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An: Barbara Janom Steiner, présidente du conseil de banque de la Banque nationale suisse
Faire enquêter de manière indépendante sur le sexisme au sein de la BNS
Deutsche Version 🇩🇪: act.campax.org/p/snb-sexismus
Versione italiana 🇮🇹: act.campax.org/p/bns-sessismo
Nous demandons à Mme Janom-Steiner, en tant que présidente du conseil de banque, d’ouvrir immédiatement une enquête indépendante sur les allégations de discrimination salariale, d’intimidation et de sexisme généralisés à la Banque nationale suisse.
Le conseil de banque, dirigé par l’ancienne conseillère de gouvernement Barbara Janom-Steiner, a pour tâche de contrôler le respect des lois et des directives. Le conseil de banque ne peut pas laisser au conseil de direction le soin d’enquêter sur ces allégations.
Versione italiana 🇮🇹: act.campax.org/p/bns-sessismo
Nous demandons à Mme Janom-Steiner, en tant que présidente du conseil de banque, d’ouvrir immédiatement une enquête indépendante sur les allégations de discrimination salariale, d’intimidation et de sexisme généralisés à la Banque nationale suisse.
Le conseil de banque, dirigé par l’ancienne conseillère de gouvernement Barbara Janom-Steiner, a pour tâche de contrôler le respect des lois et des directives. Le conseil de banque ne peut pas laisser au conseil de direction le soin d’enquêter sur ces allégations.
Warum ist das wichtig?
Les allégations sont graves, les personnes impliquées sont nombreuses. La semaine dernière, la nouvelle selon laquelle la Banque nationale suisse souffre de graves problèmes dans le domaine de la discrimination sexuelle a fait l’effet d’une bombe. [1]
Le directeur de la BNS, Thomas Jordan, lui-même un conservateur convaincu, réfute ces accusations : il n’y a pas de discrimination systématique à la Banque nationale suisse, il s’agit surement de cas isolés. Le conseil de banque, l’organe de surveillance du conseil de direction, a annoncé qu’il n’avait rien à ajouter et a soutenu l’équipe de direction pourtant critiquée.
Le conseil de banque ne remplit donc pas sa fonction. Selon la loi sur la Banque nationale il est censé superviser et contrôler la gestion de la BNS.
[1] https://www.republik.ch/2020/09/24/die-letzte-bastion
Le directeur de la BNS, Thomas Jordan, lui-même un conservateur convaincu, réfute ces accusations : il n’y a pas de discrimination systématique à la Banque nationale suisse, il s’agit surement de cas isolés. Le conseil de banque, l’organe de surveillance du conseil de direction, a annoncé qu’il n’avait rien à ajouter et a soutenu l’équipe de direction pourtant critiquée.
Le conseil de banque ne remplit donc pas sa fonction. Selon la loi sur la Banque nationale il est censé superviser et contrôler la gestion de la BNS.
[1] https://www.republik.ch/2020/09/24/die-letzte-bastion