1,000 signatures atteintes
Destinataire(s) : Organisations patronales et autorités politiques
« Touche pas à notre salaire minimum ! »
Pétition pour le respect de la volonté populaire et des salaires dignes!
Le salaire minimum cantonal est menacé. Une motion acceptée au Parlement fédéral avec le soutien de certains milieux patronaux prévoit de le supprimer dans plusieurs secteurs, notamment l’hôtellerie-restauration, le nettoyage ou la coiffure. Ne les laissons pas faire, signez la pétition !
Cette proposition est inacceptable parce qu’elle :
- entraîne des baisses de salaires importantes, de 400.- à 1000.- francs par mois selon les secteurs ;
- va enfoncer dans la précarité de milliers de personnes aux revenus déjà bas, parmi lesquelles une large majorité de femmes ;
- va engendrer un recours accru aux aides sociales publiques financées par les contribuables, afin de compenser les diminutions de salaire voulues par les patrons, qui pourtant sont en mesure de payer des salaires dignes ;
- ne respecte pas la décision de la population genevoise, qui a largement soutenu la mise en place d’un tel dispositif en votation populaire le 27 septembre 2020 ;
- bafoue les principes du fédéralisme, qui prévoient que les cantons sont compétents en matière de politiques sociales.
Employé-e-s des secteurs concernés, travailleurs-euses solidaires et citoyen-ne-s en colère, signons toutes et tous la pétition des syndicats genevois qui réclame:
- l’intégration sans délai du salaire minimum légal genevois dans les conventions collectives concernées afin d’éviter ces baisses de salaire ;
- l’opposition totale à tout démantèlement du salaire minimum légal de la part des autorités politiques, des élu-e-s cantonaux-ales et des parlementaires fédéraux-ales.
Suisse-sse-s ou étrangers-ères, tout le monde peut signer la pétition. La liste des signataires ne sera pas rendue publique.
Le salaire minimum cantonal est menacé. Une motion acceptée au Parlement fédéral avec le soutien de certains milieux patronaux prévoit de le supprimer dans plusieurs secteurs, notamment l’hôtellerie-restauration, le nettoyage ou la coiffure. Ne les laissons pas faire, signez la pétition !
Cette proposition est inacceptable parce qu’elle :
- entraîne des baisses de salaires importantes, de 400.- à 1000.- francs par mois selon les secteurs ;
- va enfoncer dans la précarité de milliers de personnes aux revenus déjà bas, parmi lesquelles une large majorité de femmes ;
- va engendrer un recours accru aux aides sociales publiques financées par les contribuables, afin de compenser les diminutions de salaire voulues par les patrons, qui pourtant sont en mesure de payer des salaires dignes ;
- ne respecte pas la décision de la population genevoise, qui a largement soutenu la mise en place d’un tel dispositif en votation populaire le 27 septembre 2020 ;
- bafoue les principes du fédéralisme, qui prévoient que les cantons sont compétents en matière de politiques sociales.
Employé-e-s des secteurs concernés, travailleurs-euses solidaires et citoyen-ne-s en colère, signons toutes et tous la pétition des syndicats genevois qui réclame:
- l’intégration sans délai du salaire minimum légal genevois dans les conventions collectives concernées afin d’éviter ces baisses de salaire ;
- l’opposition totale à tout démantèlement du salaire minimum légal de la part des autorités politiques, des élu-e-s cantonaux-ales et des parlementaires fédéraux-ales.
Suisse-sse-s ou étrangers-ères, tout le monde peut signer la pétition. La liste des signataires ne sera pas rendue publique.
Pourquoi faut-il agir maintenant ?
La majorité de droite du Parlement et les patrons réclament que les Conventions collectives de travail priment sur les salaires minimaux cantonaux. Conséquence: moins 400.- francs par mois dans le nettoyage, 500.- dans l’hôtellerie-restauration et 1000.- dans la coiffure ! Il est déjà très difficile de s’en sortir à Genève avec le salaire minimum en vigueur. Sans lui, ce sera mission impossible ! Mobilisons-nous dès aujourd’hui pour défendre nos droits ! Soyons nombreuses et nombreux à signer et à faire signer cette pétition.