Jobs d'été sous-payés ? NON à la précarité étudiante !

Parce que la Commission de l’économie du Grand Conseil genevois est en train d’examiner un projet de loi du PLR autorisant toutes les entreprises à embaucher des étudiant-e-s sans aucune limite en dessous du salaire minimum légal pendant l’été.

 

Parce que les étudiant-e-s ont aussi des factures à payer : loyers, primes maladies, alimentation, communication, ordi, bouquins, autres frais de formation, etc.

 

Parce que les étudiant-e-s subissent aussi de plein fouet l’augmentation du coût de la vie.

 

Notre travail a aussi un prix. NON à la précarité étudiante !