• Offener Brief: Wir Eltern brauchen eine funktionierende Kinderbetreuung!
    Wir Eltern sehen in den Krippen häufige Wechsel beim Personal, wenige erfahrene, dafür viele sehr junge Betreuer*innen und öfter mal wenige Betreuer*innen mit sehr vielen Kindern. Das wirft Fragen bezüglich der Betreuungsqualität auf. Krippenplätze sind sehr teuer. Und auch mit subventionierten Plätzen lohnt es sich für viele Eltern nicht, arbeiten zu gehen, nur um den Betreuungsplatz zu bezahlen. Dabei haben wir als Gesellschaft ein grosses Interesse an einer guten familienergänzenden Kinderbetreuung: • Kinder im Vorschulalter machen riesige Entwicklungsschritte und profitieren enorm davon, wenn sie richtig gefördert werden. Für die Chancengleichheit aller Kinder ist die frühkindliche Förderung die effektivste Massnahme und viel günstiger als alle Massnahmen, die danach in der Schule getroffen werden. • Kinderbetreuung wird immer noch zu einem grossen Teil durch Frauen erledigt. Es kann keine Rede von Gleichberechtigung sein, ohne einen guten Zugang zu Kinderbetreuung für alle Eltern. • Die Schweiz ist im internationalen Vergleich als Wohn- und Arbeitsort für Eltern äusserst unattraktiv, weil bei uns die Familienpolitik um Jahrzehnte hinterherhinkt. Das schadet dem Wirtschaftsstandort Schweiz. Für uns Eltern ist es zentral, dass die Betreuer*innen unserer Kinder ihre Arbeit gut und gern machen, dass sie gute Ausbildungs- und Arbeitsbedingungen haben und stolz auf ihren Beruf sind. Nur zufriedene Betreuer*innen können unsere Kinder gut betreuen. -> Der offene Brief ist eine Initiative der EKdM (Eidgenössische Komission dini Mueter) und des Elternkomitees Kinderbetreuung.
    2.737 von 3.000 Unterschriften
    Gestartet von Stephan Germann Picture
  • Kitas sind Service Public
    Familienergänzende Kinderbetreuung ist entscheidend für die Gleichstellung der Geschlechter und die Chancengleichheit der Kinder. Dazu muss sie für alle zugänglich und qualitativ hochwertig sein. Denn gerade die Corona-Krise hat einmal mehr bestätigt, dass die familienergänzende Kinderbetreuung kein nice-to-have, sondern systemrelevant ist. Die familienergänzende Kinderbetreuung ermöglicht es allen Elternteilen unabhängig von der Verfügbarkeit von Grosseltern oder anderen familieninternen Betreuungsmöglichkeiten erwerbstätig zu sein. Zudem ist der Nutzen der frühkindlichen Bildung und Betreuung durch professionelle Fachkräfte für die Chancengleichheit hoch. Sie dienen dem Kindswohl und ermöglichen eine kindgerechte Förderung der sozialen, kognitiven und emotionalen Fähigkeiten der Kinder. Gleichzeitig ist die familienergänzende Kinderbetreuung heute geprägt von Spardruck, Platzmangel, Zeitdruck und prekären Arbeitsbedingungen und sehr oft ist sie auch profitorientiert. Die Kosten der Kitas sind für viele Familien eine grosse Belastung. Die finanzielle Unterstützung vom Staat ist nicht kostendeckend. Die Fachkräfte in der Kinderbetreuung wehren sich gegen mangelnde Wertschätzung für ihre Arbeit, tiefe Löhne, zu wenig Personal und chronische Unterfinanzierung. Unter dem Kostendruck leidet auch die Qualität, wenn der Betreuungsschlüssel schlecht ist und die Betreuer*innen gestresst sind oder aufgrund der Arbeitsbedingungen ihre Anstellung nach kurzer Zeit wieder künden. Der Kanton Basel-Stadt gewährleistet in seiner Verfassung (in § 11 Abs. 2) Eltern das Recht auf eine familienergänzende Tagesbetreuungsmöglichkeit. Diese muss gemäss dem Artikel den Bedürfnissen der Kinder entsprechen und zu finanziell tragbaren Bedingungen zur Verfügung stehen. Um dieses Recht sicherzustellen, braucht es nicht nur mehr Plätze, sondern bessere Arbeitsbedingungen, stabile Finanzierung und Qualitätsstandards sowie Betreuungsschlüssel, bei denen nur ausgebildete Fachkräfte angerechnet werden und diese jeweils für nicht mehr als 4 Kinder zuständig sind. Die Unterzeichnenden fordern den Grossen Rat auf, unter Einbezug der Fachkräfte, ein bedarfsgerechtes und qualitativ hochstehendes staatliches Betreuungsangebot für alle im Kanton Basel-Stadt wohnhaften Kinder zu schaffen, welches ab Ende des gesetzlichen Mutterschaftsurlaubs bis Ende der Volksschulzeit zur Verfügung steht und unentgeltlich ist.
    488 von 500 Unterschriften
    Gestartet von Feministischer Streik Basel Picture
  • Pétition pour une valorisation des salaires des métiers des soins et d’entretien
    Depuis des années, le personnel des métiers des soins et d’entretien attend une revalorisation de ses salaires, et une vraie reconnaissance de l’évolution des formations, des compétences et des responsabilités. Durant la crise sanitaire, ces métiers ont été en première ligne, prenant des risques pour leur propre santé et celle de leurs proches. Ces professionnel-le-s ont fourni un effort remarquable pour prendre en charge les patient-e-s atteint-e-s de la Covid-19 ainsi que leur environnement. La crise a aussi mis en avant les compétences ingénieuses de ce personnel qui s’est évertué à trouver des moyens de combler des défaillances du système. La responsabilité de ces métiers a enfin été reconnue publiquement. Or, la reconnaissance par l’employeur et les autorités n’est pas à la hauteur de leurs efforts et leur travail n’est pas rémunéré à sa juste valeur. Il convient de relever que ces métiers sont essentiellement exercés par des femmes, comme bien d’autres métiers du soin à la personne, et bien qu’essentiels pour la population, ils sont mal rétribués comme si ces compétences étaient innées et gratuites. Au nom de l’égalité, il est indispensable de revaloriser leurs salaires. En raison du vieillissement de la population présentant notamment un accroissement des facteurs de comorbidité, les prises en charge se sont complexifiées. Une augmentation des délégations de compétences et de gestes, a accru les responsabilités et les mises à contribution du savoir-faire à tous les niveaux. L'évolution des technologies a aussi révolutionné certains secteurs, comme par exemple la radiologie, où les formations continues sont indispensables pour pouvoir répondre à la demande sans cesse croissante d’examens qu'offrent les nouvelles possibilités techniques. Cependant, cette évolution des cahiers des charges et des responsabilités n’est toujours pas prise en compte, puisqu’aucune réévaluation des fonctions n’a eu lieu depuis des décennies. Les niveaux de formations des professions de la santé ont fortement évolué ces dernières années. Ainsi les infirmier-ère-s disposent depuis 20 ans d’un bachelor HES, équivalent d’un niveau universitaire, et la plupart ont également des spécialisations en sus. Les assistant-e-s en soins et santé communautaire (ASSC) sont depuis plus de 10 ans sur le marché de l’emploi et dès le départ, leur salaire a été sous-évalué. Le SIT et le SSP ont toujours revendiqué une classe 12, voire 13 pour ces nouvelles professions du secteur social et santé. Leur plan de formation (CFC) s’est considérablement complexifié au fil du temps et comporte des responsabilités indéniables, les ASSC étant appelé-e-s à intégrer de nombreuses nouvelles compétences déléguées. Après une grève menée en 2010 pour exiger une classe 10, les aide-soignant-e-s ont obtenu une revalorisation salariale en classe 8 seulement. Depuis lors, presque toutes les aide-soignant-e-s sont qualifié-e-s avec une AFP d’assistant-e en soin et accompagnement (ASA). Il est logique désormais de reconnaitre cette fonction indispensable, elle aussi soumise aux éléments de pénibilité. Il faut aussi noter que, lors de cette revalorisation, les aide-soignant-e-s en gériatrie, en majorité des femmes qui travaillent au plus près des patients particulièrement touchés par la Covid-19, ont perdu une partie de leur prime d’inconvénient de service. Il s’agit là d’une inégalité de traitement inacceptable. Le personnel d’entretien et de la logistique hospitalière, notamment les nettoyeur-euse-s, employé-e-s de cuisine ou encore transporteur-euse-s, est trop souvent oublié lorsque l’on parle des métiers de la santé. Or, ce personnel qui prend soin de l’environnement et des besoins directs des patient-e-s, contribuant ainsi à leur bien-être et à leur sécurité, est lui aussi confronté quotidiennement aux risques liés à la Covid-19 et à toute autre épidémie. Cette spécificité doit être reconnue et valorisée, tout comme son expertise, ses compétences et sa méticulosité. Le manque chronique de personnel de base dans les institutions du réseau de santé a pour corollaire un rythme de travail qui ne cesse de s’intensifier et une augmentation des délégations de compétences. La pénibilité de ces professions n’est actuellement pas compensée à sa juste valeur. Horaires irréguliers et charge émotionnelle, par exemple, pèsent sur la santé du personnel. De plus, le système actuel ne reconnait pas les compétences relationnelles indispensables à l’exercice de ces métiers. Cette pénibilité explique le fait que de nombreux-ses professionnel-le-s, notamment dans les soins, doivent exercer à temps partiel ou quittent un métier pourtant choisi. Afin de maintenir l’attractivité de ces professions, il est indispensable de revaloriser leurs salaires. Il est temps d’accorder une juste reconnaissance des responsabilités, de la complexité et des pénibilités de ces métiers, majoritairement exercés par des femmes, par une revalorisation de leur rémunération. [ Pétition initiée le 1er juin 2020 par le SIT et la Commission femmes du SSP, selon l’article 33 de la Constitution de la République et canton de Genève.]
    518 von 600 Unterschriften
    Gestartet von Syndicat SIT - Commission femmes du SSP -
  • L’incroyable s’est produit: les indemnités pour PME et travailleurs indépendants ont été supprimées!
    Comme tous les acteurs économiques, nous apprécions les différentes étapes d'assouplissement et sommes heureux que les PME et les travailleurs indépendants puissent commencer à nouveau à réaliser des ventes, parce que la demande revient progressivement. Nous sommes également heureux que les associations et les partenaires sociaux aient pu faire part de leurs difficultés et ont été entendues au plus fort de la crise par le Conseil fédéral. Mais nous sommes extrêmement choqués lorsque des mesures vitales sont aujourd’hui purement et simplement annulées, après seulement quelques semaines, pour les PME qui sont celles qui ont déjà reçu l’aide partielle la plus basse. Nous retombons dans la situation choquante où les entrepreneurs PME paient des cotisations chômage mais ne reçoivent aucune prestation. Des solutions avec un peu de bon sens pour le tissu économique PME et indépendants sont requises. Nous n'avons pas besoin d'aide si nous pouvons faire un chiffre d’affaires qui nous permet de survivre. Mais certaines PME sont encore sinistrées et ont besoin d’aide lorsqu’il n’y a pas encore de chiffre d’affaires. Il est facile de prévenir les abus si nous déclarons le chiffre d'affaires du mois précédent / de l'année précédente dans les formulaires des autorités. Il sera aisé de voir à quel point la reprise est hésitante dans de nombreux domaines. Agissez maintenant - sinon un hiver glacial nous attend, avec des milliers de faillites et une énorme surcharge de services sociaux. Encore un point : L'initiative parlementaire d'Andri Silberschmidt avec 11 cosignataires de tous les partis n'est toujours pas traitée - le Conseil national avait manifestement d’autres affaires plus urgentes, pour les acteurs plus grands que les PME. https://www.parlament.ch/fr/ratsbetrieb/suche-curia-vista/geschaeft?AffairId=20200406
    1.946 von 2.000 Unterschriften
    Gestartet von Markus Hohl Picture
  • Unglaubliches ist passiert: Entschädigungen für Kleinbetriebe und Selbständige aufgehoben
    Wir alle freuen uns über jeden Lockerungsschritt und sind glücklich mit jedem Kleinbetrieb und allen Selbständigen, die Ertrag erzielen können, weil die Nachfrage wieder steigt. Wir freuen uns auch, wenn Verbände und Sozialpartner direkten Zugang zum Bundesrat haben und Anliegen persönlich besprechen können. Aber wir ärgern uns masslos, wenn überlebenswichtige Massnahmen nach wenigen Wochen bei den Kleinsten gestrichen werden, die sowieso die tiefsten Entschädigungen erhalten haben. Es gilt immer noch, dass Gesellschafter in den Betrieben ALV Beiträge zahlen, aber keine Leistungen erhalten. Jetzt sind Lösungen mit Augenmass gefragt. Wir brauchen keine Hilfe, wenn wir Umsatz für das Überleben machen können. Aber wir brauchen weiterhin Hilfe, wenn kein oder nur wenig Umsatz möglich ist. Es ist einfach, Missbrauch zu verhindern, wenn wir in den Formularen mit unseren Meldungen den Vormonats/Vorjahresumsatz melden. Dann würde man sehen, wie zaghaft die Erholung in vielen Branchen noch ist. Handeln Sie jetzt - es wird sonst ein sehr frostiger Winter mit Tausenden von Konkursen und einer grossen Überlastung der Sozialämter. UPDATE 9.6.20 Gratis Rechtsberatung von 80 Juristinnen und Juristen und anderen engagierten Expertinnen und Experten aus der ganzen Schweiz. Laufend aktualisierte Antworten auf Corona Rechtsfragen zu vielen Themengebieten. Schauen Sie rein und finden Sie Hilfe! https://www.corona-legal.ch UPDATE 3.6.20 Der Kassensturz zeigt, wie es vielen von uns Kleinbetrieblern und Selbständigen leider immer noch geht. Kassensturz - 2.6.20: ab Min. 1 - ca. Min. 11 https://www.srf.ch/play/tv/sendung/kassensturz?id=78a6014e-8058-4bdd-88aa-824f846ca6f0 UPDATE 30.5.20 Das SECO irrt sich gewaltig, wenn es sagt, dass mit dem Öffnungsschritt 6. Juni kein triftiger Grund mehr für die Härtefall-Klausel unserer Unterstützungen vorhanden sei: FALSCH! Tagesschau - 29.5.20 https://www.srf.ch/play/tv/tagesschau/video/ende-der-kurzarbeit---kleinstbetriebe-fuerchten-um-existenz?id=22b4085f-566b-455c-94aa-e0b548b330ec Nur noch am Rand: Noch immer ist die Parlamentarische Initiative von Andri Silberschmidt mit 11 Mitunterzeichnenden aus allen Parteien unbehandelt - der Nationalrat hatte bisher andere Geschäfte - für die Grossen. https://www.parlament.ch/de/ratsbetrieb/suche-curia-vista/geschaeft?AffairId=20200406 In der Presse: 1) die KMU-Falle - Nach dem Lockdown kommt der Sommer. Für KMU heisst das: Die Zwangspause geht in die Verlängerung. https://www.dieostschweiz.ch/kolumnen/die-kmu-falle-KvwOz7X 2) Kurzarbeit trotz Arbeitsüberlastung - Kurzarbeit als Mittel, mit Steuergeldern die Betriebsrechnung zu verbessern. Ausgerechnet bei Kreditkarten. https://www.republik.ch/2020/06/24/der-fall-worldline-oder-kurzarbeit-trotz-arbeitsueberlastung
    13.894 von 15.000 Unterschriften
    Gestartet von Markus Hohl Picture
  • Pour protéger notre santé, renforçons les contrôles sur les chantiers !
    Non content d’avoir brusquement fait machine arrière sur la fermeture des chantiers qui n’aura duré finalement que 5 jours, le Conseil d’Etat se permet aujourd’hui le luxe de mettre fin au dispositif spécifique de contrôle qu’il avait mis en place au début de la pandémie Covid-19 se privant ainsi de la force de travail d’une quinzaine d’inspecteurs-inspectrices. Incompréhensible, ce recul intervient au moment même où la quasi-totalité des chantiers rouvrent et où nos syndicats exigent un renforcement massif du dispositif de contrôle à Genève et des sanctions dignes de ce nom à l’encontre des maîtres d’ouvrages et des entreprises privilégiant leurs intérêts économiques au détriment des normes OFSP. Alors que les cas de mise en danger de notre santé se multiplient et où des milliers d’entre nous sont exposés tous les jours à la propagation du virus en raison de la nature même de nos activités qui ne permet pas le respect de la distanciation sociale, aucune sanction dissuasive n’a été prononcée. L’heure est grave et nous sommes fortement inquiets de la situation !
    152 von 200 Unterschriften
    Gestartet von SIT, Syna, Unia Genève Picture
  • Aufruf für eine wirklich solidarische Schweiz
    Aufruf für eine wirklich solidarische Schweiz - Die Reichsten der Schweiz und unsere Politiker sind gefordert Was für eine Wirtschaft wollen wir? Eine solidarische, oder?!? Trotzdem verstärkt sich die Ungleichheit noch stark durch die Corona-Krise. Wo ist die vielbeschworene Schweizer Solidarität? Welche Ergebnisse hat die Krise gebracht: Kurzarbeit - bezahlt je hälftig der Arbeitgeber und Arbeitnehmer. Eine hart erkämpfte soziale Errungenschaft. Bravo!! Von die Entwicklung der Arbeitslosenzahlen ist das SECO überrascht, hätten sie nie so prognostiziert. Und jetzt? Selbständige? Wo sind Lösungen außer einem Mieterlass, der „freiwillig“ geschehen soll? Das ist doch keine Lösung. Dutzende Milliarden von Krediten. - Super für die Banken!! Aber die KMUs werden davon Jahrelang geknechtet werden, um sie zurückzahlen zu können, wenn überhaupt. Wo sind unsere 300 jährlich gefeierten #ReichstenSchweizer der #Billanz. Wo ist ihr Beitrag? Wir haben die Mittel, um allen in der Schweiz ein Leben in Sicherheit und Würde zu ermöglichen. Dazu braucht es nicht beschworene Solidarität, sondern echte! Über Jahre wuchsen die Milliarden bei der Wirtschaftselite. Jetzt wäre Zeit zurückzugeben. Ich fordere die #ReichstenSchweizer sich aktiv an Lösungen im Sinnen eines Ausgleichs wie es Piketey beschreibt zu beteiligen und aktiv an einem gerechteren Verteilungssystem, Steuersxstem und einem gerechteren Wirtschaftssystem und zu beteiligen. Wir brauchen einen #GreenNewDeal wie ihn Naomi Klein in ihrem Buch beschreibt, um echte Solidarität und eine nachhaltige und lebenswerte Zukunft für uns und unsere Nachkommen zu schaffen. Dazu gehört, dass wir den Kuchen, den wir zusammen erwirtschaften gerechter verteilen. Die jetzige Krise verstärkt diese Ungerechtigkeit noch. Es ist höchste Zeit etwas zu tun, bevor die sozialen Spannungen größer werden und das Vertrauen in die Mächtigen verspielt ist. Ich rufe die #300ReichstenderSchweiz auf, hier öffentlich Ihren Beitrag zu leisten. Danke! Sehenswert: Thomas Piketty: Ungleichheit zerstört die Demokratie https://www.srf.ch/kultur/gesellschaft-religion/neues-buch-von-thomas-piketty-das-ende-der-superreichen-er-fordert-eigentum-auf-zeit
    63 von 100 Unterschriften
    Gestartet von Paul Tschurtschenthaler
  • Jetzt Kurzarbeit auch für Gerichtsdolmetschende im Kanton Zürich!
    Gemäss Bundesgericht ist die Arbeit der Dolmetschenden bei den Behörden eine unselbständige Erwerbstätigkeit (H 5/00 vom 13.07.2001). Es handelt sich ein Arbeitsverhältnis auf Abruf (C 29/05 vom 17.03.2005). Wegen der starken Schwankungen beim Beschäftigungsgrad (mehr als 20%) konnten diese Arbeitnehmenden bisher keine Arbeitslosenentschädigung geltend machen. Gemäss "COVID-19-Verordnung Arbeitslosenversicherung" (Art. 8f) haben sie jetzt ebenfalls einen Anspruch, sofern sie seit mehr als 6 Monaten in dem Unternehmen arbeiten, das Kurzarbeit anmeldet. Die zuständige Behörde bestimmt den Arbeitsausfall auf der Basis der letzten 6 oder 12 Monate und rechnet für die Arbeitnehmenden den jeweils günstigsten Arbeitsausfall aus. Herr Regierungsrat Ernst Stocker: Melden Sie jetzt für die kantonalen Dolmetschenden Kurzarbeit an!
    198 von 200 Unterschriften
    Gestartet von Peter Wolfgang von Matt Picture
  • Unfaire Berechnungsgrundlage bei der Corona Erwerbsersatzentschädigung
    Selbständigerwerbende, die ihre Geschäfte vollständig schliessen mussten, leiden während der Coronakrise an Existenzängsten, finanziellen Einbussen und unbezahlten Rechnungen. Nur durch die Harmonisierung der Erwerbsersatz-Taggelder wird wirklich jedem Unternehmen geholfen, auch solchen die im letzten Jahr investiert haben. So werden diese Geschäfte nicht doppelt bestraft.
    43 von 100 Unterschriften
    Gestartet von Nicole Siegenthaler
  • Kultur & Sport sind lebensnotwendig
    Sport stärkt in erster Linie das Immunsystem (Förderung der Sauerstoffaufnahme, Herz-Kreislauf, Regenerierung, etc.) und die psychische Verfassung (Förderung des Körper- & Selbstbewusstseins, Schlaf-Rhythmus, Abbau von Stress & Imbalance, etc.). Kulturelle Aktivität fördert die Kreativität, das Wohlbefinden und entfacht Ambitionen. Dies ist essenziell zur Vorbeugung und/oder Therapie von z.B. Burnout, Depression, Trauma, etc. Durch abwechslungsreiche Aktivitäten sind die Menschen glücklicher, motivierter und fühlen sich sicherer. Bürger können ruhiger zuhause bleiben nach sinnvollen Beschäftigungen. Sportliche & Kulturelle Aktivitäten sind Bestandteil der Basis für eine physisch & psychisch vitale & widerstandsfähige Gesellschaft. Die Kultur- & Sport-Branche, und damit dessen gesamte Community ist einer der wichtigsten Bestandteile unserer Gesellschaft. Wir haben höchstes Vertrauen in das Bewusstsein und die Kreativität aller Betroffenen über die aktuelle Situation, so dass; Unter Einhaltung von Sicherheitsvorkehrungen alle Kultur- & Sport-Institutionen & -Freischaffenden (u.a. Sport-Vereine, Fitness- & Tanz-Studios, Schulen im Bereich Film & Schauspiel & Musik, Firmen & Institutionen im Kultur- & Unterhaltungs-Bereich, etc.) ihre Tätigkeiten wieder aufnehmen können. "Unser Leben ist nur ein Leben in Freiheit der Kreativität."
    11.363 von 15.000 Unterschriften
    Gestartet von beetree app Picture
  • Falsch aufgegleist: Tausende Selbständige fassungslos. Plafonierung ist willkürlich und ungerecht!
    Die Hilfe soll bei einem Einkommen von 90'000 Franken plafoniert werden. Das ist in zweierlei Hinsicht ein völlig missglückter Parameter: Erstens: Die Limite ist absolut willkürlich. Jemand der 91'000 Franken versteuert, soll demnach völlig leer ausgehen, während jemand der 89'000 Franken versteuert 198 Franken pro Tag erhalten soll. Das kann man nicht plausibel begründen. Zweitens: Auch die Annahme ist falsch, dass alle Geschäftsmodelle, egal wie viel Umsatz sie vor der Corona-Krise generierten, gleich stark betroffen sind. Es gibt Modelle, die bislang zu einem steuerbaren Einkommen von 89'000 Franken geführt haben, die praktisch keine Einbussen haben und andere Modelle heute Mitten in der Corona-Krise aufgrund Ihrer Verordnungen gar nicht mehr funktionieren, die einst auch mehr als 90'0000 Franken steuerbares Einkommen erzielten, die mit anderen Worten komplett in sich zusammengebrochen sind. Das wiederum heisst, dass die Existenz genauso komplett vernichtet wurde. Es ist wichtig, dass Sie das erkennen und sich danach leiten lassen. Wir bitten Sie, hier nun wirklich - nochmals - wirklich ALLE indirekt betroffenen Selbstständigen allen anderen Anspruchsgruppen, die unter anderen Rechtsformen arbeiten, gleichzustellen. Diese haben alle Hilfe via Kurzarbeitsentschädigung oder Erwerbsersatz zugesprochen erhalten. Wir bitten Sie inständig, diese ungerechte, willkürliche Plafonierung zu entfernen. Dies kann nur geschehen, indem Sie die Zugangsparameter für diese Entschädigungsleistungen korrekt und fair neu ausgestalten und auf diese Plafonierung vollständig verzichten. Diese Ausgestaltung soll den heutigen, realen Sachverhalt abbilden und der neuen Situation im Corona-Wirtschaftsumfeld wirklich gerecht werden, welches ein komplett anderes ist als noch letztes Jahr. Frau Bundespräsidentin, Herr Wirtschaftsminister: Lassen Sie niemanden zurück, wie Sie es zu Beginn der Krise angekündigt haben. Denn auch nach dem Entscheid vom 16.4.2020 fallen noch immer tausende Menschen durch alle Maschen der Soforthilfe. Wir fordern Corona-Soforthilfe für alle Selbständigen – nochmals und endlich – wirklich für alle! Zurecht! Vielen Dank, dass Sie sich hier nochmals genau dafür einsetzen.
    119 von 200 Unterschriften
    Gestartet von Martin Schwizer
  • 65+: Wir schützen uns selber!
    Proaktiv dazu beitragen, dass Tausende wieder arbeiten können. Und die Schweiz sich wieder dem Normalzustand annähern kann.
    103 von 200 Unterschriften
    Gestartet von Barbara Jakob