• Sterbehilfe statt Pflege als Sparmassnahme? - Nein danke!!!
    Bitte unterzeichnet und teilt diesen Protestbrief, den wir an die obigen Organisationen senden werden. Das Forum der Armutsbetroffenen Schweiz bezieht weder Spenden noch Subventionen und wird nur von Freiwilligen betrieben. Wir verfügen deshalb nicht über grosse Werbebudgets. Menschen mit Demenz haben es verdient, einfühlsam und professionell so betreut zu werden, dass ihr Wohlbefinden gestärkt wird und sie sich geborgen und gut aufgehoben fühlen. Ihnen zu suggerieren, dass sie zu viel kosten und die Sterbehilfe eine Lösung dafür sei, ist absolut verwerflich und unwürdig.
    30 von 100 Unterschriften
    Gestartet von Integration Jetzt Picture
  • Rojda et sa fille doivent rester !
    L'histoire de Rojda : Cette femme de 38 ans est originaire d'une région kurde pauvre de Turquie. Elle grandit avec cinq frères et sœurs. Elle est mariée de force à l'âge de 13 ans. Au début de sa vingtaine, elle est déjà mère de deux enfants, mais elle ne peut plus supporter ce mariage forcé. Elle demande le divorce en sachant qu'elle ne reverra peut-être jamais ses enfants. Rojda rencontre ensuite un nouveau mari, un activiste politique, constamment poursuivi par l'État. Après une peine de prison, il parvient à s'enfuir en Suisse, qui, depuis, lui accorde l'asile. Rojda est tiraillée entre les deux. En 2012, elle suit son fiancé en Suisse. « C'était très dur », dit-elle aujourd'hui, « ici je ne connaissais personne, je ne comprenais pas un mot et j'étais séparée de mes proches ». Mais Rojda se remarie et donne naissance à une fille à Soleure. C'est alors que le désastre commence. Après des insultes et des injures, son mari maltraite aussi physiquement la jeune mère, de plus en plus souvent et de manière brutale. Elle en souffrira pendant quatre ans, jusqu'à ce qu'elle arrive presque à bout. Mais Rojda et sa fille parviennent à s'enfuir et à se réfugier dans un foyer pour femmes. Là, elle peut enfin respirer et s'informer sur ses droits. Elle et sa fille reçoivent un soutien psychologique. Rojda divorce, cherche du travail, en trouve dans un snack-bar et un magasin de nettoyage, et passe bientôt à un emploi à 70%. Elle suit des cours d'allemand quotidiens et s'occupe également de sa fille. Avec son ex-mari, elle règle les horaires de visite de leur fille. Aujourd'hui encore, la jeune fille entretient une relation étroite avec son père. Peu après, le renouvellement annuel du permis de séjour (B) est prévu. Auparavant, la demande de renouvellement était toujours examinée et acceptée rapidement, mais cette fois-ci, le processus dure cinq ans. La décision est négative pour Rojda et sa fille. Toutes deux sont expulsées de Suisse. L'expulsion de la mère est motivée par le fait qu'elle bénéficie de l'aide sociale, ce qui devrait entraîner l'extinction du droit à la prolongation. Le fait que Rojda n'ait été en mesure de s'intégrer qu'après s'être réfugiée dans un foyer pour femmes n'est pas pris en compte. Il en va de même pour le fait qu'elle ait appris l'allemand de manière intensive après la séparation et qu'elle ait commencé à travailler à 70%. Bien que sa fille soit née ici, qu'elle ait un permis d'établissement (C), qu'elle aille à l'école ici et qu'elle ait des amis et des hobbies, on peut raisonnablement attendre d'elle qu'elle quitte la Suisse avec sa mère. Les autorités ont également ignoré des raisons personnelles telles que les conséquences de la violence domestique, qui doivent être prises en compte lors de l'intégration. En effet, « seul » l'acte de violence survenu peu avant sa fuite vers la maison d'accueil pour femmes est documenté. Ses autres « descriptions » sont « très vagues et générales ». Certes, son mariage n'était « pas facile », mais ce n’est pas un cas de rigueur. Comme Rojda n'a pas dénoncé son mari violent à plusieurs reprises et que les actes de violence de longue durée ne peuvent pas être documentés, il n'y aurait pas de cas de rigueur. C'est l'argument de l'office de l'immigration. Le recours complémentaire à l'aide sociale s'opposerait donc en soi à la poursuite du séjour, a décidé la plus haute juridiction suisse. Il y a aussi sa fille mineure, qui est contrainte de quitter la Suisse avec sa mère. Bien que la Suisse ait signé la Convention de l'ONU relative aux droits de l'enfant, les autorités et les tribunaux suisses ont ignoré son sort et n'ont pas évalué les intérêts supérieurs de l'enfant, et les ont encore moins pris en compte dans leur jugement. Ils auraient pourtant dû le faire. Son expulsion vers la Turquie aurait pour conséquence de la déraciner de son pays d'origine. Elle serait arrachée à son environnement scolaire et séparée de tous·te·s ses ami·e·s. Elle n'aurait plus aucun contact avec son père. En tant que réfugié reconnu en Turquie, il ne pourra jamais lui rendre visite. De plus, la Turquie n'est pas un endroit sûr pour Rojda et sa fille. Après que son ex-mari a appris qu'elle risquait d'être expulsée, les menaces ont repris. Il n'existe pas d'environnement sûr et adapté pour sa fille. Demandez à l'Office des migrations de Soleure de continuer à accorder le droit de séjour à Rojda et à sa fille afin qu'elles puissent rester en Suisse. Signez la pétition maintenant. (1) En cas de violence domestique, garantir la pratique des cas de rigueur selon l'article 50 de la LGI *Nom modifié
    2.346 von 3.000 Unterschriften
    Gestartet von Itziar Marañón
  • 24 ore per bloccare il rinnovo dei contratti assicurativi svizzeri per il gas naturale liquefatto!
    Il terminale di gas naturale liquefatto Calcasieu Pass è un disastro per la comunità locale. Le accuse sono numerose: combustione di gas, emissioni ben al di sopra dei limiti statali, inquinamento idrico e distruzione delle tradizionali zone di pesca. [2] I pescatori locali lamentano perdite elevate: la fauna marina viene spaventata dalle vibrazioni delle macchine e le enormi onde causate dalle navi cisterna di gas naturale liquefatto uccidono i gamberetti e distruggono le barche da pesca. L'inquinamento atmosferico li ha fatti ammalare, loro e le loro famiglie, e i casi di malattie respiratorie e di cancro sono aumentati. Come se non bastasse, i posti di lavoro promessi sono stati assegnati a lavoratori esterni, il che ha ulteriormente aggravato l'ingiustizia sociale locale. A ciò si aggiunge l'elevato rischio di esplosione del gas naturale liquefatto (GNL), che è costituito da metano a -162 °C e che, in caso di perdita, evapora rapidamente e può formare una nube infiammabile. Le nostre compagnie di assicurazione non possono chiudere gli occhi di fronte alle conseguenze catastrofiche di questo terminale per la popolazione locale e, in generale, dell'uso del gas naturale liquefatto! L'assicurazione di questo terminale è assurda anche dal punto di vista della politica climatica. In un momento in cui gli esperti di clima ed energia chiedono una rapida uscita dai combustibili fossili, [3] Swiss Re, Zurich e Helvetia ne assicurano l'espansione. Le lobby dell'industria energetica fossile cercano di farcelo dimenticare, ma anche il GNL è un combustibile fossile. Il gas “naturale” in realtà non è affatto naturale. Secondo uno studio del 2024, l'impronta di carbonio del gas naturale liquefatto esportato dagli Stati Uniti è persino maggiore di quella del carbone. [4] La produzione, la liquefazione e il trasporto sono molto dispendiosi in termini energetici e causano perdite di metano. Il metano ha un impatto sul clima circa 80 volte maggiore di quello della CO2 su un periodo di 20 anni. Swiss Re, Zurich e Helvetia si sono impegnate a diventare climaticamente neutrali entro il 2050. [5, 6, 7] Le esortiamo a prendere sul serio questa promessa e a smettere di sostenere l'ulteriore espansione dei combustibili fossili! Fonti: [1] “Insurers Revealed Behind Venture Global's Risky Business”, Rainforest Action Network [2] “Fisherfolk take the fight against LNG to Chubb”, Rainforest Action Network [3] Gli ultimi rapporti dell'IPCC e dell'AIE [4] Howarth, Robert W.: “The greenhouse gas footprint of liquefied natural gas (LNG) exported from the United States”, in: Energy Science & Engineering 2024/12, S. 4843-4859 [5] “New underwriting targets supporting Swiss Re's journey to net zero”, Swiss Re [6] “Climate action in investments”, Zurich [7] «Strategia climatica e il nostro percorso verso l'azzeramento delle emissioni», Helvetia
    614 von 800 Unterschriften
    Gestartet von Campax - make change happen Picture
  • Eil-Appell: Stoppen wir die Vertragserneuerung von Flüssiggasanlagen durch Schweizer Versicherungen!
    Das Flüssiggas-Terminal Calcasieu Pass ist eine Katastrophe für die lokale Gemeinschaft. Die Vorwürfe sind zahlreich: Abfackeln von Gas, Emissionen weit über den staatlichen Grenzwerten, Wasserverschmutzung und Zerstörung der traditionellen Fischgründe.[2] Die lokalen Fischer*innen beklagen hohe Verluste: Die Meeresfauna werde durch die Vibrationen der Maschinen vertrieben und die riesigen Wellen, die von den Flüssiggastankern verursacht werden, töteten Garnelen und zerstörten Fischerboote. Die Luftverschmutzung mache sie und ihre Familien krank, Atemwegserkrankungen und Krebsfälle hätten zugenommen. Zu allem Überfluss seien die versprochenen Arbeitsplätze an externe Arbeitskräfte vergeben worden, was die lokale soziale Ungerechtigkeit zusätzlich verschärfe. Hinzu kommt das hohe Explosionsrisiko von Flüssiggas (LNG), das aus -162°C kaltem Methan besteht und bei einem Leck schnell verdampft sowie eine entflammbare Wolke bilden kann. Unsere Versicherungsgesellschaften dürfen nicht die Augen verschliessen vor den katastrophalen Folgen dieses Terminals für die lokale Bevölkerung – und generell der Nutzung von Flüssigerdgas! Die Versicherung dieses Terminals ist auch aus klimapolitischer Sicht absurd. In einer Zeit, in der Klima- und Energieexperten zu einem raschen Ausstieg aus den fossilen Brennstoffen aufrufen, [3] versichern Swiss Re, Zurich und Helvetia deren Ausbau. Die Lobbys der fossilen Energiewirtschaft versuchen, uns das vergessen zu lassen, aber auch LNG ist ein fossiler Brennstoff. Das „natürliche“ Gas ist in Wirklichkeit überhaupt nicht natürlich. Laut einer Studie aus dem Jahr 2024 ist der CO₂-Fussabdruck von Flüssigerdgas, das aus den USA exportiert wird, sogar grösser als der von Kohle. [4] Produktion, Verflüssigung und Transport sind sehr energieintensiv und führen zu Methanlecks. Methan wirkt etwa 80 mal stärker klimaaktiv als CO2 über einen Zeitraum von 20 Jahren.  Swiss Re, Zurich und Helvetia haben sich dazu verpflichtet, bis 2050 klimaneutral zu werden. [5, 6, 7] Wir fordern sie dazu auf, dieses Versprechen ernst zu nehmen und den weiteren Ausbau der fossilen Brennstoffe nicht mehr weiter zu unterstützen! Quellen: [1] “Insurers Revealed Behind Venture Global's Risky Business”, Rainforest Action Network [2] “Fisherfolk take the fight against LNG to Chubb”, Rainforest Action Network [3] Die neuesten Berichte des IPCC und der IEA [4] Howarth, Robert W.: “The greenhouse gas footprint of liquefied natural gas (LNG) exported from the United States”, in: Energy Science & Engineering 2024/12, S. 4843-4859 [5] “New underwriting targets supporting Swiss Re's journey to net zero”, Swiss Re [6] “Climate action in investments”, Zurich [7] “Klimastrategie und unser Netto-Null-Pfad”, Helvetia
    9.884 von 10.000 Unterschriften
    Gestartet von Campax - make change happen Picture
  • 24h pour stopper le renouvellement des contrats d'assurances suisses pour le Gaz Naturel Liquéfié !
    Le terminal de gaz liquéfié de Calcasieu Pass est un désastre pour la communauté locale. Les reproches sont nombreux : brûlage de gaz, émissions dépassant largement les limites fixées par le gouvernement, pollution de l'eau et destruction des zones de pêche traditionnelles. [2] La communauté de pêcheur·se·s déplorent de lourdes pertes : la faune marine est chassée par les vibrations des machines et les énormes vagues provoquées par les méthaniers tuent les crevettes et détruisent les bateaux de pêche. La pollution de l'air les rendrait malades, eux et leurs familles, et les maladies respiratoires et les cancers auraient augmenté. Pour couronner le tout, les emplois promis à la population locale ont finalement été attribués à des travailleur·se·s externes, aggravant encore l’injustice sociale. S’ajoute à la liste le haut risque d’explosion du GNL, qui est composé de méthane refroidi à -162 °C et peut se vaporiser rapidement en cas de fuite, formant alors un nuage inflammable.  Nos compagnies d'assurance ne peuvent pas simplement fermer les yeux sur les conséquences catastrophiques de ce terminal pour la population locale ! Assurer ce terminal représente également une absurdité du point de vue climatique. À l’heure où les expert·e·s du climat et de l’énergie appellent à un abandon rapide des combustibles fossiles [3], Swiss Re, Zurich et Helvetia continuent de les assurer. Les lobbies de l’industrie des énergies fossiles essaient de nous le faire oublier, mais le GNL est lui aussi un carburant fossile. Le gaz “naturel” n’a en réalité rien de naturel. D’après une étude de 2024, l'empreinte carbone du gaz naturel liquéfié exporté par les États-Unis serait même plus importante que celle du charbon. [4] Sa production, sa liquéfaction et son transport nécessitent en effet une énergie colossale et entraînent des fuites de méthane, un gaz à effet de serre au pouvoir de réchauffement environ 80 fois supérieur au CO₂, sur une période de 20 ans.  Swiss Re, Zurich et Helvetia se sont engagées à atteindre la neutralité climatique d'ici 2050. [5, 6, 7] Nous leur demandons de prendre cette promesse au sérieux et de ne plus soutenir l’expansion des combustibles fossiles ! Sources:  [1] “Insurers Revealed Behind Venture Global’s Risky Business”, Rainforest Action Network [2] “Fisherfolk take the fight against LNG to Chubb”, Rainforest Action Network [3] Les derniers rapports du GIEC et de l’AIE [4] Howarth, Robert W. : The greenhouse gas footprint of liquefied natural gas (LNG) exported from the United States, in : Energy Science & Engineering 2024/12, p. 4843-4859 [5] “New underwriting targets supporting Swiss Re's journey to net zero”, Swiss Re [6] “Climate action in investments”, Zurich [7] “Stratégie climatique et voie à suivre pour atteindre l’objectif zéro émission nette”, Helvetia
    1.979 von 2.000 Unterschriften
    Gestartet von Campax - make change happen Picture
  • Feuerwerksverbot in Wetzikon
    Menschen und Tiere in der Stadt Feuerwerksnutzende Menschen sind sich viel zu wenig bewusst, was sie uns und den Tieren in nächster Umgebung antun. Jeder einzelne Knaller – ganz abgesehen von den mächtigen ‚Feuerwerksbomben‘ – lässt viele Menschen und eine unbeachtete Zahl von Tieren zusammenzucken. Vor allem Hunde und Katzen leiden extrem unter dem unkontrollierten Lärm. Viele reagieren panisch, können ihre Sinne und ihr Verhalten nicht mehr koordinieren. Oftmals bleibt der Schock tage- bis wochenlang. Diejenigen Tiere, die Feuerwerk noch nicht kennen, ‚lernen‘ es und jeder Silvester, jeder 1. August danach (oftmals auch Donner) wird zum Alptraum. Und was ist mit den Tieren draussen um unsere Häuser herum? Was ist mit den Verletzungen, die sich einige wegen unsachgemässem Umgang mit Feuerwerk zuziehen?   Tiere ausserhalb der Stadt Die Stadt Wetzikon ist stolz auf die Naturschutzgebiete wie das Robenhauser Ried, das Chämtnertobel, die Drumlinlandschaft etc., lässt es aber zu, dass deren Lebewesen gestört werden. Ja, lautes Feuerwerk hört man überall.   Müll Feuerwerk setzt bekanntlich Feinstaub und Schwefel frei und hinterlässt eine grosse Menge an Müll. Von den ersten beiden spüren wir nach kurzer Zeit nichts mehr. Der Müll muss kostenpflichtig entsorgt werden. Wer dies nicht tut, dessen Feuerwerksleichen begegnen einem dann auf Spaziergängen irgendwo aufgetürmt oder lose auf Trottoirs, Wegen, in Wiesen...   Schlimmer geht’s nicht mehr Am „Silvester 2024“ war in Wetzikon der erste Knall am 24. Dezember und der Letzte am 6. Januar 2025 zu hören. Das bedeutet zwei Wochen lang täglich aufgewärmte Panik bei Tieren. Zudem war jedes Jahr noch grösseres, noch lauteres Feuerwerksmaterial im Einsatz, was letzten Silvester ein Ausmass erreicht hat, das punkto Lautstärke, Penetranz der Zündintervalle etc. kaum mehr zu toppen ist.   Silvester bedeutet ja bekanntlich, dass das alte Jahr verabschiedet und das Neue begrüsst wird, was am 31. Dezember kurz um Mitternacht herum geschieht. Oder hat dies jemand vergessen?
    610 von 800 Unterschriften
    Gestartet von Philippe Caviezel
  • Une meilleure protection contre la torture et la détention préventive abusive en Côte d'Ivoire
    En tant que membre ou sympathisant.e de l’ACAT-Suisse ou de l’ACAT-Côte d’Ivoire, je tiens à vous exprimer mes préoccupations concernant... ...les lenteurs dans l’établissement d’un mécanisme national de prévention de la torture (MNP) Nous nous félicitons de la ratification, le 1er mars 2023, du Protocole facultatif à la Convention contre la torture (OPCAT) par la Côte d’Ivoire. Mais les problèmes de surpopulation carcérale et de détention préventive abusive persistent. C'est pourquoi l’établissement d’un MNP indépendant et conforme aux critères de l’OPCAT demeure une priorité pressante. ...l’accès des organisations de la société civile aux lieux de privation de liberté  La mission d’inspecter les établissements de privation de liberté relève actuellement du Conseil National des Droits de l’Homme (CNDH). Le droit des organisations de la société civile de visiter tous les lieux de privation de liberté a été limité de manière importante dans le pays. Cela les empêche de protéger efficacement les détenus contre la torture et les mauvais traitements. ...l’ordonnance n° 2024-368 délimitant le champ d’action des organisations de la société civile Cette ordonnance du 12 juin 2024, dont la mise en œuvre dépend encore de son adoption parlementaire, menace la liberté d’association des organisations de la société civile.  Ces restrictions ont été abordées lors du quatrième cycle de l’EPU (Examen Périodique Universel par le Conseil des droits de l’homme de l’ONU) de la Côte d’Ivoire, en novembre 2024, Elles soulèvent d’importantes questions concernant l’interdiction de la torture (articles 5 CADHP, 7 PIDCP, 5 DUDH), ainsi que la liberté d’association et de réunion (articles 10 et 11 CADHP, 20 et 21 DUDH, 21 et 22 PIDCP).
    27 von 100 Unterschriften
    Gestartet von ACAT Schweiz Suisse Svizzera Picture
  • Besserer Schutz vor Folter und missbräuchlicher Untersuchungshaft in der Elfenbeinküste
     Als Mitglied oder Sympathisant:in von ACAT-Schweiz oder ACAT-Elfenbeinküste bin ich besorgt... ...über die schleppende Einrichtung eines nationalen Präventionsmechanismus gegen Folter Wir begrüssen, dass die Elfenbeinküste das Fakultativprotokoll zum Übereinkommen gegen Folter (OPCAT) am 1. März 2023 ratifiziert hat. Doch die Probleme der Überbelegung in den Gefängnissen und der missbräuchlichen Untersuchungs­haft bestehen fort. Deshalb bleibt die Einrichtung eines unabhängigen Präventionsmechanismus eine dringende Priorität. Dieser muss die Kriterien des OPCAT erfüllen.  ...über den Zugang von zivilgesellschaftlichen Organisationen zu Orten des Freiheitsentzugs  Die Inspektion von Einrichtungen des Freiheitsentzugs fällt derzeit in die Zuständigkeit des Nationalen Menschenrechtsrats Ihres Landes. Das Recht zivilgesellschaftlicher Organisationen, alle Einrichtungen des Freiheitsentzugs zu besuchen, wurde erheblich eingeschränkt. Dies hindert sie daran, Häftlinge wirksam vor Folter und Misshandlung zu schützen.  ...über die Verordnung Nr. 2024-368, die den Handlungsspielraum der Zivilgesellschaft einschränkt Die Verordnung vom 12. Juni 2024, deren Umsetzung noch von der Verabschiedung durch das Parlament abhängt, gefährdet die Vereinigungsfreiheit der zivilgesellschaftlichen Organisationen. Diese Einschränkungen wurden in der vierten Runde der UPR (Universal Periodic Review durch den UNO-Menschenrechtsrat) der Elfenbeinküste im November 2024 angesprochen. Sie werfen wichtige Fragen auf zum Verbot der Folter (Artikel 5 CADHP, 7 IPbpR, 5 AEMR) sowie zur Vereinigungs- und Versammlungsfreiheit (Artikel 10 und 11 CADHP, 20 und 21 AEMR, 21 und 22 IPbpR). 
    13 von 100 Unterschriften
    Gestartet von ACAT Schweiz Suisse Svizzera Picture
  • Akute Sicherheitsrisiken unter Trump-Regierung – sofortiger Ausstieg aus dem F35-Deal
    Die USA haben sich unter Präsident Donald Trump (seit Januar 2025 im Amt) als unberechenbarer Partner erwiesen, der internationale Verträge zugunsten innenpolitischer Interessen bricht. So blockierte Trump trotz parlamentarischer Zustimmung bereits genehmigte Waffenlieferungen an die Ukraine – ein klarer Verstoss gegen verbindliche Zusagen gegenüber NATO-Partnern. Diese Willkür zeigt: Die versprochene Einsatzfähigkeit und langfristige Wartung der F-35 durch die USA ist nicht vertrauenswürdig. Die enge Bindung an die US-Rüstungsindustrie gefährdet zudem die Schweizer Neutralität. Die F-35-Technologie unterliegt strengen ITAR-Exportkontrollen, die Washington jederzeit nutzen kann, um Software-Updates oder Ersatzteile zu sperren – etwa bei politischen Differenzen wie kritischen Äusserungen zur Russlandpolitik Trumps. Bereits 2019 demonstrierte die USA dieses Druckmittel, als sie die Türkei wegen des Kaufs russischer S-400-Raketen aus dem F-35-Programm ausschloss. Unter Trumps Russland-freundlicher Haltung (Aussetzung der Sanktionen gegen Nord Stream 2 im Februar 2025) wäre die Schweiz bei einem ähnlichen Konflikt schutzlos. Hinzu kommt die Abhängigkeit von instabilen Lieferketten. Über 60 % der F-35-Komponenten stammen aus den USA, wo Trumps „America First“-Agenda die Rüstungsproduktion priorisiert – aktuell zugunsten von Taiwan-Aufrüstungsprogrammen. Dies hat bereits zu Lieferverzögerungen bei europäischen F-35-Bestellungen geführt. Gleichzeitig offenbarte die letzte Woche veröffentlichte Vertragsanalyse versteckte Kosten: Die Modernisierung der F135-Triebwerke ab 2029 liegt vollständig zu Lasten der Schweiz, obwohl der Bundesrat ursprünglich „Fixpreis“-Garantien betonte. Ein weiteres Schlüsselrisiko ist die Cyberverwundbarkeit. Die F-35-Software (Block 4/TR-3) wird zentral über US-Server gesteuert. Bei Hackerangriffen – wie den jüngsten Attacken russischer Gruppen auf US-Rüstungsfirmen – hätte die Schweiz keine Hoheit über Sicherheitsupdates. Diese Abhängigkeit widerspricht dem verfassungsmässigen Auftrag zur militärischen Selbstbestimmung. Unsere Forderungen: 1. Sofortige Vertragskündigung unter Berufung auf die vertragliche 30-Tage-Frist bei „nationalen Sicherheitsbedenken“. 2. Notfallplan zur Luftraumsicherung und Investitionen in europäische Drohnensysteme (zB. FCAS-Projekt). 3. Transparenzoffensive zur Offenlegung aller Exit-Kosten und Geheimklauseln durch eine unabhängige Expertenkommission. Die jüngsten Entwicklungen beweisen: Die F-35-Beschaffung ist kein Rüstungsprojekt, sondern ein Faustpfand US-amerikanischer Machtpolitik – ein Risiko, das die Schweiz niemals eingehen darf.
    47 von 100 Unterschriften
    Gestartet von Andreas Freimüller
  • Libertà per i prigionieri saharawi di Gdeim Izik!
    Da 15 anni, 19 saharawi sono detenuti nelle carceri marocchine in condizioni disumane per motivi politici. Nel 2010, avevano organizzato una manifestazione di massa, pacifica, a Gdeim Izik contro l’occupazione illegale del Sahara occidentale da parte del Regno del Marocco. Oggi, questi giornalisti e attivisti saharawi per i diritti umani stanno scontando pene che vanno dai 20 anni all’ergastolo, per reati per i quali non ci sono prove. I processi non soddisfanno gli standard internazionali. Le sentenze sono state emesse esclusiva­mente sulla base di dichiarazioni che i prigionieri hanno dimostrato di aver rilasciato sotto tortura.   Secondo Amnesty International e Human Rights Watch, i prigionieri di Gdeim Izik sono torturati, non hanno contatti con gli avvocati, non ricevono cure mediche adeguate e ai familiari non è permesso di visitarli.   Il Comitato delle Nazioni Unite contro la tortura ha ripetutamente condannato il Regno del Marocco per aver violatola Convenzione contro la tortura, e cio’ anche in relazione ai prigionieri di Gdeim Izik. Il Comitato ha chiesto il rilascio immediato di tutti i prigionieri che sono stati detenuti arbitrariamente, chiedendo pure un risarcimento per l’ingiustizia subita.    ◆ Il Regno del Marocco rifiuta sistematicamente di rispettare il diritto internazionale e di onorare le decisioni dei comitati e dei gruppi di lavoro delle Nazioni Unite.   La Svizzera è lo Stato depositario delle quattro Convenzioni di Ginevra del 12 agosto 1949, trattati fondamentali del diritto internazionale umanitario che regolano la protezione dei feriti, dei prigionieri di guerra e dei civili in caso di guerra. In quanto Stato depositario, la Svizzera è responsabile del rispetto di questi trattati.   Chiediamo al Consiglio federale, ◆ che la Svizzera adempia al suo compito di far rispettare le norme del diritto internazionale umanitario al Regno del Marocco. ◆ che la Svizzera eserciti pressioni sul Regno del Marocco affinché rilasci i prigionieri saharawi di Gdeim Izik. ◆ che la Svizzera si batta per un nuovo ed equo processo sotto il controllo internazionale e la supervisione dell’ONU.    La Svizzera presiede quest’anno (2025) il Consiglio dei diritti umani delle Nazioni Unite.    ◆ Chiediamo al Consiglio federale che la Svizzera si adoperi in seno al Consiglio dei diritti umani e nelle relazioni bilaterali, affinché il Regno del Marocco rispetti i diritti della popolazione civile saharawi alla libertà di espressione e di riunione nella parte di territorio del Sahara occidentale che occupa illegalmente dal 1976.    Mettiamo fine alla repressione, alla violenza, agli arresti arbitrari  ed alla tortura nei territori occupati del Sahara occidentale! La petizione è stata lanciata congiuntamente dal Gruppo parlamentare di amicizia Sahara occidentale, dal Schweizerischen Unterstützungskomitee für die Sahraouis (SUKS) e dal Comité romand de soutien au peuple sahraoui.
    262 von 300 Unterschriften
    Gestartet von Schweiz. Unterstützungskomitee für die Sahraouis SUKS Picture
  • Liberté pour les prisonniers sahraouis de Gdeim Izik !
    Depuis 15 ans, 19 Sahraouis sont détenus pour des raisons politiques dans des conditions inhumaines dans les prisons marocaines. En 2010, ils ont organisé une manifestation pacifique à Gdeim Izik contre l’occupation illégale du Sahara occidental par le Royaume du Maroc. Ces journalistes et militants des droits humains purgent des peines allant de 20 ans à la perpétuité pour des actes pour lesquels il n’existe aucune preuve. Les procédures judiciaires ne répondent pas aux exigences internationales : Les jugements ont été prononcés uniquement sur la base d’aveux que les prisonniers ont faits sous la torture.    Selon Amnesty International et Human Rights Watch, les prisonniers de Gdeim Izik subissent la torture, n’ont pas de contact avec des avocats, ne reçoivent pas de soins médicaux appropriés et ne peuvent recevoir de visites de leur famille.   Le Comité contre la torture des Nations unies a condamné le Maroc à plusieurs reprises pour des violations de la Convention contre la torture, en particulier en ce qui concerne les accusés de Gdeim Izik. Le Comité demande la libération immédiate de tous les prisonniers qui ont été détenus arbitrairement et exige une réparation pour les injustices subies.    ◆ Le Royaume du Maroc refuse systématiquement de respecter le droit international et de se conformer aux décisions des comités et groupes de travail de l’ONU.   La Suisse est l’État dépositaire des quatre Conventions de Genève du 12 août 1949. Ces traités fondamentaux du droit international humanitaire régissent la protection des blessés, des prisonniers de guerre ou des civils en cas de guerre. En tant qu’État dépositaire, la Suisse est responsable du respect de ces traités.   Nous demandons au Conseil fédéral, ◆ que la Suisse assume ses responsabilités en matière de respect des normes du droit international humanitaire vis-à-vis du Royaume du Maroc. ◆ que la Suisse fasse pression sur le Royaume du Maroc pour que les prisonniers sahraouis de Gdem Izik soient libérés. ◆ que la Suisse s’engage en faveur d’un nouveau procès équitable sous contrôle international et supervision de l’ONU.   La Suisse assure la présidence du Conseil des droits de l’Homme de l’ONU en 2025.    ◆ Nous demandons au Conseil fédéral que la Suisse s’engage au sein du Conseil et dans les relations bilatérales pour que le Royaume du Maroc respecte les droits de la population civile à la liberté d’expression et de réunion au Sahara occidental, qu’il occupe illégalement depuis 1976.    Fin à la répression, la violence, les arrestations arbitraires et la torture dans les territoires occupés du Sahara occidental !   Cette pétition a été lancée conjointement par le Groupe d'amitié parlementaire du Sahara occidental, le Schweizerischen Unterstützungskomitee für die Sahraouis (SUKS) et le Comité romand de soutien au peuple sahraoui.
    922 von 1.000 Unterschriften
    Gestartet von Schweiz. Unterstützungskomitee für die Sahraouis SUKS Picture
  • Freiheit für die sahraouischen Gefangenen von Gdeim Izik!
    Seit 15 Jahren werden 19 Sahraouis aus politischen Gründen in marokkanischen Gefängnissen unter unmenschlichen Bedingungen gefangen gehalten. Sie organisierten 2010 in Gdeim Izik eine friedliche Massendemonstration gegen die illegale Besetzung der Westsahara durch das Königreich Marokko. Diese Journalisten und Menschenrechts-Aktivisten verbüssen Strafen von 20 Jahren bis lebenslänglich für Taten, für die es keine Beweise gibt. Die Gerichtsverfahren entsprechen keinen internationalen Anforderungen: Die Urteile wurden gefällt einzig aufgrund von Aussagen, welche die Gefangenen nachweislich unter Folter gemacht haben.    Laut Amnesty International und Human Rights Watch werden die Gefangenen von Gdeim Izik gefoltert, haben keinen Kontakt zu Anwälten, erhalten keine angemessene medizinische Versorgung und Familienangehörige dürfen sie nicht besuchen.   Der UNO-Ausschuss gegen Folter hat Marokko mehrfach wegen Verstössen gegen das Übereinkommen gegen Folter verurteilt, auch im Zusammenhang mit den Angeklagten von Gdeim Izik. Der Ausschuss fordert die unverzügliche Freilassung aller Gefangenen, die willkürlich inhaftiert wurden und verlangt eine Wieder­gutmachung für das erlittene Unrecht.    ◆ Das Königreich Marokko weigert sich systematisch, das internationale Recht einzuhalten und den Entscheidungen von Ausschüssen und Arbeitsgruppen der UNO nachzukommen.   Die Schweiz ist Depositarstaat der vier Genfer Konventionen vom 12. August 1949. Diese grundlegenden Verträge des humanitären Völkerrechts regeln im Kriegsfall den Schutz von Verwundeten, Kriegsgefangenen oder Zivilpersonen. Als Depositarstaat ist die Schweiz für die Einhaltung dieser Verträge verantwortlich.   Wir fordern vom Bundesrat, ◆ dass die Schweiz ihre Verantwortung für das Einhalten der Normen des humanitären Völkerrechts gegenüber dem Königreich Marokko wahrnimmt. ◆ dass die Schweiz Druck auf das Königreich Marokko ausübt, damit die sahraouischen Gefangenen von Gdem Izik freigelassen werden. ◆ dass sich die Schweiz für einen neuen, fairen Prozess unter internationaler Kontrolle und Aufsicht der UNO einsetzt.    Die Schweiz hält 2025 den Vorsitz des UNO-Menschenrechtsrats inne.    ◆ Wir fordern den Bundesrat auf, dass sich die Schweiz im Rat und in den bilateralen Beziehungen dafür einsetzt, dass das Königreich Marokko die Rechte der Zivilbevölkerung auf freie Meinungsäusserung und Versammlungsfreiheit in der Westsahara respektiert, die es seit 1976 widerrechtlich besetzt.    Schluss mit Repression, Gewalt, willkürlichen Verhaftungen und Folter  in den besetzten Gebieten der Westsahara!   Diese Petition wurde gemeinsam von der Parlamentarischen Freundschaftsgruppe Westsahara, dem Schweizerischen Unterstützungskomitee für die Sahraouis (SUKS) und dem Comité romand de soutien au peuple sahraoui lanciert. 
    3.185 von 4.000 Unterschriften
    Gestartet von Schweiz. Unterstützungskomitee für die Sahraouis SUKS Picture