• CHAQUE FERME COMPTE – Stoppons la mort des exploitations !
    Le paysage agricole morcelé du pays se perd de plus en plus avec la mort des exploitations. En même temps, la surface moyenne par ferme a presque doublé. Des structures paysagères précieuses n’y ont plus leur place. Les agriculteur·trices doivent gérer des fermes toujours plus grandes de manière plus rationnelle pour pouvoir faire face au travail. Pourtant, une agriculture diversifiée avec de petites structures est cruciale pour la biodiversité et la lutte contre le changement climatique. Elle rend l’agriculture suisse globalement plus résistante. Bien qu’aujourd’hui la demande en exploitations soit bien plus grande que l’offre, les fermes continuent de disparaître. Ce changement structurel devrait même s’accélérer car la moitié des chef·fes d’exploitation atteindront l’âge de la retraite dans les 15 prochaines années. Pour un approvisionnement résistant aux crises et une agriculture respectueuse de l’environnement et du climat, ce n’est pas moins de paysan·nes qu’il nous faut, mais le plus possible.
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    Gestartet von Kleinbauern Vereinigung / Association des petits paysans / Associazione dei piccoli contadini Picture
  • INFORAMA Bio-Schule retten
    1. Die Schliessung der Bio-Schule hätte einen grossen Qualitätsverlust zur Folge für Personen, die eine vertiefte Bioausbildung suchen. 2. Die Herausforderungen (Boden, Biodiversität, Energie und Ernährung) sind riesig. Es braucht Bildungsstätten, welche diese Themen vorausgehend bearbeiten. Wir wollen nicht in Kauf nehmen, dass die schweizweit raren Bio-Ausbildungsangebote weiter geschwächt werden. 3. Eine erfolgreiche biologische Landwirtschaft braucht sehr viel Wissen und Praxiserfahrung. Dafür braucht es spezialisierte Bildungszentren mit Lehrpersonen deren Herz für den Biolandbau schlägt. 4. Der Schwand in Münsingen ist das einzige landwirtschaftliche Bildungszentrum im Kanton Bern mit einem Biobetrieb in nächster Nähe. Das Gebiet rund um den Schwand zeichnet sich aus durch viele innovative Biobetriebe, die die Ausbildung wesentlich mitprägen. 5. Die pflanzliche Ernährung gewinnt an Bedeutung. Das Wissen um den Anbau und die Verarbeitung verschiedenster Nutzpflanzen muss aufgebaut werden. Viele Biobetriebe sind in diesem Bereich besonders aktiv. 6. Das grosse Interesse an einer Bio-Ausbildung, die stetige Zunahme von biologisch geführten Betrieben und die wachsenden Forderungen nach nachhaltigen Lebensmitteln seitens der Konsumenten zeigt, es braucht einen Ausbau und eine Stärkung der Ausbildungsangebote im Bereich Biolandbau.
    3.518 von 4.000 Unterschriften
    Gestartet von Ehemaligenverein Schwand-Bäregg
  • JEDER HOF ZÄHLT – Jetzt das Hofsterben stoppen!
    Die kleinteilige Agrarlandschaft in der Schweiz geht mit dem Hofsterben immer mehr verloren. gleichzeitig hat sich die durchschnittliche Fläche pro Hof nahezu verdoppelt. Wertvolle Strukturen in der Landschaft haben da keinen Platz. Denn Landwirt:innen müssen die immer grösseren Höfe rationeller bewirtschaften, um die Arbeit noch bewältigen zu können. Doch eine kleinstrukturierte und vielfältige Landwirtschaft ist für die Biodiversität und im Kampf gegen den Klimawandel entscheidend und macht die Schweizer Landwirtschaft insgesamt widerstandsfähiger. Obwohl die Nachfrage nach Höfen viel grösser ist als das aktuelle Angebot, geht das Hofsterben weiter. Der Strukturwandel dürfte sich sogar beschleunigen, da in den nächsten 15 Jahren die Hälfte aller Betriebsleitenden das Pensionsalter erreichen. Für eine krisenresistente Versorgung und eine umwelt- und klimagerechte Landwirtschaft braucht es nicht weniger, sondern möglichst viele Bäuerinnen und Bauern.
    11.683 von 15.000 Unterschriften
    Gestartet von Kleinbauern Vereinigung / Association des petits paysans / Associazione dei piccoli contadini Picture
  • AgriCo OUI - Abattoir NON MERCI !
    Le site AgriCo nous est présenté comme un site durable, dédié à l'innovation, mais un abattoir géant visant à augmenter la production de poulet en Suisse ne l'est pas: - le fourrage des poulets est importé de l'étranger, et contribue à la destruction d'écosystèmes uniques, brûlés pour cultiver du soja; - la consommation de viande par habitant-e diminue depuis plus de 30 ans en Suisse, ce qui est nécessaire à la diminution d'émission de gaz à effet de serre. Selon les prédictions du GIEC, si nous ne réduisons pas la part de produits animaux dans notre alimentation, les changements climatiques conduiront à des pénuries de nourriture - et également de fourrage pour le poulet - qui réduiront les places de travail dans ce système de production. Ainsi, cet énorme abattoir pourrait bien être abandonné moins de 10 ans après sa construction. Comment cela peut- il être durable ? En outre, il occuperait ~1/3 de la surface industrielle du site AgriCo , au détriment d'autres entreprises véritablement innovantes et permettant l'adaptation à la crise climatique en terre (permaculture, etc.).
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    Gestartet von EcoTransition La Broye
  • Demande d'allègement de la Loi LACI
    Pour éviter des états anxiogènes, de détresses psychologiques, voir même de suicides. Et faciliter la réintégration d'un emploi, de manière décente.
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    Gestartet von Claude Jerôme Hofer
  • Non vogliamo cibo geneticamente modificato!
    Attualmente ci sono sforzi per assicurare che i nuovi processi di ingegneria genetica non siano più soggetti alla moratoria sull'ingegneria genetica e siano esclusi dalla legge federale sull'ingegneria genetica se non introducono negli organismi geni estranei alla specie. Con ogni probabilità, i prodotti ottenuti da tali processi non dovrebbero quindi essere dichiarati come geneticamente modificati. Migros & Coop sono membri dell'associazione “Stratégie qualité de l’agriculture et de la filiére alimentaire suisses” che, tra le altre cose, sostiene la rinuncia all'uso di organismi geneticamente modificati e si impegna per un'informazione obiettiva dei consumatori e delle consumatrici. [1] Allo stesso tempo, Coop & Migros fanno parte della neonata alleanza "Les variétés de demain", che sostiene gli sforzi per assicurare che i nuovi metodi di ingegneria genetica come l'editing del genoma non siano più soggetti alla rigida moratoria sugli OGM. [2] Questa è una contraddizione e mostra che Coop & Migros vogliono tenersi tutte le porte aperte invece di prendere sul serio i desideri dei loro e delle loro clienti. L'ingegneria genetica rimane ingegneria genetica. I nuovi metodi di ingegneria genetica vengono spesso presentati come più precisi e più sicuri dei vecchi metodi. Tuttavia, comportano gli stessi rischi. Anche con le tecniche di editing genetico, c'è il rischio di mutazioni indesiderate con conseguenze imprevedibili per gli esseri umani e la natura. Inoltre, il contributo dei nuovi organismi geneticamente modificati alla sostenibilità è pura speculazione e i potenziali benefici di queste nuove tecniche non sono stati dimostrati. [3] Sulla base di un'analisi della situazione effettuata dal DATEC e dal DEFR, il Consiglio federale è giunto alla conclusione già nel novembre 2018 che i nuovi metodi sono da considerare tecniche di ingegneria genetica e sono quindi soggetti alla legge federale sull'ingegneria genetica. [4] Fonti: [1] https://www.qualitaetsstrategie.ch/it/ [2] https://sortenfuermorgen.ch/ [3] https://demeter.ch/keine-gentechnik-durch-die-hintertuer/ [4] https://www.admin.ch/gov/it/pagina-iniziale/documentazione/comunicati-stampa.msg-id-84232.html
    364 von 400 Unterschriften
    Gestartet von Campax Picture
  • Pas d'OGM par la petite porte !
    Des efforts sont menés actuellement, pour que les techniques de génie génétique ne soient plus soumises au moratoire sur la culture commerciale d’OGM et écartés de la Loi sur le génie génétique lorsqu’aucun gène étranger à l’espèce n’est introduit. Les produits fabriqués à partir de ces techniques ne devraient très probablement pas être étiquetés comme génétiquement modifiés. Coop & Migros sont membres de l’association ‘Stratégie qualité de l’agriculture et de la filière alimentaire Suisses’, qui s’engage entre autres pour que l’on renonce à la modification génétique et pour que les consommateur·rice·s soient informé·e·s de manière objective. [1] Mais au même moment, Coop & Migros font partie de l’alliance nouvellement fondée « Les variétés de demain », qui soutient les efforts pour que les nouvelles techniques de génie génétique comme l’édition génomique ne soient plus soumises au moratoire sur les OGM. [2] Cette contradiction montre que Coop & Migros souhaitent se garder toutes les portes ouvertes, au lieu de prendre au sérieux la volonté des consommateur·rice·s. Les OGM sont et resteront des OGM. Les nouvelles techniques de génie génétique sont souvent présentées comme plus précises et plus sûres que les anciennes. Pourtant, elles comportent les mêmes risques. Les techniques d’édition génomique sont encore plus puissantes que les anciennes et permettent de modifier profondément les organismes de manière plus rapide. De plus les modifications non désirées sont fréquentes. La loi sur le génie génétique est le seul cadre légal qui permet d’évaluer ces nouveaux OGM et de garantir l’étiquetage. Ces nouveaux OGM n’apporteront rien à la durabilité de l’agriculture. Elles permettront sont intensification tout en accentuant le brevetage du vivant. [3] Sur la base d’une analyse du DETEC et du DEFR, le Conseil fédéral avait déjà estimé en novembre 2018 que ces nouvelles technologies génétiques devaient être considérées comme des techniques de modification génétique et qu’elles entraient par conséquent dans le champ d’application de la Loi sur le génie génétique. [4] Sources: [1] https://www.qualitaetsstrategie.ch/fr [2] https://sortenfuermorgen.ch/fr [3] https://www.keine-neue-gentechnik.ch/fr/techniques/nouvelles-techniques-de-modification-genetique [4] https://www.admin.ch/gov/fr/accueil/documentation/communiques.msg-id-84232.html
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    Gestartet von Campax Picture
  • Wir wollen kein Gentech-Food!
    Derzeit gibt es Bestrebungen, dass neue gentechnische Verfahren nicht mehr dem Gentech-Moratorium unterliegen und aus dem Gentechnikgesetz ausgeklammert werden, wenn sie keine artfremden Gene in die Organismen einbringen. Die aus solchen Verfahren erzeugten Produkte müssten mit grosser Wahrscheinlichkeit dann nicht als gentechnisch verändert deklariert werden. Migros & Coop sind Mitglied des Vereins ‘Qualitätsstrategie der Schweizer Land- und Ernährungswirtschaft’, der sich unter anderem dafür einsetzt, dass auf die Verwendung von gentechnisch veränderten Organismen verzichtet wird und sich für die objektive Information der Konsument:innen einsetzt. [1] Gleichzeitig sind Coop & Migros Teil der neu gegründeten Allianz «Sorten für morgen», die Bestrebungen unterstützt, dass neue gentechnische Verfahren wie das Genom-Editing nicht mehr unter das strikte Gentech-Moratorium fallen. [2] Dies ist ein Widerspruch und zeigt, dass sich Coop & Migros alle Türen offenhalten wollen, anstatt die Wünsche ihrer Kund:innen ernst zu nehmen. Gentechnik bleibt Gentechnik. Neue gentechnische Verfahren werden oft als präziser und sicherer dargestellt als alte Methoden. Sie bergen jedoch dieselben Risiken. Auch mit Gene-Editing-Techniken besteht die Gefahr ungewollter Mutationen mit unvorhersehbaren Folgen für Mensch und Natur. Der Beitrag der neuen gentechnisch veränderten Organismen zur Nachhaltigkeit ist zudem reine Spekulation, die potenziellen Vorteile dieser neuen Techniken sind nicht nachgewiesen. [3] Auf der Grundlage einer vom UVEK und dem WBF durchgeführten Situationsanalyse gelangte der Bundesrat bereits im November 2018 zur Einschätzung, dass die neuen Methoden als gentechnische Verfahren zu betrachten sind und somit dem Gentechnikgesetz unterstehen. [4] Quellen: [1] https://www.qualitaetsstrategie.ch/ [2] https://sortenfuermorgen.ch/ [3] https://demeter.ch/keine-gentechnik-durch-die-hintertuer/ [4] https://www.fedlex.admin.ch/eli/fga/2021/1655/de
    12.046 von 15.000 Unterschriften
    Gestartet von Campax Picture
  • Promouvoir l'agroécologie - en Suisse et dans le monde entier
    Les politiciens et la société s'accordent à dire qu'il est urgent de changer notre économie agricole et alimentaire. Nous avons besoin d'une alimentation saine pour tous, produite dans le respect de l'environnement et du bien-être des animaux et offrant des salaires équitables pour tous. Ce changement est essentiel pour atteindre les objectifs de développement durable (ODD) des Nations unies dans le monde entier. L'agroécologie [1] est une approche prometteuse pour y parvenir. Elle permet de passer d'une politique agricole étroite axée sur la production alimentaire à une politique alimentaire globale. L'agroécologie combine la pensée scientifique et les connaissances locales. De cette manière, elle assure la sécurité alimentaire, préserve les ressources naturelles et la biodiversité, et améliore les moyens de subsistance. L'agroécologie reconnaît que les systèmes agricoles sont divers et complexes. Il vise à conserver les semences locales et les races de bétail, à améliorer la fertilité des sols et leur capacité de rétention d'eau. Les nutriments et l'énergie doivent être réutilisés dans l'exploitation au lieu de dépendre d'apports extérieurs. Elle doit être à la fois productive et respectueuse de l'environnement. L'agroécologie met l'accent sur l'accès sécurisé à la terre, une alimentation saine et durable et un travail décent. Elle place les droits des agriculteurs et des consommateurs au centre et promeut la justice sociale. La Suisse officielle joue un rôle important au niveau international dans la promotion de l'agroécologie. Elle soutient activement le programme décennal de la FAO et du PNUE [2] visant à promouvoir des modes de consommation et de production durables et participe activement à la création d'une plateforme sur les approches agroécologiques dans la recherche agricole internationale. Le rapport Money Flow de Biovision et iPES Food [3] a révélé que la majorité des projets de recherche soutenus par la Suisse au niveau international dans le domaine de l'agriculture contiennent des éléments agroécologiques. Lors du Sommet du système alimentaire de l'ONU en septembre de cette année, la Suisse s'est engagée à changer de cap en se basant sur les principes de l'agroécologie. Dans son discours au sommet, le président Guy Parmelin a explicitement reconnu la promotion de l'agroécologie dans la coopération internationale de la Suisse [4]. Il a souligné qu'en plus des innovations technologiques, des innovations sociales et politiques sont également nécessaires, par exemple dans la coopération entre les consommateurs et les agriculteurs. En outre, la Suisse est l'un des premiers signataires d'une coalition de gouvernements et d'organisations [5] récemment créée, qui vise à renforcer les approches agroécologiques dans la recherche, la politique et les investissements au cours des prochaines années. Cependant, cet engagement clair en faveur de l'agroécologie n'a pas encore trouvé sa place dans la politique suisse. [1] https://www.biovision.ch/fr/actualites/dossier-agroecologie/ [2] https://www.blw.admin.ch/blw/de/home/international/nachhaltigkeit/nachhaltige-ernaehrungssysteme/10yfp-sustainable-food-systems-programme.html [3] https://www.agroecology-pool.org/MoneyFlowsreport/ [4] https://www.admin.ch/gov/de/start/dokumentation/medienmitteilungen.msg-id-85198.html [5] https://foodsystems.community/?attachment=12113&document_type=document&download_document_file=1&document_file=815
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    Gestartet von Agroecology Works! Picture
  • Promuovere l'agroecologia - in Svizzera e nel mondo
    I politici e la società concordano sul fatto che abbiamo urgente bisogno di cambiare la nostra economia agricola e alimentare. Abbiamo bisogno di cibo sano per tutti, prodotto in un modo che rispetti l'ambiente e il benessere degli animali e che fornisca salari equi per tutti. Questo cambiamento è fondamentale per raggiungere gli obiettivi di sviluppo sostenibile (SDGs) delle Nazioni Unite in tutto il mondo. L'agroecologia [1] è un approccio promettente per raggiungere questo obiettivo. Espande la prospettiva da una politica agricola ristretta focalizzata sulla produzione di cibo a una politica alimentare globale. L'agroecologia combina il pensiero scientifico e il sapere locale. In questo modo, assicura il cibo, preserva le risorse naturali e la biodiversità e migliora i mezzi di sussistenza. L'agroecologia riconosce che i sistemi agricoli sono diversi e complessi. Cerca di conservare le sementi e le razze di bestiame locali, di migliorare la fertilità del suolo e la capacità di trattenere l'acqua. I nutrienti e l'energia dovrebbero essere riutilizzati nella fattoria invece di dipendere da input esterni. Dovrebbe essere produttivo e rispettoso dell'ambiente. L'agroecologia pone l'accento sull'accesso sicuro alla terra, sul cibo sano e sostenibile e sul lavoro dignitoso. Mette al centro i diritti degli agricoltori e dei consumatori e promuove la giustizia sociale. La Svizzera gioca un ruolo importante a livello internazionale nella promozione dell'agroecologia. Sostiene attivamente il programma decennale della FAO e dell'UNEP [2] per promuovere modelli di consumo e produzione sostenibili, ed è attivamente coinvolta nella costruzione di una piattaforma sugli approcci agroecologici nella ricerca agricola internazionale. Il Money Flow Report di Biovision e iPES Food [3] hanno rivelato che la maggior parte dei progetti di ricerca sostenuti dalla Svizzera a livello internazionale nel campo dell'agricoltura contengono elementi agroecologici. Al vertice dell'ONU sul sistema alimentare, nel settembre di quest'anno, la Svizzera si è impegnata in un cambiamento di rotta basato su principi agro-ecologici. Nel suo discorso al vertice, il presidente Guy Parmelin ha esplicitamente riconosciuto la promozione dell'agroecologia nella cooperazione internazionale della Svizzera [4]. Ha sottolineato che oltre alle innovazioni tecnologiche, sono necessarie anche innovazioni sociali e politiche, per esempio nella cooperazione tra consumatori e agricoltori. Inoltre, la Svizzera è uno dei primi firmatari di una nuova coalizione di governi e organizzazioni [5] che mira a rafforzare gli approcci agroecologici nella ricerca, nella politica e negli investimenti nei prossimi anni. Tuttavia, questo chiaro impegno per l'agroecologia non ha ancora trovato la sua strada nella politica svizzera. [1] https://www.biovision.ch/aktuelles/dossier-agraroekologie/ [2] https://www.blw.admin.ch/blw/de/home/international/nachhaltigkeit/nachhaltige-ernaehrungssysteme/10yfp-sustainable-food-systems-programme.html [3] https://www.agroecology-pool.org/MoneyFlowsreport/ [4] https://www.admin.ch/gov/de/start/dokumentation/medienmitteilungen.msg-id-85198.html [5] https://foodsystems.community/?attachment=12113&document_type=document&download_document_file=1&document_file=815
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    Gestartet von Agroecology Works! Picture
  • Agrarökologie fördern – in der Schweiz und weltweit
    Politik und Gesellschaft sind sich einig darin: Wir müssen unsere Land- und Ernährungswirtschaft dringend verändern. Wir brauchen gesunde Nahrung für alle, produziert in einer Weise, die Umwelt und Tierwohl respektiert sowie allen einen fairen Lohn ermöglicht. Diese Veränderung ist weltweit zentral um die Nachhaltigkeitsziele der UNO (SDGs) zu erreichen. Agrarökologie [1] ist ein vielversprechender Ansatz um dies zu erreichen. Sie öffnet den Blick von einer engen, auf die Produktion von Nahrungsmitteln fokussierten Landwirtschafts- auf eine umfassende Ernährungspolitik. Agrarökologie vereint wissenschaftliches Denken und lokales Wissen. So sichert sie die Ernährung, schont die natürlichen Lebensgrundlagen und die biologische Vielfalt, und verbessert den Lebensunterhalt. Die Agrarökologie anerkennt, dass die landwirtschaftlichen Systeme vielfältig und komplex sind. Sie will lokales Saatgut und lokale Tierrassen erhalten, die Bodenfruchtbarkeit und die Wasseraufnahmefähigkeit verbessern. Nährstoffe und Energie sollen auf dem Bauernhof wiederverwendet werden, anstatt von externen Einträgen abhängig zu sein. Sie soll sowohl produktiv als auch umweltschonend sein. Die Agrarökologie legt hohes Gewicht auf einen gesicherten Zugang zu Land, auf gesunde und nachhaltige Lebensmittel und auf menschenwürdige Arbeit. Sie stellt die Rechte der Bäuerinnen und Bauern und der Konsumentinnen und Konsumenten ins Zentrum und fördert die soziale Gerechtigkeit. Die offizielle Schweiz spielt international eine wichtige Rolle in der Förderung der Agrarökologie. Sie unterstützt aktiv das 10-Jahres Programm zur Förderung nachhaltiger Konsum- und Produktionsmuster von FAO und UNEP [1] und beteiligt sich aktiv am Aufbau einer Plattform zu agrarökologischen Ansätzen in der internationalen Agrarforschung. Der Money Flow Bericht von Biovision und iPES Food [2] brachte hervor, dass die Mehrheit der von der Schweiz international unterstützen Forschungsprojekte im Bereich Landwirtschaft agrarökologische Elemente enthält. Am UNO-Ernährungssystemgipfel im September dieses Jahres engagierte sich die Schweiz für einen Kurswechsel auf Basis agrarökologischer Grundsätze. Bundespräsident Guy Parmelin bekannte sich in seiner Ansprache am Gipfel ausdrücklich zur Förderung der Agrarökologie in der internationalen Zusammenarbeit der Schweiz [3]. Er betonte, dass es neben den technologischen Innovationen auch solche auf gesellschaftlicher und politischer Ebene bedarf, beispielsweise in der Zusammenarbeit zwischen Konsument*innen und Bäuer*innen. Zudem ist die Schweiz unter den erstunterzeichnenden Staaten einer neu gegründeten Koalition [4] von Regierungen und Organisationen, die in den kommenden Jahren agrarökologische Ansätze in Forschung, Politik und bei Investitionen stärken will. In der Schweizer Politik ist dieses klare Bekenntnis zur Agrarökologie aber noch nicht angekommen. [1] https://www.biovision.ch/aktuelles/dossier-agraroekologie/ [2] https://www.blw.admin.ch/blw/de/home/international/nachhaltigkeit/nachhaltige-ernaehrungssysteme/10yfp-sustainable-food-systems-programme.html [3] https://www.agroecology-pool.org/MoneyFlowsreport/ [4] https://www.admin.ch/gov/de/start/dokumentation/medienmitteilungen.msg-id-85198.html [5] https://foodsystems.community/?attachment=12113&document_type=document&download_document_file=1&document_file=815
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    Gestartet von Agroecology Works! Picture
  • Für bessere Arbeitsbedingungen von landwirtschaftlichen Angestellten
    Darum ist deine Unterschrift wichtig: Die landwirtschaftliche Produktion in der Schweiz wird zu über 25 Prozent von familienfremden Arbeitskräften ausgeführt. Die Industrialisierung der Landwirtschaft verlangt immer mehr Angestellte, besonders im Bereich des Gemüsebaus. Die saisonalen Arbeitskräfte sind zumeist Migrant*innen und ihre Arbeitsbedingungen sind höchst prekär. Signalwirkung auf andere Kantone: Die meisten Kantone erlauben 50 und mehr wöchentliche Arbeitsstunden. Bern und Zürich sind mit 55 Wochenstunden zwei grosse Kantone mit einer gewichtigen landwirtschaftlichen Produktion. Die Verbesserung der Arbeitsbedingungen in diesen zwei Kantonen würde eine Signalwirkung auf alle anderen Kantone haben, denn die Arbeitsbedingungen sind kantonal geregelt und die verantwortlichen Politiker*innen haben sich bisher stets einer nationalen Regelung entgegengestellt. Gesundheitsprävention: Lange Arbeitszeiten schaden der Gesundheit und erhöhen die Unfallgefahren. Aus diesen Gründen hat der Kanton Genf bereits 2013 die Arbeitszeit im Landwirtschaftssektor auf 45 Wochenstunden reduziert. Gerechte Entlöhnung: Der aktuelle, unverbindliche und empfohlene monatliche Mindestlohn in den meisten Kantonen beträgt in der Landwirtschaft 3’300 Franken pro Monat. Dies ist die Hälfte des Schweizer Medianlohns (2018: 6’538 Franken brutto). Ein Mindestlohn von 4’000 Franken für Landarbeiter*innen ist immer noch bescheiden - in Anbetracht der harten Arbeit und der langen Arbeitszeit. Wir fordern, dass Bauern und Bäuerinnen, Landarbeiter und Landarbeiterinnen gerecht entlohnt werden. Gesetzlicher Schutz der Landarbeiter*Innen: Die Landwirtschaft ist vom Arbeitsgesetz ausgenommen (wie auch die Arbeit in Privathaushalten), was die Landarbeiter*innen eines bedeutenden gesetzlichen Schutzes beraubt. Wir fordern deshalb: Die Landarbeit wie die Hauswirtschaft müssen dem Arbeitsgesetz unterstellt werden. Die Schweiz hat am 17. Dezember 2018 die wegweisende UN-Deklaration zum Schutz der Rechte von Bauernfamilien und anderen Menschen, die auf dem Land arbeiten (UNDROP), gutgeheissen. Die Petition ist ganz im Sinne der UN-Deklaration. Landarbeiter*innen sind für die Lebensmittelproduktion unersetzlich: Ohne Landarbeiter*innen kein gesundes Gemüse und Getreide, keine frische Milch und Früchte!
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    Gestartet von Jelena Filipovic