• Frieden in Gaza
    Egal was vorher passiert ist, unschuldige Menschen sterben jetzt. Jetzt müssen wir handeln.
    8 von 100 Unterschriften
    Gestartet von Philipp Blum
  • NON à l’école-prison!
    Les enfants dans l'asile sont des enfants! Ne laissons pas leurs droits être bafoués! Pétition lancée par: 3ChêneAccueil Cartel intersyndical du personnel de l’État et du secteur subventionné Centre de contact suisses immigrés CCSI Centre social protestant CSP Collectif Afro-Swiss Collectif de soutien aux sans-papiers Collectif des enseignantexs pour le climat et la biodiversité Commission fédérative migrations du SSP Communauté genevoise d'action syndicale, CGAS Conférence Universitaire des Associations d'Etudiant.e.x.s CUAE Coordination asile.ge Coordination contre l’exclusion et la xénophobie Stopex Découvrir, pour l’intégration professionnelle des femmes et personnes migrantes qualifiées De l’Individuel Au Collectif DIAC Eper Genève Fédération des Associations des Maître.sse.s du Cycle d’Orientation FAMCO Foulards violets Jeunesse Solidaire Le Labo, Pour les compétences, contre la déqualification Le Silure  Les Vert·e·s Ligue suisse des droits humains Genève Marad, collectif juif décolonial Parti socialiste PS Genève Petits Pas de Société Société pédagogique genevoise solidaritéS Solidarité Tattes Syndicat des services publics SSP Syndicat interprofessionnel de travailleuses et travailleurs SIT Unia Genève Union du corps enseignant secondaire genevois UCESG
    4.531 von 5.000 Unterschriften
    Gestartet von Non à l'école-prison
  • Sterbehilfe statt Pflege als Sparmassnahme? - Nein danke!!!
    Bitte unterzeichnet und teilt diesen Protestbrief, den wir an die obigen Organisationen senden werden. Das Forum der Armutsbetroffenen Schweiz bezieht weder Spenden noch Subventionen und wird nur von Freiwilligen betrieben. Wir verfügen deshalb nicht über grosse Werbebudgets. Menschen mit Demenz haben es verdient, einfühlsam und professionell so betreut zu werden, dass ihr Wohlbefinden gestärkt wird und sie sich geborgen und gut aufgehoben fühlen. Ihnen zu suggerieren, dass sie zu viel kosten und die Sterbehilfe eine Lösung dafür sei, ist absolut verwerflich und unwürdig.
    31 von 100 Unterschriften
    Gestartet von Integration Jetzt Picture
  • Appel: Les enfants sur les chemins d’exil
    La Suisse a signé la Convention relative aux droits de l’enfant de l’ONU le 24 février 1997. Elle s’engage ainsi à soumettre ses lois et ses décisions aux directives de la Convention. Ici en Suisse et partout dans le monde où des enfants sont concernés. Et pourtant la Suisse est régulièrement impliquée dans des violations des droits des enfants. Elles se déroulent de manière variée sur les chemins d’exil. Avec l’action « Les nommer par leur nom », nous en rappelons la mémoire et protestons contre elles. Voici quatre exemples : • Pour les années 2025-2027, la Suisse soutient l’Agence européenne de garde-frontières et de garde-côtes Frontex avec 52 à 61 millions de francs par année. Cette agence, fortement militarisée, empêche sans cesse de manière violente, des migrantes et des migrants de passer les frontières extérieures de l’Europe, violant ainsi le droit fondamental de déposer une demande d’asile. De l’argent suisse contribue à ce que depuis des années des milliers d’enfants meurent à ces frontières extérieures, sur des bateaux qui sombrent, en suffoquant dans des camions, dans des échanges de tirs aux passages de douane, etc. • Quand des enfants et des adolescents parviennent malgré tout à entrer en Europe, ils sont la plupart du temps d’abord enfermés, seuls ou avec leur famille, dans des camps de détention au Sud de l’Europe. Ici aussi, la Suisse est financièrement impliquée: dans le cadre d’une coopération avec la Grèce, elle soutient, avec 2,4 millions de francs par an, des «zones protégées» pour des mineurs non accompagnés dans de tels camps sur les îles grecques. Ainsi par exemple sur l’île de Samos où 500 mineurs sont entassés dans des conditions minables dans un bâtiment conçu pour 200. • Parfois des familles ou des mineurs non accompagnés parviennent à venir jusqu’en Suisse. Mais presque nécessairement ils doivent passer par un autre pays européen. S’ils y ont été enregistrés, la Suisse va s’efforcer de les y renvoyer. Il en résulte régulièrement des expulsions sous contrainte qui traumatisent fortement les enfants, ces derniers temps souvent en Croatie. Même si les autorités prétendent le contraire, il s’avère souvent que ce pays ne dispose pas de structures d’accueil adéquates pour des familles et de soins médicaux suffisants pour des enfants malades. • Souvent, des familles dont la demande d’asile a été refusée en Suisse ne peuvent pas être expulsées, pour diverses raisons. Ces personnes déboutées se retrouvent alors dans des centres d’aide d’urgence. On y garantit des conditions minimales de survie, mais les enfants et les adolescents précisément y sont confrontés à des conditions indignes. Dans une étude détaillée, la Commission fédérale des migrations a dévoilé les difficultés suscitées par le régime de l’aide d’urgence. Une prise de position juridique souligne que, sous de nombreux aspects, cette situation est en contradiction avec la Constitution fédérale et la Convention relative aux droits de l’enfant de l’ONU.
    5 von 100 Unterschriften
    Gestartet von Les nommer par leur nom Picture
  • Aufruf: Kinder auf den Fluchtwegen
    Am 24. Februar 1997 hat die Schweiz die Kinderrechtskonvention der UNO unterzeichnet. Die Schweiz verpflichtet sich damit, ihre Gesetze und Entscheidungen an den Richtlinien der Konvention zu orientieren. Hier in der Schweiz und überall auf der Welt, wo Kinder betroffen sind.  Trotzdem ist die Schweiz regelmässig an Verletzungen der Kinderrechte beteiligt. Diese geschehen vielfältig auf den Fluchtwegen. Daran erinnern wir und protestieren dagegen mit der Aktion «Beim Namen nennen».  Dazu vier Beispiele: • Für die Jahre 2025-2027 unterstützt die Schweiz die Europäische Agentur für Grenz- und Küstenwache Frontex mit 52 bis 61 Millionen Franken pro Jahr. Diese stark militarisierte Agentur hindert immer wieder mit Gewalt Migrantinnen und Migranten daran, die Aussengrenzen Europas zu überwinden, und verletzt damit das Grundrecht, um Asyl zu bitten. Schweizer Geld trägt dazu bei, dass seit Jahren an diesen Aussengrenzen Tausende von Kindern umkommen, auf gekenterten Booten, durch Erstickung in Lastwagen, in Schiesserein an Grenzübergängen, usw. • Wenn es Kindern und Jugendlichen trotzdem gelingt, nach Europa zu kommen, werden sie meistens zuerst, ob allein oder mit ihrer Familie, in haftähnlichen Lagern in Südeuropa eingesperrt. Auch hier ist die Schweiz finanziell beteiligt: Im Rahmen einer Kooperation mit Griechenland unterstützt sie mit 2,4 Millionen Franken jährlich, in solchen Lagern auf den griechischen Inseln, «geschützte Zonen» für unbegleitete Minderjährige. So zum Beispiel auf Samos, wo 500 Minderjährige unter misslichen Bedingungen in einem Gebäude eingepfercht sind, das für 200 konzipiert ist. • Manchmal gelingt es Familien oder unbegleiteten Minderjährigen, bis in die Schweiz zu kommen. Fast zwangsweise müssen sie aber über ein anderes europäisches Land einreisen. Wurden sie dort registriert, so bemüht sich die Schweiz, sie in dieses Land zurückzuschicken. So kommt es regelmässig zu Zwangsausschaffungen, die die Kinder stark traumatisieren, in letzter Zeit häufig nach Kroatien. Obschon die Behörden das Gegenteil behaupten, erweist sich oft, dass in diesem Land die Aufnahmestrukturen für Familien und die medizinische Betreuung von kranken Kindern nicht gewährt sind. • Familien, deren Asylgesuch in der Schweiz abgelehnt wurde, können öfters, aus verschiedenen Gründen, nicht ausgeschafft werden. Dann kommen diese abgewiesenen Menschen in Nothilfezentren. Dort werden zwar minimale Überlebenshilfen gewährt, aber gerade Kinder und Jugendliche werden in diesen Zentren unwürdigen Bedingungen ausgesetzt. In einer ausführlichen Studie hat die Eidgenössische Migrationskommission auf die Missstände in der Nothilfe hingewiesen. In einer rechtlichen Stellungnahme wird gezeigt, dass diese Situation unter vielen Aspekten in Widerspruch steht mit der Bundesverfassung und der Kinderrechtskonvention der UNO.
    76 von 100 Unterschriften
    Gestartet von Bein Namen nennen Picture
  • Rojda et sa fille doivent rester !
    L'histoire de Rojda : Cette femme de 38 ans est originaire d'une région kurde pauvre de Turquie. Elle grandit avec cinq frères et sœurs. Elle est mariée de force à l'âge de 13 ans. Au début de sa vingtaine, elle est déjà mère de deux enfants, mais elle ne peut plus supporter ce mariage forcé. Elle demande le divorce en sachant qu'elle ne reverra peut-être jamais ses enfants. Rojda rencontre ensuite un nouveau mari, un activiste politique, constamment poursuivi par l'État. Après une peine de prison, il parvient à s'enfuir en Suisse, qui, depuis, lui accorde l'asile. Rojda est tiraillée entre les deux. En 2012, elle suit son fiancé en Suisse. « C'était très dur », dit-elle aujourd'hui, « ici je ne connaissais personne, je ne comprenais pas un mot et j'étais séparée de mes proches ». Mais Rojda se remarie et donne naissance à une fille à Soleure. C'est alors que le désastre commence. Après des insultes et des injures, son mari maltraite aussi physiquement la jeune mère, de plus en plus souvent et de manière brutale. Elle en souffrira pendant quatre ans, jusqu'à ce qu'elle arrive presque à bout. Mais Rojda et sa fille parviennent à s'enfuir et à se réfugier dans un foyer pour femmes. Là, elle peut enfin respirer et s'informer sur ses droits. Elle et sa fille reçoivent un soutien psychologique. Rojda divorce, cherche du travail, en trouve dans un snack-bar et un magasin de nettoyage, et passe bientôt à un emploi à 70%. Elle suit des cours d'allemand quotidiens et s'occupe également de sa fille. Avec son ex-mari, elle règle les horaires de visite de leur fille. Aujourd'hui encore, la jeune fille entretient une relation étroite avec son père. Peu après, le renouvellement annuel du permis de séjour (B) est prévu. Auparavant, la demande de renouvellement était toujours examinée et acceptée rapidement, mais cette fois-ci, le processus dure cinq ans. La décision est négative pour Rojda et sa fille. Toutes deux sont expulsées de Suisse. L'expulsion de la mère est motivée par le fait qu'elle bénéficie de l'aide sociale, ce qui devrait entraîner l'extinction du droit à la prolongation. Le fait que Rojda n'ait été en mesure de s'intégrer qu'après s'être réfugiée dans un foyer pour femmes n'est pas pris en compte. Il en va de même pour le fait qu'elle ait appris l'allemand de manière intensive après la séparation et qu'elle ait commencé à travailler à 70%. Bien que sa fille soit née ici, qu'elle ait un permis d'établissement (C), qu'elle aille à l'école ici et qu'elle ait des amis et des hobbies, on peut raisonnablement attendre d'elle qu'elle quitte la Suisse avec sa mère. Les autorités ont également ignoré des raisons personnelles telles que les conséquences de la violence domestique, qui doivent être prises en compte lors de l'intégration. En effet, « seul » l'acte de violence survenu peu avant sa fuite vers la maison d'accueil pour femmes est documenté. Ses autres « descriptions » sont « très vagues et générales ». Certes, son mariage n'était « pas facile », mais ce n’est pas un cas de rigueur. Comme Rojda n'a pas dénoncé son mari violent à plusieurs reprises et que les actes de violence de longue durée ne peuvent pas être documentés, il n'y aurait pas de cas de rigueur. C'est l'argument de l'office de l'immigration. Le recours complémentaire à l'aide sociale s'opposerait donc en soi à la poursuite du séjour, a décidé la plus haute juridiction suisse. Il y a aussi sa fille mineure, qui est contrainte de quitter la Suisse avec sa mère. Bien que la Suisse ait signé la Convention de l'ONU relative aux droits de l'enfant, les autorités et les tribunaux suisses ont ignoré son sort et n'ont pas évalué les intérêts supérieurs de l'enfant, et les ont encore moins pris en compte dans leur jugement. Ils auraient pourtant dû le faire. Son expulsion vers la Turquie aurait pour conséquence de la déraciner de son pays d'origine. Elle serait arrachée à son environnement scolaire et séparée de tous·te·s ses ami·e·s. Elle n'aurait plus aucun contact avec son père. En tant que réfugié reconnu en Turquie, il ne pourra jamais lui rendre visite. De plus, la Turquie n'est pas un endroit sûr pour Rojda et sa fille. Après que son ex-mari a appris qu'elle risquait d'être expulsée, les menaces ont repris. Il n'existe pas d'environnement sûr et adapté pour sa fille. Demandez à l'Office des migrations de Soleure de continuer à accorder le droit de séjour à Rojda et à sa fille afin qu'elles puissent rester en Suisse. Signez la pétition maintenant. (1) En cas de violence domestique, garantir la pratique des cas de rigueur selon l'article 50 de la LGI *Nom modifié
    2.365 von 3.000 Unterschriften
    Gestartet von Itziar Marañón
  • 24 ore per bloccare il rinnovo dei contratti assicurativi svizzeri per il gas naturale liquefatto!
    Il terminale di gas naturale liquefatto Calcasieu Pass è un disastro per la comunità locale. Le accuse sono numerose: combustione di gas, emissioni ben al di sopra dei limiti statali, inquinamento idrico e distruzione delle tradizionali zone di pesca. [2] I pescatori locali lamentano perdite elevate: la fauna marina viene spaventata dalle vibrazioni delle macchine e le enormi onde causate dalle navi cisterna di gas naturale liquefatto uccidono i gamberetti e distruggono le barche da pesca. L'inquinamento atmosferico li ha fatti ammalare, loro e le loro famiglie, e i casi di malattie respiratorie e di cancro sono aumentati. Come se non bastasse, i posti di lavoro promessi sono stati assegnati a lavoratori esterni, il che ha ulteriormente aggravato l'ingiustizia sociale locale. A ciò si aggiunge l'elevato rischio di esplosione del gas naturale liquefatto (GNL), che è costituito da metano a -162 °C e che, in caso di perdita, evapora rapidamente e può formare una nube infiammabile. Le nostre compagnie di assicurazione non possono chiudere gli occhi di fronte alle conseguenze catastrofiche di questo terminale per la popolazione locale e, in generale, dell'uso del gas naturale liquefatto! L'assicurazione di questo terminale è assurda anche dal punto di vista della politica climatica. In un momento in cui gli esperti di clima ed energia chiedono una rapida uscita dai combustibili fossili, [3] Swiss Re, Zurich e Helvetia ne assicurano l'espansione. Le lobby dell'industria energetica fossile cercano di farcelo dimenticare, ma anche il GNL è un combustibile fossile. Il gas “naturale” in realtà non è affatto naturale. Secondo uno studio del 2024, l'impronta di carbonio del gas naturale liquefatto esportato dagli Stati Uniti è persino maggiore di quella del carbone. [4] La produzione, la liquefazione e il trasporto sono molto dispendiosi in termini energetici e causano perdite di metano. Il metano ha un impatto sul clima circa 80 volte maggiore di quello della CO2 su un periodo di 20 anni. Swiss Re, Zurich e Helvetia si sono impegnate a diventare climaticamente neutrali entro il 2050. [5, 6, 7] Le esortiamo a prendere sul serio questa promessa e a smettere di sostenere l'ulteriore espansione dei combustibili fossili! Fonti: [1] “Insurers Revealed Behind Venture Global's Risky Business”, Rainforest Action Network [2] “Fisherfolk take the fight against LNG to Chubb”, Rainforest Action Network [3] Gli ultimi rapporti dell'IPCC e dell'AIE [4] Howarth, Robert W.: “The greenhouse gas footprint of liquefied natural gas (LNG) exported from the United States”, in: Energy Science & Engineering 2024/12, S. 4843-4859 [5] “New underwriting targets supporting Swiss Re's journey to net zero”, Swiss Re [6] “Climate action in investments”, Zurich [7] «Strategia climatica e il nostro percorso verso l'azzeramento delle emissioni», Helvetia
    614 von 800 Unterschriften
    Gestartet von Campax - make change happen Picture
  • Eil-Appell: Stoppen wir die Vertragserneuerung von Flüssiggasanlagen durch Schweizer Versicherungen!
    Das Flüssiggas-Terminal Calcasieu Pass ist eine Katastrophe für die lokale Gemeinschaft. Die Vorwürfe sind zahlreich: Abfackeln von Gas, Emissionen weit über den staatlichen Grenzwerten, Wasserverschmutzung und Zerstörung der traditionellen Fischgründe.[2] Die lokalen Fischer*innen beklagen hohe Verluste: Die Meeresfauna werde durch die Vibrationen der Maschinen vertrieben und die riesigen Wellen, die von den Flüssiggastankern verursacht werden, töteten Garnelen und zerstörten Fischerboote. Die Luftverschmutzung mache sie und ihre Familien krank, Atemwegserkrankungen und Krebsfälle hätten zugenommen. Zu allem Überfluss seien die versprochenen Arbeitsplätze an externe Arbeitskräfte vergeben worden, was die lokale soziale Ungerechtigkeit zusätzlich verschärfe. Hinzu kommt das hohe Explosionsrisiko von Flüssiggas (LNG), das aus -162°C kaltem Methan besteht und bei einem Leck schnell verdampft sowie eine entflammbare Wolke bilden kann. Unsere Versicherungsgesellschaften dürfen nicht die Augen verschliessen vor den katastrophalen Folgen dieses Terminals für die lokale Bevölkerung – und generell der Nutzung von Flüssigerdgas! Die Versicherung dieses Terminals ist auch aus klimapolitischer Sicht absurd. In einer Zeit, in der Klima- und Energieexperten zu einem raschen Ausstieg aus den fossilen Brennstoffen aufrufen, [3] versichern Swiss Re, Zurich und Helvetia deren Ausbau. Die Lobbys der fossilen Energiewirtschaft versuchen, uns das vergessen zu lassen, aber auch LNG ist ein fossiler Brennstoff. Das „natürliche“ Gas ist in Wirklichkeit überhaupt nicht natürlich. Laut einer Studie aus dem Jahr 2024 ist der CO₂-Fussabdruck von Flüssigerdgas, das aus den USA exportiert wird, sogar grösser als der von Kohle. [4] Produktion, Verflüssigung und Transport sind sehr energieintensiv und führen zu Methanlecks. Methan wirkt etwa 80 mal stärker klimaaktiv als CO2 über einen Zeitraum von 20 Jahren.  Swiss Re, Zurich und Helvetia haben sich dazu verpflichtet, bis 2050 klimaneutral zu werden. [5, 6, 7] Wir fordern sie dazu auf, dieses Versprechen ernst zu nehmen und den weiteren Ausbau der fossilen Brennstoffe nicht mehr weiter zu unterstützen! Quellen: [1] “Insurers Revealed Behind Venture Global's Risky Business”, Rainforest Action Network [2] “Fisherfolk take the fight against LNG to Chubb”, Rainforest Action Network [3] Die neuesten Berichte des IPCC und der IEA [4] Howarth, Robert W.: “The greenhouse gas footprint of liquefied natural gas (LNG) exported from the United States”, in: Energy Science & Engineering 2024/12, S. 4843-4859 [5] “New underwriting targets supporting Swiss Re's journey to net zero”, Swiss Re [6] “Climate action in investments”, Zurich [7] “Klimastrategie und unser Netto-Null-Pfad”, Helvetia
    9.893 von 10.000 Unterschriften
    Gestartet von Campax - make change happen Picture
  • 24h pour stopper le renouvellement des contrats d'assurances suisses pour le Gaz Naturel Liquéfié !
    Le terminal de gaz liquéfié de Calcasieu Pass est un désastre pour la communauté locale. Les reproches sont nombreux : brûlage de gaz, émissions dépassant largement les limites fixées par le gouvernement, pollution de l'eau et destruction des zones de pêche traditionnelles. [2] La communauté de pêcheur·se·s déplorent de lourdes pertes : la faune marine est chassée par les vibrations des machines et les énormes vagues provoquées par les méthaniers tuent les crevettes et détruisent les bateaux de pêche. La pollution de l'air les rendrait malades, eux et leurs familles, et les maladies respiratoires et les cancers auraient augmenté. Pour couronner le tout, les emplois promis à la population locale ont finalement été attribués à des travailleur·se·s externes, aggravant encore l’injustice sociale. S’ajoute à la liste le haut risque d’explosion du GNL, qui est composé de méthane refroidi à -162 °C et peut se vaporiser rapidement en cas de fuite, formant alors un nuage inflammable.  Nos compagnies d'assurance ne peuvent pas simplement fermer les yeux sur les conséquences catastrophiques de ce terminal pour la population locale ! Assurer ce terminal représente également une absurdité du point de vue climatique. À l’heure où les expert·e·s du climat et de l’énergie appellent à un abandon rapide des combustibles fossiles [3], Swiss Re, Zurich et Helvetia continuent de les assurer. Les lobbies de l’industrie des énergies fossiles essaient de nous le faire oublier, mais le GNL est lui aussi un carburant fossile. Le gaz “naturel” n’a en réalité rien de naturel. D’après une étude de 2024, l'empreinte carbone du gaz naturel liquéfié exporté par les États-Unis serait même plus importante que celle du charbon. [4] Sa production, sa liquéfaction et son transport nécessitent en effet une énergie colossale et entraînent des fuites de méthane, un gaz à effet de serre au pouvoir de réchauffement environ 80 fois supérieur au CO₂, sur une période de 20 ans.  Swiss Re, Zurich et Helvetia se sont engagées à atteindre la neutralité climatique d'ici 2050. [5, 6, 7] Nous leur demandons de prendre cette promesse au sérieux et de ne plus soutenir l’expansion des combustibles fossiles ! Sources:  [1] “Insurers Revealed Behind Venture Global’s Risky Business”, Rainforest Action Network [2] “Fisherfolk take the fight against LNG to Chubb”, Rainforest Action Network [3] Les derniers rapports du GIEC et de l’AIE [4] Howarth, Robert W. : The greenhouse gas footprint of liquefied natural gas (LNG) exported from the United States, in : Energy Science & Engineering 2024/12, p. 4843-4859 [5] “New underwriting targets supporting Swiss Re's journey to net zero”, Swiss Re [6] “Climate action in investments”, Zurich [7] “Stratégie climatique et voie à suivre pour atteindre l’objectif zéro émission nette”, Helvetia
    1.982 von 2.000 Unterschriften
    Gestartet von Campax - make change happen Picture
  • Feuerwerksverbot in Wetzikon
    Menschen und Tiere in der Stadt Feuerwerksnutzende Menschen sind sich viel zu wenig bewusst, was sie uns und den Tieren in nächster Umgebung antun. Jeder einzelne Knaller – ganz abgesehen von den mächtigen ‚Feuerwerksbomben‘ – lässt viele Menschen und eine unbeachtete Zahl von Tieren zusammenzucken. Vor allem Hunde und Katzen leiden extrem unter dem unkontrollierten Lärm. Viele reagieren panisch, können ihre Sinne und ihr Verhalten nicht mehr koordinieren. Oftmals bleibt der Schock tage- bis wochenlang. Diejenigen Tiere, die Feuerwerk noch nicht kennen, ‚lernen‘ es und jeder Silvester, jeder 1. August danach (oftmals auch Donner) wird zum Alptraum. Und was ist mit den Tieren draussen um unsere Häuser herum? Was ist mit den Verletzungen, die sich einige wegen unsachgemässem Umgang mit Feuerwerk zuziehen?   Tiere ausserhalb der Stadt Die Stadt Wetzikon ist stolz auf die Naturschutzgebiete wie das Robenhauser Ried, das Chämtnertobel, die Drumlinlandschaft etc., lässt es aber zu, dass deren Lebewesen gestört werden. Ja, lautes Feuerwerk hört man überall.   Müll Feuerwerk setzt bekanntlich Feinstaub und Schwefel frei und hinterlässt eine grosse Menge an Müll. Von den ersten beiden spüren wir nach kurzer Zeit nichts mehr. Der Müll muss kostenpflichtig entsorgt werden. Wer dies nicht tut, dessen Feuerwerksleichen begegnen einem dann auf Spaziergängen irgendwo aufgetürmt oder lose auf Trottoirs, Wegen, in Wiesen...   Schlimmer geht’s nicht mehr Am „Silvester 2024“ war in Wetzikon der erste Knall am 24. Dezember und der Letzte am 6. Januar 2025 zu hören. Das bedeutet zwei Wochen lang täglich aufgewärmte Panik bei Tieren. Zudem war jedes Jahr noch grösseres, noch lauteres Feuerwerksmaterial im Einsatz, was letzten Silvester ein Ausmass erreicht hat, das punkto Lautstärke, Penetranz der Zündintervalle etc. kaum mehr zu toppen ist.   Silvester bedeutet ja bekanntlich, dass das alte Jahr verabschiedet und das Neue begrüsst wird, was am 31. Dezember kurz um Mitternacht herum geschieht. Oder hat dies jemand vergessen?
    693 von 800 Unterschriften
    Gestartet von Philippe Caviezel
  • Une meilleure protection contre la torture et la détention préventive abusive en Côte d'Ivoire
    En tant que membre ou sympathisant.e de l’ACAT-Suisse ou de l’ACAT-Côte d’Ivoire, je tiens à vous exprimer mes préoccupations concernant... ...les lenteurs dans l’établissement d’un mécanisme national de prévention de la torture (MNP) Nous nous félicitons de la ratification, le 1er mars 2023, du Protocole facultatif à la Convention contre la torture (OPCAT) par la Côte d’Ivoire. Mais les problèmes de surpopulation carcérale et de détention préventive abusive persistent. C'est pourquoi l’établissement d’un MNP indépendant et conforme aux critères de l’OPCAT demeure une priorité pressante. ...l’accès des organisations de la société civile aux lieux de privation de liberté  La mission d’inspecter les établissements de privation de liberté relève actuellement du Conseil National des Droits de l’Homme (CNDH). Le droit des organisations de la société civile de visiter tous les lieux de privation de liberté a été limité de manière importante dans le pays. Cela les empêche de protéger efficacement les détenus contre la torture et les mauvais traitements. ...l’ordonnance n° 2024-368 délimitant le champ d’action des organisations de la société civile Cette ordonnance du 12 juin 2024, dont la mise en œuvre dépend encore de son adoption parlementaire, menace la liberté d’association des organisations de la société civile.  Ces restrictions ont été abordées lors du quatrième cycle de l’EPU (Examen Périodique Universel par le Conseil des droits de l’homme de l’ONU) de la Côte d’Ivoire, en novembre 2024, Elles soulèvent d’importantes questions concernant l’interdiction de la torture (articles 5 CADHP, 7 PIDCP, 5 DUDH), ainsi que la liberté d’association et de réunion (articles 10 et 11 CADHP, 20 et 21 DUDH, 21 et 22 PIDCP).
    42 von 100 Unterschriften
    Gestartet von ACAT Schweiz Suisse Svizzera Picture
  • Besserer Schutz vor Folter und missbräuchlicher Untersuchungshaft in der Elfenbeinküste
     Als Mitglied oder Sympathisant:in von ACAT-Schweiz oder ACAT-Elfenbeinküste bin ich besorgt... ...über die schleppende Einrichtung eines nationalen Präventionsmechanismus gegen Folter Wir begrüssen, dass die Elfenbeinküste das Fakultativprotokoll zum Übereinkommen gegen Folter (OPCAT) am 1. März 2023 ratifiziert hat. Doch die Probleme der Überbelegung in den Gefängnissen und der missbräuchlichen Untersuchungs­haft bestehen fort. Deshalb bleibt die Einrichtung eines unabhängigen Präventionsmechanismus eine dringende Priorität. Dieser muss die Kriterien des OPCAT erfüllen.  ...über den Zugang von zivilgesellschaftlichen Organisationen zu Orten des Freiheitsentzugs  Die Inspektion von Einrichtungen des Freiheitsentzugs fällt derzeit in die Zuständigkeit des Nationalen Menschenrechtsrats Ihres Landes. Das Recht zivilgesellschaftlicher Organisationen, alle Einrichtungen des Freiheitsentzugs zu besuchen, wurde erheblich eingeschränkt. Dies hindert sie daran, Häftlinge wirksam vor Folter und Misshandlung zu schützen.  ...über die Verordnung Nr. 2024-368, die den Handlungsspielraum der Zivilgesellschaft einschränkt Die Verordnung vom 12. Juni 2024, deren Umsetzung noch von der Verabschiedung durch das Parlament abhängt, gefährdet die Vereinigungsfreiheit der zivilgesellschaftlichen Organisationen. Diese Einschränkungen wurden in der vierten Runde der UPR (Universal Periodic Review durch den UNO-Menschenrechtsrat) der Elfenbeinküste im November 2024 angesprochen. Sie werfen wichtige Fragen auf zum Verbot der Folter (Artikel 5 CADHP, 7 IPbpR, 5 AEMR) sowie zur Vereinigungs- und Versammlungsfreiheit (Artikel 10 und 11 CADHP, 20 und 21 AEMR, 21 und 22 IPbpR). 
    13 von 100 Unterschriften
    Gestartet von ACAT Schweiz Suisse Svizzera Picture