• Achtung Klimabombe! UBS: Kein Cent für EACOP
    Die EACOP ist ein Megaprojekt einer beheizten Ölpipeline mit einer Länge von 1.443 km, die Uganda und Tansania vom Albertinischen Graben bis zum Hafen von Tanga durchschneiden soll. Seine gesamte CO2-Bilanz würde sich auf 379 Millionen Tonnen CO2-Äquivalent belaufen. [2] Dieses Projekt ist nicht nur eine totale Katastrophe für das Klima, sondern auch für die Artenvielfalt und die lokale Bevölkerung! Durch die Pipeline werden Wälder, Seen, Sümpfe und Schutzgebiete zerstört. Zahlreiche Arten, von denen einige vom Aussterben bedroht sind, sind von diesen Lebensräumen abhängig: die Schimpansen des Bugoma-Waldes, die Vögel, für die die Insel Musambwa der einzige Fortpflanzungsort ist, die Zugvögel, die die bedrohten Feuchtgebiete durchqueren, oder auch die afrikanischen Elefanten der Wembere-Steppe, die daran gehindert werden, ihren Migrationswegen zu folgen. [3] Es sind rund 100'000 Menschen von der Vertreibung bedroht und sind bereits Opfer geworden von zahlreichen Ungerechtigkeiten - oder werden es im Laufe des Prozesses sein. [3, 4] Eine von Friends of the Earth durchgeführte Untersuchung zeigt, dass insbesondere Haushalte, die auf der Trasse der Pipeline wohnen, gezwungen sind, ihr Land unter inakzeptablen Bedingungen aufzugeben und unzureichend entschädigt werden. Auch die Verschmutzung der Wasserquellen ist alarmierend. Der Viktoriasee, von dessen Wasser mehr als 40 Millionen Menschen abhängig sind, ist besonders von einer ökologischen Katastrophe bedroht. Hinzu kommen weitere Naturgefahren. Die Pipeline verläuft durch das Rift Valley, wo die Erdbebengefahr die Wahrscheinlichkeit von Ölunfällen erhöht. Das Offshore-Terminal in Tansania wiederum ist Tsunamis und Wirbelstürmen ausgesetzt. [3] Die dramatischen Folgen einer Ölpest oder einer Ölkatastrophe für die Ökosysteme und die lokale Bevölkerung muss hier wohl nicht weiter ausgeführt werden. Das EACOP-Projekt ist eine Klimakatastrophe, eine Umweltkatastrophe und eine soziale Katastrophe. Es ist von entscheidender Bedeutung, dass sich die Banken weigern, es zu finanzieren. Denn ohne genügende Finanzierung kann die Pipeline nicht gebaut werden. Und noch ist es nicht zu spät! Gemeinsam haben wir die Macht, alles dafür zu geben, dass kein Schweizer Geld in dieses Projekt fliesst! Mit deiner Unterschrift trägst du direkt dazu bei, den Druck auf die UBS zu erhöhen, sich öffentlich von der EACOP zu distanzieren. Gemeinsam können wir ein klares Signal senden: Selbst Banken finden dieses Projekt zu riskant. Und mit etwas Glück gibt es einen Dominoeffekt auf andere Banken. Gemeinsam können wir die Finanzierung dieses Ölmonsters stoppen und so seine verheerenden Auswirkungen verhindern! Unterschreibe jetzt die Petition und fordere die UBS auf, sich in einer öffentlichen Erklärung von der Finanzierung der EACOP zu distanzieren. Gemeinsam werden wir genügend Druck auf die UBS ausüben, damit sie klar Stellung bezieht! Vielen Dank für dein Engagement! Quellen: [1] “Most of Europe's largest 50 banks have rejected EACOP oil pipeline”, Banktrack, 2024. [2] “East Africa Crude Oil Pipeline: EACOP lifetime emissions from pipeline construction and operations, and crude oil shipping, refining, and end use”, Climate Accountability Institute (CAI), 2022. Diese Schätzung berücksichtigt den gesamten Lebenszyklus des Öls, einschließlich Seetransport, Raffination und Endverbrauch. [3] “EACOP, la voie du désastre. Enquête sur le projet d'oléoduc géant de Total en Tanzanie”, Les Amis de la Terre, 2022. [4] Website von #StopEacop
    7,637 of 8,000 Signatures
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  • Alerte bombe climatique! UBS: Pas un centime pour EACOP
    L'EACOP, c’est un mégaprojet d’oléoduc chauffé long de 1 443 km, qui éventrera l'Ouganda et la Tanzanie, du rift Albertin au port de Tanga. Son empreinte carbone totale s’élèverait à 379 millions de tonnes d’équivalent CO2. [2] Ce projet est non seulement une catastrophe totale pour le climat, mais également pour la biodiversité et la population locale ! Sur son passage, ce monstre de métal détruira forêts, lacs, marais et zones protégées. De nombreuses espèces, certaines en danger d’extinction, dépendent de ces milieux : les chimpanzés de la forêt de Bugoma, les oiseaux dont l’île Musambwa est le seul site de reproduction, les oiseaux migrateurs passant par les zones humides menacées, ou encore les éléphants d’Afrique de la steppe de Wembere, empêchés de suivre leurs voies de migration. [3] Du côté de l’impact humain, ce ne sont pas moins de 100 000 personnes qui sont menacées d’être arrachées à leur terre, et qui subissent déjà, ou subiront, de nombreuses injustices tout au long du processus. [3, 4] Une enquête menée par Les Amis de la Terre révèle notamment que les ménages ayant eu la malchance d’habiter sur le tracé du pipeline sont forcés de céder leurs terres dans des conditions inacceptables et sont insuffisamment compensés. La pollution des sources d’eau est elle aussi alarmante. Le lac Victoria, dont dépendent plus de 40 millions de personnes, est particulièrement menacé par un désastre écologique.  Viennent s’ajouter à cela d’autres risques naturels. L’oléoduc traverse la vallée du Rift, où les risques sismiques rendent la probabilité de fuites de pétrole élevée. Le terminal de stockage maritime en Tanzanie est de son côté exposé à des risques de tsunamis et de cyclones. [3] Les conséquences dramatiques d’une fuite de pétrole ou d’une marée noire sur les écosystèmes et la population locale ne sont plus à démontrer.  Le projet EACOP est une abomination climatique, environnementale et sociale. Il est donc crucial que les banques refusent de le financer. Sans fonds suffisants, l’avancée du projet sera paralysée! Et nous avons le pouvoir d’éviter que de l’argent suisse – notre argent – ne soutienne l’EACOP. En signant cette pétition, vous contribuez directement à faire pression sur l’UBS pour qu'elle se distancie publiquement de l'EACOP. Cela donnera un signal clair : même les banques trouvent ce projet trop risqué. Et avec un peu de chance, cela aura encore un effet domino sur d’autres banques. Ensemble, nous pouvons stopper le financement de ce monstre pétrolier et empêcher ainsi ses ravages ! Signez maintenant cette pétition et demandez à l’UBS de se distancer du financement de l'EACOP dans une déclaration publique. Ensemble, nous exercerons une pression suffisante sur l’UBS pour qu'elle prenne position à ce sujet.  Merci pour votre engagement !  Sources:  [1] “Most of Europe’s largest 50 banks have rejected EACOP oil pipeline”, Banktrack, 2024   [2] “East Africa Crude Oil Pipeline: EACOP lifetime emissions from pipeline construction and operations, and crude oil shipping, refining, and end use”, Climate Accountability Institute (CAI), 2022. Cette estimation prend en compte l'ensemble du cycle de vie du pétrole, y compris le transport maritime, le raffinage et la combustion finale.  [3] “EACOP, la voie du désastre. Enquête sur le projet d’oléoduc géant de Total en Tanzanie”, Les Amis de la Terre, 2022.   [4] Site de #StopEacop
    2,518 of 3,000 Signatures
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  • Call to action: basic education must remain part of Swiss development cooperation
    At a time of limited resources, it is more critical than ever to focus on interventions with the deepest impact and the greatest contribution to sustainable development, stability, prosperity, and peace. Basic education is fundamental to these goals: new economic research shows that education has driven 50% of global economic growth, accounted for 70% of income increases among the world’s poorest populations, and contributed to 40% of the reduction in extreme poverty over the past four decades. The Swiss government’s decision comes at a particularly critical time: there are over 251 million children and youth out of school (UNESCO, 2024) and 7 out of 10  children unable to read and understand a simple text by the age of 10 (WB and UNESCO UIS, 2022).
    369 of 400 Signatures
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  • Appel: l’éducation de base doit rester une priorité de la cooperation au développement suisse
    Dans un contexte de ressources limitées, il est d’autant plus important de concentrer les efforts sur les actions ayant le plus grand impact sur le développement durable, la stabilité, la prospérité et la paix – l’éducation de base étant un levier essentiel: Selon de récentes recherches en économie de l’éducation, l’éducation a contribué à 50 % de la croissance économique mondiale au cours des 40 dernières années, à 70 % de l’augmentation des revenus du cinquième le plus pauvre de la population mondiale et à 40 % de la réduction de l’extrême pauvreté (Gethin, 2024). La décision du conseil fédéral intervient à un moment critique: à travers le monde, environ 251 millions d’enfants et de jeunes ne sont toujours pas scolarisés (UNESCO, 2024), et sept enfants sur dix dans les pays à revenu faible et intermédiaire ne sont actuellement pas en mesure de lire et comprendre un texte simple avant l’âge de 10 ans (Banque mondiale et UNESCO UIS, 2022).
    518 of 600 Signatures
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  • Appell: Grundbildung muss Teil der Schweizer Entwicklungs- zusammenarbeit bleiben
    Angesichts begrenzter Ressourcen ist es umso wichtiger, den Fokus auf jene Massnahmen zu legen, die den grössten Beitrag zu nachhaltiger Entwicklung, Stabilität, Wohlstand und Frieden leisten - Grundbildung ist dabei ein entscheidender Faktor: Laut Erkenntnissen der Bildungsökonomie hat Bildung in den letzten vier Jahrzehnten zu 50 % des globalen Wirtschaftswachstums, zu 70 % des Einkommenszuwachses für das ärmste Fünftel der Weltbevölkerung und zu 40 % der Verringerung extremer Armut (Gethin, 2024) beigetragen.  Der Entscheid des Bundesrats kommt zu einem kritischen Zeitpunkt: Weltweit gehen rund 251 Millionen Kinder und Jugendliche noch immer nicht zur Schule (UNESCO, 2024), und sieben von zehn Kindern in Ländern mit niedrigem und mittlerem Einkommen sind derzeit nicht in der Lage, bis zum Alter von 10 Jahren einen einfachen Text zu lesen und zu verstehen (WB und UNESCO UIS, 2022). 
    333 of 400 Signatures
    Created by Beatrice Schulter
  • Rojda und ihre Tochter müssen bleiben!
    Rojdas* Geschichte: Die 38-Jährige stammt aus einer ärmlichen kurdischen Region in der Türkei. Aufgewachsen ist sie mit fünf Geschwistern. Schon als 13-Jährige wird sie zwangsverheiratet. Anfang 20 ist sie schon eine zweifache Mutter, aber sie erträgt die Zwangsehe nicht mehr. Sie lässt sich scheiden, mit dem Wissen, ihre Kinder vielleicht nie mehr sehen zu können.  Rojda lernt einen neuen Mann kennen, einen politischen Aktivisten, ständig verfolgt vom Staat. Nach einer Haftstrafe gelingt ihm die Flucht in die Schweiz, die ihm seither Asyl gewährt. Rojda ist hin- und hergerissen. 2012 folgte sie ihrem Verlobten in die Schweiz. «Es war sehr hart», sagt sie heute, «hier kannte ich niemanden, verstand kein Wort und war von meinen Liebsten getrennt.» Doch Rojda heiratet erneut und bringt in Solothurn ihre Tochter zur Welt. Dann geht das Desaster los. Nach Beleidigungen und Beschimpfungen misshandelt ihr Mann die junge Mutter auch körperlich, immer häufiger und auch brutaler. 4 Jahre leidet sie darunter, bis es fast zum Äussersten kommt. Doch Rojda und ihrer Tochter gelingt die Flucht ins Frauenhaus. Dort kann sie endlich durchatmen und sich über ihre Rechte informieren. Sie und ihre Tochter erhalten psychologische Unterstützung. Rojda lässt sich scheiden, bemüht sich um Jobs, findet sie in Imbiss- und Reinigungsladen, stockt bald auf ein 70 %-Pensum auf. Sie besucht täglich einen Deutschkurs und kümmert sich auch noch um ihre Tochter. Mit ihrem Ex-Mann regelt sie die Besuchszeiten für die gemeinsame Tochter. Bis heute pflegt das Mädchen eine enge Beziehung zu ihrem Vater.  Kurz darauf steht die jährliche Verlängerung der Aufenthaltsbewilligung (B) an. Zuvor wurde das Verlängerungsgesuch jeweils schnell geprüft und bewilligt, dieses Mal geht der Prozess fünf Jahre. Der Entscheid fällt für Rojda und ihre Tochter negativ aus. Beide werden aus der Schweiz weggewiesen. Begründet wird die Wegweisung der Mutter mit ihrem Sozialhilfebezug, welcher zum Erlöschen des Verlängerungsanspruchs führen soll. Dass Rojda überhaupt erst nach der Flucht ins Frauenhaus in der Lage war, sich zu integrieren, bleibt unberücksichtigt. Dasselbe gilt dafür, dass sie nach der Trennung intensiv Deutsch gelernt hat und in einem 70%-Pensum begonnen hat zu arbeiten. Obwohl die Tochter hier geboren ist, eine Niederlassungsbewilligung (C) hat, hier die Schule besucht und Freund*innen sowie auch Hobbies hat, sei ihr zuzumuten, die Schweiz mit ihrer Mutter zu verlassen. Auch persönliche Gründe wie die Folgen häuslicher Gewalt bei der Integration Beurteilung berücksichtigt werden müssen, haben die Behörden ignoriert. Aktenkundig sei nämlich «nur» die Gewalttat kurz vor ihrer Flucht ins Frauenhaus. Ihre übrigen «Schilderungen» seien «sehr vage und allgemein». Zwar möge ihre Ehe «nicht einfach» gewesen sein, doch ein Härtefall sei nicht zu erkennen. Weil Rojda ihren gewalttätigen Ehemann nicht mehrfach angezeigt habe und die langanhaltenden Gewalttaten nicht dokumentierbar seien, soll kein Härtefall gegeben sein. So das Argument des Migrationsamtes. Der ergänzende Sozialhilfebezugs stünde einem weiteren Aufenthalt sodann per se entgegen, entschied das höchste Schweizer Gericht.  Dann gibt es noch die minderjährige Tochter, welche gezwungen wird, die Schweiz mit der Mutter zu verlassen. Obwohl die Schweiz die UNO-Kinderrechtskonvention unterzeichnet hat, haben die schweizerischen Behörden und Gerichte ihr Schicksal ignoriert und keine Würdigung der übergeordneten Kindesinteressen vorgenommen, geschweige denn diese in die Beurteilung miteinbezogen. Obwohl sie hierzu verpflichtet gewesen wären. Die Abschiebung in die Türkei hätte die Entwurzelung aus ihrer Heimat zur Folge. Sie würde ihrem schulischen Umfeld entrissen und von all ihren Freundinnen und Freunden getrennt. Auch der Kontakt zu ihrem Vater wäre nicht mehr möglich. Als anerkannter Flüchtling aus der Türkei wird er sie nämlich nie besuchen können. Hinzu kommt, dass die Türkei für Rojda und ihre Tochter kein sicherer Ort ist. Nachdem ihr Ex-Mann von der drohenden Ausschaffung erfahren hat, haben die Drohungen wieder begonnen. Ein sicheres, kindgerechtes Umfeld für die traumatisierte Tochter ist nicht gegeben.  Fordere das Migrationsamt Solothurn dazu auf, Rojda und ihrer Tochter das Aufenthaltsrecht weiterhin zu gewähren, damit sie in der Schweiz bleiben können. Unterschreibe jetzt die Petition. *Namen geändert
    8,096 of 9,000 Signatures
    Created by Itziar Marañón
  • NO all'introduzione di uno sbarramento del 4% per l’elezione al Gran Consiglio
    L'introduzione di un limite di sbarramento del 4% per l’elezione del Gran Consiglio è una grave minaccia alla rappresentanza democratica e al pluralismo politico che caratterizzano il nostro sistema elettorale fondato sul sistema proporzionale, che ha garantito per decenni la presenza in Parlamento di sensibilità diverse: modificarlo nel modo proposto significa ridurre i diritti democratici e soffocare il dibattito politico. Le liste minori, che la riforma proposta vorrebbe eliminare, rappresentano circa il 13% degli elettori e delle elettrici. I partiti cosiddetti minori offrono un contributo importante al dibattito parlamentare, presentando numerose proposte su temi rilevanti, arricchendo la discussione e i punti di vista. Erigere barriere per impedirne l’accesso al Parlamento costituirebbe un passo inaccettabile in una democrazia pluralista. Inoltre, equivarrebbe a silenziare la voce di decine di migliaia di elettori ed elettrici ticinesi. La presenza dei partiti minori permette di apportare un contributo rilevante su temi fondamentali come sviluppo economico, scuola e formazione, fiscalità, giustizia, socialità, discriminazioni di genere e ambiente. Attribuire la responsabilità di eventuali lungaggini o inefficacia dell’azione di Governo e Parlamento alla presenza delle forze politiche minori, impedendo loro l'accesso al Parlamento, è un goffo tentativo di distogliere l'attenzione dai veri problemi e dalle sfide ai quali la maggioranza parlamentare e di governo non riesce a dare risposte soddisfacenti e innovative. ***** Prime firmatarie e primi firmatari: Alberti Arnaldo, Albertini Giovanni, Ambrosetti Maria Pia, Ay Max, Baranzini Mauro, Barenco Sergio, Beretta-Piccoli Sara, Besana Graziano, Borghi Marco, Boscolo Lisa, Bourgoin Samatha, Camponovo Fabio, Cappelletti Edoardo, Cavalli Gianfranco, Cencini Alvaro, Cencini Ginevra, Crivelli Sonia, De Luca Isa, De Micheli Lorenzo, Denti Franco, Ducry Jacques, Ferrari Lea, Galfetti Renzo, Gargantini Giangiorgio, Giannini Fabrizio, Grandini Giacomo, Jäggli Marco, Lepori Angelica, Lombardi Enrico, Marazzi Christian, Martinoli Sebastiano, Meli Edy, Merlo Tamara, Miler Milo, Mirante Amalia, Mobiglia Massimo, Mossi Nembrini Maura, Nussbaumer Werner, Olaniszyn Jean, Panzera Caterina, Patuzzi Maristella, Pellanda Giorgio, Petralli Giulia, Poli Cappelli Cristiano, Pronzini Matteo, Pusterla Fabio, Riget Laura, Robbiani Meinrado, Roncelli Evaristo, Sergi Giuseppe, Soldini Tommaso, Testa Mader Anita, Testa Silvano, Tognola Guido, Valsangiacomo Nelly, Vanetta Elisa, Venturelli Elio, Venturelli Michel, Venturelli Mireille.
    1,536 of 2,000 Signatures
    Created by Appello contro lo sbarramento
  • 350 millions pour la sécurité des femmes, maintenant !
    Les féminicides ne sont pas commis aléatoirement. Ils sont presque toujours précédés de violences, de menaces et de signaux d'alerte. Des signaux qui sont trop souvent ignorés ou minimisés. Chacun de ces actes est le résultat d'un système qui ne protège pas suffisamment les femmes, qui ne lutte pas assez systématiquement contre la violence et qui ne met pas fin à la violence des auteurs suffisamment tôt. Ces histoires de violence peuvent être interrompues avant qu'il ne soit trop tard. En 2018, la Suisse a ratifié la Convention d'Istanbul. Celle-ci contient des mesures et des exigences claires pour lutter contre la violence sexiste, domestique et sexuelle. Cependant, la mise en œuvre en Suisse reste lente : un petit projet ici, une petite somme là. Les foyers pour femmes et les centres de conseil sont débordés et sous-financés. La réforme du droit pénal en matière sexuelle ainsi que les services de conseil prévus 24 heures sur 24 sont appliqués de manière inégale selon les cantons. Cela ne reflète pas du tout la réalité de la violence sexiste. Pourquoi le Conseil fédéral reste-t-il silencieux ? Pourquoi ne s'indigne-t-on pas contre cette situation ? Combien de personnes devront encore mourir avant que des mesures ne soient prises ? Les mesures qui s'imposent d'urgence sont connues depuis longtemps. Il est temps de les mettre en œuvre ! Et il faut pour cela des ressources suffisantes. Organisations signataires : Brava, SP Frauen, Campax, Amnesty International Schweiz, Association: Femmes à Bord, Association VIOLENCE QUE FAIRE, Associazione Armònia, Associazione Consultorio delle Donne, Associazione Imbarco Immediato, Associazione puntozero, Association suisse pour les droits des femmes, Association Viol-Secours, ATFMR - Associazione Ticinese Famiglie Monoparentali e Ricostituite, Aux 6 logis, Beratungsstelle Frauen-Nottelefon, Beratungsstelle kokon, BPW Club Ticino, Collectif Féministe Valais, Collettivo "Io l'8 ogni giorno", Coordinamento donne della sinistra, DAO Dachorganisation Frauenhäuser Schweiz und Liechtenstein, EKdM, Feministische Juristinnen Ostschweiz, Feministische Kommission VPOD/ SSP, Feministischer Streik St.Gallen, Feministischer Streik und Frauenstreik Basel, Feministisches Kollektiv Thun-BeO, Feministisches Kollektiv Winterthur, Feministisches Streikkollektiv Aargau, Feministisches Streikkollektiv Bern, Feministisches Streikkollektiv Thurgau, Feministisches Streikkollektiv Zürich, femmes protestantes, F-information, FIZ Fachstelle Frauenhandel und Frauenmigration, Fondation Au Coeur des Grottes, Fondation pour l'égalité de genre, Fondation Surgir, Frauen für den Frieden Schweiz, Frauen Solidarität Bern, Frauenhaus Aargau-Solothurn, Frauenhaus beider Basel, Frauenhaus St. Gallen, Frauenhaus und Beratungsstelle Zürcher Oberland, Frauenhaus Zürich Violetta, Frauenrechte Nordwest, Frauenrechtsgruppe Amnesty International Zürich, Frieda, FVGS – Gewaltberatung Schweiz, Gemeinnütziger Frauenverein Baden, Giovani Verdi Ticino, Gruppe für eine Schweiz ohne Armee - GSoA / Groupe pour une Suisse sans Armée - GSsA, GRÜNE Schweiz, IAMANEH Schweiz, Il Salotto dell'Ascolto, Jumpps, Jungsozialist*innen Schweiz, Juristinnen Schweiz, Kinderschutz Schweiz, Kommission für Gleichstellung und Diversität, Koordinator NGO-Plattform Menschenrechte Schweiz (humanrights.ch), Lestime, LibElle Wohnen auf Zeit für Frauen mit und ohne Kinder, LOS - Lesbenorganisation Schweiz, Männer.ch, Medica Mondiale Foundation Switzerland, Mediengewerkschaft SSM, MI-TI-CI Against Abuse, Netzwerk gegen Mädchenbeschneidung Schweiz, New Ability Associazione, NGO-Koordination post Beijing Schweiz, Nosotras Aargau, Opferhilfe beider Basel, PdA – Partei der Arbeit, Psychology and Psychotherapy Research Society, ProCoRe, Promoción Cultural Española, Queerfeministisches Streikkollektiv Biel, Réseau femmes*, Schweizerischer Friedensrat, Sexuelle Gesundheit Schweiz, Solidarité femmes Biel & Region, Solifonds, Soroptimist International Club Basel Viva, Stiftung Frauenhaus Zürich, Stiftung gegen Gewalt an Frauen und Kindern, Stiftung Opferhilfe Bern, Stopfemizide.ch, Tech against Violence, Unia Frauen, Verein BIF für Frauen gegen Gewalt, Verein Feministische Wissenschaft Schweiz (FemWiss), Verein frauenaargau, Verein Mädchenhaus Zürich, VioleSpinate, Wen-Do Aargau
    2,683 of 3,000 Signatures
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  • 350 milioni per la sicurezza delle donne, ora!
    I femminicidi non succedono per caso - quasi sempre sono preceduti da violenza, minacce e segnali di allarme. Sintomi e precedenti che troppo spesso vengono ignorati o sminuiti. Ognuno di questi atti è il risultato di un sistema che non protegge abbastanza le donne, che non contrasta abbastanza la violenza e che non ferma per tempo chi agisce violenza. Queste storie di violenza possono essere fermate, prima che sia troppo tardi. Dal 2018 la Svizzera ha messo in vigore la Convenzione di Istanbul. Contiene misure ed esigenze concrete e conseguenti per contrastare la violenza sessualizzata, la violenza fondata sul genere e la violenza domestica. Però l’attuazione in Svizzera è molto discrepante: un piccolo progetto pilota qui, una somma limitata là. Le case protette e i consultori di aiuto alle persone vittime di violenza sono sovraccarichi e sottofinanziati, la revisione della legge sui reati sessuali e l’introduzione di un servizio unico di consulenza 24h/24 vengono portate vanificandone il senso: quasi prevalgono i difetti sui vantaggi e le indispensabili formazioni obbligatorie per le autorità penali sono ancora molto lontane dall’essere realizzate. Ma la realtà delle violenze fondate sul genere esige ben altre risposte! Perché il Consiglio federale tace? Dov’è il grido di allarme? Dov’è la reazione? Quante ancora dovranno morire prima che si decida ad agire? Le misure urgenti di cui abbiamo bisogno sono note da tempo! Devono finalmente essere attuate! E servono risorse sufficienti. La lista delle organizzazioni firmatarie : Brava, SP Frauen, Campax, Amnesty International Schweiz, Association: Femmes à Bord, Association VIOLENCE QUE FAIRE, Associazione Armònia, Associazione Consultorio delle Donne, Associazione Imbarco Immediato, Associazione puntozero, Association suisse pour les droits des femmes, Association Viol-Secours, ATFMR - Associazione Ticinese Famiglie Monoparentali e Ricostituite, Aux 6 logis, Beratungsstelle Frauen-Nottelefon, Beratungsstelle kokon, BPW Club Ticino, Collectif Féministe Valais, Collettivo "Io l'8 ogni giorno", Coordinamento donne della sinistra, DAO Dachorganisation Frauenhäuser Schweiz und Liechtenstein, EKdM, Feministische Juristinnen Ostschweiz, Feministische Kommission VPOD/ SSP, Feministischer Streik St.Gallen, Feministischer Streik und Frauenstreik Basel, Feministisches Kollektiv Thun-BeO, Feministisches Kollektiv Winterthur, Feministisches Streikkollektiv Aargau, Feministisches Streikkollektiv Bern, Feministisches Streikkollektiv Thurgau, Feministisches Streikkollektiv Zürich, femmes protestantes, F-information, FIZ Fachstelle Frauenhandel und Frauenmigration, Fondation Au Coeur des Grottes, Fondation pour l'égalité de genre, Fondation Surgir, Frauen für den Frieden Schweiz, Frauen Solidarität Bern, Frauenhaus Aargau-Solothurn, Frauenhaus beider Basel, Frauenhaus St. Gallen, Frauenhaus und Beratungsstelle Zürcher Oberland, Frauenhaus Zürich Violetta, Frauenrechte Nordwest, Frauenrechtsgruppe Amnesty International Zürich, Frieda, FVGS – Gewaltberatung Schweiz, Gemeinnütziger Frauenverein Baden, Giovani Verdi Ticino, Gruppe für eine Schweiz ohne Armee - GSoA / Groupe pour une Suisse sans Armée - GSsA, GRÜNE Schweiz, IAMANEH Schweiz, Il Salotto dell'Ascolto, Jumpps, Jungsozialist*innen Schweiz, Juristinnen Schweiz, Kinderschutz Schweiz, Kommission für Gleichstellung und Diversität, Koordinator NGO-Plattform Menschenrechte Schweiz (humanrights.ch), Lestime, LibElle Wohnen auf Zeit für Frauen mit und ohne Kinder, LOS - Lesbenorganisation Schweiz, Männer.ch, Medica Mondiale Foundation Switzerland, Mediengewerkschaft SSM, MI-TI-CI Against Abuse, Netzwerk gegen Mädchenbeschneidung Schweiz, New Ability Associazione, NGO-Koordination post Beijing Schweiz, Nosotras Aargau, Opferhilfe beider Basel, PdA – Partei der Arbeit, Psychology and Psychotherapy Research Society, ProCoRe, Promoción Cultural Española, Queerfeministisches Streikkollektiv Biel, Réseau femmes*, Schweizerischer Friedensrat, Sexuelle Gesundheit Schweiz, Solidarité femmes Biel & Region, Solifonds, Soroptimist International Club Basel Viva, Stiftung Frauenhaus Zürich, Stiftung gegen Gewalt an Frauen und Kindern, Stiftung Opferhilfe Bern, Stopfemizide.ch, Tech against Violence, Unia Frauen, Verein BIF für Frauen gegen Gewalt, Verein Feministische Wissenschaft Schweiz (FemWiss), Verein frauenaargau, Verein Mädchenhaus Zürich, VioleSpinate, Wen-Do Aargau
    916 of 1,000 Signatures
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  • 350 Millionen für die Sicherheit der Frauen, jetzt!
    Feminizide geschehen nicht zufällig –  fast immer gehen ihnen Gewalt, Drohungen und Warnzeichen voraus.  Zeichen, die viel zu oft ignoriert oder verharmlost werden. Jede dieser Taten ist das Ergebnis eines Systems, das Frauen nicht ausreichend schützt, das Gewalt nicht konsequent genug bekämpft und Täter nicht frühzeitig stoppt. Diese Gewaltgeschichten können unterbrochen werden, bevor es zu spät ist.  2018 hat die Schweiz die Istanbul-Konvention ratifiziert. Sie enthält klare Massnahmen und Forderungen, um geschlechtsbezogene, häusliche und sexualisierte Gewalt zu bekämpfen. Die Umsetzung in der Schweiz ist jedoch schleppend: Hier ein kleines Projekt, da eine kleine Summe.  Frauenhäuser und Beratungsstellen sind überlastet und unterfinanziert. Die Sexualstrafrechtsreform sowie die geplanten 24-Stunden-Beratungsangebote werden je nach Kanton mehr schlecht als recht umgesetzt. Dies wird der Realität von geschlechtsbezogener Gewalt aber nicht annähernd gerecht. Wieso schweigt der Bundesrat? Wo bleibt der Aufschrei? Wie viele müssen noch sterben, bis gehandelt wird? Die Massnahmen, die es dringend braucht, sind schon lange bekannt. Sie müssen endlich umgesetzt werden! Und es braucht genügend Ressourcen dafür. Unterzeichnende Organisationen: Brava, SP Frauen, Campax, Amnesty International Schweiz, Association: Femmes à Bord, Association VIOLENCE QUE FAIRE, Associazione Armònia, Associazione Consultorio delle Donne, Associazione Imbarco Immediato, Associazione puntozero, Association suisse pour les droits des femmes, Association Viol-Secours, ATFMR - Associazione Ticinese Famiglie Monoparentali e Ricostituite, Aux 6 logis, Beratungsstelle Frauen-Nottelefon, Beratungsstelle kokon, BPW Club Ticino, Collectif Féministe Valais, Collettivo "Io l'8 ogni giorno", Coordinamento donne della sinistra, DAO Dachorganisation Frauenhäuser Schweiz und Liechtenstein, EKdM, Feministische Juristinnen Ostschweiz, Feministische Kommission VPOD/ SSP, Feministischer Streik St.Gallen, Feministischer Streik und Frauenstreik Basel, Feministisches Kollektiv Thun-BeO, Feministisches Kollektiv Winterthur, Feministisches Streikkollektiv Aargau, Feministisches Streikkollektiv Bern, Feministisches Streikkollektiv Thurgau, Feministisches Streikkollektiv Zürich, femmes protestantes, F-information, FIZ Fachstelle Frauenhandel und Frauenmigration, Fondation Au Coeur des Grottes, Fondation pour l'égalité de genre, Fondation Surgir, Frauen für den Frieden Schweiz, Frauen Solidarität Bern, Frauenhaus Aargau-Solothurn, Frauenhaus beider Basel, Frauenhaus St. Gallen, Frauenhaus und Beratungsstelle Zürcher Oberland, Frauenhaus Zürich Violetta, Frauenrechte Nordwest, Frauenrechtsgruppe Amnesty International Zürich, Frieda, FVGS – Gewaltberatung Schweiz, Gemeinnütziger Frauenverein Baden, Giovani Verdi Ticino, Gruppe für eine Schweiz ohne Armee - GSoA / Groupe pour une Suisse sans Armée - GSsA, GRÜNE Schweiz, IAMANEH Schweiz, Il Salotto dell'Ascolto, Jumpps, Jungsozialist*innen Schweiz, Juristinnen Schweiz, Kinderschutz Schweiz, Kommission für Gleichstellung und Diversität, Koordinator NGO-Plattform Menschenrechte Schweiz (humanrights.ch), Lestime, LibElle Wohnen auf Zeit für Frauen mit und ohne Kinder, LOS - Lesbenorganisation Schweiz, Männer.ch, Medica Mondiale Foundation Switzerland, Mediengewerkschaft SSM, MI-TI-CI Against Abuse, Netzwerk gegen Mädchenbeschneidung Schweiz, New Ability Associazione, NGO-Koordination post Beijing Schweiz, Nosotras Aargau, Opferhilfe beider Basel, PdA – Partei der Arbeit, Psychology and Psychotherapy Research Society, ProCoRe, Promoción Cultural Española, Queerfeministisches Streikkollektiv Biel, Réseau femmes*, Schweizerischer Friedensrat, Sexuelle Gesundheit Schweiz, Solidarité femmes Biel & Region, Solifonds, Soroptimist International Club Basel Viva, Stiftung Frauenhaus Zürich, Stiftung gegen Gewalt an Frauen und Kindern, Stiftung Opferhilfe Bern, Stopfemizide.ch, Tech against Violence, Unia Frauen, Verein BIF für Frauen gegen Gewalt, Verein Feministische Wissenschaft Schweiz (FemWiss), Verein frauenaargau, Verein Mädchenhaus Zürich, VioleSpinate, Wen-Do Aargau
    12,813 of 15,000 Signatures
    Created by Campax und Brava Picture
  • NO alla chiusura della piscina di Carona e del suo magnifico parco
    La piscina di Lugano a Carona rappresenta un punto di riferimento fondamentale per l’intera comunità poiché offre ai cittadini, in particolare ai bambini e alle famiglie, un luogo sicuro e accessibile per praticare attività fisica, socializzare e mantenere un benessere psicofisico.  La piscina è anche un elemento che contribuisce ad attrarre turisti e visitatori nella regione, supportando così anche l'economia locale. La chiusura della piscina avrebbe un impatto molto negativo anche dal punto di vista economico per tutta la regione. Inoltre la piscina è circondata da un magnifico parco, immerso nel verde, che dovrebbe essere reso accessibile tutto l’anno, proprio come il parco Ciani! Le spese per il suo mantenimento possono e devono essere viste come un investimento per il benessere collettivo, per la coesione sociale e per il turismo nella regione. Le risorse destinate alla sua gestione sono soldi ben spesi se permettono di preservare un ambiente sano e inclusivo per tutti.
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    Created by Comitato Parco Piscina Carona
  • Jugend-GA für 300 Franken - Jetzt!
    Die öffentlichen Verkehrsmittel sind für viele Menschen ein wichtiges Fortbewegungsmittel, weil man einfach und schnell zu seinem Ziel kommt. Zudem bietet der öffentliche Verkehr einen wichtigen Beitrag zu unserem Klimaschutz. Aber wieso fahren immer noch viele Menschen mit dem Auto? In der Schweiz sind für viele Menschen die Tickets für Bus, Tram und Zug immer noch zu teuer! Die Preise werden höher, im Dezember 2023 sind sie um 3,7% gestiegen. In den letzten 30 Jahren haben sie sich in der Schweiz fast verdoppelt. Zum Vergleich, ein Monats- GA in der Schweiz kostet 355.- für Erwachsene, in Deutschland nur 49 Euro. In Österreich gibt es ein Klimaticket (GA) für nur 1000 Euro im Jahr. Und der Spitzenreiter Luxemburg bietet den ÖV seit 2020 sogar gratis!! Und gerade für Jugendliche sind die Tickets sehr teuer. Ab 16 Jahren bezahlt man den vollen Preis, wenn man nicht ein Halbtax Abo hat. Ein grosser Teil des Lehrlingslohn wird fürs Bahnbillet benötigt oder bei Schülern der Wochen Job Erwerb. Was wir bewirken wollen?  Wir wollen, dass die Preise von Zug, Tram und Bus gesenkt werden, damit die Jugendlichen für den ÖV nicht so viel bezahlen müssen und, dass man bis 20 Jahren zum halben Preis fahren kann. Zudem fordern wir das Angebot eines Jahres- GA für Jugendliche zwischen 12-20 Jahren für 300.-.  Machen sie mit! Unterstützen Sie uns mit Ihrer Unterschrift, damit die Preise vom öffentlichen Verkehr dauerhaft gesenkt werden. 
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    Created by Iris H.