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Petizione per l'abolizione delle tariffe di roaming all'interno dell'UEPerché la petizione per l'abolizione delle tariffe di roaming all'interno dell'UE è sostenuta da argomenti legati all'equità, ai risparmi sui costi, alla competitività delle imprese, all'assenza di discriminazione con un trattamento eguale sia per i cittadini svizzeri che per i visitatori stranieri. La petizione allineerebbe la Svizzera con tendenze globali più ampie, migliorerebbe la protezione dei consumatori e promuoverebbe relazioni più solide con l'Unione europea. Ecco i punti principali riassunti a favore dell'abolizione delle tariffe di roaming all'interno dell'UE: • Risparmi per i viaggiatori svizzeri durante le vacanze o i viaggi d'affari. • Riduzione dei costi operativi per le aziende legati alla comunicazione internazionale. • Facilitare il commercio transfrontaliero eliminando questo ostacolo tecnico al commercio. • Promozione del turismo in Svizzera attraverso l'eliminazione delle tariffe di roaming, in particolare per i visitatori stranieri dell'UE. • Protezione dei consumatori e equità per i cittadini svizzeri rispetto ai cittadini dell'UE e ai paesi dello SEE, Liechtenstein, Norvegia, Islanda, che non devono pagare costi di roaming all'interno dell'UE. • I fornitori di telecomunicazioni non subiscono alcun svantaggio a causa dell'eliminazione delle spese di roaming, poiché questa regolamentazione si applica sia ai turisti svizzeri/ai viaggiatori d'affari svizzeri all'interno dell'UE che ai turisti dell'UE/ai viaggiatori d'affari dell'UE in Svizzera. Inoltre, lo sforzo dei fornitori di telecomunicazioni riguardo alle pretese di roaming sarebbe notevolmente ridotto. • L'Iniziativa Fair Roaming lanciata il 29.11.2021 per ridurre le spese di roaming per svizzeri e svizzere che viaggiano all'estero, inclusi i paesi dell'UE, è stata respinta dal governo federale per motivi discutibili come: distorsione del mercato, aumento dei prezzi interni nel paese, perdita di sovranità, incompatibilità con l'UE.1 von 100 UnterschriftenGestartet von Markus Wick
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Inondations du Rhône : aide immédiate et plan durable contre les catastrophes futuresDans une maison de Chippis, le salon a été ravagé par les eaux du Rhône. Le parquet est gondolé, les murs noircis par l’humidité. Une grand-mère y vit seule, en attendant que l’assurance “prenne position”. Cela fait un an. À Chippis toujours, un artisan a vu son atelier englouti. Il a tout nettoyé à la main, seul, sans savoir s’il pourra reconstruire. À Sierre, une jeune famille a été évacuée, les enfants en pyjama dans l’eau jusqu’aux genoux. Depuis, plus personne ne les informe. Ces histoires ne sont pas des exceptions. Ce sont des visages du Valais, laissés dans l’attente, dans le doute, dans l’oubli. Pendant ce temps, l’État a lancé une commission d’enquête à 400’000 francs. Une initiative utile, peut-être, mais qui n’a réparé ni les toits, ni les espoirs. Et pourtant, les faits sont là : • Les inondations du Rhône ont frappé durement notre canton. • Un an plus tard, aucune aide financière cantonale concrète n’a été versée. • Les procédures sont complexes, les assurances sont lentes, et les sinistrés sont seuls. Nous vous écrivons aujourd’hui parce que vous avez le pouvoir d’agir. Parce que derrière chaque sinistré, il y a une vie suspendue. Parce que la solidarité ne peut pas attendre. Ce que nous demandons : 1. Un fonds d’urgence cantonal, même partiel, pour débloquer la situation des personnes laissées sans réponse. 2. Un accompagnement administratif renforcé, humain, simplifié, pour aider celles et ceux qui n’ont plus la force de se battre seuls contre des formulaires. 3. L’accélération des travaux de correction du Rhône, car les risques s’accumulent et les retards deviennent dangereux. 4. Et surtout, un plan climat cantonal écopragmatique, ambitieux et concret, incluant : • un fonds intercommunal de prévention et reconstruction, • des infrastructures résilientes, • une stratégie d’anticipation face aux catastrophes climatiques à répétition. Le Valais n’est pas à l’abri. Les crues du Rhône, les coulées de Lourtier, la catastrophe de Blatten le prouvent. Nous ne sommes plus dans l’exception, mais dans la répétition. Face à cela, nous n’avons plus le luxe d’attendre. Nous avons besoin de vision. De courage politique. D’actes. Nous vous écrivons avec le respect dû à vos fonctions, mais aussi avec la force de celles et ceux que vous représentez. Nous ne vous demandons pas de compatir. Nous vous demandons de protéger, réparer et préparer. Le Valais peut montrer l’exemple. Le Valais peut choisir l’action. Mais cela commence maintenant. Les citoyennes et citoyens signataires.19 von 100 UnterschriftenGestartet von Vert’Liberaux Valais
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„Öffentlich-rechtlich? Ja! Aber steuerfinanziert.“1. Soziale Gerechtigkeit und Solidarität • Die Serafe-Gebühr belastet Menschen pauschal – egal, ob sie viel oder wenig verdienen. In einer Zeit, in der immer mehr Menschen unter finanziellen Schwierigkeiten leiden, ist es ungerecht, Haushalte mit niedrigen Einkommen für etwas zahlen zu lassen, von dem sie vielleicht nie Gebrauch machen. • Die Finanzierung durch Steuern würde sicherstellen, dass jeder entsprechend seinerihrer finanziellen Leistungsfähigkeit beiträgt. Das Prinzip der Solidarität würde gestärkt, indem Wohlhabende mehr bezahlen und weniger einkommensstarke Haushalte entlastet werden. 2. Fairness in der Finanzierung des Service Public • Öffentlich-rechtliche Medien spielen eine zentrale Rolle in unserer Demokratie: Sie informieren, bilden und unterhalten. Es ist jedoch unfair, dass Menschen gezwungen werden, eine Gebühr zu zahlen, auch wenn sie den Service nicht nutzen. Die Steuerfinanzierung würde sicherstellen, dass die Kosten für den Medienservice gerecht und transparent verteilt werden. 3. Transparenz und Effizienz • Die Erhebung der Serafe-Gebühr ist mit einem enormen bürokratischen Aufwand verbunden. Das Umgehen dieser komplizierten Struktur durch eine Steuerfinanzierung könnte Kosten sparen und den gesamten Prozess deutlich effizienter gestalten. • Steuerfinanzierte Modelle sind für die Bürger:innen transparenter, da alle Steuerzahler*innen genau wissen, wofür ihre Mittel verwendet werden. 4. Anpassung an die heutige Gesellschaft • In einer zunehmend digitalen Welt wird es immer schwieriger, den „Empfang“ von öffentlich-rechtlichen Medien über traditionelle Modelle wie Fernseher oder Radio zu messen. Eine Steuerfinanzierung ist zukunftsorientiert und könnte besser mit der sich verändernden Mediennutzung Schritt halten.3 von 100 UnterschriftenGestartet von Alexandra Brun
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Keine öffentliche Betreibung ohne richterlichen Entscheid, für ein faires Schweizermodell!In der Schweiz kann jede Person eine Betreibung einleiten. Auch ohne Beweise, Gerichtsurteil oder Schuldanerkennung. Diese Betreibung wird sofort im öffentlichen Register sichtbar. Für Betroffene bedeutet das oft das Ende ihrer Chancen auf eine Wohnung, einen Job oder einen Kredit. Obwohl sie noch gar nicht schuldig gesprochen wurden. Das verletzt den Grundsatz der Unschuldsvermutung. Es öffnet die Tür für Missbrauch, Rufschädigung und soziale Ausgrenzung. Menschen werden gebrandmarkt, ohne dass ein Richter die Schuld geprüft hat. Ich fordere: Keine öffentliche Betreibung, solange keine richterliche Entscheidung oder Schuldanerkennung vorliegt. So wie beim Strafregister muss auch hier gelten: Erst wenn Schuld bewiesen ist, darf sie öffentlich gemacht werden. Diese Änderung schützt die Menschenwürde, stärkt den Rechtsstaat und bringt mehr Fairness ins System.9 von 100 UnterschriftenGestartet von Marco Dollinger
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2 milliards pour le climatDepuis plusieurs années, associations, syndicats et mouvements sociaux alertent sur les graves insuffisances de notre politique climatique cantonale. La Loi sur le climat du 30 juin 2023 précise à son article 2 alinéa 1: « L'Etat et les communes veillent à atteindre une réduction d'au moins 50 % des émissions directes du canton par rapport à 1990 d'ici 2030 et zéro émission nette d'ici 2050. » Le Conseil d’Etat a longtemps affirmé pouvoir atteindre ces objectifs. Aujourd’hui, le discours est tout autre : lors d’un débat public organisé le 11 février 2025, M. Jean-François Steiert, président du Conseil d’Etat et ministre en charge de l’environnement, a reconnu que la voie suivie par le canton ne permettra pas d’atteindre nos objectifs climatiques. Tout le monde admet désormais que les mesures déjà adoptées sont insuffisantes. Il est encore temps de rectifier le tir ! La politique climatique doit être une priorité du canton de Fribourg et cela doit se traduire dans les budgets, en vertu de notre planification financière 2026-2028 qui indique si justement en page 2 que « l’objectif de la planification financière, plus que deviner le probable, est de nous aider à préparer l’avenir que l’on considère comme souhaitable pour le canton. » Dans cette optique, les investissements et subventions du canton doivent être réévalués. S’ils favorisent les émissions de gaz à effet de serre, ils doivent être suspendus. Les fonds ainsi économisés permettront de financer une partie des 2 milliards réclamés par la présente pétition.488 von 500 UnterschriftenGestartet von Union syndicale fribourgeoise
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Niente viaggi di lusso del Consiglio federale con i soldi dei contribuenti!Il Consiglio federale dovrebbe dare il buon esempio, invece usa il jet del governo come un taxi personale, anche per brevi distanze che potrebbero essere comodamente coperte in treno. Voli da Berna a Lugano, da Sion a Belp o addirittura per tornare in Ticino dopo una partita di hockey. Questa non è una gestione seria dello Stato, è semplicemente uno spreco di risorse! Questi voli sono costosi e vengono finanziati con il denaro dei/delle contribuenti, quindi con i soldi della popolazione! In un periodo in cui si risparmia massicciamente in altri settori, come l'istruzione, i trasporti pubblici o l'assistenza sanitaria, è una beffa che i membri del Consiglio federale prendano il jet per tornare a casa o per brevi visite. Inoltre, questi voli hanno un impatto enorme anche sul clima. Per ogni passeggero/a, un volo a corto raggio causa molte volte le emissioni di CO₂ di un viaggio in treno. Se come società vogliamo parlare seriamente di protezione del clima, i nostri massimi rappresentanti devono dare il buon esempio, e non prendere il jet per un servizio fotografico. La nostra richiesta è chiara: basta con i voli a corto raggio con il jet del Consiglio federale, l'elicottero o i voli di linea. Ci aspettiamo che il Consiglio federale non sfrutti la sua posizione privilegiata per il proprio comfort a spese della comunità, ma che si assuma una vera responsabilità.678 von 800 UnterschriftenGestartet von Campax - make change happen
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146 von 200 UnterschriftenGestartet von Damian Veiga
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Pas de voyages de luxe pour le Conseil Fédéral avec l'argent de nos impôts !Le Conseil fédéral devrait montrer l'exemple. Au lieu de cela, il utilise le jet comme un taxi personnel, même pour de courts trajets qui pourraient facilement être effectués en train. Des vols de Berne à Lugano, de Sion à Berne ou même pour assister à un match de hockey et rentrer au Tessin : ce n'est pas une gestion sérieuse de l'État, c'est tout simplement un gaspillage de ressources ! De tels vols sont coûteux et financés par l'argent des contribuables, c'est-à-dire par l'argent de la population ! À une époque où des économies massives sont réalisées dans d'autres domaines, tels que l'éducation, les transports publics ou les soins de santé, il est ironique de voir des membres du Conseil fédéral prendre l'avion pour rentrer chez eux ou faire de brèves visites. De plus, ces vols ont un impact considérable sur le climat. Un vol court-courrier produit plusieurs fois plus d'émissions de CO₂ par passager qu'un trajet en train. Si nous voulons parler sérieusement de protection du climat en tant que société, nos plus haut·e·s représentant·e·s doivent montrer l'exemple, et non se rendre à une séance photo en jet. Notre exigence est simple : plus aucun vol court-courrier avec l'avion du Conseil fédéral, l'hélicoptère ou les avions de ligne, sauf si le trajet en train dure plus de cinq heures. Nous attendons du Conseil fédéral qu'il n'utilise pas sa position privilégiée pour son confort personnel au détriment de la communauté, mais qu'il assume ses responsabilités.2.881 von 3.000 UnterschriftenGestartet von Campax - make change happen
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Keine Bundesrats-Luxusreisen mit Steuergeldern!Der Bundesrat sollte mit gutem Beispiel vorangehen – stattdessen nutzt er den Regierungsjet wie ein persönliches Taxi, auch auf Kurzstrecken, die bequem mit dem Zug zu bewältigen wären. Flüge von Bern nach Lugano, von Sitten nach Belp oder gar nach einem Hockeymatch zurück ins Tessin – das ist keine seriöse Staatsführung, das ist schlicht Ressourcenverschwendung! Solche Flüge sind teuer, und sie werden mit Steuergeldern finanziert – also mit dem Geld der Bevölkerung! In einer Zeit, in der in anderen Bereichen massiv gespart wird – etwa bei der Bildung, beim öffentlichen Verkehr oder bei der Pflege – wirkt es wie ein Hohn, wenn sich Bundesratsmitglieder für Heimreisen und Kurzbesuche einfach in den Jet setzen. Noch dazu belasten diese Flüge, auch das Klima massiv. Pro Passagier verursacht ein Kurzstreckenflug ein Vielfaches der CO₂-Emissionen einer Zugfahrt. Wenn wir als Gesellschaft ernsthaft über Klimaschutz sprechen, dann müssen unsere obersten Vertreter*innen mit gutem Beispiel vorangehen – und nicht mit dem Jet zum Fototermin fliegen. Unsere Forderung ist klar: Keine Kurzstreckenflüge mehr mit dem Bundesratsjet, dem Helikopter oder Linienflügen. Wir erwarten vom Bundesrat, dass er seine privilegierte Position nicht für Komfort auf Kosten der Allgemeinheit nutzt, sondern echte Verantwortung übernimmt. ***** Quellen: • Zwei Bundesräte nutzen den Jet am häufigsten – auch im Inland, 20 Minuten • “Global 7500 Bombardier”, Bombardier • Verordnung über den Lufttransportdienst des Bundes (V-LTDB)1.400 von 2.000 UnterschriftenGestartet von Campax - make change happen
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Obligatorischen Steuer- und Altersvorsorgeunterricht in der Sekundarstufe IMit diesem Wissen können sich junge Menschen besser auf ihre finanzielle Zukunft vorbereiten und eigenverantwortlich handeln. Cyril Bleisch, Präsident der Jungfreisinnigen Baselland, betont: "Es kann nicht sein, dass junge Menschen nach der obligatorischen Schule schlecht mit Finanzen umgehen können oder auf die Bedeutung der Altersvorsorge unzureichend vorbereitet sind. Finanzielle Bildung ist fundamental für ein selbstbestimmtes und eigenverantwortliches Leben!” Oliver Fischer, Vizepräsident der Jungfreisinnigen Baselland, ergänzt: “Die obligatorische Schule muss ihrem Grundauftrag gerecht werden, die jungen Menschen auf das Leben vorzubereiten. Dazu gehört die finanzielle Bildung, die aktuell ungenügend ist!” Mit der lancierten Petition soll sichergestellt werden, dass junge Menschen eine fundierte finanzielle Bildung erhalten, die essenziell für ein eigenverantwortliches Leben ist. Die Schulen müssen die notwendigen Grundlagen vermitteln! Deine Unterschrift zählt!108 von 200 UnterschriftenGestartet von Jungfreisinnige Baselland
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Keine Steuern auf IV und AHV Renten!Vielen IV und AHV Bezügern bleibt am Ende des Monats kein Geld übrig. Wir wollen wieder atmen ! Keine Steuern auf die viel zu tiefen IV und AHV Renten!5.691 von 6.000 UnterschriftenGestartet von Cornelia Braun
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Gemeinsam gegen den Konkurs: Den FC Schaffhausen und seine Junioren rettenFCS retten - Profifussball bewahren Der FC Schaffhausen ist seit seiner Gründung im Jahr 1896 ein fester Bestandteil des Kantons Schaffhausen. Über Generationen hinweg hat der Verein Familien, Freunde und Fans zusammengebracht, die sich am Wochenende versammelten, um gemeinsam die Faszination des Profifussballs zu erleben. Der FCS ist mehr als ein Fussballverein – er steht für regionale Identität, Stolz und Gemeinschaft. Als Zweitligist bietet der FCS der gesamten Region nicht nur spannende Spiele, sondern auch die Möglichkeit, Profifussball hautnah mitzuerleben. Dies trägt wesentlich zur Attraktivität des Kantons bei und stärkt das kulturelle und sportliche Profil Schaffhausens. Ein Konkurs des FC Schaffhausen hätte jedoch gravierende Folgen. Mit dem Ende des Clubs würde sich der Profifussball endgültig von Schaffhausen verabschieden, und eine jahrzehntelange Tradition würde verloren gehen. Für die Region würde dies einen erheblichen Verlust an Attraktivität bedeuten, sowohl im sportlichen als auch im gesellschaftlichen Bereich. Zukunft des Nachwuchses sichern Der FC Schaffhausen vereint fast 300 Nachwuchsfussballer:innen in über 18 Teams. Für diese jungen Talente ist der Verein weit mehr als nur ein Ort, um Fussball zu spielen. Durch den Profibetrieb eröffnet der FCS vielen den Traum, eines Tages Profifussballer:in zu werden. Darüber hinaus leistet der Fussball einen wertvollen Beitrag zur körperlichen und geistigen Gesundheit unserer Jugend, was im Interesse der gesamten Gesellschaft liegt. Mannschaftssportarten wie Fussball vermitteln jungen Menschen ausserdem wichtige Werte wie Teamgeist, Disziplin und Fairness, die sie ein Leben lang begleiten. Ein Konkurs des FCS würde nicht nur den Club selbst treffen, sondern auch die Nachwuchsarbeit in der Region schwer beeinträchtigen. Hunderte Kinder und Jugendliche aus Schaffhausen und Umgebung würden ihre sportliche Heimat verlieren. Die Rettung des FCS ist daher weit mehr als die Sicherung des Profivereins – sie ist eine Investition in die Zukunft unserer Jugend und die Förderung des regionalen Sports. Modernes Stadion droht zu verfallen Ein Konkurs des FC Schaffhausen hätte auch für das neu gebaute Stadion weitreichende Folgen. Ohne einen Profiklub wird dieses moderne Stadion kaum sinnvoll genutzt werden können. Es wäre ein Armutszeugnis für Stadt und Kanton, wenn eines der modernsten Fussballstadien der Schweiz, das auf wertvollem Bauland errichtet wurde, ungenutzt verfällt. Darüber hinaus würde der Wegfall des Stadionbetriebs nicht nur den Profifussball treffen, sondern auch den gesamten Nachwuchsbereich. Insbesondere die Nachwuchsarbeit des Clubs wäre stark gefährdet, da ohne das Stadion und die dazugehörigen Spielflächen keine ausreichende Infrastruktur mehr verfügbar ist. Alle zusammen für den FCS Der FC Schaffhausen steht vor gravierenden finanziellen Herausforderungen und seine Rettung erfordert das Engagement aller Beteiligten. Der Club und die Stadionbesitzer müssen offen kommunizieren, Transparenz über die aktuellen Verhältnisse schaffen und bereit sein, finanzielle Zugeständnisse zu machen. Regionale Unternehmen, Investoren und Gläubiger sind gefragt, durch Sponsoring oder Schuldenerlasse zur Sicherung des Vereins beizutragen. Auch die Politik muss jetzt aktiv werden und im Interesse der Region sowie der Fans Lösungen vorantreiben, die den Fortbestand des FC Schaffhausen langfristig sichern. Es liegt in unserer gemeinsamen Verantwortung, den Verein zu retten. Erstunterzeichnende: Egzon Olluri, Tim Bucher, Daniel Fischer, Thomas Bollinger, Dennis Winter2.186 von 3.000 UnterschriftenGestartet von Tim Bucher