• NON à l'application SWISSCOVID ! Non au traçage de proximité social, volontaire ou non!
    CITOYEN-N-E-S REAGISSONS IMMEDIATEMENT ET CES PROCHAINS JOURS CAR LE MOMENT EST CRUCIAL ! Cette pétition en appel au réveil en urgence des consciences citoyennes pour éviter le pire au vu des enjeux. Car cette application numérique impactera des domaines majeurs pour notre société ! Les risques pris actuellement avec la mise sur le marché d’une telle application sont énormes selon des spécialistes reconnus dans le domaine de la technologie de l’information, de l’éthique, de la santé, de la protection des données. SIGNEZ CETTE PETITION MAINTENANT SINON IL SERA PEUT ETRE TROP TARD! SIGNEZ AUSSI TOUTES LES DEMANDES DE REFERENDUM OU INITIATIVE POPULAIRE pouvant voir le jour luttant contre cette application (les signatures sont à nouveau possibles dans l’espace public depuis le 1er juin 2020). POURQUOI Y ‘A-T-Il URGENCE A REAGIR: Le parlement fédéral se réuni du 2 au 19 juin 2020 pour décider de proposer cette application au grand public sous forme de loi urgente; elle entrera en vigueur avec effet immédiat, sans possibilité de demander le référendum préalable comme c’est le cas hors contexte covid. Il se peut qu’un référendum a posteri soit possible, mais alors, la prise de risque se sera déjà réalisé. Il convient de refuser maintenant déjà l’application sous peine de connaître des dommages irréparables en terme de droit fondamentaux. POURQUOI L’APPLICATION NE STOPPERA PAS L’EPIDEMIE ET N’EST PAS NECESSAIRE : Les experts le savent et nous le disent, cette application ne stoppera pas l’épidémie, car elle ne prévient pas en temps réel d’un risque de contamination ; elle peut engendrer de faux positifs et des faux négatifs; elle ne couvrira pas l’entier de la population et certaines personnes ne disposent pas d’un smartphone adapté. D’autres mesures efficaces et bien plus respectueuses des droits fondamentaux ont fait leur preuves (distance sociales, hygiène, auto confinement, dépistage volontaire, enquêtes statistiques volontaires). LES RISQUES TECHNIQUES DE CETTE APPLICATION: Nous allons être exposé au risque de piratage informatique et d'utilisation malveillante de nos données de santé à l’échelle mondial du fait de sa nature numérique! Même si les concepteurs ont donné le meilleur d’eux-mêmes, le risque existe (centralisation ou non, géolocalisation restreinte ou non). Apple et Google, les partenaires interface de l’application y sont hélas également exposés. Le projet pilote est mené de tout urgence et la qualité des processus de sécurités en souffre vraisemblablement selon plusieurs observateurs/trices avisé-e-s. UNE BASE VOLONTAIRE PROBLEMATIQUE: A priori, l'application est respectueuse de la liberté de chacun qui décide ou non de la télécharger. En réalité, elle ne permet pas d’éviter les risques en matière de sécurité informatique. De plus, elle n’empêche pas les pressions et discriminations sociales et institutionnelles. Ces dernières inquiètent le PFPDT lui-même. Des entreprises prévoient des restrictions d’accès imposées aux personnes qui refuseront l’application (employeurs, compagnie de voyage ou transport, les prestataires public ou privés, etc.). Si l'on annonce que l'on va refuser l'application on est vite qualifié d’“'être égoïste et non solidaire face à la maladie des plus vulnérables“, alors que d’autres moyens que l’application permettent d’y faire face. Or juridiquement, il est très difficile de lutter contre les discriminations souvent non explicites et rampantes et faute de pouvoir les démontrer devant un tribunal. DES CONSEQUENCES INCALCULABLES ET IRREVERSIBLES: En cas de détournement malveillant de nos données de santé, nous pourrions vivre des conséquences négatives incalculables difficilement réversible pour chaque citoyen-n-e. Or, nos données de santé doivent être protégées conformément à l'ordre juridique (cf. Pacte II de l’ONU sur les droit civils et politiques, convention européenne des droits de l’homme, Constitution fédérale, législation sur le secret médical, etc.). Sans cette discrétion, ces données qui valent de l’or peuvent être utilisées illicitement et de manière malveillante pour refuser toute sorte d’accès (une emploi, une assurance, un crédit, une habitation, un transport public, une école, etc.). UN PRECEDENT ET UNE PENTE GLISSANTE Cette application va créer un précédent dans la nature même des atteintes que nous sommes prêts à admettre à nos libertés fondamentales. Elle nous place dès aujourd'hui sur la pente glissante d’une société à deux vitesses : les « bons citoyens « qui la téléchargent et les autres. Qui peut exclure qu'une telle application ne deviendra pas demain un passage obligé pour vivre sa vie de citoyen-n-e-s sans risque d’être discriminé-e ? Nous risquons alors doucement mais sûrement et sans retour, peut-être même à l’insu de la majorité des citoyen-n-e-s insuffisamment informé-e-s, de basculer dans une société de surveillance et tout cela même en partant d’une application prévue initialement « sur une base volontaire » ! VOTEZ NON DE TOUTE URGENCE, VOTER EN MASSE  Références : - https://www.franceculture.fr/emissions/la-methode-scientifique/la-methode-scientifique-emission-du-mercredi-13-mai-2020: des spécialistes des systèmes d’informations nous éclairent - Solange Ghernaouti, directrice du Swiss Cybersecurity Advisory Et Research Group et professeure à l’université de Lausanne au département des systèmes d’information: https://www.letemps.ch/opinions/prefere-renoncer-linstallation-dune-application-tracage-contacts - https://lilianeheldkhawam.com/2020/05/24/le-conseil-federal-nous-livre-aux-gafam-sebastien-fanti-antipresse/: le préposé cantonal à la protection des données valaisan nous livre ses inquiétudes sur l’application « Traçage Covid-19 : une coupable improvisation ? - Traçage, quels garde-fous? Débat entre Jean-Henry Morin, professeur en système d'information Université GEet Stéphane Koch, spécialiste en système d'information forum rts du 17.05.2020, 18h02
    2.121 von 3.000 Unterschriften
    Gestartet von Collectif NON à l'application SWISSCOVID
  • Il Governo intervenga per sostenere finanziariamente gli studenti in difficoltà!
    La pandemia di COVID-19 sta mettendo a dura prova l’intera società ticinese, tanto sul piano sanitario quanto sul piano economico e sociale. I contraccolpi economici del lockdown stanno iniziando già ora a farsi sentire: le prime ondate di licenziamenti vengono annunciate dalle direzioni aziendali, numerosi piccoli commerci sono a rischio chiusura, la disoccupazione cresce di giorno in giorno così come il ricorso alle varie forme di sostegno sociale messe in campo dallo Stato. Una categoria sociale in particolare sembra però essere stata dimenticata dalle autorità: le studentesse e gli studenti. Eppure anch’esse/i sono fortemente colpite/i dall’attuale situazione sanitaria! Ricordiamo ad esempio che 3 studenti/esse universitari/e su 4 in Svizzera lavorano a fianco degli studi per potersi permettere di proseguire la propria formazione: a causa del lockdown, molti di esse/i – che per di più hanno generalmente dei contratti precari e non possono sempre accedere al lavoro ridotto – hanno visto azzerarsi le proprie entrate. Le spese (affitto, cibo, cassa malati, abbonamenti di telefonia, ecc.) sono però rimaste pressoché le stesse! Oltre a ciò, numerosi dei servizi per cui esse/i pagano (caro) delle rette o degli abbonamenti non sono più stati disponibili: dalle strutture universitarie (biblioteche, aule studio, stampanti, ecc.) fino ai trasporti pubblici. In maniera simile, anche i liceali sono stati costretti ad annullare le proprie gite di maturità ma non hanno ancora ricevuto alcun rimborso. Viste le difficoltà cui andranno incontro numerose famiglie nei prossimi mesi, occorre intervenire per sostenere finanziariamente chi sta studiando: vi è il serio rischio che coloro che si trovano in maggiori difficoltà siano costrette/i ad interrompere i propri studi!
    513 von 600 Unterschriften
    Gestartet von Sindacato Indipendente Studenti e Apprendisti SISA Picture
  • Aufruf für eine wirklich solidarische Schweiz
    Aufruf für eine wirklich solidarische Schweiz - Die Reichsten der Schweiz und unsere Politiker sind gefordert Was für eine Wirtschaft wollen wir? Eine solidarische, oder?!? Trotzdem verstärkt sich die Ungleichheit noch stark durch die Corona-Krise. Wo ist die vielbeschworene Schweizer Solidarität? Welche Ergebnisse hat die Krise gebracht: Kurzarbeit - bezahlt je hälftig der Arbeitgeber und Arbeitnehmer. Eine hart erkämpfte soziale Errungenschaft. Bravo!! Von die Entwicklung der Arbeitslosenzahlen ist das SECO überrascht, hätten sie nie so prognostiziert. Und jetzt? Selbständige? Wo sind Lösungen außer einem Mieterlass, der „freiwillig“ geschehen soll? Das ist doch keine Lösung. Dutzende Milliarden von Krediten. - Super für die Banken!! Aber die KMUs werden davon Jahrelang geknechtet werden, um sie zurückzahlen zu können, wenn überhaupt. Wo sind unsere 300 jährlich gefeierten #ReichstenSchweizer der #Billanz. Wo ist ihr Beitrag? Wir haben die Mittel, um allen in der Schweiz ein Leben in Sicherheit und Würde zu ermöglichen. Dazu braucht es nicht beschworene Solidarität, sondern echte! Über Jahre wuchsen die Milliarden bei der Wirtschaftselite. Jetzt wäre Zeit zurückzugeben. Ich fordere die #ReichstenSchweizer sich aktiv an Lösungen im Sinnen eines Ausgleichs wie es Piketey beschreibt zu beteiligen und aktiv an einem gerechteren Verteilungssystem, Steuersxstem und einem gerechteren Wirtschaftssystem und zu beteiligen. Wir brauchen einen #GreenNewDeal wie ihn Naomi Klein in ihrem Buch beschreibt, um echte Solidarität und eine nachhaltige und lebenswerte Zukunft für uns und unsere Nachkommen zu schaffen. Dazu gehört, dass wir den Kuchen, den wir zusammen erwirtschaften gerechter verteilen. Die jetzige Krise verstärkt diese Ungerechtigkeit noch. Es ist höchste Zeit etwas zu tun, bevor die sozialen Spannungen größer werden und das Vertrauen in die Mächtigen verspielt ist. Ich rufe die #300ReichstenderSchweiz auf, hier öffentlich Ihren Beitrag zu leisten. Danke! Sehenswert: Thomas Piketty: Ungleichheit zerstört die Demokratie https://www.srf.ch/kultur/gesellschaft-religion/neues-buch-von-thomas-piketty-das-ende-der-superreichen-er-fordert-eigentum-auf-zeit
    63 von 100 Unterschriften
    Gestartet von Paul Tschurtschenthaler
  • Grenzübertritt: Aufhebung des Besuchsverbots von leiblichen und angenommenen Kindern
    Es ist unverhältnismässig, zu seinen Kindern einen Abstand von 2 m einzuhalten. Dies gilt mit und ohne Landesgrenze. Für die psychische Gesundheit von Eltern und Kind ist es wichtig, diesen Kontakt nicht zu unterbinden. Bereits erschienene Berichte: https://www.suedkurier.de/region/hochrhein/kreis-waldshut/eltern-sollen-straffrei-ihre-kinder-besuchen-duerfen-diese-familie-startet-eine-petition-fuer-die-aenderung-der-covid-19-verordnung-in-der-schweiz;art372586,10493837 https://www.blick.ch/news/schweiz/deutscher-38-aus-zurzach-ag-kassiert-am-grenzuebergang-100-franken-busse-ich-wurde-bestraft-weil-ich-meine-tochter-besuchte-id15843028.html https://www.telem1.ch/aktuell/fuer-besuche-seines-sohnes-nimmt-vater-bussen-in-kauf-137645222
    1.595 von 2.000 Unterschriften
    Gestartet von Sabrina Riedl
  • AUFRUF: KEHRT VERWANDELT IN DEN ALLTAG ZURÜCK. BITTE. ALLE.
    Träume ich weiter oder setze ich mit meinem persönlichen Verzicht ein Zeichen? Bitte beteilige dich und unterschreibe diesen AUFRUF. Und wenn du zögerst oder zweifelst. Es geht nicht darum genau zu sein oder exakt zu messen. Es geht darum, dir selber ein Versprechen abzugeben, um mit erhobenem Haupt in den Spiegel zu schauen. Gemeinsam können wir eine Bewegung auslösen für mehr Bescheidenheit und Solidarität. Denn Veränderung ist nicht nur eine Frage des Geldes. Wandel liegt in unseren Händen und beginnt bei mir selber. Es ist eine Frage der Haltung. NUTZEN WIR DIE CHANCE IN DIESER KRISE UND MACHEN WIR UNS HERZHAFT AUF DEN WEG. Freundlich Stefan Hunziker
    120 von 200 Unterschriften
    Gestartet von stefan hunziker Picture
  • Petition zur umgehenden Wiederöffnung der Basler Familiengärten auf französischem Grund
    Gerade im derzeitigen Ausnahmezustand ist die Arbeit im Freizeitgarten eine gesunde und sinnstiftende Tätigkeit, die mit den Weisungen des Bundesrats vereinbar ist. Doch rund 2000 Freizeitgartenpächter*innen haben keinen Zugang mehr zu ihrem Garten, da er sich auf elsässischem Boden befindet. Die über 800 betroffenen Gärten in Basel-West, Reibertweg und Lachenweg machen rund ein Fünftel aller Basler Freizeitgärten aus. Dabei handelt es sich um ein rein bürokratisches Verbot, welches der Basler Politik im Ausnahmezustand widerspricht: Freizeitgärten im Kanton sind ausdrücklich geöffnet. Diese Rechtsungleichheit muss rasch behoben werden. Die Argumentation, der Grenzschluss müsse prinzipiell durchgesetzt werden, ist nicht überzeugend. Denn folgerichtig müsste demnach auch der EuroAirport Basel Mulhouse Freiburg geschlossen werden, da er sich ebenfalls auf französischem Territorium befindet. Zudem gibt es Eingänge zu den Freizeitgärten auf Schweizer Seite, welche benutzt werden können, sollten Grenzen als Problem betrachtet werden. Nicht zuletzt hat der Basler Kantonsarzt bestätigt, dass die Grenzschliessung keinen Nutzen zur Vermeidung der Corona-Ausbreitung leistet. Es sollte deshalb möglich sein, zumindest für den Zugang zu den Freizeitgärten eine Lösung zu finden. Die derzeitige Situation ist äusserst bedauerlich, ungerecht und unhaltbar. Denn einerseits wird dadurch den Gärtner*innen des Stadtkantons eine den Umständen entsprechend empfehlenswerte Tätigkeit verwehrt. Die Freizeitgärten bieten nämlich gerade älteren Menschen und Familien mit Kleinkindern einen wichtigen Rückzugsort. Insbesondere die Kinder, welche unter der Krise besonders leiden, können im Garten einen Ort finden, indem sie spielen und sich bewegen können, ohne die Abstandsregeln des Bundes zu missachten. Viele Menschen leben in engen Wohnverhältnissen ohne Balkon oder Gärten, was auf längere Sicht zu psychischen Problemen führen kann. Der Besuch von Familiengärten kann solche Folgen verhindern. Andererseits ist auch der wirtschaftliche Aspekt zu bedenken. Zahlreiche Gärtnereien sind auf den Verkauf von Pflanzen an die Freizeitgärten angewiesen. Sie bleiben nun auf ihren Pflanzen sitzen und verlieren damit eine wichtige Einnahmequelle. Könnten die Gärten benutzt werden, gäbe es für die Produkte der Gärtnereien zahlreiche Abnehmer*innen. Die staatliche Hilfe könnte damit reduziert werden. Sollte die Bepflanzung jetzt nicht erfolgen, kann sie später nicht mehr nachgeholt werden, was für die Gartenbewirtschaftung Folgen für das ganze Jahr mit sich zieht. Das eigene Gemüse ist für viele ein wichtiger Beitrag zur Selbstversorgung, in das schon viel Geld und Arbeit investiert wurde. Die Gärten werden schliesslich für das ganze Jahr gemietet und nicht monatlich, was auch eine Kostenfrage mit sich bringt. Die vorliegende Petition fordert den Regierungsrat auf, möglichst schnell eine Lösung zu finden, die betroffenen Freizeitgärten zumindest für die von der Schweiz herkommenden Nutzer*innen wieder zu öffnen. Demzufolge wird mit den französischen Nachbarn eine Vereinbarung getroffen, die Eingänge auf der Basler Seite für die Freizeitspächter*innen zu öffnen.
    1.588 von 2.000 Unterschriften
    Gestartet von BastA! Basels starke Alternative Picture
  • Campi d'internamento: Rinegoziare l'accordo di libero scambio con la Cina! #NoComplicity
    Diverse ricerche hanno portato alla luce la crudele realtà dei campi forzati cinesi: - I China Cables hanno dimostrato l'esistenza di campi di prigionia forzato nel Turkestan orientale (Xinjang in Cina), in cui da uno a tre milioni di uiguri sono detenuti contro la loro volontà. - Secondo il China Files, nello Xinjiang sono attualmente attive 68 società europee - tra cui anche aziende svizzere. - Secondo un rapporto dell'Australian Strategic Policy Institute (Aspi), tra il 2017 e il 2019, più di 80’000 membri della comunità uigura sono stati portati dai campi di prigionia forzato in altre parti della Cina, dove devono lavorare sotto stretta sorveglianza per i fornitori di aziende internazionali. - Secondo Aspi, queste fabbriche appartengono alle catene di fornitura di almeno 83 noti marchi internazionali e cinesi come Samsung, Sony, Microsoft, Nokia, Adidas, H&M, Lacoste e Volkswagen. L'attuale trattato di libero scambio con la Cina contiene troppo pochi accordi efficaci per impedire che i prodotti provenienti dal lavoro forzato o da altre gravi violazioni dei diritti umani entrino nel mercato svizzero e siano premiati con concessioni doganali. Per questo motivo esortiamo il Consiglio federale a rinegoziare l'accordo di libero scambio con la Cina. Ulteriori informazioni sono disponibili sul sito www.gfbv.ch/fr/chine-droits-humains (solo in francese).
    525 von 600 Unterschriften
    Gestartet von Campax - make change happen Picture
  • Camps d’internement en Chine: il faut renégocier l’accord de libre-échange! #NoComplicity
    Diverses recherches ont mis en lumière la cruelle réalité des camps forcés chinois: - Les China Cables ont prouvé l’existence de camps d’internement au Turkestan oriental (province chinoise du Xinjang) dans lesquels un à trois millions d’Ouïghour-e-s sont retenu-e-s contre leur gré. - Selon les China Files, 68 sociétés européennes sont actives au Xinjiang, y compris des entreprises suisses. - D’après un rapport de l’ASPI (Australian Strategic Policy Institute), entre 2017 et 2019, plus de 80'000 membres de la communauté ouïghoure ont été transférés des camps d’internement vers d’autres régions de Chine où ils sont forcés de travailler pour des fournisseurs d’entreprises internationales, sous étroite surveillance. - Toujours selon l’ASPI, ces entreprises font partie des chaînes d’approvisionnement d’au moins 83 marques internationales et chinoises telles que Samsung, Sony, Mi-crosoft, Nokia, Adidas, H&M, Lacoste ou Volkswagen. Les dispositions contenues dans l’accord de libre-échange actuel ne sont pas suffisamment contraignantes pour empêcher que des produits issus du travail forcé ou d’autres activités portant gravement atteinte aux droits humains ne parviennent sur le marché suisse, et cela en bénéficiant même d’allégements douaniers. Par conséquent, nous demandons au Conseil fédéral de renégocier l’accord de libre-échange avec la Chine. Plus d'informations sur www.gfbv.ch/fr/chine-droits-humains.
    4.701 von 5.000 Unterschriften
    Gestartet von Campax - make change happen Picture
  • Corona Ansteckung gesunder Rekruten umgehend verhindern
    Die Rekruten schlafen in Zimmern mit bis zu zehn Personen in einem Raum, benutzen dieselben sanitären Anlagen, essen gemeinsam (benutzen in vielen Kasernen sogar dieselbe Schöpfkelle) und verbringen statt 5 jetzt sogar 7 Tage in der Woche Tag und Nacht gemeinsam. Sie haben wenige bis keine Rückszugsmöglichkeiten und sind der Ansteckungsgefahr ausgeliefert. Ein Artikel in der Aargauer Zeitung vom 24. März 2020 macht die Situation deutlich: https://www.aargauerzeitung.ch/schweiz/rekruten-missachten-abstandsregeln-wie-sich-der-brigadier-das-erklaert-137335149 Rekrutenaussagen aus den sozialen Medien: "In der täglichen Ausbildung ist nicht an Social Distancing zu denken.", "In einem Zimmer schlafen mindestens zehn Personen. Abstand zwischen zwei Betten: Rund 70 Zentimeter. Massnahme, um das Social Distancing einzuhalten: Jeder Zweite dreht sich im Bett, nun schlafen wir Kopf-an-Fuss." Ein Armeeverantwortlicher sagte mir am Telefon: "Meiner Meinung nach, wäre es das Beste, wenn sich alle Rekruten einem Test unterziehen würden und die gesunden Rekruten nach Hause geschickt werden würden." Genau das fordere ich im Sinne aller betroffenen Rekruten und deren Angehörigen. Die Lage ist zu ernst. Jeder Rekrut oder Soldat, der nur infolge Unwissenheit oder Sturheit an einer Lungenmaschine landet, ist einer zu viel. Es ist mir bewusst, dass die Armee die Zivilbevölkerung in dieser schweren Krise unterstützen muss, und ich bin dankbar dafür, aber die jetzige Vorgehensweise ist nicht akzeptabel. Der geordnete Abbruch der laufenden Rekrutenschule bedeutet: - Schutz der Gesundheit der Schweizer Bevölkerung, auch der Rekruten - Schonung der Gesundheitsinstitutionen - Konsequente Durchführung der vom Bund beschlossenen Massnahmen - Schonung der Armee-Ressourcen, welche zur Unterstützung im Engagement gegen das Corona-Virus gebraucht werden. Warten Sie nicht, bis es zu spät ist und schicken sie die gesunden Rekruten, die in der Corona-Krise nicht benötigt werden, nach Hause, indem Sie die Rekrutenschulen abbrechen. Der Preis ist zu hoch, weiteres Zuwarten fahrlässig.
    11.864 von 15.000 Unterschriften
    Gestartet von Isabel Rest
  • Zwangslager: Freihandelsabkommen mit China neu verhandeln! #NoComplicity
    Verschiedene Recherchen haben die grausame Realität der chinesischen Zwangslager ans Licht gebracht: - Die China Cables haben die Existenz der Zwangslager in Ostturkestan (Xinjiang) bewiesen, worin eine bis drei Millionen Uigurinnen und Uiguren gegen ihren Willen festgehalten werden. - Gemäss den China Files sind gegenwärtig 68 europäische Konzerne in Xinjiang tätig – darunter auch Schweizer Unternehmen. - Laut einem Bericht des Australian Strategic Policy Institute (Aspi) wurden zwischen 2017 und 2019 über 80‘000 Angehörige der uigurischen Gemeinschaft aus den Zwangslagern in andere Teile Chinas gebracht, wo sie unter strenger Überwachung für Zulieferer internationaler Firmen arbeiten müssen. Gemäss Aspi gehören diese Fabriken zu den Zuliefererketten von mindestens 83 bekannten internationalen und chinesischen Marken wie etwa Samsung, Sony, Microsoft, Nokia, Adidas, H&M, Lacoste oder Volkswagen. Das gegenwärtige Freihandelsabkommen mit China enthält zu wenig griffige Vereinbarungen, um zu verhindern, dass Produkte aus Zwangsarbeit oder anderen schweren Menschenrechtsverletzungen auf den Schweizer Markt gelangen und mit Zollvergünstigungen belohnt werden. Aus diesem Grund fordern wir den Bundesrat dringend auf, das Freihandelsabkommen mit China neu zu verhandeln. Weitere Informationen unter www.gfbv.ch/china-menschenrechte.
    18.728 von 20.000 Unterschriften
    Gestartet von Campax - make change happen Picture
  • Sistierung der Ausweisungsentscheide für Asylsuchende
    - es ist ein Affront in der heutigen Situation gegen Asylsuchende Entscheide zum Verlassen der Schweiz auszustellen - wo sollen die Abgewiesenen hingehen, wenn die ganze Welt vom Corona-Virus betroffen ist? In ein " Auslieferungslager?" = NEIN! - wir sollten die Gesuchstellenden (Frauen und Männer) hier behalten und diese sinnvoll einsetzen (Bsp. Zivilschutz, Landwirtschaft usw.)
    230 von 300 Unterschriften
    Gestartet von Rudolf RYTZ
  • Corona: Der Bundesrat hat die Menschen im Asylheim vergessen.
    In den Bundesasylzentren der Schweiz leben mindestens 250 Personen in einem Gebäude, was eine grosse Ansteckungs- und Verbreitungsgefahr von COVID-19 mit sich bringt.
    12.356 von 15.000 Unterschriften
    Gestartet von Luisa Tschannen