Parce que les promesses ne suffisent plus.
Cela fait plus de quatre ans que la Commune évoque le 30 km/h, et maintenant que la canton a donné son feu vert, elle tergiverse.
Et aujourd’hui, elle invoque un moratoire fédéral hypothétique pour justifier son inaction.
Pendant ce temps :
- Les voitures continuent de traverser le village à vive allure, en particulier le soir.
- Le revêtement phonoabsorbant, prévu pour atténuer le bruit, masque la sensation de vitesse et aggrave le risque pour les usagers vulnérables en l'absence de mesures de réduction de la vitesse.
- Les familles s’inquiètent pour leurs enfants sur le chemin de l’école.
- Les riverains sont en colère face à cette inertie politique qui sacrifie la sécurité publique.
Agir maintenant, c’est refuser que la peur et l’impuissance deviennent la norme.
Agir maintenant, c’est protéger nos enfants, nos aînés, nos mobilités douces.
Agir maintenant, c’est mettre la vie des habitants avant les hésitations politiques.