• Die alten SBB Ansagen sollen zurück kommen!
    Viele Reisende haben es bereits bemerkt. Seit Fahrplanwechsel hat die SBB nun auch in den Zügen die gleiche Stimme wie in den Bahnhöfen. Viele, die mit der SBB unterwegs waren, mussten diese neuen, auf TTS Technologie basierten, Ansagen ertragen. Ob einem die Stimme gefällt oder nicht, ist subjektiv. Jedoch brachte hier die SBB eine roboterhafte, unprofessionell klingende und mit starkem Zürideutsch-Akzent gefärbte Stimme in die Züge. Aber auch in den anderen Sprachen ist die Betonung der Orte falsch und es stockt. Die SBB hat eines ihrer besten Produkte in den Abfall geworfen, die Kundeninformation. Helft mir und den anderen Reisenden, damit man wieder angenehm und entspannt durch die Schweiz fahren kann.
    272 von 300 Unterschriften
    Gestartet von Fabian Keller
  • Kenzeichnungspflicht von KI Inhalten
    Um mehr Transparenz zu schaffen und Täuschung zu verhindern
    10 von 100 Unterschriften
    Gestartet von Thomas Grob
  • Für eine bessere Tonqualität im Radio
    Das Klangbild der allermeisten Radioprogramme ist heute ermüdend "dank" der Audiokompression, welche die Dynamik tötet. Für mehr Tonqualität, gegen die Audiokompression!
    28 von 100 Unterschriften
    Gestartet von Christian Brülhart
  • Stoppt die Medien, Menschen zu denunzieren
    Die Schweiz ist bekannt für ihre starken demokratischen Werte und ihren respektvollen Umgang mit den Grundrechten und -freiheiten der Bürger. Eines dieser fundamentalen Prinzipien, das im schweizerischen Recht und in der Verfassung verankert ist, lautet: "Die Menschenwürde ist unantastbar." Dieser Satz, der in der Präambel der schweizerischen Bundesverfassung verankert ist, unterstreicht die Wichtigkeit der Wahrung der Menschenwürde in der schweizerischen Gesellschaft. Er drückt aus, dass alle Menschen, unabhängig von ihrer Herkunft, ihrem sozialen Status, ihrer Religion oder ihrer Weltanschauung, in der Schweiz mit Respekt und Achtung behandelt werden müssen. Die Achtung der Menschenwürde ist nicht nur ein rechtliches Prinzip, sondern auch ein moralisches und ethisches Gebot. Die Schweiz hat sich verpflichtet, die Menschenwürde in allen Bereichen des Lebens zu schützen und zu fördern. Dies umfasst den Schutz vor Diskriminierung, Folter, unmenschlicher oder erniedrigender Behandlung sowie die Gewährleistung von fairen Verfahren und gleichen Rechten für alle. Die schweizerische Gesellschaft und ihre Institutionen sind bestrebt, die Menschenwürde in allen Bereichen zu wahren, sei es im Bildungssystem, im Gesundheitswesen, in der Arbeitswelt oder im Justizsystem. Die Schweiz hat auch internationale Abkommen und Verträge unterzeichnet, die die Achtung der Menschenwürde auf globaler Ebene fördern. Es ist wichtig anzumerken, dass die Betonung der Menschenwürde in der schweizerischen Verfassung nicht nur eine rechtliche Bestimmung ist, sondern auch einen starken kulturellen und gesellschaftlichen Einfluss hat. Die Schweizerinnen und Schweizer sind stolz auf ihre humanitären Traditionen und ihr Engagement für die Förderung der Menschenwürde weltweit. In einer Zeit, in der die Achtung der Menschenwürde in vielen Teilen der Welt infrage gestellt wird, bleibt die Schweiz ein leuchtendes Beispiel für ein Land, das diese Grundprinzipien hochachtet und schützt. Die Verankerung der Menschenwürde als unantastbares Prinzip in der Verfassung unterstreicht die Verpflichtung der Schweiz, die Rechte und die Würde jedes Einzelnen zu wahren und zu verteidigen.
    3 von 100 Unterschriften
    Gestartet von Johann Von der Heide Picture
  • Assez de journalisme à sensation mensonger !
    Les articles de presse sexistes et sans fondement ne sont pas nouveaux. On trouve également des articles sur l'étude dans les médias de Suisse romande, soutenus et alimentés par l'article de la Sonntagszeitung. Le débat sur l'égalité est mené de manière unilatérale dans les médias et est encore une fois traîné dans la boue juste avant le 14 juin, sur la base de contre-vérités. C'est pourquoi la qualité du journalisme doit être préservée, même pour les médias romands ! Vous trouverez ici notre plainte adressée au Conseil de la presse (en allemand) : https://uploads-campax.s3.eu-central-1.amazonaws.com/20230510_Beschwerde%20Presserat%20%281%29-1.png https://uploads-campax.s3.eu-central-1.amazonaws.com/20230510_Beschwerde%20Presserat%20%281%29-2.png https://uploads-campax.s3.eu-central-1.amazonaws.com/20230510_Beschwerde%20Presserat%20%281%29-3.png https://uploads-campax.s3.eu-central-1.amazonaws.com/20230510_Beschwerde%20Presserat%20%281%29-4.png La traduction de la plainte: Chers membres du Conseil de la presse Je dépose une plainte contre l'article "Umfrage an der ETH und Uni Zürich : Die meisten Studentinnen willst lieber einen erfolgreichen Mann als selber Karriere machen" de Rico Bandle, paru le 6 mai 2023 dans la Sonntagszeitung. L'article viole la directive 1.1 (recherche de la vérité). Exemple 1 : Le titre "La plupart des étudiantes préfèrent avoir un homme qui réussit plutôt que de faire carrière elles-mêmes" ne peut pas être déduit de l'étude en question comme une conclusion causale. Certes, 23% (dans les disciplines "féminines") et 28% (dans les disciplines "masculines") des étudiantes déclarent vouloir occuper un poste de direction avec des responsabilités en matière de personnel, tandis que 45% (dans les disciplines "féminines") et 32% (dans les disciplines "masculines") recherchent un partenaire avec des chances et des perspectives de carrière plus élevées. L'intersection de ces deux groupes n'a pas été calculée dans l'étude et ne peut pas représenter mathématiquement la majorité des étudiantes. De même, le titre suggère que le manque d'intérêt pour les postes de direction est corrélé au sexe, alors que l'étude montre que les postes de direction ne sont pas appréciés par la majorité des étudiants, indépendamment du sexe. Exemple 2 : "La principale raison de la direction au compte-gouttes (le fait empiriquement constaté que les femmes sont sous-représentées dans les postes supérieurs, ndlr) n'est pas la discrimination ou des conditions plus difficiles pour les mères, comme on le dit souvent, mais le fait que de nombreuses étudiantes n'ont pas ou peu d'ambitions de carrière". Ce que dit l'étude : 23% de toutes les femmes interrogées dans des "disciplines féminines" et 28% dans des "disciplines masculines" aspirent à un "poste de direction avec des responsabilités en matière de ressources humaines". Mais ce chiffre est également relativement bas chez les hommes, où 25% (dans les "matières féminines") et 35% (dans les "matières masculines") aspirent à un "poste de direction avec responsabilité de personnel". La différence entre les sexes est faible. (Annexe, Fig. 5) Une fois de plus, il est suggéré ici que les ambitions de carrière déduites de la présente étude ont un lien avec le sexe. Cela ne correspond pas à la vérité. Exemple 3 : "Leur (les femmes interrogées, ndlr) vision de la famille reste plutôt conservatrice : elles ont tendance à préférer un partenaire plus âgé et plus performant qu'elles". Ce que dit l'étude : 45% de toutes les femmes interrogées dans des "disciplines féminines" et 32% dans des "disciplines masculines" souhaitent avoir des partenaires* avec de meilleures perspectives de carrière. (Annexe, Fig. 8) Cela signifie qu'une nette majorité de femmes - 55% des femmes interrogées dans les "disciplines féminines" et 68% dans les "disciplines masculines" - souhaitent un partenaire qui a des perspectives de carrière aussi bonnes ou moins bonnes. En ne mentionnant pas qu'une majorité des deux sexes souhaitent un* partenaire avec des perspectives de carrière égales ou inférieures, on donne une image fausse et déséquilibrée. Exemple 4 : "Quand il y a des enfants, elles (les femmes interrogées, ndlr) veulent travailler à temps partiel, l'homme doit assurer le revenu principal à plein temps". Ce que dit l'étude : une nette minorité - 22% des répondantes dans les "matières féminines" et 34% dans les "matières masculines" - souhaitent que leur partenaire travaille à plein temps après avoir fondé une famille. Les valeurs comparatives pour les hommes : 16% des hommes dans les "matières féminines" (soit seulement 6% de moins que les femmes) et 27% dans les "matières masculines" (7% de moins) souhaitent un partenaire qui travaille à plein temps après avoir fondé une famille. (voir statistique 3, annexe) L'article donne l'image d'une majorité de femmes interrogées souhaitant un homme travaillant à plein temps. En réalité, il s'agit d'une minorité et l'affirmation de l'article est fausse. Je n'ai pas l'intention d'intenter une action en justice contre ce média.
    461 von 500 Unterschriften
    Gestartet von Campax - make change happen Picture
  • Basta con il giornalismo sensazionalista e falso!
    Gli articoli sessisti e infondati dei media non sono una novità. Articoli sullo studio si trovano anche nei media di lingua italiana, sostenuti e alimentati dall'articolo della Sonntagszeitung. Il dibattito sull'uguaglianza di genere è condotto in modo unilaterale dai media e viene trascinato nel fango ancora una volta poco prima del 14 giugno, sulla base di falsità. Ecco perché vale anche per i media in lingua italiana: il giornalismo di qualità deve essere preservato! Qui può trovare il nostro reclamo al Consiglio svizzero della Stampa (in tedesco): https://uploads-campax.s3.eu-central-1.amazonaws.com/20230510_Beschwerde%20Presserat%20%281%29-1.png https://uploads-campax.s3.eu-central-1.amazonaws.com/20230510_Beschwerde%20Presserat%20%281%29-2.png https://uploads-campax.s3.eu-central-1.amazonaws.com/20230510_Beschwerde%20Presserat%20%281%29-3.png https://uploads-campax.s3.eu-central-1.amazonaws.com/20230510_Beschwerde%20Presserat%20%281%29-4.png
    56 von 100 Unterschriften
    Gestartet von Campax - make change happen Picture
  • Genug von unwahrem Sensationsjournalismus!
    Dieser Fall ist nicht der erste von sexistischer, sensationsheischender Berichterstattung. Aber jetzt ist es genug! Hier die Detaillierten Ausführungen dazu, warum der Artikel den Richtlinien des Presserates widerspricht: Der Artikel verletzt die Richtlinie 1.1 (Wahrheitssuche). Beispiel 1: Der Titel «Die meisten Studentinnen wollen lieber einen erfolgreichen Mann, als selber Karriere machen» kann so kausal nicht als Schlussfolgerung aus der betreffenden Studie abgeleitet werden. Zwar geben 23% (in «Frauenfächern») bzw. 28% (in «Männerfächern») der Studentinnen an eine Führungsposition mit Personalverantwortung anzustreben, während 45% (in «Frauenfächern») bzw. 32% (in «Männerfächern») einen Partner mit höheren Karrierechancen und - aussichten suchen. Die Schnittmenge dieser beiden Gruppen ist in der Studie nicht berechnet worden und kann rechnerisch nicht die Mehrheit der Studentinnen abbilden. Ebenfalls wird mit dem Titel suggeriert, dass fehlendes Interesse an Führungspositionen mit dem Geschlecht korreliert, während die Studie aufzeigt, dass Führungspositionen beim Grossteil der Studierenden unbeliebt sind, unabhängig vom Geschlecht. Beispiel 2: «Der wichtigste Grund für die tröpfelnde Leitung (die empirisch feststellbare Tatsache, dass Frauen in höheren Positionen untervertreten sind, Anm. d. Verf.) sind nicht etwa Diskriminierung oder erschwerte Bedingungen für Mütter, wie oft gesagt wird, sondern dass viele Studentinnen keine oder nur geringe Karriereambitionen haben.» Was die Studie sagt: 23% aller weiblichen Befragten in «Frauenfächern» und 28% in «Männerfächern» streben eine «Führungsposition mit Personalverantwortung» an. Die Zahl ist bei Männern aber auch verhältnismässig tief, dort streben 25% (in «Frauenfächern») und 35% (in «Männerfächern») eine «Führungsposition mit Personalverantwortung» an. Der Geschlechterunterschied ist gering. (siehe Statistik 1, Anhang) Erneut wird hier suggeriert, dass die Karriereambitionen abgeleitet aus der vorliegenden Studie einen Bezug zum Geschlecht haben. Dies entspricht nicht der Wahrheit. Beispiel 3: «Ihr (die weiblichen Befragten, Anm. d. Verf.) Familienbild ist nach wie vor eher konservativ geprägt: Tendenziell bevorzugen sie einen Partner, der älter und erfolgreicher ist als sie.» Was die Studie sagt: 45% aller weiblichen Befragten in «Frauenfächern» und 32% in «Männerfächern» wünschen sich Partner*innen mit besseren Karriereaussichten. (siehe Statistik 2, Anhang) Das heisst eine deutliche Frauenmehrheit – 55% der weiblichen Befragten in «Frauenfächern» und 68% in «Männerfächern» – wünscht sich einen Partner, der gleich gute oder geringere Karriereaussichten hat. Indem nicht erwähnt wird, dass sich eine Mehrheit beider Geschlechter eine*n Partner*in mit gleichen oder geringeren Karrierechancen wünscht, wird ein falsches und unausgewogenes Bild vermittelt. Beispiel 4: «Wenn Kinder da sind, wollen sie (die weiblichen Befragten, Anm. d. Verf.) Teilzeit arbeiten, der Mann soll Vollzeit für das Haupteinkommen sorgen.» Was die Studie sagt: Eine klare Minderheit – 22% der weiblichen Befragten in «Frauenfächern» und 34% in «Männerfächern» – wünschen sich einen Partner, der nach der Familiengründung Vollzeit arbeitet. Die Vergleichswerte für Männer: 16% der Männer in «Frauenfächern» (also nur 6% weniger als bei den Frauen) und 27% in «Männerfächern» (7% weniger) wollen eine Partnerin, die nach der Familiengründung Vollzeit arbeitet. (siehe Statistik 3, Anhang) Im Artikel wird das Bild gezeichnet, dass eine Mehrheit der weiblichen Befragten sich einen Vollzeit arbeitenden Mann wünscht. Tatsächlich ist es eine Minderheit und die Aussage des Artikels falsch. Unsere Beschwerde an den Presserat: https://uploads-campax.s3.eu-central-1.amazonaws.com/20230510_Beschwerde%20Presserat%20%281%29-1.png https://uploads-campax.s3.eu-central-1.amazonaws.com/20230510_Beschwerde%20Presserat%20%281%29-2.png https://uploads-campax.s3.eu-central-1.amazonaws.com/20230510_Beschwerde%20Presserat%20%281%29-3.png https://uploads-campax.s3.eu-central-1.amazonaws.com/20230510_Beschwerde%20Presserat%20%281%29-4.png
    2.885 von 3.000 Unterschriften
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  • Petition: für eine Genossenschaft «Zurich Radio City Hall» (ZRCH)
    Zum Denkmalschutz des im Mai 1933 fertiggestellten Gebäudes am Brunnenhof gehört auch die bisherige Funktion der Räumlichkeiten im Sinne der «Erhaltung des kulturellen Erbes der Gründergeneration», also auch des immateriellen und der kulturellen Praxis gemäss zweier von der Schweiz ratifizierten Unesco Konventionen (UNESCO Convention on the Diversity of Cultural Expressions). Die bisherigen Studios, einzigartig in Dimension und Ausstattung, sollen «Stätten der Aufnahmepraxis» bleiben, mit Radioproduktionen, Audio-Aufnahmen, Film- und Medienmusik-Produktionen wie etwa in der «Synchron Stage Vienna» praktiziert, aber auch mit einer Ausstrahlung ins schweizerische Kulturleben: technisch und musikalisch innovativ, Film, Tanz und Theater zugewandt, offen gegenüber der erfolgreich wachsenden Kreativszene im Game- und Medien-Bereich. Neben den grossen Einheiten sind experimentelle Labors vorzusehen, welche jüngsten Soundforscher:innen angeboten werden können und Forschungsarbeiten ermöglichen. Dabei soll - so wie in Bremen die Kammerphilharmonie die Integration der nahegelegenen Schule in ihre musikalische Arbeit vor Ort vorangetrieben hat - ein enger Kontakt mit Schülerinnen und Schülern der Volkschule selbstverständlich und insbesondere mit der Musikschule MKZ gepflegt werden. Viele Fenster müssen da offen stehen und die Impulse gerade die ganz junge Generation erreichen. Tanz- und Bandevents bieten sich geradezu an. Die Förderung der jungen Szene und alle weiteren genannten Ziele setzen eine professionelle Leitung und Betreuung der komplexen Studioanlagen voraus. So kann ein nachhaltiges Projekt entwickelt werden, das auf drei Seiten hin - Pflege der Aufnahmekultur, Durchführung hochstehender Performances und musikpädagogische Ausnahmeleistungen - für Zürich neue Massstäbe setzt. «Aber schliesslich baute hier auch nicht wie in anderen Ländern der Staat, sondern eine [Radio]Genossenschaft. Das war auch in Bern und Basel so, wo andere Genossenschaften einige Jahre später ebenfalls solche eher kleinen und zweckmässigen Studios errichteten.» (aus "Zweck vor Prunk" – ein Blick in die Geschichte der SRG-Studios)
    1.706 von 2.000 Unterschriften
    Gestartet von Verein Forum Filmmusik
  • Demande d'allègement de la Loi LACI
    Pour éviter des états anxiogènes, de détresses psychologiques, voir même de suicides. Et faciliter la réintégration d'un emploi, de manière décente.
    4 von 100 Unterschriften
    Gestartet von Claude Jerôme Hofer
  • Suppression de l’article de censure pour la presse et les lanceur d'alerte
    Avec l'affaire „Suisse Secrets", publiée par des journaux de renommée internationale le 20 février 2022, des journalistes du monde entier ont révélé comment le Credit Suisse donne accès à des services bancaires à des politiciens corrompus, des trafiquants d'êtres humains et des criminel·le·s. [1a] Parmi les clients figurant dans les données examinées se trouvent des personnes originaires du Venezuela, d'Égypte, d'Ukraine et de Thaïlande. Ces pays sont depuis longtemps confrontés à des élites politiques et financières qui cachent leur fortune à l'étranger. [1b] Il est clair que de tels abus réduisent à néant les mesures de prévention contre le blanchiment d'argent et la corruption. C'est précisément pour cette raison qu'il est important que de telles irrégularités soient mises au jour et que de nouvelles lois et autorités de surveillance soient créées afin d'éviter de tels cas à l'avenir. Pour ce travail, les lanceurs d'alerte, qui attirent l'attention sur ces faits, et les médias, qui portent ces abus à la connaissance du grand public, jouent un rôle important. Contrairement au travail de recherche effectué pour les "Pandora Papers", aucun journaliste de Suisse n'a participé à l'enquête sur les "Suisse Secrets" [2]. En effet, depuis 2015 ils risquent en Suisse une procédure pénale et jusqu'à trois ans de prison s'ils écrivent sur des données bancaires divulguées. [3] C'est inacceptable. C'est pourquoi les journalistes doivent être exclus de l'article sur la censure. Sources et liens : [1a,b] 20.02.2022: The Guardian: https://www.theguardian.com/news/2022/feb/20/credit-suisse-secrets-leak-unmasks-criminals-fraudsters-corrupt-politicians?CMP=Share_AndroidApp_Other [2] 21.02.2022: Süddeutsche Zeitung: ​​https://www.sueddeutsche.de/wirtschaft/suisse-secrets-schweiz-pressefreiheit-bankgeheimnis-artikel-47-bankengeheimnis-bankkundengeheimnis-1.5532527?reduced=true [3] 20.02.2022: 20Minuten: https://amp.20min.ch/story/internationale-medien-berichten-ueber-dreckige-geschaefte-der-credit-suisse-837992909271
    160 von 200 Unterschriften
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  • Abolire l’articolo sulla censura per stampa e informatori/trici anonimi/e
    Con il caso "Suisse Secrets", pubblicato da giornali di fama internazionale il 20 febbraio 2022, giornalisti/e di tutto il mondo hanno rivelato come Credit Suisse dia accesso ai servizi bancari a politici corrotti, trafficanti di persone e criminali. [1a] Tra i clienti nei dati esaminati ci sono persone provenienti da Venezuela, Egitto, Ucraina e Thailandia. Questi paesi hanno lottato a lungo con le élite politiche e finanziarie che nascondono i loro beni all'estero. [1b] È chiaro che tali abusi minano le misure preventive contro il riciclaggio di denaro e la corruzione. Proprio per questo è importante che tali abusi vengano esposti e che vengano create nuove leggi e autorità di controllo per prevenire questi casi in futuro. Gli informatori e le informatrici anonimi/e che richiamano l'attenzione sulla tematica, e i media che portano questi abusi all'attenzione del pubblico giocano un ruolo importante. A differenza del lavoro di ricerca sui "Pandora Papers", nessun operatore/trice dei media svizzeri ha preso parte alla ricerca sul caso "Suisse Secrets" [2]. Questo perché dal 2015 sono stati/e minacciati/e di procedimenti penali e fino a tre anni di prigione in Svizzera se scrivessero riguardo ai dati bancari trapelati. [3] Questo è inaccettabile. Ecco perché operatori e operatrici dei media devono essere esclusi dall'articolo sulla censura. Fonti e link: [1a,b] 20.02.2022: The Guardian: https://www.theguardian.com/news/2022/feb/20/credit-suisse-secrets-leak-unmasks-criminals-fraudsters-corrupt-politicians?CMP=Share_AndroidApp_Other [2] 21.02.2022: Süddeutsche Zeitung: ​​https://www.sueddeutsche.de/wirtschaft/suisse-secrets-schweiz-pressefreiheit-bankgeheimnis-artikel-47-bankengeheimnis-bankkundengeheimnis-1.5532527?reduced=true [3] 20.02.2022: 20Minuten: https://amp.20min.ch/story/internationale-medien-berichten-ueber-dreckige-geschaefte-der-credit-suisse-837992909271
    24 von 100 Unterschriften
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  • Zensurartikel für Medienschaffende und Whistleblower abschaffen
    Mit den «Suisse Secrets», die am 20. Februar 2022 durch international renommierte Zeitungen publiziert wurden, haben Journalist:innen aus der ganzen Welt aufgezeigt, wie die Credit Suisse korrupten Politiker:innen, Menschenschmuggler:innen und Kriminellen Zugang zu Bankdienstleistungen gewährt. [1a] Zu den Kunden der untersuchten Daten zählen unter anderem Personen aus Venezuela, Ägypten, der Ukraine oder Thailand. Diese Länder haben seit langem schon mit politischen und finanziellen Eliten zu kämpfen, die ihr Vermögen im Ausland verstecken. [1b] Es ist eindeutig, dass solche Missstände die Präventionsmassnahmen gegen Geldwäscherei und Korruption zunichte machen. Genau deshalb ist es wichtig, dass solche Missstände aufgedeckt werden und neue Gesetze und Aufsichtsbehörden geschaffen werden, um solche Fälle in Zukunft zu vermeiden. Für diese Arbeit spielen Whistleblower, die darauf Aufmerksam machen und Medien, die diese Missstände an die breite Öffentlichkeit tragen, eine wichtige Rolle. Im Gegensatz zur Recherchearbeit bei den «Pandora Papers» haben sich bei den «Suisse Secrets» keine Medienschaffenden aus der Schweiz an der Recherche beteiligt [2], denn seit 2015 drohen ihnen in der Schweiz ein Strafverfahren und bis zu drei Jahre Gefängnis, wenn sie über geleakte Bankdaten schreiben. [3] Das ist nicht hinnehmbar. Darum müssen Medienschaffende vom Zensurartikel ausgeschlossen werden. Quellen und Links: [1a,b] 20.02.2022: The Guardian: https://www.theguardian.com/news/2022/feb/20/credit-suisse-secrets-leak-unmasks-criminals-fraudsters-corrupt-politicians?CMP=Share_AndroidApp_Other [2] 21.02.2022: Süddeutsche Zeitung: ​​https://www.sueddeutsche.de/wirtschaft/suisse-secrets-schweiz-pressefreiheit-bankgeheimnis-artikel-47-bankengeheimnis-bankkundengeheimnis-1.5532527?reduced=true [3] 20.02.2022: 20Minuten: https://amp.20min.ch/story/internationale-medien-berichten-ueber-dreckige-geschaefte-der-credit-suisse-837992909271
    4.723 von 5.000 Unterschriften
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