• Steffen Klusmann, ächten Sie das Plagiat des Michael von Hassel - jetzt!
    Hier die Einschätzung eines deutschen Fachanwalts für Urheber- und Wettbewerbsrecht über das photographische Werk "Beer Cathedrals" (erstmals veröffentlicht 2006) von Manuel Liemann: "Zunächst fallen Ihre Bilder sowohl unter § 72 UrhG (Lichtbilder) als auch unter § 2 (1) Nr. 5 UrhG (Lichtbildwerke). Es besteht bei Ihnen als professioneller Fotograf eine tatsächliche Vermutung für das Vorliegen eines Lichtbildwerkes. Zudem weisen Ihre Fotos, was den Aufnahmestandpunkt, die Perspektive, die Lichtführung und die Bildkomposition anbelangt, die erforderliche Individualität und 'Gestaltungshöhe' auf." Gemäss Wikipedia kann bei einem Plagiatsvorwurf die Frage "legal" und "legitim" unterschiedlich beurteilt werden. Die vorliegende Online-Kampagne lässt die allfällige juristische Bewertung aussen vor. Sie beschränkt sich auf die Forderung nach der ethischen Ächtung eines künstlerischen Missbrauchs.
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  • Transparence totale dans l'affaire UNRWA/Pierre Krähenbühl
    Contrairement aux calomnies, la nouvelle qu'un rapport d'enquête de l'ONU a disculpé Pierre Krähenbühl a jusqu'à présent été rapportée de manière très hésitante dans les médias suisses. EDA in Erklärungsnot: Der Fall Krähenbühl 27. Janvier 2021 SRF TV Rundschau https://tinyurl.com/1trb1mdd Pierre Krähenbühl – Bauernopfer einer bedrängten UNO? 19. Janvier 2021 SRF Radio Echo der Zeit https://tinyurl.com/1ryeb25k L'enquête de l'ONU sur Pierre Krähenbühl ne pointe que de légers manquements 17. Décembre 2020 RTS TV Temps présent https://tinyurl.com/2z2dv3p9 Qu'est-ce que l'UNRWA ? L’UNRWA – l’Office de secours et de travaux des Nations unies pour les réfugiés de Palestine dans le Proche-Orient -  a pour mandat de fournir assistance et protection aux réfugiés de Palestine dont le nombre, initialement estimé 750'000 s’élève dorénavant à 5,5 millions (en 2019). Les domaines d'activité de l'UNRWA comprennent l'éducation, les soins médicaux, l'assistance et les services sociaux, l’infrastructure des camps et leur amélioration, le microcrédit, les abris d'urgence ou encore la reconstruction des bâtiments détruits et l'aide humanitaire. Le mandat de l'UNRWA est régulièrement renouvelé pour trois ans par l'Assemblée générale des Nations unies. Il l’a été en 2019 à une large majorité (170 voix pour - dont la Suisse, 2 contre - Les États-Unis et Israël et 7 abstentions). L'UNRWA opère dans un environnement très polarisé. En 2018, Donald Trump, alors président des USA, décide de ne plus octroyer de fonds à l’UNRWA. Cela plonge l'UNRWA dans une crise existentielle qui n'a pu être surmontée que grâce à l'action énergique de l'équipe dirigeante et le soutien généreux de nombreux pays donateurs. Cette même année, le ministre suisse des affaires étrangères Ignazio Cassis déclare aux journalistes que l'UNRWA fait partie du problème et non de la solution, une déclaration que Jared Kushner, conseiller du président américain Trump, avait également faite dans les mêmes termes à Pierre Krähenbühl. Alors que la Suisse avait toujours soutenu l'UNRWA, la déclaration du Conseiller fédéral Cassis est perçue comme un rapprochement de la politique officielle de la Suisse au Moyen-Orient avec la ligne politique de l'administration Trump et d'Israël. En 2019, l'ONU reçoit de nombreuses plaintes contre l'UNRWA et son commissaire général Pierre Krähenbühl, poussant ce dernier à la démission. L'ONU promet d'examiner cette question par le biais d'une enquête, dans le but de permettre la "transparence" au sein de l'UNRWA et, si nécessaire, de la réorganiser En 2020, le rapport d'enquête est achevé. Toutes les plaintes sont jugées sans fondement, à l’exception d’erreurs mineures déclarées insignifiantes dans une organisation de cette taille. qui se produisent dans toute organisation de cette taille. Toutefois, le rapport reste sous clé et la transparence promise n'est pas appliquée.
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  • Shutdown svizzero, ORA!
    Le conseguenze del numero troppo elevato di casi corona in Svizzera sono già ora molto gravi. Non solo per i pazienti affetti da Covid-19, ma anche per quelli con altre malattie potenzialmente letali. La settimana scorsa, per la prima volta, l'ospedale universitario di Zurigo ha dovuto mandare a casa un giovane malato di cancro. Il suo intervento chirurgico per un tumore, di cui aveva urgente bisogno, è stato rinviato. (https://bit.ly/3qVnkR5) Anche Martin Ackermann, presidente della Task force scientifica nazionale, lo ha detto chiaramente al Point de Presse del 9.12.2020: «Siamo al limite delle nostre capacità. Un raddoppio dei contagi avrebbe conseguenze devastanti. Dobbiamo impedirlo a tutti i costi». L'associazione professionale svizzera delle infermiere e degli infermieri teme che il personale infermieristico non sarà in grado di resistere nella situazione attuale per altre settimane o addirittura mesi. Da questo punto di vista, una cosa sembra chiara: le mini-misure adottate dal Consiglio federale l'11.12.2020 non sono sufficienti per ridurre il numero di casi in modo rapido ed efficace. Al contrario: se non si introducono misure più severe, l'attuale esitazione e le mini-misure troppo tardive, troppo blande e spesso solo regionali porteranno ad una terza ondata terribile a gennaio, ad un ulteriore sovraccarico del sistema sanitario e quindi a danni immensi per gli esseri umani e per l'economia. Se la Svizzera non vuole rimproverarsi di non aver nemmeno tentato di trovare una soluzione per qualche giorno per questa crisi del secolo e di non aver impedito lo scenario peggiore, il Consiglio federale deve agire ORA! Per la protezione delle generazioni più anziane nelle case ed in casa, per la protezione di tutte le persone con condizioni preesistenti, per la protezione dei giovani sani che possono soffrire di conseguenze a lungo termine (il cosiddetto long covid), per la protezione dei nostri operatori sanitari che hanno fatto un lavoro incredibile per mesi e che ora non ce la fanno più, per la protezione dei nostri figli. E per la protezione dell'economia. #ShutdownCH Simon Gehren (ZH), giurista Elvira Greco (BE), giurista e designer multimediale Caspar Humm (ZH), avvocato Daniel Meller (BE), operatore culturale e musicista Gernot Ruzicka (TG), psicoterapeuta FSP Bernice Staub (TG), pschiatra infantile Silke Vehlow (TI), insegnante Christine Wichert (SG), econometrica Ralph Wunderlin (AG), responsabile di progetto
    9 of 100 Signatures
    Created by Elvira Greco
  • Shutdown Suisse MAINTENANT!
    Les conséquences du nombre beaucoup trop élevé de cas Corona en Suisse sont déjà considérables. Pas seulement pour les patients Covid-19, mais aussi pour ceux qui ont d’autres maladies mortelles. La semaine dernière, l’hôpital universitaire de Zurich a pour la première fois dû renvoyer chez lui un jeune patient atteint du cancer. Son opération tumorale urgente a dû être reportée. (https://bit.ly/3qVnkR5) Même Martin Ackermann, président de la task force scientifique nationale, l’a dit clairement au point de presse du 09.12.2020 : «Nous sommes à la limite de la capacité. Un doublement du nombre d'infections aurait des conséquences désastreuses, que nous devons absolument éviter». Et l'Association suisse des infirmières et infirmiers craint que le personnel soignant ne puisse pas continuer à supporter la situation actuelle pendant des semaines, voire des mois. De ce point de vue, une chose semble claire: les mini-mesures décidées par le Conseil fédéral le 11.12.2020 ne sont pas suffisantes pour réduire efficacement, rapidement et fortement le nombre de cas. Au contraire: si des mesures plus sévères ne sont pas introduites, l'hésitation actuelle et les mini-mesures trop tardives, trop faibles et souvent uniquement régionales se transformeront en janvier en une terrible troisième vague, qui alourdira et surcharger le système de santé, et causera donc d'énormes dégâts non seulement pour la population mais également pour l’économie. Si la Suisse ne veut pas avoir à se reprocher de ne même pas avoir tenté de trouver une solution pour quelques jours lors de l’événement du siècle afin d’empêcher le pire des scénarios, le Conseil fédéral doit agir MAINTENANT! Pour protéger les personnes âgées dans les institutions et à la maison, pour protéger toutes les personnes atteintes de maladies préexistantes, pour protéger les jeunes en bonne santé et leur éviter les conséquences Covid long, pour protéger notre personnel de santé, qui, depuis des mois, réalise l’incroyable et n’en peut plus, pour protéger nos enfants. Et pour protéger l’économie. Simon Gehren (ZH), juriste Elvira Greco (BE), juriste et conceptrice multimédia Caspar Humm (ZH), avocat Daniel Meller (BE), créateur culturel et musicien Gernot Ruzicka (TG), psychothérapeute FSP Bernice Staub (TG), psychiatre pour enfants Silke Vehlow (TI), enseignante Christine Wichert (SG), économétrique Ralph Wunderlin (AG), chef de projet
    46 of 100 Signatures
    Created by Elvira Greco
  • SALVIAMO la RETE2 della Radiotelevisione svizzera italiana (RSI)
    Dalla musica al teatro, dalla letteratura alla filosofia, dal cinema alle arti figurative, dalla storia all'antropologia e ancora di piu', ha prodotto cultura, conoscenza, educazione... non solo informazione. Giornaliste e giornalisti, studiose e studiosi, ricercatrici e ricercatori della Rete2 della RSI producono cultura, strumento fondamentale per lo sviluppo della societa'. Non si deve e non si puo' smantellare, solo per ragioni economiche, o meglio, di risparmio, il Fiore all'occhiello della Radio Svizzera Italiana, ossia la RETE2 e soprattutto non si possono sopprimere posti di lavoro qualificati.
    10,338 of 15,000 Signatures
    Created by Graziano Terrani
  • Stopp Abbau des Service-Public
    Seit Jahren wird National, Kantonal und auch in den Gemeinden ein rigoroser Sparkurs gefahren. Die letzten Abbaumassnahmen betreffen nun das Schweizer Radio und Fernsehen. Das SRF wird gezwungen, CHF 50 Millionen einzusparen. Darunter leidet die Neutrale und wichtige Information der Schweizer Bevölkerung. Die unterzeichneten fordern den Bundesrat und das Schweizer Parlament auf, sofort alle Sparmassnahmen bei Bundesnahen betrieben einzustellen, den Service Public zu fördern und die entsprechenden Massnahmen unverzüglich einzuleiten. Die Schweiz braucht gerade jetzt einen funktionierenden, flächendeckenden Zugang zu den in der Bundesverfassung garantierten Service Public. Die Corona Krise hat aufgezeigt, wie wichtig dieser ist. Wir fordern vom Bundesrat und vom Schweizer Parlament eine klare Strategie wie der Service Public auf das Niveaus des Jahres 2010 zurückgebracht werden kann. Die dafür nötigen Mittel soll der Bundesrat und das Parlament mit Hilfe einer Transaktionssteuer von mindestens 0.1 Promille auf Börsenkottierten Unternehmen und Spekulationen mit Gelwährungen in der Schweiz generieren. Die Petitionäre lehnen weitergehende Abbaupläne National, Kantonal und auf Ebene der Gemeinden ab.
    12 of 100 Signatures
    Created by Urs Berger
  • Crise Corona: la marge bénéficiaire au lieu de la solidarité
    Cher Monsieur Supino, Lorsqu'un riche groupe comme Tamedia demande de l'argent public et des sacrifices aux employé-e-s, avant même que le virus Corona n'ait été éradiqué en Suisse, cela ne peut pas rester sans réaction. Loin de nous l'idée de créer un climat conflictuel, mais nous demandons que Tamedia fasse preuve de responsabilité démocratique et politique et donne un signal aux autres entreprises quant à la manière dont la crise peut être surmontée de façon solidaire. Le groupe de presse Tamedia, le plus puissant et le plus riche de Suisse, possède plusieurs journaux dont le Tages-Anzeiger, la Basler-Zeitung, la Berner-Zeitung, le Bund, 20 Minutes, la SonntagsZeitung, 24 Heures, la Tribune de Genève, le Matin Dimanche. A ce titre il détient une position de monopole dans plusieurs régions. Il engrange aussi, grâce à des plate-formes de vente telles que Ricardo, tutti.ch, home gate, de précieux bénéfices. Or voilà qu'il entend aujourd'hui compenser 30 millions de moins-value bénéficiaire liée à la crise du virus Corona par des économies sur le dos du personnel et cela grâce à l'argent de la caisse fédérale. Le groupe Tamedia (aujourd'hui TX Groupe) a décrété, sous la houlette de Pietro Supino, Président du Conseil d'administration, le travail partiel. Les rédactions subiront des coupes, parfois au-delà de 10%, selon les secteurs. On économise sur cette valeur de travail alors que les rédactions fonctionnent déjà physiquement et psychologiquement au ralenti, la plupart des journalistes travaillant à domicile avec des enfants autour d'eux. Au lieu de réduire ses effectifs, un groupe de presse exerçant une responsabilité civique et dont les caisses sont pleines devrait au contraire engager du personnel. Cette amputation a lieu dans un contexte de crise extrême, alors que la population a justement besoin d'informations et d'analyses fiables et indépendantes. Il est à signaler que d'autres médias renoncent en ligne au paiement de l'information, mettant gratuitement leurs textes à disposition. Dans le capital de Tamedia, le pool familial contrôle 70% des voix. Les actionnaires majoritaires, comme le montrent les comptes du groupe, ont engrangé durant des décennies des bénéfices à hauteur de plusieurs centaines de millions de francs. Les membres de la direction générale ont encaissé de généreux bonus. Alors qu'une grande partie de la population craint pour sa vie, sa santé ou son travail, que des citoyennes et citoyens créent des chaînes de solidarité, les propriétaires et la direction du groupe Tamedia ne pensent qu'à leurs propres intérêts financiers. Alors que la Suisse affronte en ce moment probablement la pire crise depuis la Deuxième Guerre mondiale, le groupe Tamedia puise sans réserve dans la trésorerie de l'État. Ce faisant, il envoie un signal fatal plutôt que d'oeuvrer en direction d'une répartition socialement durable de charges que l'on prévoit énormes. Nous attendons des propriétaires de Tamedia qu'ils fassent preuve de responsabilité nationale et de disponibilité dans le sens d'une résolution solidaire de la crise. Premiers signataires: Richard Aschinger, Journalist Reto Auer, Prof. Dr. med, Bern Roman Berger, Journalist Esther Bertschi, Lehrerin Urs Buess, Journalist Christian Campiche, Journalist Mario Carera, ehem. Berater Alt-BR Moritz Leuenberger Ruth Dreifuss, Genève Anita Fetz, Kleinunternehmerin, ehem. Ständerätin BS Andrea Hämmerle, ehem. Nationalrat GR Urs Hänsenberger, Bern Franz Hohler, Schriftsteller Lisa Hürlimann, Bibliothekarin Claude Janiak, ehem. Ständerat BL Josef Lang, Historiker, ehem. Nationalrat ZG Margret Studer, Journalistin Peter Studer, ehem. Chefredaktor Tages-Anzeiger, Fernsehen DRS, Präsident des Presserats Klaus Merz, Schriftsteller Hans-Ulrich Probst, Literaturredaktor Ruth Schweikert, Schriftstellerin Andrea Weik, Bern Monika Zech, Journalistin
    440 of 500 Signatures
  • Corona-Krise: Gewinninteressen statt Solidarität
    Sehr geehrter Herr Supino Wenn ein reicher Konzern wie Tamedia Staatsgeld und Angestelltenopfer verlangt, bevor Corona in der Schweiz voll losgebrochen ist, kann das nicht ohne Reaktion bleiben. Kein Streit jetzt – aber wir fordern Tamedia auf, staats- und demokratische Verantwortung zu zeigen und anderen Unternehmen ein Zeichen zu setzen, wie die Krise solidarisch bewältigt werden kann. Der schweizweit mächtigste und finanzkräftigste private Medienkonzern Tamedia, der im Informationsbereich u.a. mit Tages-Anzeiger, Basler-Zeitung, Berner Zeitung, der Bund, 20 Minuten, 20 minutes, SonntagsZeitung, 24Heures, Le Matin Dimanche in vielen Regionen eine monopolartige Stellung hält und aus Verkaufsplattformen: u.a. Ricardo, tutti.ch, homegate hohe Gewinne zieht, will wegen der Corona-Krise auf 30 Millionen geschätzte Mindereinnahmen mit Sparschnitten beim Personal und Geld aus Staatskassen ausgleichen. Der Tamedia-Konzern, (heute TX Group), unter Leitung von VR-Präsident Pietro Supino, verordnet Kurzarbeit. Arbeitspensen werden generell um 10 Prozent gekürzt, in verschiedenen Bereichen um mehr. In einer Zeit, in der Redaktionen physisch und psychologisch am Anschlag funktionieren – die meisten Journalistinnen und Journalisten arbeiten im Home Office, viele mit Kindern im Haus – wird journalistische Kapazität weggespart. Ein Medienkonzern mit staatspolitischer Verantwortung und vollen Kassen müsste jetzt Personal aufstocken, nicht reduzieren. Der Abbau erfolgt in einer extremen Krise, in der die Bevölkerung ganz besonders auf vertrauenswürdige, unabhängige Informationen und Einschätzungen angewiesen ist. Andere Medien heben in dieser Situation die Bezahlpflicht auf und legen ihre Information offen. Der Familienpool kontrolliert bei Tamedia rund 70 Prozent der Aktien-Stimmen. Die Mehrheitsaktionäre haben, wie Jahresrechnungen zeigen, über Jahrzehnte von Gewinnen in Höhe von mehreren hundert Millionen profitiert. Geschäftsleitungsmitglieder kassierten hohe Boni. Während ein grosser Teil der Bevölkerung befürchtet, Leben, Gesundheit oder den Job zu verlieren, und sich Bürgerinnen und Bürger im Alltag mit Solidarnetzen unterstützen, konzentrieren sich die Eigentümer und die Unternehmensleitung des Tamedia-Konzerns auf die Sicherung ihrer finanziellen Eigeninteressen. Für die notwendige Suche nach einer sozial tragfähigen Aufteilung der voraussehbar enormen Lasten aus der wohl schwersten Krise des Landes seit dem Zweiten Weltkrieg, setzt der Tamedia-Konzern mit seinem schnellen Griff in die Staatskasse ein fatales Zeichen. Wir erwarten von den Eigentümern von Tamedia staatspolitische Verantwortung und Bereitschaft zur solidarischen Bewältigung der Krise. Erstunterzeichnende: Richard Aschinger, Journalist Reto Auer, Prof. Dr. med, Bern Roman Berger, Journalist Esther Bertschi, Lehrerin Urs Buess, Journalist Christian Campiche, Journalist Mario Carera, ehem. Berater Alt-BR Moritz Leuenberger Ruth Dreifuss, Genf Anita Fetz, Kleinunternehmerin, ehem. Ständerätin BS Andrea Hämmerle, ehem. Nationalrat GR Urs Hänsenberger, Bern Franz Hohler, Schriftsteller Lisa Hürlimann, Bibliothekarin Claude Janiak, ehem. Ständerat BL Josef Lang, Historiker, ehem. Nationalrat ZG Margret Studer, Journalistin Peter Studer, ehem. Chefredaktor Tages-Anzeiger, Fernsehen DRS, Präsident des Presserats Klaus Merz, Schriftsteller Hans-Ulrich Probst, Literaturredaktor Ruth Schweikert, Schriftstellerin Andrea Weik, Bern Monika Zech, Journalistin
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  • Liberté et protection pour Julian Assange
    Le fondateur de Wikileaks, Julian Assange, est détenu au Royaume-Uni depuis avril 2019 où il a été soumis à la torture psychologique. Le rapporteur spécial des Nations Unies en a rendu compte [1]. Après que Julian Assange ait dénoncé les violations des droits de l'Homme aux États-Unis, il a reçu l’asile à l'ambassade de l'Équateur à Londres. Il n'a pas pu se déplacer librement depuis 2012. Maintenant, il est menacé d'extradition vers les États-Unis. Il est à craindre également qu'il y soit soumis à la torture psychologique [2]. C’est pourquoi, nous prions instamment le Conseil fédéral de tout mettre en œuvre pour garantir la liberté et la sécurité de Julian Assange. Une société saine, dans un cadre démocratique, fondée sur l'Etat de droit a besoin de personnes sincères qui dénoncent les délits flagrants, les violations des droits de l'Homme, les graves atteintes à l'environnement, les délits financiers, la corruption. Des millions de gens bénéficient de cette sincérité, du risque extrême que prennent les Whistleblowers et les journalistes d'investigation. Chacun*e de nous peut être Julian Assange. C'est pourquoi, il doit être protégé d’atteintes graves à sa vie, à son intégrité corporelle et mentale et à sa liberté. ___ [1] Source https://www.republik.ch/2020/01/31/nils-melzer-spricht-ueber-wikileaks-gruender-julian-assange [2] Source https://www.spiegel.de/thema/cia_folterbericht/
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  • Libertà e protezione per Julian Assange
    Il fondatore di Wikileaks, Julian Assange, è detenuto in prigione nel Regno Unito dove è stato o viene tuttora sottoposto a tortura psicologica. Il relatore speciale dell'ONU ha riferito in merito [1]. Dopo che Julian Assange ha denunciato le violazioni dei diritti umani da parte degli Stati Uniti, gli è stato concesso asilo per anni nell'ambasciata ecuadoriana a Londra. Dal 2012 non è più in grado di muoversi liberamente. Dall'aprile 2019 è imprigionato in Gran Bretagna ed è stato o viene tuttora sottoposto a tortura psicologica [1]. Ora viene minacciato di estradizione dagli Stati Uniti. Anche lì, si teme che venga torturato [2]. Chiediamo al Consiglio federale di prendere posizione in favore di Julian Assange e di fare tutto il possibile affinché gli sia garantita la libertà in sicurezza. Una società sana all'interno di un quadro democratico basato sullo stato di diritto ha bisogno di persone oneste che possano rendere possibile la scoperta e la denuncia di palesi cattive condotte, violazioni dei diritti umani, gravi danni ambientali, crimini finanziari, corruzione e molto altro ancora. Milioni di persone beneficiano di questa sincerità, di questo rischio estremo preso a carico da informatori (whistleblower) e giornalisti investigativi. Chiunque di noi può essere Julian Assange. Per questo Julian Assange dovrebbe avere libertà, luoghi sicuri e protezione della stessa vita. ___ [1] Fonte https://www.republik.ch/2020/01/31/nils-melzer-spricht-ueber-wikileaks-gruender-julian-assange [2] Fonte https://www.spiegel.de/thema/cia_folterbericht/
    294 of 300 Signatures
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  • Freiheit und Schutz für Julian Assange
    Der Wikileaks-Gründer Julian Assange wird in Grossbritannien seit April 2019 in Haft gehalten und war oder ist dort psychischer Folter ausgesetzt. Der UNO-Sonderberichterstatter hat darüber berichtet [1]. Nachdem Julian Assange Menschenrechtsverletzungen der USA aufgedeckt hatte, erhielt er in der Ecuadorianischen Botschaft in London jahrelang Asyl. Er konnte sich seit 2012 nicht mehr frei bewegen. Es ist zu befürchten, dass er auch dort psychischer Folter ausgesetzt wäre [2]. Wir fordern den Bundesrat auf, für Julian Assange Stellung zu nehmen und alles zu unternehmen, um seine Freiheit und Sicherheit zu gewährleisten. Eine gesunde Gesellschaft in einem demokratischen, rechtsstaatlichen Rahmen braucht integre, mutige Menschen, die krasses Fehlverhalten, Menschenrechtsverletzungen, schwere Umweltschäden, Finanzdelikte, Korruption und vieles mehr aufdecken und eine Abhilfe erst ermöglichen. Millionen von Menschen profitieren von dieser Aufrichtigkeit, von diesem extremen Risiko, welches Whistleblower und Investigativ-Journalisten auf sich nehmen. Jede*r von uns kann Julian Assange sein. Deshalb sind ihm Freiheit, sichere Orte und Schutz von Leib und Leben zu garantieren. ___ [1] Quelle https://www.republik.ch/2020/01/31/nils-melzer-spricht-ueber-wikileaks-gruender-julian-assange [2] Quelle https://www.spiegel.de/thema/cia_folterbericht/
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  • Schluss mit sexistischer Berichterstattung
    Obwohl Sexismus und Diskriminierung von Frauen* in der heutigen Zeit ein präsentes Thema ist, wird in der Luzerner Medienlandschaft immer noch das generische Maskulinum verwendet. Das heisst, dass nach wie vor hauptsächlich männliche Formen in der Sprache verwendet werden, wobei bei allgemeinen Beschreibungen die weibliche Form mitgedacht werden soll. Die Verwendung des generischen Maskulinums prägt somit weiterhin patriarchale und heteronormative Rollenbilder.  Damit eine Gesellschaft frei von Diskriminierung und Beherrschung wachsen kann ist es wichtig, dass auch die Sprache und allen voran die Berichterstattung auf Diskriminierung verzichtet. Gendergerechte Sprache zeigt Wertschätzung gegenüber allen Menschen unabhängig ihres Geschlechts. So können auch andere Geschlechter oder Personen die sich nicht auf ein Geschlecht festlegen wollen einbezogen werden.
    154 of 2,000 Signatures
    Created by Loan Sommer