• Stop Dublin Croatie
    Parce que les témoignages des violences notoires et racistes ainsi que des menaces de l’État croate envers les personnes exilées sont très nombreux. Parce que l’accès aux soins en Croatie pour les personnes requérantes d’asile est déficitaire. Parce que le risque de violation du principe de non-refoulement est bien réel. Parce que des recours contre des décisions de renvoi vers la Croatie sont pendants devant diverses instances internationales. D’innombrables et terribles témoignages de personnes requérantes d’asile fuyant le Burundi, l’Afghanistan, le Kurdistan ou d’autres pays encore arrivent tous les jours aux permanences des collectifs Droit de rester. Ils doivent être entendus. Tous dénoncent des violences systémiques de l’État croate à leur encontre : « Je me suis retrouvée seule avec deux policiers qui se moquaient de moi. Ils ont commencé à me déshabiller » « J’ai été frappé par les policiers avec un enfant dans le dos » « Les policiers m’ont parqué dans un garage sans lumière ni toilettes, ni rien à manger avec de nombreuses autres personnes » « Ils nous ont mis dehors pendant la nuit alors qu’il pleuvait, avec des petits enfants et des femmes enceintes » « Sous la menace, ils nous ont fait signer plusieurs papiers en leur langue alors qu’on ne la comprend pas ». Plusieurs personnes témoignent qu’elles ont été menacées par la police croate d’être à nouveau frappées et enfermées si elles revenaient dans ce pays. Toutes ces violences ont pour conséquence de graves traumatismes que le Secrétariat d’État aux migrations (SEM) refuse systématiquement de prendre en compte. La Suisse, qui se targue d’une longue tradition humanitaire et de son rôle au sein des organisations internationales, ne peut continuer de renvoyer des personnes victimes de pareilles violences dans un pays qui les orchestre de manière systémique. En renvoyant des personnes requérantes d’asile en Croatie, elle risque de faillir à ses obligations internationales en se rendant coupable et complice de refoulements en cascade. A l’heure actuelle, rien ne permet en effet d’assurer que les personnes renvoyées en Croatie ne soient pas expulsées dans le pays qu’elles fuient. Il nous a été rapporté qu'une personne renvoyée en Croatie a été ensuite refoulée en Turquie et condamnée à 18 ans de prison. Cette pétition s'inscrit dans le cadre d'une campagne initiée le 18 octobre 2022 par les collectifs Droit de Rester romands. Aux côtés d'une trentaine d'organisations, ils ont écrit une lettre ouverte au SEM pour demander l'arrêt des renvois Dublin vers la Croatie. Le lendemain, une cinquantaine de personnes menacées de renvoi et résidentes dans divers centres fédéraux d'asile se sont retrouvées à Neuchâtel pour témoigner lors d'une conférence de presse de ce qu'elles ont vécu en Croatie. Un dossier de presse regroupe tous leurs témoignages. Les médias ont répondu présent, mais le SEM campe depuis sur ses positions. Les procédures Dublin sont bâclées et les personnes n'ont pas le temps de consulter un médecin. Un communiqué de presse a été publié à ce sujet le 8 novembre dernier. Ressources : Dans son rapport en date du 13 septembre 2022, l’Organisation suisse d’aide aux réfugiés (OSAR) estime que les transferts vers la Croatie en vertu du règlement Dublin III sont en principe illicites et inexigibles. L’OSAR demande elle aussi de renoncer à ces renvois. Elle rappelle également que la violation des normes impératives du droit international à la frontière ne peut être considérée indépendamment de la situation à l’intérieur du pays. L’article 25, al. 2 et 3 de la Constitution rappelle que les personnes réfugiées ne peuvent être refoulées sur le territoire d’un État dans lequel elles sont persécutées ni sur le territoire d’un État dans lequel elles risquent la torture ou tout autre traitement ou peine cruels et inhumains. L’article 33 de la Convention de Genève relative au statut de réfugié stipule également que les États contractants ne peuvent expulser une personne réfugiée sur les frontières des territoires où sa vie ou sa liberté serait menacée en raison de sa race, de sa religion, de sa nationalité, de son appartenance à un certain groupe social ou de ses opinions politiques. Ces principes sont notamment garantis par la Convention des Nations Unies contre la torture et la Convention européenne des droits de l’Homme.
    3.517 von 4.000 Unterschriften
    Gestartet von Droit de Rester Neuchâtel, Lausanne et Fribourg Picture
  • Wer krank ist, ist krank: Keine Nachholtermine klinischer Kurse bei Krankheit
    Wer krank ist, soll genügend Zeit haben, um gesund zu werden, ohne anschliessend einen Berg an verpassten klinischen Kursen nachholen zu müssen. Unsere Gesundheit ist wichtig - deshalb soll endlich darauf Rücksicht genommen werden und die Uni soll ihre Verantwortung gegenüber der Gesundheit der Studierenden mehr wahrnehmen.
    11 von 100 Unterschriften
    Gestartet von Parick Leuzinger
  • Pour une sortie de la Suisse du traité climaticide TCE
    Le Traité sur la charte de l’énergie est un accord international qui protège les investissements d’investisseurs étrangers dans le secteur de l’énergie, en particulier les énergies fossiles, pendant des dizaines d’années. Il est considéré par le GIEC comme un frein de la transition énergétique et constitue un obstacle majeur au respect de l’Accord de Paris [1]. Il possède notamment un mécanisme dangereux permettant d’attaquer des États en justice et réclamer des compensations financières, lorsqu’une politique climatique ambitieuse est mise en place par exemple, et ceci est arbitré dans le plus grand secret dans des tribunaux privés. Il existe plusieurs exemples de litiges en France, au Pays-Bas ou au Royaume-Uni, où des investisseurs ont exigé des millions en compensation. L’accord contient également une “clause de survie” qui protège les investissements encore durant 20 ans même une fois sorti du traité : chaque année de plus au sein du traité est une année de plus perdue dans la sortie des énergies fossiles et la lutte contre le réchauffement climatique. Le dernier rapport du GIEC est formel : les installations existantes et les projets planifiés dans les énergies fossiles excèdent probablement déjà le budget carbone pour rester sous la barre des 1.5°C, et il est donc nécessaire d’arrêter le financement de tout nouveau projet dans les énergies fossiles et rediriger les flux financiers vers des énergies et technologies bas carbone [1]. Pour la première fois, le 9 novembre 2022, le Conseil fédéral a considéré une éventuelle sortie de ce traité dangereux pour la protection du climat, compte tenu de l’évolution du contexte politique [2]. Faisons en sorte qu’il en sorte et respecte ses engagements climatiques! Sources: [1] IPCC AR6 WGIII, Climate Change 2022 : Mitigation of Climate Change, https://www.ipcc.ch/report/ar6/wg3/ [2] Conseil fédéral, Énergie: le Conseil fédéral adopte la nouvelle mouture du Traité sur la Charte de l’énergie, https://www.admin.ch/gov/fr/accueil/documentation/communiques.msg-id-91286.html
    1.092 von 2.000 Unterschriften
    Gestartet von Swiss Youth for Climate Picture
  • Für einen Austritt der Schweiz aus dem klimaschädlichen EC-Vertrag
    Der Energiechartavertrag ist ein internationales Abkommen, das Investitionen ausländischer Investoren in den Energiesektor, insbesondere in fossile Energieträger, über Jahrzehnte hinweg schützt. Es wird vom IPCC als Bremsklotz für die Energiewende angesehen und stellt ein großes Hindernis für die Einhaltung des Pariser Abkommens dar [1]. Der Vertrag hält an einem gefährlichen Mechanismus fest, der es ermöglicht, Staaten zu verklagen und finanzielle Entschädigungen zu fordern, wenn beispielsweise Maßnahmen verabschiedet werden, die die Profitabilität einer fossilen Investition gefährden. Zudem werden diese Klagen unter strengster Geheimhaltung in privaten Gerichten verhandelt. Es gibt mehrere Beispiele für Rechtsstreitigkeiten in Frankreich, den Niederlanden oder Großbritannien, in denen Investoren Millionenbeträge als Entschädigung gefordert haben. Das Abkommen enthält auch eine "Überlebensklausel", die Investitionen auch nach dem Austritt aus dem Vertrag noch 20 Jahre lang schützt: Jedes weitere Jahr innerhalb des Vertrags ist ein weiteres verlorenes Jahr für den Ausstieg aus den fossilen Brennstoffen und den Kampf gegen die globale Erwärmung. Der letzte IPCC-Bericht ist eindeutig: Die bestehenden Anlagen und geplanten Projekte im Bereich der fossilen Energien überschreiten bereits heute unser verbleibendes CO2-Budget, um das 1,5°C Ziel zu erreichen. Es ist daher notwendig, die Finanzierung aller neuen Projekte im Bereich der fossilen Energien zu stoppen und die Finanzströme in umweltfreundliche Energien und Technologien umzuleiten [1]. Zum ersten Mal hat der Bundesrat am 9. November 2022 einen möglichen Ausstieg aus diesem für den Klimaschutz gefährlichen Vertrag angesichts der veränderten politischen Rahmenbedingungen in Erwägung gezogen [2]. Setzen wir uns dafür ein, dass er aussteigt und seine Klimaverpflichtungen erfüllt! Quellen: [1] IPCC AR6 WGIII, Climate Change 2022 : Mitigation of Climate Change, https://www.ipcc.ch/report/ar6/wg3/ [2] Conseil fédéral, Énergie: le Conseil fédéral adopte la nouvelle mouture du Traité sur la Charte de l’énergie, https://www.admin.ch/gov/fr/accueil/documentation/communiques.msg-id-91286.html
    798 von 800 Unterschriften
    Gestartet von Swiss Youth for Climate Picture
  • Der Kanton Schwyz hat ein Mountainbike Konzept. Setzen wir es um!
    Das Schweizer Stimmvolk hat im Jahr 2018 dem Bundesbeschluss über die Velowege klar zugestimmt. Das Bundesgesetz über Velowege tritt voraussichtlich am 1. Januar 2023 in Kraft. Darin werden die Kantone verpflichtet, in nützlicher Frist, Velowegnetze zu planen und zu bauen. (https://www.astra.admin.ch/astra/de/home/dokumentation/medienmitteilungen/anzeige-meldungen.msg-id-83564.html) Durch die starke Zunahme von Mountainbikern in den letzten zwei Jahren hat es vermehrt Forderungen nach Fahrverboten auf Wanderwegen gegeben, das darf nicht passieren. Unsere Sportart findet nicht nur auf Kies- oder sogar Asphaltstrassen statt, wir Mountainbiker wollen auf die Trails. Wir haben jetzt die einmalige Chance, unsere Sportart Mountainbiken im kantonalen Velogesetz zu verankern. Wir können uns so eine funktionierende Infrastruktur (Trails, Trailcenter, Parks, Pumptracks usw.) sichern und auch deren Unterhalt muss klar geregelt werden. Wir wollen ein faires Miteinander zusammen mit den Wanderern, der Land- und Forstwirtschaft, Naturschutz und Jagd. Wir fordern den Schwyzer Regierungsrat auf, das MTB Konzept bis spätestens 2030 umzusetzen und das Thema Mountainbike bei der kantonalen Folgegsetzgebung gebührend zu berücksichtigen. Der Verein MTB Schwyz (https://www.mtbschwyz.ch/kontakt) setzt sich für diese Sache ein. www.instagram.com/mtbschwyz
    2.222 von 3.000 Unterschriften
    Gestartet von Verein MTB Schwyz .
  • 5 von 100 Unterschriften
    Gestartet von Asylum Seeker
  • #Hochdruck - Wir fordern nachhaltige Hochschulen!
    Wir brauchen radikale Veränderungen hin zu einer sozial-ökologisch gerechten Welt. Vor allem im deutschsprachigen Raum sind wir aber weit davon entfernt unserer Verantwortung dahingehend nachzukommen. Hochschulen sollten Orte der Gestaltung, des Ausprobierens, des Wandels sein – gesellschaftliche Entwicklungen vordenken und vorleben. Aus der Geschichte lernen wir, welche Kraft (studentische) Bewegungen haben können. Viel wurde zum Beispiel während der 68er-Bewegung gefordert und einiges davon umgesetzt. Und heute? Heute stehen wir vor dieser riesigen existenziellen Herausforderung und der Großteil der Hochschulen schafft es nicht dieser Realität mit den notwendigen Entscheidungen und Handlungen zu begegnen. Wir fordern mit #Hochdruck, dass sich Hochschulen dieser Herausforderung annehmen: Kein Schönreden, kein Zerreden, keine Ausreden. Mit Offenheit und Ehrlichkeit, Neugierde und der Bereitschaft, Verantwortung zu übernehmen – weil wir es müssen, können und wollen. Wir, die Studierenden, sind der mit Abstand größte Stakeholder/die größte Gruppe an den Hochschulen. Wir sind jung, kritisch und voller Tatendrang – von uns muss diese Veränderung maßgeblich gestaltet und getragen werden. In eine klimagerechte Hochschullandschaft, in eine klimagerechte Gesellschaft.
    10 von 100 Unterschriften
    Gestartet von Inga Thao My Bui
  • La Banca Nazionale deve proteggere il clima e la biodiversità
    Nel rapporto di postulato del Consiglio federale (1) sugli obiettivi di sostenibilità della BNS, appena pubblicato, il Consiglio federale chiude gli occhi sugli effetti disastrosi che la BNS sta accettando con la sua politica monetaria e di investimento. È particolarmente preoccupante che il Consiglio federale e la BNS ritengano che quest'ultima non possa fare nulla. Tuttavia, l'estate scorsa, caratterizzata dalla siccità, dimostra chiaramente l'urgente necessità di agire. E ci sono diverse banche centrali che lo hanno già riconosciuto e stanno adottando misure di conseguenza (2). È giunto il momento che anche la BNS adempia al suo mandato legale e che finalmente conduca la politica monetaria e valutaria nell'interesse generale del Paese (3), garantisca la stabilità finanziaria e interrompa immediatamente la sua politica industriale e d'investimento in combustibili fossili. Gli investimenti in società che «causano sistematicamente gravi danni ambientali» sono vietati alla BNS in base alle proprie linee guida sugli investimenti. Ma il Consiglio federale e la Banca nazionale non sono disposti a interpretare il mandato e le regole in modo appropriato, affinché la protezione attiva del clima e della biodiversità non sia solo possibile, ma imperativa. Pertanto, spetta ora al Parlamento nazionale e ai Cantoni intervenire in qualità di azionisti della BNS. Devono far sì che questa adempia al suo dovere legale e contrasti la crisi climatica e la perdita di biodiversità con tutti i mezzi a sua disposizione. La BNS si trova al centro della piazza finanziaria e ha quindi un'enorme influenza sul mercato finanziario. Non solo è uno dei maggiori investitori pubblici al mondo con un'importante funzione di modello, ma regola anche le banche svizzere. Ad esempio, può influenzare i prestiti bancari attraverso varie regole. Invece di essere all'altezza delle sue responsabilità, la Banca nazionale alimenta con i suoi investimenti la crisi climatica e la perdita di biodiversità, contrastando così tutti gli sforzi privati, statali e della società civile. Il fatto che la BNS affermi di agire nell'interesse generale del Paese dimostra la mancanza di consapevolezza di come la doppia crisi influisca sul suo mandato. Ora la BNS è riuscita a convincere anche il Consiglio federale a fidarsi ciecamente di lei e a utilizzare l'ultimo rapporto per consolidare lo status quo. Perché non ci possono essere stabilità finanziaria e dei prezzi senza un ambiente sano risorse ambientali intatte. Il tempo sta per scadere. È giunto il momento che i politici agiscano in prima persona, aumentando così la pressione sulla BNS. Ulteriori informazioni sono disponibili sul sito www.unsere-snb.ch #LaNostraBNS Indice (1) Link al comunicato stampa e al rapporto: https://www.notre-bns.ch/blog/le-rapport-administratif-decoit-la-banque-nationale-doit-proteger-le (2) ECB takes further steps to incorporate climate change into its monetary policy operations: https://www.ecb.europa.eu/press/pr/date/2022/html/ecb.pr220704~4f48a72462.en.html (3) Il mantenimento della stabilità finanziaria e dei prezzi è possibile solo se si arresta la crisi climatica e della biodiversità. Di conseguenza, per fare in modo che la BNS possa adempiere al suo mandato a lungo termine e condurre la politica monetaria nell'interesse generale del Paese, è necessario adottare fin d'ora misure per proteggere il clima e la biodiversità.
    361 von 400 Unterschriften
    Gestartet von Allianz Petition Nationalbank Picture
  • Stop aux énergies fossiles : une banque nationale pro-climat et biodiversité !
    Dans le rapport (1) du Conseil fédéral qui vient de paraître, faisant suite au postulat sur les objectifs de durabilité de la Banque nationale, le Conseil fédéral ferme les yeux sur les conséquences catastrophiques engendrées par la BNS avec sa politique monétaire et de placement. Il est particulièrement inquiétant de constater que le Conseil fédéral, tout comme la BNS, estime que cette dernière ne peut rien faire. La sécheresse de l'été dernier montre pourtant clairement qu'il est urgent d'agir, et plusieurs banques centrales l'ont déjà reconnu et prennent des mesures en conséquence (2). Il est grand temps que la BNS remplisse elle aussi son mandat légal, qu’elle mène enfin une politique monétaire dans l’intérêt général du pays, qu’elle garantisse la stabilité financière et qu’elle mette immédiatement un terme à sa politique industrielle fossile (3). Les investissements dans les entreprises qui "causent systématiquement de graves dommages à l'environnement" sont interdits par la BNS selon ses propres directives de placement. Mais le Conseil fédéral et la BNS n'ont pas la volonté d'interpréter le mandat et les règles de manière adéquate, c’est-à-dire de sorte que la protection proactive du climat et de la biodiversité soit non seulement possible, mais impérative. C'est pourquoi il appartient désormais au Parlement national et aux cantons, en tant qu'actionnaires de la BNS, d'intervenir. Ils doivent faire en sorte que la BNS assume sa mission légale et participe à contrer la crise climatique et la perte de biodiversité par tous les moyens à sa disposition. La BNS est au centre de la place financière et dispose ainsi d'un énorme levier sur le marché financier. Elle n'est pas seulement l'un des plus grands investisseurs publics au monde, jouant un rôle important de modèle, mais elle régule également les banques suisses, pouvant par exemple influencer les crédits accordés par les banques par le biais de différentes règles. Mais au lieu d'assumer ses responsabilités, la BNS alimente par ses investissements la crise climatique et la perte de biodiversité, contrecarrant ainsi tous les efforts privés, étatiques et de la société civile. Le fait que la BNS prétende pourtant agir dans l'intérêt général du pays montre qu'elle n'a pas conscience de l'impact de la double crise sur son mandat. Et aujourd'hui, elle semble avoir réussi à obtenir la confiance aveugle du Conseil fédéral, qui cimente le statu quo avec son dernier rapport. Car il n’y a pas de stabilité des prix et du système financier sans un climat sain et des conditions de vie intactes. Le temps presse. Face au manque de vision de la BNS et du Conseil Fédéral, le moment est venu pour nos représentant•es politiques d'agir. Vous trouverez plus d'informations sur www.notre-bns.ch #NotreBNS Source : (1) Lien vers le communiqué de presse et postulat : https://www.notre-bns.ch/blog/le-rapport-administratif-decoit-la-banque-nationale-doit-proteger-le (2) ECB takes further steps to incorporate climate change into its monetary policy operations : https://www.ecb.europa.eu/press/pr/date/2022/html/ecb.pr220704~4f48a72462.en.html (3) ​​Pour que la BNS puisse remplir son mandat à plus long terme et mener une politique monétaire dans l’intérêt général du pays, des mesures doivent être prises dès maintenant pour protéger le climat et la biodiversité. Car le maintien de la stabilité des prix et de la stabilité financière n’est possible que si les crises du climat et de la biodiversité sont stoppées.
    2.724 von 3.000 Unterschriften
    Gestartet von Allianz Petition Nationalbank Picture
  • Kein Geld ohne Urteil – Missstände bei Frontex beheben!
    Was sich tagtäglich auf dem Mittelmeer abspielt, ist eine Tragödie. Menschen werden illegal auf das offene Meer zurückgepusht und nichts wird unternommen, um diesem Missstand zu begegnen und eine humane Lösung zu finden. Nein, vielmehr finanziert die Schweiz menschenverachtende und kriminelle Praktiken und eine Organisation, in der Kontrollmechanismen missbräuchlich durch Kaderleute blockiert werden. Gerade weil sich am 15. Mai 2022 71,5% der Stimmenden für eine Beteiligung der Schweiz am Ausbau von Frontex ausgesprochen haben, muss der Schweizer Staat sicherstellen, dass Schweizer Gelder nicht in eine Organisation fliessen, die Menschenrechte nicht nur mit Füssen tritt, sondern sogar aktiv für die Vertuschung dieser Vergehen sorgt. Da das Schweizer Stimmvolk einer Finanzierung von Frontex zugestimmt hat, muss der Staat zumindest sicherstellen, dass diese Mittel unter menschenrechtskonformen Bedingungen verwendet werden. Wie beim eidgenössischen Finanzdepartement nachzulesen ist, “liegt [es] im Interesse der Schweiz, bei den Kontrollen der Aussgengrenzen und der Bewältigung der Migrationsbewegungen mitzuwirken und damit die Reisefreiheit im Schengen-Raum zu gewährleisten. Mit dem Ausbau von Frontex werden die Kontrollen an den Aussengrenzen verbessert und die Sicherheit erhöht. Zudem wird der Schutz der Grundrechte gestärkt.” [2] Unter Berücksichtigung der jüngsten Enthüllungen rund um Frontex – die im Wesentlichen bestätigen, was Menschenrechtsorganisationen bereits Ende April und damit vor der eidgenössischen Abstimmung zur Finanzierung von Frontex kommuniziert haben [3] – sind diese Aussagen geradezu ein Hohn: Erstens werden Migrationsbewegungen weder “bewältigt” noch die Reisefreiheit im Schengen-Raum gewährleistet. Vielmehr werden Migrationsbewegungen aktiv behindert und die Reisefreiheit missachtet. Zweitens wird der Schutz der Grundrechte nicht gestärkt – nein, Frontex verletzt die Menschenrechte aktiv und Frontex-Kaderleute behinderten Untersuchungen des frontexinternen Büros für Grundrechtsfragen, “das für die Untersuchung solcher Menschenrechtsverletzungen [hier: illegaler Pushbacks] zuständig ist [...]”. [4] Die Schweiz als Akteurin, welche die europäische Grenzschutzagentur Frontex mitfinanziert, ist verpflichtet, für die Behebung dieser Missstände zu sorgen. ********** Quellen: [1] https://www.republik.ch/2022/10/13/vorwuerfe-bewiesen-was-im-geheimen-frontex-bericht-steht (Stand 14.10.22). [2] https://www.efd.admin.ch/efd/de/home/das-efd/abstimmungen/frontex.html (Stand 14.10.22). [3] https://frontex-referendum.ch/2022/04/29/stellungnahme-zu-den-neusten-recherchen-zur-beteiligung-von-frontex-bei-illegalen-pushbacks/ (Stand 14.10.22). [4] https://www.republik.ch/2022/10/13/vorwuerfe-bewiesen-was-im-geheimen-frontex-bericht-steht (Stand 14.10.22).
    865 von 1.000 Unterschriften
    Gestartet von Campax - make change happen Picture
  • No ai Playoff nel calcio svizzero
    Nella primavera del 2022 la Swiss Football League (SFL) ha deciso che per la stagione 23/24 il vincitore del campionato e le squadre che si qualificheranno ai tornei europei saranno determinati tramite la modalità Playoff. Ciò significa l‘abbandono dei principi elementari del calcio professionistico in Svizzera. Ogni partita contro ogni avversario deve contare allo stesso modo; il fattore decisivo per la classifica finale dev‘essere il rendimento nell'intera stagione, il campione colui che ottiene il maggior numero di punti nell‘arco del campionato. Al posto del sistema collaudato la Lega vuole introdurre una modalità Playoff. Si tratta di un attacco al principio di equità: Perché la stagione è divisa in partite, alcune delle quali contano di più, altre di meno? Come si può confrontare il vincitore del 2024 con quelli degli anni o dei decenni passati se la modalità del campionato è cambiata così drasticamente? La lega sta cambiando le sue fondamenta sportive a favore di uno spettacolo di breve durata. Lo fa senza che ce ne sia bisogno: la Super League è molto amata dal pubblico e di recente è stato stabilito un nuovo record di presenze. In termini sportivi il calcio svizzero è un modello di successo: la squadra nazionale è attualmente più vincente che mai nella sua storia. La maggior parte dei giocatori della Nati è stata formata in Svizzera e ha esordito nella Super League. I tifosi e le curve, i giocatori dei settori giovanili e i giornalisti sportivi si sono opposti all’introduzione dei Playoff. La lega e la maggior parte dei suoi club hanno ignorato le preoccupazioni degli appassionati e di tutto l‘universo che ruota attorno al pianeta calcio, stanno mettendo a rischio cose fondamentali per ragioni dubbie: è controverso che l'obiettivo di rendere il campionato più "eccitante" sarà raggiunto con una modalità „casinò“ imposta. È altrettanto discutibile che questa modalità sia economicamente sostenibile se allontana anche il pubblico abituale. In fin dei conti l'introduzione dei Playoff nel calcio svizzero significherebbe su piccola scala ciò che è già accaduto su larga scala con l'espansione della Champions League, del Campionato Europeo e della Coppa del Mondo, con l’assegnazione di questi tornei importanti a sedi dubbie: una commercializzazione sfrenata e la spettacolarizzazione del calcio professionistico a spese della sua integrità e delle sue radici. Chiediamo che i club della SFL tornino sulla loro decisione rispetto ai Playoff in occasione della prossima assemblea generale dell'11 novembre, annullino i Playoff e optino invece per un modello che preservi un nucleo di tradizione ed equità nel calcio svizzero. Ulteriori informazioni sulla campagna e sui primi firmatari: www.playoffs-nein.ch Twitter: @PlayoffsNein Instagram: playoffnein
    278 von 300 Unterschriften
    Gestartet von Komitee Playoffs Nein
  • Pas de play-offs dans le football suisse
    Au printemps 2022, la Swiss Football League (SFL) a décidé qu'à partir de la saison 23/24, le titre de champion ainsi que les places européennes qui en résultent seraient déterminés par la procédure des playoffs. Les principes élémentaires du football professionnel en Suisse sont ainsi jetés par-dessus bord: Chaque match contre chaque adversaire compte autant; c'est la performance sur l'ensemble de la saison qui est déterminante pour le classement final ; le champion est celui qui obtient le plus de points sur l'ensemble des parties. Au lieu du système éprouvé, la ligue veut introduire un mode de playoff. Elle s'attaque ainsi au principe d'équité : Pourquoi la saison est-elle divisée en matches, dont certains comptent plus et d'autres moins? Comment comparer le champion de 2024 avec celui des années ou des décennies passées si la manière dont il a été désigné a tellement changé? La ligue ébranle les fondements du sport au profit d'un spectacle éphémère. Elle le fait sans aucune nécessité : la Super League rencontre l'adhésion du public, pour preuve un nouveau record de spectateurs a été atteint récemment. Sur le plan sportif, le football suisse est un modèle de réussite: l'équipe nationale, fleuron de la fédération, connaît actuellement un succès sans précédent dans son histoire. La plupart des joueurs de l'équipe nationale ont été formés en Suisse et se sont familiarisés avec le monde professionnel en Super League. De plus, les playoffs suscitent le rejet chez les supporters dans les tribunes, les juniors, les journalistes sportifs et les représentants du monde professionnel. La ligue et la majorité de ses clubs se sont peu préoccuper de leur base et mettent en péril des principes fondamentaux pour des motifs douteux et illégitimes: il est en effet très douteux que l'objectif annoncé de rendre la ligue plus "passionnante" soit atteint avec un « mode casino » imposé. Il est tout aussi douteux que ce mode soit économiquement rentable s'il fait fuir en même temps le public habituel. En fin de compte, l'introduction de play-offs dans le football suisse signifierait, à petite échelle, ce qui s'est déjà produit à grande échelle avec le gonflement de la Ligue des champions, de l'Euro et de la Coupe du monde ou l'organisation de grands tournois dans des lieux douteux : une commercialisation et une événementialisassions sans limites du football professionnel au détriment de son intégrité et de son ancrage à la base. Nous demandons que les clubs de la SFL reviennent sur leur décision concernant les play-offs lors de leur prochaine AG du 11 novembre, qu'ils renoncent aux play-offs et qu'ils optent plutôt pour un modèle qui préserve un noyau de tradition et d'équité dans le football suisse. Plus d'informations sur la campagne et les premiers signataires : www.playoffs-nein.ch Twitter : @PlayoffsNein Instagram : playoffsnein
    2.019 von 3.000 Unterschriften
    Gestartet von Komitee Playoffs Nein