• Petition zur umgehenden Wiederöffnung der Basler Familiengärten auf französischem Grund
    Gerade im derzeitigen Ausnahmezustand ist die Arbeit im Freizeitgarten eine gesunde und sinnstiftende Tätigkeit, die mit den Weisungen des Bundesrats vereinbar ist. Doch rund 2000 Freizeitgartenpächter*innen haben keinen Zugang mehr zu ihrem Garten, da er sich auf elsässischem Boden befindet. Die über 800 betroffenen Gärten in Basel-West, Reibertweg und Lachenweg machen rund ein Fünftel aller Basler Freizeitgärten aus. Dabei handelt es sich um ein rein bürokratisches Verbot, welches der Basler Politik im Ausnahmezustand widerspricht: Freizeitgärten im Kanton sind ausdrücklich geöffnet. Diese Rechtsungleichheit muss rasch behoben werden. Die Argumentation, der Grenzschluss müsse prinzipiell durchgesetzt werden, ist nicht überzeugend. Denn folgerichtig müsste demnach auch der EuroAirport Basel Mulhouse Freiburg geschlossen werden, da er sich ebenfalls auf französischem Territorium befindet. Zudem gibt es Eingänge zu den Freizeitgärten auf Schweizer Seite, welche benutzt werden können, sollten Grenzen als Problem betrachtet werden. Nicht zuletzt hat der Basler Kantonsarzt bestätigt, dass die Grenzschliessung keinen Nutzen zur Vermeidung der Corona-Ausbreitung leistet. Es sollte deshalb möglich sein, zumindest für den Zugang zu den Freizeitgärten eine Lösung zu finden. Die derzeitige Situation ist äusserst bedauerlich, ungerecht und unhaltbar. Denn einerseits wird dadurch den Gärtner*innen des Stadtkantons eine den Umständen entsprechend empfehlenswerte Tätigkeit verwehrt. Die Freizeitgärten bieten nämlich gerade älteren Menschen und Familien mit Kleinkindern einen wichtigen Rückzugsort. Insbesondere die Kinder, welche unter der Krise besonders leiden, können im Garten einen Ort finden, indem sie spielen und sich bewegen können, ohne die Abstandsregeln des Bundes zu missachten. Viele Menschen leben in engen Wohnverhältnissen ohne Balkon oder Gärten, was auf längere Sicht zu psychischen Problemen führen kann. Der Besuch von Familiengärten kann solche Folgen verhindern. Andererseits ist auch der wirtschaftliche Aspekt zu bedenken. Zahlreiche Gärtnereien sind auf den Verkauf von Pflanzen an die Freizeitgärten angewiesen. Sie bleiben nun auf ihren Pflanzen sitzen und verlieren damit eine wichtige Einnahmequelle. Könnten die Gärten benutzt werden, gäbe es für die Produkte der Gärtnereien zahlreiche Abnehmer*innen. Die staatliche Hilfe könnte damit reduziert werden. Sollte die Bepflanzung jetzt nicht erfolgen, kann sie später nicht mehr nachgeholt werden, was für die Gartenbewirtschaftung Folgen für das ganze Jahr mit sich zieht. Das eigene Gemüse ist für viele ein wichtiger Beitrag zur Selbstversorgung, in das schon viel Geld und Arbeit investiert wurde. Die Gärten werden schliesslich für das ganze Jahr gemietet und nicht monatlich, was auch eine Kostenfrage mit sich bringt. Die vorliegende Petition fordert den Regierungsrat auf, möglichst schnell eine Lösung zu finden, die betroffenen Freizeitgärten zumindest für die von der Schweiz herkommenden Nutzer*innen wieder zu öffnen. Demzufolge wird mit den französischen Nachbarn eine Vereinbarung getroffen, die Eingänge auf der Basler Seite für die Freizeitspächter*innen zu öffnen.
    1,588 of 2,000 Signatures
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  • Suspension de l’obligation de rechercher un emploi pendant la crise du COVID 19
    Les associations et institutions offrant une aide à la rédaction des postulations sont fermées ou fonctionnent au ralenti. Dans la situation actuelle, il n'y a pratiquement pas d'embauche de nouveaux travailleurs (sauf dans quelques secteurs). Malgré cela, les chômeurs sont toujours tenus d’effectuer des postulations, car les preuves de recherches d’emploi devront être remises aux autorités après la fin de la crise COVID 19. Nombre de demandeurs d'emploi craignent aujourd'hui, en ces temps déjà stressants, que leurs allocations de chômage ne soient réduites parce qu'ils ne sont plus en mesure d’envoyer de postulations. Conditions de travail précaires, loyers élevés, hausse des primes d'assurance maladie et démantèlement social progressif – toutes les personnes qui doivent se débrouiller avec peu d'argent et qui sont dans la précarité étaient déjà mises fortement sous pression avant la crise du COVID 19. Dans les circonstances actuelles, les moyens de subsistance des individus touchés par la pauvreté sont encore plus compromis. Pour cette raison, nous exigeons que le versement des indemnités de l’assurance chômage ne soit pas soumis à condition pendant la durée de la pandémie. Kafi Klick Internetcafé und Treffpunkt für Armutsbetroffene Gutstrasse 162 8055 Zürich [email protected] http://www.kafiklick.ch Alliance contre la ségrégation sociale Postfach 2584 3001 Bern [email protected] www.alliance-contre-segregation-sociale.ch
    180 of 200 Signatures
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  • Sofortige Schliessung aller Schlachthäuser
    COVID-19 als hochkontagiöse Viruserkrankung erfordert drastische Massnahmen von uns allen. Unzählige Unternehmen wie Coiffeursalons, Blumenhandel, Restaurants etc. mussten ihren Betrieb einstellen, mit Ausnahme der Schlachthöfe. Dabei sind Schlachthofmitarbeiter einer erhöhten Ansteckungsgefahr ausgesetzt, da die Hygienemassnahmen schlicht nicht eingehalten werden können. Weder bei den Fleischkontrolleuren, die sich jeweils per Sprühnebel kurz reinigen (Tröpfcheninfektion!), noch durch die gegebenen Umstände im Schlachthaus wie Feuchtigkeit, Blut, zu geringer Individualdistanz, können die vom Bund geforderten Massnahmen keinesfalls ausgeführt werden. Sie stellen somit eine grosse Gefahrenquelle für die Bevölkerung dar.
    1,421 of 2,000 Signatures
    Created by Eva Maria Herzog
  • Sospensione dell’obbligo di cercare lavoro durante la crisi del corona
    Tutti i servizi di appoggio nella ricerca di lavoro sono chiusi (servizi di dattilografia, assistenza per fare domande di lavoro, ecc.). Nella situazione attuale, non vengono praticamente fatte assunzioni. Ciononostante, le persone disoccupate sono ancora obbligate a cercare lavoro e a inoltrare le prove delle loro ricerche di lavoro dopo la fine delle misure contro il Corona. Innumerevoli persone in cerca di lavoro temono ora che la loro indennità di disoccupazione venga tagliata perché non hanno la possibilità di inviare domande di lavoro nelle condizioni attuali. Condizioni di lavoro precarie, affitti elevati, premi dell'assicurazione malattia che aumentano sempre di più e tagli sociali progressivi creano importanti difficoltà. Già prima della crisi del Corona le persone con poche risorse erano sotto pressione da tutte le parti. Nelle circostanze attuali, le persone colpite dalla povertà sanno ancora meno come viene garantita la loro sussistenza. Durante la pandemia del Corona, le indennità di disoccupazione non devono essere vincolate a condizioni! Kafi Klick Internetcafé und Treffpunkt für Armutsbetroffene Gutstrasse 162 8055 Zürich [email protected] http://www.kafiklick.ch Alliance contre la ségrégation sociale Case postale 2584 3001 Berne [email protected] www.alliance-contre-segregation-sociale.ch
    15 of 100 Signatures
    Created by Kafi Klick
  • Merci! Grazie! Danke!
    MERCI à tout le corps médical : médecins, infirmières et infirmiers, aides-soignant.e.s, secouristes, pharmacien.n.e.s, technicien.n.e.s, mais aussi le personnel des services de nettoyage et de restauration. Vous êtes en première ligne de cette crise et vous vous battez chaque jour pour nous et nos proches. Votre travail est physiquement et mentalement épuisant. Néanmoins, vous restez là pour nous, avec votre cœur, votre âme et votre empathie. MERCI à tous les employé.e.s des supermarchés, aux chauffeurs de camion et au personnel des entrepôts. Vous vous exposez quotidiennement au danger d'infection, en particulier les caissières et caissiers et pourtant vous avez toujours le sourire pour nous. Grâce à vous, nous sommes généralement devant des étagères remplies malgré la crise. MERCI aux forces de sécurité, aux civilistes, aux pompiers, aux services d'urgence. On peut compter sur vous. Grâce à vous, nous resterons en sécurité et nous savons que l'aide nous parvient en appuyant sur un bouton. MERCI aux travailleurs sociaux et aux aides soignant.e.s qui continuent à s'occuper de celles et ceux qui sont aujourd'hui plus que jamais en marge de la société. Merci pour votre compassion et votre empathie. Pour vous, il n'y a pas de bureau à domicile et vous aussi vous vous exposez constamment au danger d'infection en travaillant pour d'autres. Pourtant, vous êtes toujours là pour autrui. MERCI aux paysannes et paysans, agricultrices et agriculteurs, qui continuent à produire de manière fiable et souvent avec trop peu de personnel et assurent ainsi inlassablement notre approvisionnement. Par tous les temps, vous assurez nos ressources alimentaires. MERCI aux employé.e.s des services d'électricité et d'eau et des services d'élimination des déchets. Vous avez peut-être l'impression que tout le monde est chez lui dans son bureau à domicile. Mais sans vous, même le télétravail serait impossible. MERCI au personnel des transports publics. Chaque jour, vous conduisez nos héros là où nous en avons besoin. MERCI à tous ceux qui permettent maintenant de commander et de livrer les marchandises nécessaires. Vous nous permettez de rester à la maison et de nous protéger les uns et les autres. MERCI aux employé.e.s de la sécurité sociale d'être là pour toutes les personnes concernées et de traiter toutes les demandes avec patience et efficacité, afin que chacun.e puisse traverser cette crise en toute sécurité. MERCI aux enseignant.e.s et aux éducatrices et éducateurs des crèches/garderies, qui font maintenant tout leur possible pour que nos enfants puissent continuer à apprendre et soient pris en charge. MERCI à toutes les personnes qui n’ont pas été mentionnées mais qui sont indispensables pour faire fonctionner tout le système. Nous sommes et restons reconnaissant.e.s ! Nous savons que votre dévouement ne va pas de soi.
    27 of 100 Signatures
    Created by Angelina Dobler Picture
  • Danke! Merci! Grazie!
    DANKE an das gesamte Krankenhauspersonal: Ärzte, Pfleger, Pflegehelfer, Rettungspersonal, Apotheker*innen, Techniker aber auch die Reinigungsdienste und Restauration. Ihr seid an der Front dieser Krise und kämpft jeden Tag für uns und unsere Liebsten. Eure Arbeit ist körperlich und mental anstrengend. Trotzdem bleibt ihr für uns da, mit Herzblut und Einfühlungsvermögen. DANKE an alle Mitarbeitenden von Supermärkten, an die Lastwagenfahrer*innen und Lagermitarbeiter*innen. Ihr setzt euch täglich der Gefahr einer Ansteckung aus und habt trotzdem an der Kasse noch ein Lächeln für uns. Dank euch stehen wir trotz der Krise meist vor vollen Regalen. DANKE an die Sicherheitskräfte, die Zivildienstleistenden, die Feuerwehr, Notfalldienste. Auf euch ist Verlass. Dank euch bleiben wir weiterhin sicher und wissen, dass per Knopfdruck hilfe auf dem Weg zu uns ist. DANKE an die Sozialarbeiter*innen und Betreuer*innen, die sich auch jetzt um diejenigen kümmern, die jetzt mehr denn je am Rand der Gesellschaft stehen. Danke für euer Mitgefühl und eure Empathie. Für euch gibt es kein Homeoffice und auch ihr setzt euch im Einsatz für andere ständig der Gefahr von Ansteckung aus. Trotzdem seid ihr für andere da. DANKE an die Bauern und Landwirt*innen, die zuverlässig und oft mit zu wenig Personal weiter produzieren und damit unermüdlich unsere Versorgung sicherstellen. Bei jedem Wetter stellt ihr unsere Versorgung sicher. DANKE an die Mitarbeitenden der Elektrizitäts- und Wasserwerke und die Entsorgungsdienste. Man mag das Gefühl haben, dass jeder zuhause im Homeoffice sei. Aber ohne euch wäre auch das Homeoffice unmöglich. DANKE an die Mitarbeiter*innen der öffentlichen Verkehrsmittel. Ihr fahrt unsere Held*innen jeden Tag zuverlässig dorthin, wo wir sie brauchen. DANKE an alle, die jetzt noch Bestellungen und Lieferungen von notwendigen (und nicht so notwendigen) Gütern ermöglichen. Ihr ermöglicht es uns, zu Hause zu bleiben, und damit uns selber und andere zu schützen. DANKE an die Angestellten der Sozialversicherungen, dafür, dass ihr für alle Betroffenen da seid und mit Geduld und Effizienz alle Anfragen bearbeitet, damit alle sicher durch diese Krise kommen. DANKE an die Lehrer und KiTa-Angestellten die jetzt trotz widrigen Umständen alles geben, damit unsere Kinder weiter lernen dürfen und betreut sind. DANKE an alle Held*innen und Systemträger*innen die hier nicht erwähnt wurden aber mitgemeint sind! Wir sind und bleiben dankbar! Wir wissen, dass euer Einsatz nicht selbstverständlich ist.
    92 of 100 Signatures
    Created by Campax - make change happen Picture
  • Eltern und Kitas in der Corona-Zwickmühle
    In der Schweiz herrscht wegen dem Corona-Virus Notstand. Der Bund/Kanton Zürich fordert von Eltern und Kita-Betreibern Solidarität und verlangt, dass zusätzlich zum Notangebot für Eltern ohne andere Betreuungsmöglichkeiten nur noch Kinder deren Elternteile systemrelevante Berufe ausüben, in den Kitas betreuet werden sollen. Wer die Möglichkeit hat, solle sich zuhause selbst um die Kinder kümmern. Eltern und Kita-Betreiber geraten aber dadurch in eine Zwickmühle: Die Eltern wollen den vom Bund geforderten Massnahmen Folge leisten und sich gegenüber Mitmenschen, Krippenpersonal und auch Familienmitglieder solidarisch zeigen und diese schützen. Sie werden aber in dieser Krise doppelt gestraft, da sie weiterhin die Krippenbeträge bezahlen müssen und sich zusätzlich zum Homeoffice auch um die Kinderbetreuung selbst kümmern müssen. Die Kitas sind aufgrund des Notangebots und der gesicherten Plätze für Kinder von Eltern mit systemrelevanten Berufen verpflichtet, weiterhin geöffnet zu haben. Da die Empfehlungen des Bundes nicht obligatorisch sind, besteht für die Kita-Betreiber auch nicht die Möglichkeit, den Betrieb stark herunterzufahren, um sich gesundheitlich und finanziell zu schützen. Zudem sind die meisten Kitas keine gewinnorientierten Betriebe und haben somit nicht die finanziellen Rücklagen, um Eltern zu entschädigen, da Mieten, Versicherungen und Personalkosten weiterhin geschuldet sind.
    12,254 of 15,000 Signatures
    Created by Dekyi Fröhlich
  • Mieterlass für Gewerbe, KMU während des «Lockdowns»
    Zwar haben KMUs während der Coronakrise die Möglichkeit, bei der Bank einen Kredit aufzunehmen, unter anderem um die Mieten zu bezahlen. Gastrosuisse hatte berechnet, dass Gastronomen bei einer jährlichen Bruttomarge von 5 Prozent zwei Jahre für die Abzahlung eines Kredits mit 0 Prozent Zins arbeiten müssten – ohne in dieser Zeit einen Gewinn zu erzielen. Auch eine Stundung, also ein Aufschub der Zahlungsfrist, ist nicht zielführend, da diese den Ausfall von Einkommen nicht wett macht. Ein Liegenschaftsbesitzer hingegen gerät durch einen kurzen Mietausfall nicht in Existenznot. Inzwischen hat der Bundesrat eine Taskforce zum Thema Mieterlass einberufen. Der Hauseigentümerverband ist dort mit seinen grossen finanziellen Mitteln als stärkste Kraft vertreten. Weitere Infos: https://www.infosperber.ch/Artikel/Politik/Schweiz-Covid-19-Geschlossene-Laden-Mieterlasshttps://www.tagesanzeiger.ch/geschaeftsmieten-es-droht-ein-juristisches-hickhack-628750950449 https://www.blick.ch/news/wirtschaft/marcel-dobler-fdp-nationalrat-und-besitzer-von-franz-carl-weber-fordert-fuer-die-mieten-braucht-es-direktzahlungen-des-bundes-id15819042.html?utm_source=copy&utm_medium=social_user&utm_campaign=blick_app_android https://www.tagesanzeiger.ch/coronavirus-news-kanton-zuerich-452644369922 https://www.20min.ch/schweiz/news/story/Muessen-Unternehmer-die-Miete-noch-zahlen--26503685 https://www.tagesanzeiger.ch/kmu-wollen-miete-nicht-mit-schulden-zahlen-548863484967 https://www.blick.ch/news/wirtschaft/vontobel-ordnet-ein-ueberbrueckungskredite-sind-die-falsche-medizin-id15814925.html https://www.hev-schweiz.ch/news/detail/News/bundesrat-setzt-task-force-zum-wohneigentum-und-vermieteten-immobilien-ein/ https://www.20min.ch/finance/news/story/Jedes-sechste-KMU-fuerchtet-den-Konkurs-14221135
    3,661 of 4,000 Signatures
    Created by Claudio Rizzo
  • Crise Corona: la marge bénéficiaire au lieu de la solidarité
    Cher Monsieur Supino, Lorsqu'un riche groupe comme Tamedia demande de l'argent public et des sacrifices aux employé-e-s, avant même que le virus Corona n'ait été éradiqué en Suisse, cela ne peut pas rester sans réaction. Loin de nous l'idée de créer un climat conflictuel, mais nous demandons que Tamedia fasse preuve de responsabilité démocratique et politique et donne un signal aux autres entreprises quant à la manière dont la crise peut être surmontée de façon solidaire. Le groupe de presse Tamedia, le plus puissant et le plus riche de Suisse, possède plusieurs journaux dont le Tages-Anzeiger, la Basler-Zeitung, la Berner-Zeitung, le Bund, 20 Minutes, la SonntagsZeitung, 24 Heures, la Tribune de Genève, le Matin Dimanche. A ce titre il détient une position de monopole dans plusieurs régions. Il engrange aussi, grâce à des plate-formes de vente telles que Ricardo, tutti.ch, home gate, de précieux bénéfices. Or voilà qu'il entend aujourd'hui compenser 30 millions de moins-value bénéficiaire liée à la crise du virus Corona par des économies sur le dos du personnel et cela grâce à l'argent de la caisse fédérale. Le groupe Tamedia (aujourd'hui TX Groupe) a décrété, sous la houlette de Pietro Supino, Président du Conseil d'administration, le travail partiel. Les rédactions subiront des coupes, parfois au-delà de 10%, selon les secteurs. On économise sur cette valeur de travail alors que les rédactions fonctionnent déjà physiquement et psychologiquement au ralenti, la plupart des journalistes travaillant à domicile avec des enfants autour d'eux. Au lieu de réduire ses effectifs, un groupe de presse exerçant une responsabilité civique et dont les caisses sont pleines devrait au contraire engager du personnel. Cette amputation a lieu dans un contexte de crise extrême, alors que la population a justement besoin d'informations et d'analyses fiables et indépendantes. Il est à signaler que d'autres médias renoncent en ligne au paiement de l'information, mettant gratuitement leurs textes à disposition. Dans le capital de Tamedia, le pool familial contrôle 70% des voix. Les actionnaires majoritaires, comme le montrent les comptes du groupe, ont engrangé durant des décennies des bénéfices à hauteur de plusieurs centaines de millions de francs. Les membres de la direction générale ont encaissé de généreux bonus. Alors qu'une grande partie de la population craint pour sa vie, sa santé ou son travail, que des citoyennes et citoyens créent des chaînes de solidarité, les propriétaires et la direction du groupe Tamedia ne pensent qu'à leurs propres intérêts financiers. Alors que la Suisse affronte en ce moment probablement la pire crise depuis la Deuxième Guerre mondiale, le groupe Tamedia puise sans réserve dans la trésorerie de l'État. Ce faisant, il envoie un signal fatal plutôt que d'oeuvrer en direction d'une répartition socialement durable de charges que l'on prévoit énormes. Nous attendons des propriétaires de Tamedia qu'ils fassent preuve de responsabilité nationale et de disponibilité dans le sens d'une résolution solidaire de la crise. Premiers signataires: Richard Aschinger, Journalist Reto Auer, Prof. Dr. med, Bern Roman Berger, Journalist Esther Bertschi, Lehrerin Urs Buess, Journalist Christian Campiche, Journalist Mario Carera, ehem. Berater Alt-BR Moritz Leuenberger Ruth Dreifuss, Genève Anita Fetz, Kleinunternehmerin, ehem. Ständerätin BS Andrea Hämmerle, ehem. Nationalrat GR Urs Hänsenberger, Bern Franz Hohler, Schriftsteller Lisa Hürlimann, Bibliothekarin Claude Janiak, ehem. Ständerat BL Josef Lang, Historiker, ehem. Nationalrat ZG Margret Studer, Journalistin Peter Studer, ehem. Chefredaktor Tages-Anzeiger, Fernsehen DRS, Präsident des Presserats Klaus Merz, Schriftsteller Hans-Ulrich Probst, Literaturredaktor Ruth Schweikert, Schriftstellerin Andrea Weik, Bern Monika Zech, Journalistin
    440 of 500 Signatures
  • Faire Kurzarbeitsentschädigung für Unternehmer
    Viele Schweizer KMU werden in den kommenden Monaten in eine schwere Krise geraten und gezwungen sein, Notkredite aufzunehmen. Die Inhaber dieser 200'000 Firmen sollten mit einer fairen Kurzarbeitsentschädigung wenigstens in der Lage sein, die privaten Kosten zu decken. Zudem zahlen Unternehmer, die in ihrer Firma angestellt sind, Beiträge in die Arbeitslosenversicherung auf ihren ganzen Lohn und nicht nur auf eine «Pauschale» von 3'320 Franken.
    416 of 500 Signatures
    Created by David Dolder Picture
  • Corona-Krise: Gewinninteressen statt Solidarität
    Sehr geehrter Herr Supino Wenn ein reicher Konzern wie Tamedia Staatsgeld und Angestelltenopfer verlangt, bevor Corona in der Schweiz voll losgebrochen ist, kann das nicht ohne Reaktion bleiben. Kein Streit jetzt – aber wir fordern Tamedia auf, staats- und demokratische Verantwortung zu zeigen und anderen Unternehmen ein Zeichen zu setzen, wie die Krise solidarisch bewältigt werden kann. Der schweizweit mächtigste und finanzkräftigste private Medienkonzern Tamedia, der im Informationsbereich u.a. mit Tages-Anzeiger, Basler-Zeitung, Berner Zeitung, der Bund, 20 Minuten, 20 minutes, SonntagsZeitung, 24Heures, Le Matin Dimanche in vielen Regionen eine monopolartige Stellung hält und aus Verkaufsplattformen: u.a. Ricardo, tutti.ch, homegate hohe Gewinne zieht, will wegen der Corona-Krise auf 30 Millionen geschätzte Mindereinnahmen mit Sparschnitten beim Personal und Geld aus Staatskassen ausgleichen. Der Tamedia-Konzern, (heute TX Group), unter Leitung von VR-Präsident Pietro Supino, verordnet Kurzarbeit. Arbeitspensen werden generell um 10 Prozent gekürzt, in verschiedenen Bereichen um mehr. In einer Zeit, in der Redaktionen physisch und psychologisch am Anschlag funktionieren – die meisten Journalistinnen und Journalisten arbeiten im Home Office, viele mit Kindern im Haus – wird journalistische Kapazität weggespart. Ein Medienkonzern mit staatspolitischer Verantwortung und vollen Kassen müsste jetzt Personal aufstocken, nicht reduzieren. Der Abbau erfolgt in einer extremen Krise, in der die Bevölkerung ganz besonders auf vertrauenswürdige, unabhängige Informationen und Einschätzungen angewiesen ist. Andere Medien heben in dieser Situation die Bezahlpflicht auf und legen ihre Information offen. Der Familienpool kontrolliert bei Tamedia rund 70 Prozent der Aktien-Stimmen. Die Mehrheitsaktionäre haben, wie Jahresrechnungen zeigen, über Jahrzehnte von Gewinnen in Höhe von mehreren hundert Millionen profitiert. Geschäftsleitungsmitglieder kassierten hohe Boni. Während ein grosser Teil der Bevölkerung befürchtet, Leben, Gesundheit oder den Job zu verlieren, und sich Bürgerinnen und Bürger im Alltag mit Solidarnetzen unterstützen, konzentrieren sich die Eigentümer und die Unternehmensleitung des Tamedia-Konzerns auf die Sicherung ihrer finanziellen Eigeninteressen. Für die notwendige Suche nach einer sozial tragfähigen Aufteilung der voraussehbar enormen Lasten aus der wohl schwersten Krise des Landes seit dem Zweiten Weltkrieg, setzt der Tamedia-Konzern mit seinem schnellen Griff in die Staatskasse ein fatales Zeichen. Wir erwarten von den Eigentümern von Tamedia staatspolitische Verantwortung und Bereitschaft zur solidarischen Bewältigung der Krise. Erstunterzeichnende: Richard Aschinger, Journalist Reto Auer, Prof. Dr. med, Bern Roman Berger, Journalist Esther Bertschi, Lehrerin Urs Buess, Journalist Christian Campiche, Journalist Mario Carera, ehem. Berater Alt-BR Moritz Leuenberger Ruth Dreifuss, Genf Anita Fetz, Kleinunternehmerin, ehem. Ständerätin BS Andrea Hämmerle, ehem. Nationalrat GR Urs Hänsenberger, Bern Franz Hohler, Schriftsteller Lisa Hürlimann, Bibliothekarin Claude Janiak, ehem. Ständerat BL Josef Lang, Historiker, ehem. Nationalrat ZG Margret Studer, Journalistin Peter Studer, ehem. Chefredaktor Tages-Anzeiger, Fernsehen DRS, Präsident des Presserats Klaus Merz, Schriftsteller Hans-Ulrich Probst, Literaturredaktor Ruth Schweikert, Schriftstellerin Andrea Weik, Bern Monika Zech, Journalistin
    2,625 of 3,000 Signatures
  • Keine Bewerbungspflicht während Corona-Krise
    Alle Stellen, die Hilfe anbieten, also beispielsweise Schreibdienste und Bewerbungshilfen, sind geschlossen. Im Moment werden kaum neue Arbeitskräfte eingestellt. Trotzdem sind Arbeitslose weiterhin verpflichtet, sich zu bewerben, und die Bewerbungsbemühungen müssen nach dem Ende der Corona-Massnahmen nachgewiesen werden. Unzählige stellensuchende Menschen befürchten nun in dieser sowieso schon belastenden Zeit, dass ihnen die Arbeitslosenentschädigung gekürzt wird, weil sie keine Bewerbungen verschicken können. Unsichere Arbeitsbedingungen, hohe Mieten, steigende Krankenkassenprämien und fortschreitender Sozialabbau – wer mit wenig Geld auskommen muss, wurde schon vor der Corona-Krise von allen Seiten unter Druck gesetzt. Unter den aktuellen Umständen wissen armutsbetroffene Menschen erst recht nicht, wie ihre Existenz gesichert ist. Aus diesem Grund fordern wir eine bedingungslose Lohnersatzzahlung. Während der Corona-Pandemie dürfen Lohnersatzzahlungen bei Arbeitslosigkeit nicht an Bedingungen geknüpft werden! Kafi Klick Internetcafé und Treffpunkt für Armutsbetroffene Gutstrasse 162 8055 Zürich [email protected] www.kafiklick.ch Alliance contre la ségrégation sociale Postfach 2584 3001 Bern [email protected] www.alliance-contre-segregation-sociale.ch
    1,804 of 2,000 Signatures
    Created by Kafi Klick