Gülle ausgebracht wird oder wenn Jauchegruben keine Abdeckung haben (Schweizer Bauer, 2019). Wir denken, die dramatische Situation muss nicht unnötig weiter verschärft werden. ● Der Raufutterverzehr für den geplanten Tierbestand beträgt in etwa 4 400 Tonnen pro Jahr. (Flückiger Strebel, 2015). Um die geplante Menge an Tieren füttern zu können, bedarf es einer enormen Futterzulieferung. Unzählige Lastwagen pro Jahr werden das idyllische Hünenberg als Durchgangsverkehr belasten. ● Eine Kuh stösst pro Jahr 75 kg Methan aus, dies entspricht 1 875 kg CO₂-Äquivalente pro Jahr (Léchot, 2016). Die geplanten 800 – 1 000 Kühe würden zwischen 1 500 000 und 1 875 000 kg CO₂ pro Jahr erzeugen. Ein durchschnittlicher Personenwagen verursachte im Jahr 2018, 1 378 kg CO₂ (Auto-Schweiz, 2019). Der Betrieb der Interfarm GmbH verursacht einzig durch die Haltung der Jersey Kühe so viel CO₂ wie 1088 bis 1 360 Autos pro Jahr. Die Lebensqualität im familienfreundlichen Hünenberg würde durch die Methan-, CO₂- und Ammoniak-Gase erheblich beeinträchtigt. ● Die Interfarm GmbH möchte vorwiegend auf Milchproduktion setzen. Der Milchkonsum ist in den letzten 10 Jahren um 18 % gesunken. Dieser Rückgang ist nach Angaben der Grossverteiler ein längerfristiger Trend. Die Pläne der Interfarm GmbH widersprechen demzufolge den gegenwärtigen und zukünftigen Ernährungsgewohnheiten der Schweizer Bevölkerung (Theiler, 2019). ● Die Interfarm GmbH bewirbt ihr Projekt mit einem erhöhten Tierwohl und bezeichnet es als «Wohlfühloase für die Tiere». Da Milch gewonnen werden kann, «ohne der Kuh etwas zu Leide zu tun», gehen die meisten Menschen davon aus, dass Milchprodukte frei von Tierleid seien (Joy, 2013). Dabei wird verschwiegen, dass die Kühe nur Milch geben, wenn sie ein Kalb geboren haben. Die Kühe werden zu diesem Zweck einmal pro Jahr künstlich besamt. Kurz nach der Geburt wird der Kuh ihr Kind (Kälbchen) weggenommen und in Iglus isoliert gehalten, auf engstem Raum. Die Milch der Kuh, die eigentlich für das Kälbchen zur Verfügung steht, wird der Kuh weggenommen und dem Kälbchen vorenthalten. Die Kühe und die Kälber leiden nachweisbar an enormem Trennungsschmerz (Häne, 2015/2018). Die (männlichen) Kälbchen werden nach wenigen Wochen in Mastbetriebe überführt und landen nach 16 – 18 Wochen auf dem Schlachthof (Joy, 2013). Ein Kalb, welches wirtschaftlich nicht «rentiert», darf in der Schweiz sogar bereits nach gesetzlicher Frist von 7 Tagen getötet werden (Busse, 2015). Die Interfarm GmbH produziert auf diese Weise in der «Wohlfühloase» Drälikon viele hunderte fühlende Tiere pro Jahr, um sie zu töten. Es ist heute allgemein bekannt, dass die Massentierhaltung nebst dem Verursachen von Tierleid in hohem Masse zur Umwelt-verschmutzung sowie zur Klimaerwärmung und der Reduktion der Artenvielfalt beiträgt. Ein Projekt wie die Tierfabrik Chueweid in Drälikon Hünenberg darf deshalb auf keinen Fall realisiert werden. Literaturverzeichnis ● Auto-Schweiz. (2019). Durchschnittliche CO₂-Emissionen neuer Personenwagen 2018. Abgerufen am 16. 8. 2019 von www.auto.swiss. ● Biermayr, R. (13. 7. 2018). Die Pläne für einen riesigen Stall in Hünenberg stossen auf Widerstand. Luzerner Zeitung. ● Busse, T. (2015). Die Wegwerfkuh. München: Karl Blessing Verlag. ● Flückiger Strebel, E. (2015). Abgerufen am 28. Juli 2019 von Fundus Agri-Cultura Alpina: https://fundus-agricultura.wiki/?p=2811%20%20und%20%20%20 http://www.ufa.ch/beratung/fuetterungsgrundlagen/rindvieh/kaelberaufzucht/ ● Häne, S. (2015). Sie leben keine sieben Tage mehr. Tagesanzeiger. ● Häne, S. (2018). Trinken die Schweizer bald «Elternzeit-Milch»? Tagesanzeiger. ● Joy, M. (2013). Warum wir Hunde lieben, Schweine essen und Kühe anziehen. Münster: Compassion Media Verlag. ● Léchot, J. (12. April 2016). Wie viel Mühe machen Kühe dem Klima wirklich? Von https://daslamm.ch abgerufen ● Rutzmoser, K., Horlacher, D., & Schultheiss, U. (2014). Festmist- und Jaucheanfall, Mengen und Nährstoffgehalte aus Bilanzierungsmodellen. Darmstatt: Kuratorium für Technik und Bauwesen in der Landwirtschaft e.V. (KTBL). ● Schweizer Bauer. (2019). Gülle: Bund will neue Regeln. Bern: schweizerbauer.ch – sda. ● Theiler, L. (9. Mai 2019). SRF. Abgerufen am 26. 7. 2019 von Milch macht‘s – aber nicht mehr so wie früher ● Waldvogel, G. (6. Juli 2018). Halle für über 1000 Kühe provoziert Kritik. Zentral Plus. Abgerufen am 26. 7. 2019 von www.zentralplus.ch
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    Gestartet von Verein Fluid Spirit Verein Fluid Spirit
  • #McVGN - Für einen veganen Burger bei McDonald's Schweiz
    [DEUTSCH] Verglichen mit einem Burger aus Rindfleisch hat ein veganer Burger zahlreiche Vorteile: - Er verursacht durchschnittlich 90% weniger Treibhausgase (CO2, Methan). - Er benötigt bei der Produktion rund 46% weniger Energie. - Er spart ungefähr 99% Trinkwasser ein. - Er benötigt etwa 93% weniger Landfläche als ein Rindfleischburger. - Und dabei wird keine fürchterliche Massentierhaltung unterstützt, wie dies bei McDonald's, Burger King und Co. sonst der Fall ist. (Links zu den Zahlen und eine detailliertere Behandlung des Themas [inkl. Kommentar auf potenzielle Kritik an der Petition] findet ihr unter https://www.saoiaebi.com) Wenn wir also McDonald's Schweiz dazu bewegen können, einen pflanzlichen Burger einzuführen, dann tun wir nicht nur dem Klima, der Umwelt und den Tieren etwas Gutes, sondern erleichtern es ausserdem der Klimastreik-Jugend, ökologische und günstige Optionen zu wählen. Wenn wir wirklich etwas gegen die Klimakrise tun und die ausgerufenen Klimanotstände in zahlreichen Schweizer Städte ernst nehmen wollen, dann müssen wir auf verschiedenen Ebenen dagegen ankämpfen. Die Einführung von nachhaltigeren Alternativen wie beispielsweise einem veganen Burger wäre eine Möglichkeit. Deshalb bitte ich euch – egal ob Veganer*in, Vegetarier*in, Flexitarier*in oder Fleischesser*in –, diese Online Petition zu unterschreiben, um etwas Druck auf McDonald's aufzubauen, damit sie endlich einen veganen Burger in der Schweiz einführen werden. We want #McVGN! Euer SaoiAebi PS: Bitte Petition teilen und mit Hashtag versehen, damit wir möglichst viele Unterschriften zusammen kriegen. Danke! [ENGLISH] Compared to a burger made of beef, a plantbased burger has many advantages: - It causes 90% less greenhouse gases (CO2, methane). - It requires 46% less energy in production. - It saves about 99% of fresh water. - It requires 93% less land area compared to a beef burger. - And it doesn't support any cruel factory farming practises which is otherwise the case with McDonald's, Burger King etc. (Links to the numbers above and a more detailed discourse of the topic [incl. a commentary to potential criticism of this petition] can be found at https://www.saoiaebi.com) If we can push McDonald's Switzerland to introduce a plantbased burger, it will not only be good for the environment, for our health and for the animals, but we also facilitate finding a ecological and cheap food option for the climatestrike-youth. So if we really want to fight climate change, we have to fight it in several areas. Adding a more sustainable alternative like a vegan burger to the menu would be one way to do that. Therefore I urge you to sign this online petition – no matter if you are a vegan, a vegetarian or an omnivore – to put pressure upon McDonald's Switzerland to finally introduce a vegan burger option. We want #McVGN! Yours sincerely, SaoiAebi PS: Please share this petition in order to get as many signatures as possible. Thanks!
    883 von 1.000 Unterschriften
    Gestartet von Saoi Aebi Picture
  • Den Lachs zurück im Rhein bei Basel
    Vor hundert Jahren war der Rhein das grösste Lachsgewässer in Europa. Überfischung und eine zum Teil katastrophale Wasserqualität liessen den Lachs in den 50er-Jahren aussterben. Zudem versperren Wasserkraftwerke, Wehre und Dämme entlang des Rheins dem Lachs die Rückkehr zu seinen Laichplätzen. Mit der Rückkehr des Lachses bis in die Schweiz profitiert das ganze Ökosystem in unseren Flüssen und Bächen. Unser Ziel: Gesunde Flüsse, vernetzte Lebensräume und wieder eine grössere Artenvielfalt. Wenn sich der Lachs in unseren Flüssen vermehren kann, geht es auch anderen Fisch- und Pflanzenarten in den Schweizer Flüssen gut. https://youtu.be/aw7ZPHuJ4ok
    5.888 von 6.000 Unterschriften
  • Landwirtschaftliches Wissen sichern und erhalten
    Sicherheit 1. Das Wissen der Nahrungsmittelproduktion ist lebensnotwendig. Der Erhalt und die Weitergabe an kommende Generationen ist unsere Pflicht (Wissen = Kulturgut). Jeden Tag "stirbt Wissen", weil es nicht dokumentiert wurde. 2. Rechtliche Unsicherheiten (Datenschutz, Urheberrecht, etc) und Abhängigkeiten von Grosskonzernen (z.B. YouTube) werden bereinigt (->Schweizer Lösung!) Umweltschutz + Gesundheit 1. Ökologisch sinnvolle Lösungen können ausgetauscht und weiterentwickelt werden. 2. Gute Lebensmittel und eine intakte Umwelt sind die Grundlagen für beste Gesundheit. Soziales und Wirtschaft 1. Der Austausch - auch von kleinen Akteuren - wird gefördert. Dadurch können Innovationen angestossen und neue Zusammenarbeitsformen geschaffen werden. 2. Dank einer gemeinsamen Lösung profitieren alle Akteure (Kostenzusammenlegung und gemeinsame Infrastruktur). Bildung 1. Selbständige Weiterbildung (für alle Personen) ist jederzeit möglich. 2. Neue digitale Methoden bereichern die Lernlandschaft und können als Modellprojekt auf andere Bildungsbereiche übertragen werden. Synergien und interdisziplinärer Brückenbau 1. Viele Inhalte sind bereits vorhanden. Sie werden jedoch schlecht gefunden oder sind nicht digital aufbereitet. -> Auf einer Plattform werden sie sichtbar. 2. Forschung, Bildung, Praktiker und Konsumenten werden auf einer Plattform vereint. Gegenseitiges Verständnis und Synergien können so geschaffen werden. Beste Voraussetzungen 1. Sehr viel Potential vorhanden: Mehrsprachigkeit, unterschiedliche Lagen, alte Traditionen, gute Forschungsinstitute, viele Fachpersonen... 2. Es ist JETZT Zeit die Vernetzung zu starten. Die technischen und personellen Ressourcen sind vorhanden. So einfach wie jetzt war es noch nie. Verantwortung + Frieden 1. Wir haben Verantwortung gegenüber der Umwelt und den Nachkommen. Wissen weiterzugeben und auszutauschen ist grundlegend für die Entwicklung der Menschheit. 2. Ein satter Bauch geht nicht in den Krieg.
    103 von 200 Unterschriften
    Gestartet von Spichiger Mario Picture
  • Keine Gentechnik durch die Hintertür! / Pas de génie génétique par la petite porte!
    - Gentechnik bleibt Gentechnik: Was mit Gentechnik entsteht, muss auch als Gentechnik deklariert und reguliert werden. Nur so haben Bäuerinnen und Bauern, Konsumentinnen und Konsumenten die Wahl. - Neue Techniken, doch Risiken bleiben: Auch die mit neuen Verfahren erzielten Veränderungen können unvorhergesehene Folgen haben. Eine Risikoprüfung ist deshalb unabdingbar. Diese garantiert nur das Gentechnikgesetz. - Vielfalt auf dem Acker statt Monokulturen aus dem Labor: GentechPflanzen dienen der industriellen Landwirtschaft, die auf Pestizide und Düngemittel setzt. Dies schädigt die Umwelt und gefährdet die Grundlagen unserer Lebensmittelproduktion. Was wir brauchen, ist mehr gentechnikfreie und ökologische Vielfalt statt Gentechnik. - Tierwohl garantieren: Die neuen Gentechnik-Verfahren kommen auch in der Tierzucht zur Anwendung. Damit wird der Tierzuchtsektor noch weiter intensiviert - mit negativen Auswirkungen auf die Gesundheit und das Wohlergehen der Tiere. - Mit Qualität punkten, statt kostspielige Probleme schaffen: Die Schweiz ist zu kleinräumig für den Anbau von GentechPflanzen. Eine Trennung der Warenflüsse wäre zu kostspielig und logistisch nicht umsetzbar. Bauern, die auf Gentechnik verzichten wollen, hätten das Nachsehen. Die Schweizer Landwirtschaft will mit Qualität punkten, der Verzicht auf Gentechnik ist die logische Konsequenz. - Welthunger - Gentechnik ist die falsche Antwort: Die Bekämpfung des Welthungers gelingt nur durch einfache, erschwingliche und lokale Lösungen. Gentechnik ist der falsche Ansatz, denn sie ist eine Technik von internationalen Grosskonzernen für industrielle Grossbauern. Monokulturen bedrängen vielerorts lokale Anbausysteme und Sorten. - Le génie génétique reste le génie génétique: Ce qui se passe avec le génie génétique doit également être déclaré et réglementé comme le génie génétique. C'est la seule façon pour les agriculteurs et les consommateurs d'avoir le choix. - De nouvelles techniques, mais des risques subsistent: Les changements obtenus avec de nouveaux processus peuvent également avoir des conséquences imprévues. Une évaluation des risques fondée sur le principe de précaution est donc indispensable. Cela n'est garanti que par la loi sur le génie génétique. - Diversité sur le terrain au lieu de monocultures en laboratoire: Les installations de génie génétique sont au service de l'agriculture industrielle, qui dépend des pesticides et des engrais. Cela nuit à l'environnement et met en péril les fondements de notre production alimentaire. Ce dont nous avons besoin, c'est d'une plus grande diversité écologique et sans OGM plutôt que de génie génétique. - Garantir le bien-être des animaux: Les nouvelles méthodes de génie génétique sont également utilisées dans l'élevage des animaux. Cela intensifiera encore le secteur de l'élevage, avec des effets négatifs sur la santé et le bien-être des animaux. - Obtenir des points de qualité au lieu de créer des problèmes coûteux: La Suisse est trop petite pour cultiver des plantes génétiquement modifiées. La séparation des flux de marchandises serait trop coûteuse et impossible à mettre en œuvre d'un point de vue logistique. Les agriculteurs qui veulent se passer du génie génétique seraient perdants. L'agriculture suisse veut marquer des points avec la qualité, et l'abandon du génie génétique en est la conséquence logique. -La faim dans le monde - le génie génétique est la mauvaise réponse: La lutte contre la faim dans le monde ne peut réussir que par des solutions simples, abordables et locales. Le génie génétique n'est pas la bonne approche, car il s'agit d'une technologie mise au point par des sociétés internationales pour les grands agriculteurs industriels. Dans de nombreux endroits, les monocultures exercent une pression sur les systèmes de culture et les variétés locales.
    30.403 von 35.000 Unterschriften
    Gestartet von SAG - Schweizer Allianz Gentechfrei - STOPOGM - VKMB
  • Generelles Feuerwerksverbot
    Mir ist dies deshalb so wichtig weil ich etwas in den Köpfen verändern will und auf das Elend welches Stunden sowie Tage nach diesen „Feieren“ aufmerksam machen. So viele schauen nur weg und hinterlassen Orte der verwüstung. Für was ?- ein Knall und paar schöne Farben am Himmel?! Bitte schaut nicht weg sondern helft mit das wir die Tiere sowie auch die Menschen schützen können und vorallem den Tieren wieder etwas Lebensraum und Ruhe zurückgeben können
    3 von 100 Unterschriften
    Gestartet von Samantha Buri
  • Steuerabzug der Gesundheitskosten inkl. Tierarztkosten
    Dank der Tierliebe von Schweizer*innen gibt es in der Schweiz einen Arbeitsmarkt mit vielen Stellen, den wir finanzieren. Eine Wirtschaft wird so am Leben gehalten. Je nach Einkommen kann es jedoch das Budget so richtig fest belasten. Den Erhalt dieser Wirtschaft soll durch Steuerabzug honoriert werden.
    2 von 100 Unterschriften
    Gestartet von Jolanda Wüst