• Prolungare la moratoria sugli OGM - per proteggere l'uomo, gli animali e l'ambiente!
    In Svizzera vige una moratoria in agricoltura sulla coltivazione commerciale di piante geneticamente modificate (GM). Questo divieto temporaneo di coltivazione di piante geneticamente modificate ha origine nell'iniziativa Stop OGM, adottata a netta maggioranza nel 2005. Il divieto non limita tuttavia la scienza; l'emissione sperimentale a scopo di ricerca è consentita. La moratoria sugli OGM ha dimostrato la sua validità. È sostenuta da un'ampia maggioranza della popolazione e dall'industria agricola. Anche perché la produzione di piante geneticamente modificate comporta dei rischi: le conseguenze che l'ingegneria genetica può avere sull'uomo, gli animali e l'ambiente non sono ancora chiare. Allo stesso tempo, l'agricoltura libera da OGM è a rischio perché è praticamente impossibile prevenire o controllare la diffusione di sementi geneticamente modificate. Per questo motivo il Parlamento ha già prorogato la moratoria quattro volte. La moratoria scade alla fine del 2025. L'industria chimica e sementiera ha lanciato una campagna di lobbying presso il Palazzo Federale per impedire la proroga della moratoria e per facilitare l'autorizzazione di piante geneticamente modificate. Non è ancora troppo tardi! Insieme possiamo contrastare i piani delle multinazionali e salvare la moratoria sugli OGM. Firma oggi stesso la petizione indirizzata al Consiglio federale e al Parlamento per proteggere gli esseri umani, gli animali e l'ambiente. La moratoria sugli OGM deve essere prolungata fino a quando non saranno in vigore disposizioni legali che garantiscono un'agricoltura priva di OGM e che escludano i rischi per l'uomo e l'ambiente.
    60 von 100 Unterschriften
    Gestartet von Associazione alimenti senza OGM Picture
  • THC Legalisieren
    "Wir fordern die vollständige Entkriminalisierung von Cannabis sowie ein Ende jeglicher Diskriminierung und sozialen Ächtung von Cannabisnutzern. Menschen, die Cannabis konsumieren, sollten die gleiche Freiheit und rechtliche Gleichstellung wie Alkoholkonsumenten genießen. Eine Entkriminalisierung würde dazu beitragen, die Fahrsicherheit zu verbessern, da keine paranoiden Fluchtversuche vor der Polizei unternommen werden müssten. Schmerzpatienten, Krebspatienten und Personen mit Multipler Sklerose sollten nicht länger mit Strafverfolgung oder anderen schwerwiegenden Repressalien konfrontiert sein, wenn sie Cannabis zur Linderung ihrer Symptome verwenden. Cannabis, als die Revival-Partydroge Nr. 1, bietet mit ihrem Blues und den friedlichen Vibes eine wertvolle Möglichkeit zur Entspannung und zum Genuss. Es sollte kein Ausschlusskriterium für die Beschäftigung bei Polizei, Justiz oder anderen beruflichen Weiterbildungen sein. Eine Entkriminalisierung fördert außerdem mehr Kreativität und die Chance auf gegenseitige Akzeptanz in unserer Gesellschaft."
    7 von 100 Unterschriften
    Gestartet von Marie-Chantal La Croix Spreiter
  • Prolonger le moratoire sur les OGM – Pour protéger l'humain, l'animal et l'environnement !
    Un moratoire sur la culture commerciale de plantes génétiquement modifiées (ou plantes gm) dans l'agriculture a cours en Suisse. Cette interdiction temporaire de cultiver des plantes gm a son origine dans l'Initiative Stop OGM qui a été adoptée par une nette majorité en 2005. Elle ne restreint toutefois pas la science; la dissémination expérimentale à des fins de recherche est autorisée. Le moratoire sur les OGM a fait ses preuves. Il est porté par une grande majorité de la population et de l'agriculture, car la production de plantes génétiquement modifiées comporte des risques : les conséquences de l'ingénierie génétique sur l'homme, l'animal et l'environnement ne sont toujours pas claires. En parallèle, l'agriculture sans OGM est en danger parce qu'il est quasiment impossible d'éviter ou de contrôler la dissémination de semences génétiquement modifiées. C'est pour cette raison que le Parlement a déjà prolongé quatre fois le moratoire. Ce dernier expire fin 2025. L'industrie chimique et des semences a démarré une campagne de lobbying au Palais fédéral afin d'éviter une prolongation du moratoire. Elle veut supprimer le moratoire sur les OGM en vue de simplifier l'autorisation des plantes génétiquement modifiées. Il n'est pas encore trop tard! Ensemble, nous pouvons contrecarrer les plans des multinationales et sauver le moratoire sur les OGM. Signez aujourd'hui encore la pétition destinée au Conseil fédéral et au Parlement pour protéger l'homme, l'animal et l'environnement. Il faut prolonger le moratoire sur les OGM jusqu'à ce que des dispositions légales soient en vigueur qui permettent de garantir une agriculture sans OGM et d'exclure les risques pour l'homme et l'environnement.
    538 von 600 Unterschriften
    Gestartet von Association pour des aliments sans OGM Picture
  • Gentech-Moratorium verlängern – Für den Schutz von Mensch, Tier und Umwelt!
    In der Schweiz gilt ein Moratorium für den kommerziellen Anbau gentechnisch veränderter Pflanzen in der Landwirtschaft. Das zeitlich befristete Anbauverbot geht auf die Gentechfrei-Initiative zurück, die 2005 deutlich angenommen wurde. Die Wissenschaft wird davon nicht eingeschränkt, Freisetzungsversuche zu Forschungszwecken sind erlaubt. Das Gentech-Moratorium hat sich bewährt. Es wird von einer grossen Mehrheit der Bevölkerung und der Landwirtschaft getragen. Denn der Anbau gentechnisch veränderter Pflanzen birgt Risiken: Die Auswirkungen der Gentechnik auf Mensch, Tier und Umwelt sind nach wie vor unklar. Gleichzeitig ist die gentechfreie Landwirtschaft gefährdet, weil die Ausbreitung von Gentechnik-Saatgut kaum verhindert oder kontrolliert werden kann. Deshalb hat das Parlament das Moratorium bereits viermal verlängert. Es läuft Ende 2025 aus. Die Chemie- und Saatgutindustrie hat im Bundeshaus eine Lobbykampagne gestartet, um eine Verlängerung des Moratoriums zu verhindern. Sie will das Gentech-Moratorium aufheben. Damit sollen gentechnisch veränderte Pflanzen einfacher zugelassen werden. Noch ist es nicht zu spät! Gemeinsam können wir die Pläne der Konzerne durchkreuzen und das Gentech-Moratorium retten. Unterzeichnen Sie jetzt die Petition an Bundesrat und Parlament zum Schutz von Mensch, Tier und Umwelt. Das Gentech-Moratorium muss verlängert werden, bis gesetzliche Regelungen in Kraft sind, die eine gentechfreie Landwirtschaft gewährleisten und Risiken für Mensch und Umwelt ausschliessen.
    1.504 von 2.000 Unterschriften
    Gestartet von Verein für gentechnikfreie Lebensmittel Picture
  • Encore 100 ans de Centovallina au service du public
    Le service ferroviaire de la région de Locarno, Pedemonte et Centovalli a fêté son centenaire. La plupart des gares de cette ligne ont été construites au cours du siècle dernier et font partie du patrimoine architectural local: quatre des neuf villages desservis par le train -- Verscio (4174), Intragna (3950), Verdasio (4171) et Palagnedra (4045) -- sont inscrits à l'Inventaire fédéral des localités suisses à protéger. Les gares s'harmonisent avec le contexte paysager et culturel. Les voyageurs y trouvent des espaces verts et arborés, des bancs en bois et en granit, des fontaines et des réverbères à la lumière chaude. De petits bâtiments offrent une protection contre les intempéries et, dans certains cas, des toilettes propres. Au nom de l'élimination des barrières architecturales, les FART ont l'intention de construire de nouvelles stations pour tous les arrêts de la Centovallina. Cependant, les plans publiés par les FART, ainsi que les réalisations à Verscio et Camedo, vont plus loin et démontrent un changement radical de paradigme esthétique et fonctionnel. Les espaces verts et les installations conviviales cèdent la place à l'asphalte et aux lits de gravier stabilisés, apparemment contraires à la loi cantonale sur le développement territorial (LDT, art. 104 et art. 104, al. 2) - qui prône une utilisation mesurée du sol et la valorisation du paysage en tant que bien commun. La qualité de l'attente est ainsi détériorée pour tous: enfants, adultes, animaux domestiques et sauvages. L'accès à la voie ferrée sera obstrué par plusieurs mètres de garde-corps surmontant une marche de 20 cm de haut. La procédure d'évacuation d'urgence pour cette situation n'est pas claire. De plus, alors que la nécessité d'une salle d'attente est explicitement mentionnée dans l'Ordonnance fédérale sur la construction et l'exploitation des chemins de fer (RO 1983 1902, art. 36, al. 2), les FART prévoient des abris vitrés pour se protéger du soleil, du vent et de la pluie. L'expérience de Verscio et Camedo montre que les nouvelles constructions sont perméables lors des saisons les plus humides et venteuses, alors qu'en été elles risquent d'être inefficaces pour fournir de l'ombre et de la fraîcheur, en raison de l'absence de végétation. Le nombre de bancs prévu est inférieur et ceux-ci sont inutilisables même en cas de faibles pluies. Des fontaines ou des toilettes ne sont pas envisagées. L'ambiance nocturne des stations sera caractérisée par des projecteurs de lumière froide montés sur l'auvent, éblouissants et inutiles pour ceux qui souhaitent lire un livre assis sur le banc en contrebas. Plutôt que de défigurer les gares existantes, nous demandons de combiner la suppression des barrières architecturales avec une optimisation fonctionnelle des infrastructures et une valorisation esthétique du site. La rénovation et l'entretien des gares existantes renforceraient l'identité locale et l'estime de tous les voyageurs. Par rapport aux sommes allouées par le gouvernement fédéral pour les nouvelles gares, cela se traduirait également par un investissement moindre de fonds publics, tout en profitant davantage à l'économie locale grâce à des emplois à long terme, qui ne sont pas fournis par la construction rapide de nouveaux bâtiments stériles.
    867 von 1.000 Unterschriften
    Gestartet von Simona Procacci e Rocco Vitale
  • Weitere 100 Jahre Centovallina im Dienst der Öffentlichkeit
    Der Bahnbetrieb in der Region Locarno, Pedemonte und Centovalli feiert sein hundertjähriges Jubiläum. Die meisten Bahnhöfe auf dieser Strecke wurden im letzten Jahrhundert erbaut und sind Teil des lokalen architektonischen Erbes. Vier der neun Dörfer mit Bahnanbindung -- Verscio (4174), Intragna (3950), Verdasio (4171) und Palagnedra (4045) -- sind Teil des Bundesinventars der schützenswerten Ortsbilder der Schweiz. Sie harmonieren, respektive harmonierten mit der landschaftlichen und kulturellen Umgebung. Reisende finden (fanden) Grünflächen und Bäume, Holz- und Granitbänke, Brunnen, sowie Laternen mit warmem Licht. Kleine Gebäude bieten (boten) Schutz vor dem Wetter und in einigen Fällen auch saubere Toiletten. Zur Erlangung von Barrierefreiheit werden nun die Bahnhöfe der "Centovallina" umgebaut. Die Pläne der FART und deren Umsetzungen in Verscio und Camedo deuten aber nicht auf einen Umbau hin, sondern auf Neubauten mit radikalem Wechsel von Ästhetik und Funktionalität. Grünflächen und benutzerfreundliche Einrichtungen werden ersetzt durch Asphalt, Beton und Rabatten mit verdichtetem Kies. Auch die Funktionalität der neuen Bahnhöfe (bisher Verscio und Camedo) lässt sehr zu wünschen übrig. Obwohl die Bundesverordnung über den Bau und Betrieb von Eisenbahnen (AS 1983 1902, Art. 36, Abs. 2) ausdrücklich auf die Notwendigkeit eines Warteraums hinweist, offerieren die FART neu nur noch offene Metall- und Glasunterstände zum Schutz vor Sonne, Wind und Regen. Die Erfahrungen von Verscio und Camedo, wo die Stationen schon umgebaut sind, zeigen, dass die neuen Konstruktionen weder vor Regen noch vor Wind schützen, und im Sommer dürfte sich zudem herausstellen, dass sie weder Schatten spenden, noch mithelfen, die Hitze zu lindern. Unter dem Unterstand ist eine Sitzbank montiert, und zwar so, dass sie schon bei leichtem Regen nass wird. In der Nacht leuchten grelle Kaltlichtlampen jeden Winkel aus, sind aber unangenehm für die Lektüre auf der Sitzbank. Brunnen und Toiletten sind nicht vorgesehen. Anstatt die noch bestehenden Bahnhöfe zu verunstalten, verlangen wir, dass die – willkommene! Beseitigung der architektonischen Barrieren für Menschen mit einer Behinderung verbunden wird mit einer funktionalen Optimierung der Infrastruktur und einer ästhetischen Aufwertung des Geländes. Eine solche Renovation und Instandhaltung der bestehenden Bahnhöfe würde die lokale Identität sowie die Zuneigung aller Reisenden für die "Centovallina" verstärken. Durch langfristige Arbeitsplätzte würde davon auch die lokale Wirtschaft profitieren -- wohl mehr als durch die Investition grosser öffentlicher Gelder in die sterilen Neubauten.
    7.668 von 8.000 Unterschriften
    Gestartet von Simona Procacci e Rocco Vitale
  • Per altri 100 anni di Centovallina al servizio del pubblico
    Il servizio ferroviario sul territorio di Locarno, Pedemonte e Centovalli ha festeggiato il suo centenario. La maggior parte delle stazioni su questa tratta è stata costruita durante il secolo scorso e fa parte del nostro patrimonio architettonico: quattro su nove dei villaggi che ospitano una stazione della Centovallina – Verscio (4174), Intragna (3950), Verdasio (4171) e Palagnedra (4045) – sono annoverati nell’Inventario federale degli insediamenti svizzeri da proteggere. Le stazioni si integrano armoniosamente in questa realtà paesaggistica e culturale locale, presentandosi come spazi verdi e alberati, dotati di panchine in legno o granito, fontane, e lampioni che diffondono luce calda di sera. Costruzioni di dimensioni ridotte offrono riparo dalle intemperie e, in alcuni casi, servizi igienici puliti. Con la motivazione dell’abbattimento di barriere architettoniche, le FART intendono costruire nuove stazioni per tutte le fermate della Centovallina. I piani pubblicati dalle FART, così come le realizzazioni di Verscio e Camedo, vanno però oltre e dimostrano un cambiamento radicale di paradigma estetico e funzionale. Le aree verdi e le amenità a misura di utente lasceranno il posto a piazzali asfaltati e aiuole di ghiaia stabilizzata. Viene deteriorata così la qualità dei momenti di attesa, nuocendo non solo al senso estetico, ma anche al benessere e allo svago di tutti: giovani, adulti, animali domestici e selvatici. Oltre a queste conseguenze paesaggistiche in apparente contrasto con la Legge Cantonale sullo sviluppo territoriale (LST, art. 104 e art. 104, cpv. 2) – che promuove un uso misurato del suolo e la valorizzazione del paesaggio in quanto bene comune – anche la praticità delle nuove stazioni è contestabile. Innanzitutto l’accesso al binario sarà ostacolato da diversi metri di ringhiera arginanti un gradino di 20 cm di altezza. La procedura di evacuazione in caso di emergenza per questa situazione non è chiara. Inoltre, mentre la necessità di un locale di attesa è esplicitamente menzionata nell'apposita Ordinanza federale sulla costruzione e esercizio delle ferrovie (RU 1983 1902, art. 36 cpv. 2), per ripararsi da sole, vento e pioggia le FART prevedono pensiline in vetro. Complice anche l’assenza di vegetazione, l’esperienza di Verscio e Camedo dimostra che le nuove costruzioni non trattengono la pioggia e non riparano dal vento, mentre in estate si riveleranno verosimilmente poco efficaci nell’offrire ombra e frescura. Il numero di panchine previsto è minore di quello attuale e queste risultano inutilizzabili già in caso di leggere precipitazioni. Fontane o servizi igienici non sono contemplati. L’ambiente notturno delle stazioni sarà caratterizzato da proiettori di luce fredda montati sulla pensilina, abbaglianti e inutili per chi volesse leggere un libro seduto sulla sottostante panchina. Al posto della deturpazione delle stazioni esistenti, si chiede che il lodevole obiettivo di abbattimento delle barriere architettoniche per persone in situazioni di disabilità venga coniugato con l’ottimizzazione funzionale dell’infrastruttura e la valorizzazione estetica del luogo. La ristrutturazione e manutenzione delle stazioni esistenti rinvigorirebbe l’identità culturale locale e l’apprezzamento di ogni tipo di utente, da abituale a turista. Rispetto alle somme stanziate dalla Confederazione per le nuove stazioni, questo si tradurrebbe inoltre in un minore investimento di denaro pubblico, e allo stesso tempo in un maggior giovamento all’economia locale, tramite posti di lavoro a lungo termine, non contemplati nella rapida realizzazione di manufatti a bassa manutenzione.
    2.852 von 3.000 Unterschriften
    Gestartet von Simona Procacci e Rocco Vitale
  • Fertig mit Menschenrechtsverletzungen in unserer Schoggi!
    Menschenrechtsverletzungen und Abholzung Genuss und Freude sind leicht mit Schokolade in Verbindung gebracht. Zu Recht. Doch es gibt auch eine Kehrseite: Kakaobauernfamilien verkaufen ihr Produkt gewöhnlich zu sehr tiefen Preisen an die Schokoladenindustrie. Während das Know-how und der enorme Aufwand der 6 Millionen Kakaobäuer*innen weltweit miserabel entschädigt werden, macht die Industrie hohe Gewinne. Heute wird über 70 Prozent des weltweit gehandelten Kakaos von zwei bis drei Millionen Kakaokleinbauernfamilien im westafrikanischen Anbaugürtel angebaut, der von Sierra Leone bis Kamerun reicht – wobei die Elfenbeinküste und Ghana mit grossem Abstand Tabellenführer sind. Was für uns Schweizer*innen ein süsses Genussmittel ist, wurde früher in Lateinamerika von Sklaven angebaut und ist für Kleinbauernfamilien heute ein mitunter bitteres Agrarprodukt, das ihr Leben bestimmt. Ein Grossteil der Kakaobäuer*innen lebt in grosser Armut. Armut ist denn auch die Wurzel von fast allen Herausforderungen, mit denen der Kakaosektor konfrontiert ist. 1.5 Millionen Kinder arbeiten unter missbräuchlichen Bedingungen auf Kakaoplantagen. Ghana und die Elfenbeinküste haben in den letzten sechzig Jahren zwischen 65 und 90 Prozent ihrer Waldfläche verloren. Der Kakaoanbau ist neben anderen Agrarprodukten für die Abholzung des Regenwaldes verantwortlich. Der Zugang zu medizinischer Versorgung, Nahrung und Transportmöglichkeiten ist sehr eingeschränkt. Big Chocolate funktioniert bisher nicht Es gibt von der Industrie Bemühungen, das Einkommen der Bauernfamilien zu steigern. Doch es ist klar, dass die derzeitigen Ansätze der Schokoladen- und Kakaofirmen zur Steigerung der Einkommen bestenfalls marginale Auswirkungen haben. Das liegt daran, dass sich die meisten Programme zur Verbesserung der Lebensbedingungen auf höhere Erträge, die Schulung der Bauernfamilien und die Einkommensdiversifizierung konzentrieren, anstatt die Einkaufspraktiken der Unternehmen selbst zu reformieren. Es ist an der Zeit, dass sich die Unternehmen auf ihr Kerngeschäft konzentrieren, nämlich den Kauf und Verkauf von Kakaoprodukten, und nicht nur auf die Durchführung von Nachhaltigkeitsprogrammen. Small Chocolate und die Macht der Konsument*innen Wir Konsument*innen stehen ebenfalls in der Pflicht, Verantwortung zu übernehmen, höhere Kakaopreise einzufordern und fairere Schoggi zu wählen. Deshalb: Call to Action 1: Sei politisch, unterschreib die Petition Call to Action 2: Sei neugierig, komm am 24. März ans Schoggifestival ehrundredlich in Zürich, organisiert vom Good Chocolate Hub und erfahre mehr über ehrlichen Kakao und redliche Schokolade. Mit dabei sind kleine Schoggi-Unternehmen, Bean-to-Bar-Producers, Organisationen, Forschungsinstitute und NGOs aus der ganzen Schweiz, die uns mit ihrer sozialen und ökologischen Verantwortung, aber auch mit ihrem Produkt überzeugen. Der Good Chocolate Hub schärft mit dem Schoggifestival die Sinne und vermittelt Wissen. Verantwortungsvoller Konsum beisst sich nicht mit höchstem Genuss, im Gegenteil: Wissen ermächtigt, bessere Konsumentscheidungen zu treffen. Call to Action 3: Sei achtsam, geniesse gute Schokolade! Erläuterung der Forderungen Existenzsicherndes Einkommen zahlen: Detailhändler (z.B. Coop) und Marken (z.B. Lindt) müssen sich verpflichten, von den Händlern (z.B. Ecom), von welchen sie den Kakao abkaufen, einen öffentlich zugänglichen Living Income Reference Price (LIRP; deutsch: Referenzpreis für existenzsichernde Einkommen) zu verlangen, und sie müssen bereit sein, diesen zu bezahlen. Die Händler*innen wiederum müssen sich ebenfalls verpflichten, einen öffentlich zugänglichen LIRP zu zahlen. Dieser Verpflichtung muss eine transparente Berechnung zu Grunde liegen, welche aufzeigt, wie der von ihnen gezahlte (Farm-Gate-)Preis ausreicht, um die verbleibende Lücke zu schliessen. Sie muss zudem für die Mehrheit der Kakaobauernfamilien in der Lieferkette gelten, und nicht nur für einige Ausnahmen. Asymmetrische langfristige Verträge: Kakaohändler*innen, Einzelhändler*innen und Marken sollten asymmetrische Langzeitverträge innerhalb eines bestimmten Zeitrahmens abschliessen, welche realistische Kakao-Mengen, den Referenzpreis, Nachverhandlungsmechanismen und klare Rechte und Pflichten für Käufer*innen und Farmers beinhaltet. Den Vertrag einhalten: Verträge und Volumen müssen respektiert werden. Wirksame Beschwerdemechanismen mit echten Konsequenzen für Nichteinhaltung sollten vorhanden sein. Transparente Kalkulation: Jedes Unternehmen – Einzelhändler*in, Marke, Händler*in – sollte über eine Berechnung verfügen, welche die Lücke zwischen dem realen Einkommen und einem existenzsichernden Einkommen der Kakaofarmer*innen kalkuliert. Dazu gehört ein Plan, wie diese Einkommenslücke geschlossen werden soll. Überprüfung und öffentliche Berichterstattung: Alle Unternehmen sollten jährlich überprüfen, ob ihre Strategie – wie sie vorgehen, um den Kakaofarmer*innen ein existenzsicherndes Einkommen zahlen – funktioniert. Die entsprechenden Interventionen sollten so ausgerichtet sein, dass die Ungleichheit zwischen den Geschlechtern bekämpft wird. Darüber soll jährlich öffentlich berichtet werden. ****************** Quellen und weiterführende Links: Rundschau (10.1.2024): https://www.srf.ch/play/tv/rundschau/video/mit-scharfschuetzengewehr-und-schweisshund--kinderarbeit-fuer-schweizer-schokolade-im-schuetzengraben?urn=urn:srf:video:8dd2d451-b4d8-427c-ac75-d5daeccd6b0d Zitierte Studie von NORC at the University of Chicago (2020): https://www.norc.org/content/dam/norc-org/documents/standard-projects-pdf/NORC%202020%20Cocoa%20Report_English.pdf Cocoa Barometer (2024); Good Purchasing Practices: https://voicenetwork.cc/wp-content/uploads/2023/12/Purchasing-Practices-in-Cocoa.pdf Schoggifestival ehrundredlich (2024): https://schoggifestival.ch/ Good Chocolate Hub: https://goodchocolatehub.org/
    662 von 800 Unterschriften
    Gestartet von Good Chocolate Hub & Campax Picture
  • Kenzeichnungspflicht von KI Inhalten
    Um mehr Transparenz zu schaffen und Täuschung zu verhindern
    10 von 100 Unterschriften
    Gestartet von Thomas Grob
  • Deklaration der Sauberkeit in der Gastronomie, ähnlich USA
    Es geht um die Gesundheit vieler. Der Volkswirtschaft geht durch "Grüselwirte" jährlich viel Geld verloren und die betroffenen Konsumenten leiden. Ausserdem würde eine solche Deklaration die Gastrobetriebe dazu anhalten, verstärkt Augenmerk auf die Hygiene und die Ausbildung der Mitarbeitenden in dem Bereich zu legen.
    6 von 100 Unterschriften
    Gestartet von Ales Caneve
  • Petition für Lebensmittelgutscheine
    Das Leben in der Schweiz ist nicht billig. Seit März 2022 sind die Preise für Grundnahrungsmittel in unserem Land um 20 % gestiegen. Für jene, die es sich leisten können, ist das kein großes Problem, aber für die 10-15 % der Berner Bevölkerung, die von Armut betroffen sind, kann dies zu Schwierigkeiten führen. Mit der Teuerung der Lebensmittel ist in den letzten Jahren ist auch die Armutsquote in der Schweiz um 2 % gestiegen. Wenn die Lebensmittelkosten so hoch sind, bleibt den ärmeren Menschen der Bevölkerung mit den weiteren Fixkosten wie Wohnen, Krankenkasse und Strom nur wenig Geld für Bildung, Medien und Hobbys. Unserer Meinung nach soll dagegen etwas unternommen werden. Quellen: https://www.caritas.ch/de/armut-in-der-schweiz/> https://www.caritas-bern.ch/was-wir-sagen/armut-im-kanton-bern-sozialpolitisches-engagement-der-caritas https://www.nau.ch/news/schweiz/grundnahrungsmittel-waren-im-marz-bis-20-teurer-als-im-vorjahr-66475391> Schweiz - Konsumentenpreise für Nahrungsmittel nach Monaten 2023 | Statista https://www.fin.be.ch/de/start/themen/OeffentlicheStatistik/bevoelkerungsstatistik/bevoelkerungsstand-und--struktur.html> https://www.google.com/search?q=armut+im+kanton+bern&oq=Armut+&aqs=chrome.1.69i57j69i59.4357j0j1&sourceid=chrome&ie=UTF-8> https://www.google.com/search?q=armut+im+kanton+bern&oq=Armut+&aqs=chrome.1.69i57j69i59.4357j0j1&sourceid=chrome&ie=UTF-8> https://de.statista.com/statistik/daten/studie/472887/umfrage/konsumentenpreise-fuer-nahrungsmittel-in-der-schweiz-nach-monaten/#:~:text=Der%20Landesindex%20der%20Konsumentenpreise%20(LIK,f%C3%BCr%20Statistik%20(BFS)%20hervor. https://www.caritas.ch/de/ursachen-und-risiken/#:~:text=Kinder%20sind%20ein%20Armutsrisiko.,im%20Alter%20zu%20minimalen%20Renten. https://www.bfs.admin.ch/bfs/de/home/statistiken/querschnittsthemen/wohlfahrtsmessung/alle-indikatoren/gesellschaft/armutsquote.html https://www.srf.ch/play/tv/tagesschau/video/armut-in-der-schweiz-nimmt-zu?urn=urn:srf:video:dfe4ad3e-398e-4a98-a868-0ec24caabf3c
    25 von 100 Unterschriften
    Gestartet von T J
  • Kein Abriss und keine Verdrängung: Die Siedlung im Heuried soll erhalten bleiben
    In der gesamten Stadt Zürich wird der Wohnraum massiv teurer und viele Immobilien unnötigerweise vorzeitig abgerissen, oftmals nur, um mehr Rendite zu erzielen. Mit diesem Abriss-Trend wird auf der Seite der Immobilienbesitzenden nicht nur übermässig viel Rendite erwirtschaftet. Er führt auch zur Vernichtung von bezahlbarem Wohnraum und verdrängt Mieter:innen - oftmals ältere Menschen oder Familien mit Kindern – die auf bezahlbaren Wohnraum angewiesen sind. Der Abriss und der Neubau von Immobilien verbraucht zudem viele Ressourcen, während mit neuen Überbauungen trotz steigender Temperaturen in unseren Städten wichtige Grünbestände und Erholungsgebiete vernichtet werden. Dies ist bei weitem nicht im Sinne der demokratischen Entscheide der Stadtbevölkerung. Unter anderem hat sie im Jahr 2011 dem wohnpolitischen Grundsatzartikel in der Gemeindeverfassung mit überwältigenden 76% zugestimmt, wonach sich die Stadt der sozialen Durchmischung in allen Quartieren verpflichtet und der Anteil von gemeinnützigen preisgünstigen Wohnungen auf mindestens 33% gesteigert werden soll. Diesem Ziel ist man bisher aber nicht näher gekommen. Der Abriss von bezahlbarem Wohnraum, die Zerstörung der Grünflächen und alten Bäume sowie die Verdrängung der Mieter:innen droht auch in der Siedlung im Heuried. Die Eigentümerin, die Credit Suisse Asset Management AG, will die kleine Oase mit 108 bezahlbaren Wohnungen abreissen. Langjährige Nachbarn und lieb gewordene Klassenkameraden werden getrennt. An der Stelle ihres Zuhauses sollen neue, viel teurere Wohnungen entstehen, die sich die bisherigen Mieter:innen nicht leisten können. Ein Abbruch dieser gut erhaltenen Häuser ist ökologisch widersinnig. Sie wurden in den letzten Jahren mehrfach saniert und ausgebaut, mit neuen Heizungen, Solarkollektoren und ausgebauten Dachwohnungen. Gegen den Abriss wehren sich die betroffenen Mieter:innen und die Quartierbevölkerung! Mit der Petition fordern wir: dass sich die Gemeinde aktiv für den Schutz, die Erhaltung und die Erhöhung des Anteils von preisgünstigen Wohnungen und Gewerberäumen einsetzt. Wir fordern, dass der Zürcher Stadtrat diesem Auftrag endlich Rechnung trägt und sich für den Erhalt von bezahlbarem Wohnraum im Heuried einsetzt.  Um den Erhalt des Heuried langfristig zu gewährleisten, fordern wir den Stadtrat auf, mit der Credit Suisse Asset Management AG in Verkaufsverhandlungen zu treten. Die Credit Suisse Asset Management AG soll die Mehrfamilienhäuser an die Stiftung für die Erhaltung von preisgünstigem Wohn- und Gewerberaum der Stadt Zürich (PWG), an eine andere gemeinnützige Wohnbauträgerin oder an die Stadt Zürich veräussern. Die Credit Suisse Asset Management AG soll damit einen Beitrag zum deutlichen Willen der Stadtzürcher Stimmbevölkerung leisten und sich für die vom Volk getragenen Garantien bei der Übernahme durch die UBS erkenntlich zeigen
    6.305 von 7.000 Unterschriften
    Gestartet von IG Nicht Im Heuried