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An: Le Parlement suisse
« Ma Santé – Mon Choix ! »
Signez la pétition « Ma santé – Mon choix ! » pour qu’en Suisse :
• L’interruption de grossesse soit supprimée du code pénal et qu’elle soit considérée avant tout comme une question de santé ;
• L’autodétermination des personnes concernées soit garantie afin qu’elles aient le droit de faire leurs propres choix pour leur santé.
• L’interruption de grossesse soit supprimée du code pénal et qu’elle soit considérée avant tout comme une question de santé ;
• L’autodétermination des personnes concernées soit garantie afin qu’elles aient le droit de faire leurs propres choix pour leur santé.
Warum ist das wichtig?
Parce que l'égalité ne tombe pas du ciel. Le mouvement féministe le sait depuis bien longtemps. Tous les progrès sont le résultat de la longue et dure lutte des féministes nous ayant précédés. De l'obtention du droit de vote, à l'introduction de l'assurance maternité, en passant par l'interdiction du viol dans le cadre du mariage, tout leur revient.
Le régime du délai permet des avortements jusqu'à la 12e semaine de grossesse. Un droit fondamental qui permet aux femmes de choisir leur vie en toute liberté. Le renversement de l’arrêt Roe vs Wade aux États-Unis prive des millions de femmes de l’accès à des avortements sûrs. Les opposants à l'avortement ont partout le vent en poupe. Tel est également le cas en Suisse. Des initiatives populaires ont récemment été lancées pour limiter nos droits fondamentaux. Les participants apparaissent, dans diverses enquêtes menées par les médias, majoritairement d’accord avec les initiatives, mais ces tendances sont dangereuses.
Elles font partie du backlash actuellement en cours dans le domaine de l’égalité. Nos demandes d’amélioration du droit pénal en matière sexuelle, du travail de soins non rémunéré ou encore des salaires sont ignorées. Au contraire, la réalité de la vie des femmes se détériore, par exemple par le recul de l'âge de la retraite, et nos droits fondamentaux sont réduits par la limitation des droits à l'avortement.
Les développements tels que l'interdiction de l'avortement aux États-Unis vous mettent-ils en colère? Vous font-ils également de la peine? Vous sentez-vous impuissant·e? Nous pouvons éviter ces régressions, ensemble! Nous devons pour cela nous rassembler et nous organiser. Montrons maintenant aux forces régressives que nous sommes toujours plus nombreux. Unissons-nous pour que tout un chacun puisse librement prendre ses propres décision relatives à son corps.
Votre corps n'est pas une affaire d'État. Votre intégrité physique et mentale vous regarde! Personnellement! Alors signez maintenant cet appel pour faire comprendre aux opposants à l'avortement qu'il ne doit pas y avoir de régression!
_______________
La Conseillère nationale Léonore Porchet, présidente de SANTÉ SEXUELLE SUISSE (SSCH), a déposé une initiative parlementaire pour demander que l’avortement soit avant tout considéré comme une question de santé et non plus comme une affaire pénale.
« La Suisse doit participer au mouvement qui garantit l’accès à l’avortement. En le sortant du code pénal, elle serait du bon côté de l’histoire », explique Léonore Porchet.
Avec SANTÉ SEXUELLE SUISSE (SSCH), nous appuyons l'initiative parlementaire de Léonore Porchet et montrons aux décideur·ses politiques suisses que nous sommes nombreux à être du même avis : Des mesures concrètes doivent être mises en place pour lever les obstacles existants et ainsi améliorer l’accès à l’avortement.
Le régime du délai permet des avortements jusqu'à la 12e semaine de grossesse. Un droit fondamental qui permet aux femmes de choisir leur vie en toute liberté. Le renversement de l’arrêt Roe vs Wade aux États-Unis prive des millions de femmes de l’accès à des avortements sûrs. Les opposants à l'avortement ont partout le vent en poupe. Tel est également le cas en Suisse. Des initiatives populaires ont récemment été lancées pour limiter nos droits fondamentaux. Les participants apparaissent, dans diverses enquêtes menées par les médias, majoritairement d’accord avec les initiatives, mais ces tendances sont dangereuses.
Elles font partie du backlash actuellement en cours dans le domaine de l’égalité. Nos demandes d’amélioration du droit pénal en matière sexuelle, du travail de soins non rémunéré ou encore des salaires sont ignorées. Au contraire, la réalité de la vie des femmes se détériore, par exemple par le recul de l'âge de la retraite, et nos droits fondamentaux sont réduits par la limitation des droits à l'avortement.
Les développements tels que l'interdiction de l'avortement aux États-Unis vous mettent-ils en colère? Vous font-ils également de la peine? Vous sentez-vous impuissant·e? Nous pouvons éviter ces régressions, ensemble! Nous devons pour cela nous rassembler et nous organiser. Montrons maintenant aux forces régressives que nous sommes toujours plus nombreux. Unissons-nous pour que tout un chacun puisse librement prendre ses propres décision relatives à son corps.
Votre corps n'est pas une affaire d'État. Votre intégrité physique et mentale vous regarde! Personnellement! Alors signez maintenant cet appel pour faire comprendre aux opposants à l'avortement qu'il ne doit pas y avoir de régression!
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La Conseillère nationale Léonore Porchet, présidente de SANTÉ SEXUELLE SUISSE (SSCH), a déposé une initiative parlementaire pour demander que l’avortement soit avant tout considéré comme une question de santé et non plus comme une affaire pénale.
« La Suisse doit participer au mouvement qui garantit l’accès à l’avortement. En le sortant du code pénal, elle serait du bon côté de l’histoire », explique Léonore Porchet.
Avec SANTÉ SEXUELLE SUISSE (SSCH), nous appuyons l'initiative parlementaire de Léonore Porchet et montrons aux décideur·ses politiques suisses que nous sommes nombreux à être du même avis : Des mesures concrètes doivent être mises en place pour lever les obstacles existants et ainsi améliorer l’accès à l’avortement.